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Samedi 18 mai 6 18 /05 /Mai 05:43

J'ai été envoyé au lit un peu avant 10h. Cela me fera du bien tellement la cage a fatigué mes nuits ces derniers temps. Maîtresse arrive quelques instants après, avant que j'ai eu le temps de passer ma tenue de nuit...

- Alors voyons l'état de ma propriété entre tes jambes.... humm.. griffure là... peau tannée ici et là... et les couilles qui te font si mal... humm si grosses, j'aime beaucoup... et bien va falloir vider tout cela et retour en cage ! Sans que tu ais du plaisir évidemment, faut pas rêver.

Je suis décagé depuis un plus de 36h, suite au nettoyage du matin où je n'ai volontairement pas remis ma cage. Trop mal ! L'impression que mes couilles ont été passées dans un étau pendant la nuit... Tout mouvement est douloureux avec ou sans cage.

De retour de ma Maîtresse, j'avoue ne pas avoir remis la cage. Elle me répond que c'est pas grave, que même comme je me suis bien conduit, elle me me fera un gâterie le soir au coucher. Je vis toute la journée dans cette perspective attendant avec impatience le soir. Dans la soirée, je vais lire au lit un nouveau SF pour être sûr de ne pas rater son coucher. Je suis à demi nu, impatient.

Maîtresse finit par se coucher à mes côtés. J'ai la bite tendue en attente... 

- Mais tu rêves, il n'est pas question que tu es quoi que ce soit... mais toi tu vas m'offrir quelque chose.

La demande est claire. Je n'ai pas d'autre choix que de me mettre au travail pour ma Maîtresse, immédiatement. Elle est très doigts actuellement. C'est directif et très long, jusqu'à en avoir une quasi crampe à la main. Ma Maîtresse prend son plaisir seul pendant que moi je tourne en rond dans ma tête frustré, le sexe encore en érection. Une fois mon devoir terminé et ma main broyée, Maîtresse N. décide qu'il est temps pour moi de dormir, pendant qu'elle lit un peu. Je passe couche et grenouillère, et me tourne sur le côté en chien de fusil en position d'endormissement, avec l'amertume cuisante de la frustration dans l'entrejambe.

Cette nuit là est étonnante. Sans cage au zizi mais réveillé aux mêmes heures que si je la portais.

Retour à la nuit suivante. Maîtresse N. s'interroge...

- Comment vais-je faire ?

Elle commence quelques mouvements mécaniques de va-et-vient sur mon machin. Je réagis au quart de tour dans une forte érection. J'en ai si envie... Mais non elle s'arrête bientôt et m'interroge.

- Dis-moi mon soumis, comme une Maîtresse peut faire sortir la liqueur de son soumis sans qu'il prenne du plaisir ?

Je lui réponds "par un milking, Maîtresse". Le Maîtresse m'est venu très spontanément. 

- Ah oui ? Faisons un milking donc.

Maîtresse N. me presse fortement la peau en dessous des couilles. Je m'en étonne.

- Oui, mon soumis ?

- Le milking, Maîtresse, ce n'est pas comme cela. C'est par le cul, en massant la prostate par l'intérieur, Maîtresse.

- Ah oui, j'oubliais. Tu me sors 2 préservatifs : un pour toi pour que je vois comment tu baves et un pour moi que je te prenne le cul et tu me donnes ton gros cul !

J'obéis mais j'ai le temps de voir un sourire exquisé de ma Maîtresse qui me montre à quel point, elle me balade. Elle sait très bien où elle veux en venir. Je m'équipe le sexe et me mets en position - humiliante - tête collée au lit et cul tendu vers le haut. Immédiatement son doigt autoritaire me transperce l'anus et masse fortement le bas de mon rectum.

- J'y suis ?

- Je ne sais pas, je n'ai pas l'expérience Maîtresse.

Je sens cependant une tension dans mon cul pas agréable. Je lui en parle.

- Fais voir...

Elle regarde le préservatif sur mon zizi dégonflé : vide. Maîtresse insiste un temps très désagréable pour moi avant de constater de nouveau que rien ne sort.

- Trop long tout cela ! On change de méthode. Tu te branles de la main, là sous mes yeux !

- Oui, Maîtresse.

Je commence les mouvements de la main gauche qui ont vite fait de redonner toute la durété au pénis. Maîtresse N. m'observe oeuvrer attentivement. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir à venir. La mécanique jouissive s'enclenche délicieusement.

- Stop, on arrête tout !

Elle vient d'enlever d'autorité ma main sur le phallus. Je suis bandé à fond dans le préservatif.

- Tu ne crois pas que je vais laisser perdre une si belle érection. Allez rend hommage à ta Maîtresse !

Nous y voilà, là où elle voulait arriver. Sacré Maîtresse ! N. s'est mise en lévrette pour que je l'embroche. Ce que je fais volontier à gros coups de pistonnage. Elle adore mes si grosses couilles qui viennent taper en cadence. Je suis en érection totale avide de enfin partir. Mais Maîtresse ne prend pas de gros risques, j'ai toujours été un éjaculateur tardif. Premier orgasme que j'entends et que je sens dans le conduit. Maîtresse en veut encore.

- Tu as intérêt à partir au fond où alors je te punis.

Je redouble d'efforts en me concentrant cette fois totalement sur mon plaisir. Je bande si fort et c'est si dur de partir. Trop de fatigue sans doute. A force de m'échigner, je sens enfin cette étincelle de plaisir naitre au coeur de mes reins et se développer de plus en plus.

- Stop ! Tu t'enlèves ! Interdiction de jouir ! Immédiatement !

J'obéis à regret en marmonnant un « Oui Maîtresse ». 

Cette vidange, je l'ai finalement à la manière de ma Maîtresse à la main - « La tienne pauvre idiot ! Tu ne crois pas que je vais me salir » - et aux pinces qu'elle me fixe sur les tétons et qu'elle tord et détord au grè de ses envies tourmenteuses. Vidange très abondante qui me donne un réel plaisir quand elle fuse enfin dans le préservatif.

- Ouah, quelle quantité, mon chéri ! Cela fera un excellent glaçon pour ton whisky. Je sais que tu le préfères sec, mais là tu feras une exception. Tu files me mettre cela au congélateur : nous commençons la récolte 2013 ! Puis tu te laves le sexe et tu remets ta cage. Et après au dodo dans ta jolie grenouillère.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Vendredi 17 mai 5 17 /05 /Mai 06:00

blrome2.jpg Encore un autre petit matin. Réveil dans la cage et la grenouillère. Les nuits vont mieux, moins de réveils, sans doute aussi plus d'anesthésie alcoolifère aussi. C'est la fête à la maison, nous avons nos amis très intimes qui sont venus pour quelques jours à la maison.

Il est donc 7h avec une seule érection qui m'a réveillé au petit matin. oh joie. Maîtresse dort à côté et est réveillée à son tour qu'en j'enlève mon poids du lit.

- Bonjour mon chéri. Tu te lèves déjà ?

- Bonjour Maîtresse, oui je suis en érection dans la cage et ce n'est pas agréable...

- Attends reste, j'ai besoin de sentir ton contact.

Elle me fait enlever couche et grenouillère et je me recouche à ses côtés complétement nu à part la cage. Sa tête se love contre mon épaule. Instinctivement je me masse les couilles pour soulager un peu la pression. Sa main me chasse d'autorité de la zone et me donne une claque de représailles dans l'entrejambe. Aie !

- Tss, interdit ! Tout cela est à moi !

Maîtresse me masse le paquet un temps avant de le saisir en tenaille dans sa main. Un reproche à venir ? 

- Je voudrais que tu sois plus soumis et obéissant et que tu m'obéisses immédiatement sans poser de questions.

Je crois avoir mal entendu !

- Mais je croyais que tu ne voulais pas que nos jeux empiètent sur la vie quotidienne, que c'était même une ligne rouge ?

- Hummf, souvent femme varie...

Elle a serré mes couilles en tenailles sur ces derniers mots. Oui, vu dans cette perspective, j'ai tout intérêt à comprendre très vite. Et je ne sais pas d'où vient le reproche.

- C'est pour les courgettes que j'ai rechigné un temps à ressortir pour aller en acheter hier matin ?

Réponse très sèche.

- Non, c'est hier soir !

- Hier soir ? Je ne me souviens pas d'un problème hier soir....

- C'est bien ce que je te reproche !

Hier soir, je me souviens avoir pris l'apéro entre hommes, mais pas au point d'avoir mal fini. Qu'est-ce que j'ai bien pu faire ou ne pas faire ? Je me suis endormi au final sur la canapé mais cela ne semble pas être cela... Vite réfléchir. Bon hier soir, une fois les enfants couchés, les femmes ont montrés leurs seins sur la table, je ne sais plus suite à quelle remarque de la part de notre ami. J'ai remarqué les tétons de ma Maîtresse fiérement dressés. La situation lui a plu manifestement et cela m'a valu une érection immédiate dans la cage. Puis Maîtresse et l'ami ont discutés ensemble pendant un moment pendant que sa femme était parti coucher les enfants et que moi j'étais aller fumer dehors. Je le connais habituellement assez taquin et il sait pour mon statut d'encagé actuel. Ce que j'ai appris après, c'est qu'il a profité de mon absence pour parler de mon encagement avec ma Maîtresse de femme à mots d'abord voilés avant qu'à la fin N. découvre qu'il savait tout (parce que nous en avions parlé, la veille, N. ne le savait pas encore). A mon retour, Maîtresse me fait venir à côté d'elle. " Et tu vas voir comment je possède le sexe de mon mari...".  Et sur ce, elle déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Bientôt elle cherche à me baisser le slip. Je prend peur, bredouille et me recule, avant de le regretter finalement parce qu'être montré en cage par ma femme devant un tierce personne aurait le symbole de soumission parfait, même si lui l'a déjà vu une fois, mon zizi en cage, mais nous étions alors bien avancé dans l'apéro.

- C'est parce que j'ai refusé de me faire déculotter hier ?

- Mais non tu comprends rien et en plus tu oublies tout !

- Alors dis-moi ce que j'ai mal fait ?

- Non, je ne veux plus en parler. Cela va me mettre de mauvaise humeur. Occupe toi de moi à la place !

Les femmes sphinxs sont des mystères pour les hommes, et je n'ai d'autre choix que de m'occuper intimement de ma Maîtresse comme exigé. Pendant que j'oeuvre, mon esprit à du temps pour chercher ce que j'ai fait ou pas fait hier. Je me souviens d'un autre moment d'échange entre Maîtresse et l'ami en question. Il  a dit qu'ils avaient fait l'amour le matin dans la chambre d'ami et que c'était très bon (avec sa femme, pas la mienne !). N. lui a répondu au tac au tac qu'elle aussi s'est pris une grosse queue au petit matin et que c'était super excitant. Ce qui lui a cloué le bec sur le moment. Plus tard, il me retrouve autour d'un digestif sur la terrasse. " Je ne comprends pas. Elle a dit que tu lui a donné un bon coup de bite. Comment avez-vous fait ? Elle t'a enlévé la cage ? ". " Non ! "Il me regarde d'un air incompréhensif. " Mais, si c'est pas possible autrement ! ". Et je lui explique ce qu'on peut faire avec un porte gode et un gode, malgré la cage. Il ne connaissait pas et reste un moment pensif. " Mais alors tu n'as pris ton pied ? ". "Oui c'est la règle du jeu... je reste frustré ". Mais je ne vois pas pourquoi Maîtresse serait mécontente de cette discussion. Non je ne vois rien de répréhensible lors de la soirée de la veille.

Une fois mes devoirs terminés, Maîtresse N. m'envoie lui préparer son petit-déjeuner qui doit être prêt pour 8 heures avec un série d'instructions très précises, "puisque que tu ne t'es jamais interréssé à ce que je prends le matin ! ". 

Plus tard, dans la cuisine, je réssaye d'en savoir plus...

- Non j'ai pas le temps là. Tu vas me mettre en retard... Déjà que je n'ai pas pu obtenir un rendez-vous plus tardif...

Maîtresse va chez le coiffeur ce matin. Je la croise finalement à la salle de bain pour faire un pipi assis sur les toilettes. Elle me fait alors remarquer que l'absence de rideau devant la baignoire dégrade l'état de la salle de bain. Je suis contre ce rideau depuis le début et nous nous sommes déjà accrochés dessus plusieurs fois. D'ailleurs nous en avons encore parlé hier soir avec nos amis et j'ai encore dit niet ! Je comprend soudain.

- Alors c'est cela ? Tu n'as pas aimé hier que je dise encore une fois que je ne veux pas de ce rideau ?

- Oui et tu me fais passer à chaque fois pour une idiote, aux idées trop bêtes pour être écoutées en matière d'aménagement de la maison...

Et pan sur le cul... j'ai été eu. Soumets-toi et obéis ! Elle a gagné et j'ai perdu. Et N. aura son rideau dont je ne voulais pas... Tous les chemins mènent à Rome.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:33

- J'ai en envie du jouir, mais c'est chiant tu es en cage.

- Mais c'est toi qui m'y a mis...

- Parce que je croyais que tu le voulais.

- Non, pas vraiment. J'ai été surpris de m'y retrouver lundi dernier.

- Ah bon ? Pas grave. Tu y es, tu y restes. Occupe-toi de moi que je ne lève pas de mauvaise humeur comme hier parce que t'AS RIEN FAIT pour ta Maîtresse !

Je suis dans la grenouillère jaune obligatoire pour la nuit. Je commence à me déplacer pour me mettre en ses cuisses.

- Non c'est pas ta langue que je veux. Je veux tes doigts ! Dépêche-toi...

J'ai souvent remarqué que N. quand elle est Maîtresse N. devient très directive. Ceux sont effectivement mes doigts mais ce n'est pas moi qui les commande. Fais-ci, fais-ça. Non un doigt de plus. Plus en bas. Plus haut. Plus fort. Moins fort... Ma main devient un sex-toy à son usage exclusif. Je sens, je vois et j'entends son plaisir monter. Bien-sûr tout cela ne me laisse pas de marbre et je ressens la forte pression à l'intérieur de la cage mais impossible d'aller me masser les couilles pour la soulager quelque peu sous la double épaisseur de la couche et de la grenouillère. Très frustrant tout cela...

Premier orgasme. Premier palier.

- Oui ! mais cela ne suffit pas. Viens ici toi !

Elle me dézippe la fermeture éclair dans le dos de la grenouilllère, que j'enlève.

- Allez sors moi le gros gode et prends ta Maîtresse en levrette.

Je cherche à tâton le porte gode dans le tiroir. Celui qu'elle s'est achetée l'été dernier. C'est la première fois que je le mets, moi. J'enfile autour des cuisses les lanières et je scratche dans le dos la ceinture. La partie élastique porte-gode plaque la cage et son contenu emprisonné contre le bas ventre, dans une position pas agréable pour un homme encagé, mais qui permet au gode, que je monte dessus, de s'appuyer sur la structure rigide de l'étui pénien. J'ai choisi un beau gode, noir, long et épais.

Quand je reviens sur le lit, Maîtresse attend son plaisir. Je me positionne derrière. Elle m'interdit de faire quoi que soit. C'est elle qui fait. Je suis de nouveau à fond dans ma cage. Elle se frotte d'abord le bouton sur le bout de sa queue de remplacement, avant de l'avaler lentement au fond de sa chatte. La vision de sa belle descente de reins, me ravit et m'excite. Le zizi encagé bave déjà d'envie dans sa prison, en pure perte. Je veux être de la fête moi aussi !

- Non, tu fais rien. Ou plutôt si tu caresses mon dos et tu t'occupes de mon petit trou !

J'introduis un doigt humide dans son anus. A travers la paroi je sens la grosseur du gode, sur lequel elle coulisse maintenant regulièrement et qui au plus profond fait pression sur la coque de plastique de la cage. Le phallus emprisonné bave de plus eu plus d'envie.

- Ah que c'est bon une grosse queue bien dure !

Je prends cette remarque comparative pour moi et préfère me taire. J'accompagne maitenant les mouvements en ondulant du bassin. Maîtresse me laisse faire mais vient appuyer ses fesses sur mes cuisses pour le gode rentre encore plus profondémment. Son plaisir monte inconstablement. Le pénis lui a aussi reconnu le moment. Je ne sais pas si c'est les hormones qui flottent dans la chambre, mais un boule de tension commence à naitre au plus profond de mon ventre. Je prend en charge tous les balancements enfilant en cadence mon gros "pénis". Mon esprit ne comprend rien de ce qui se passe. Tous les indices montrent qu'il est train de travailler le sexe d'une femme si excitante, SA femme, mais il ne reçoit pas les sensations tactiles et de chaude humidité qui devrait aller avec. Déstabilisant tout cela. L'esprit ordonne par réflexe au corps d'augmenter la cadence pour partir au fond de cette chatte. Il veut retrouver les chaudes sensations. Mais rien en retour, juste l'impression d'être coincé au fond d'une boite. Maîtresse est proche de l'accomplissement... Je sens une gêne tout un coup au niveau de la cage, quelque chose que je connais déjà sans m'en souvenir. J'essaye de repositionner la cage plaquée entre le bas ventre et le gode. Cela va un peu mieux, mais je viens de faire une faute en ralentissant le rythme, que me reproche tout de suite Maîtresse.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? J'étais si proche du méga orgasme !

Je prend le reproche en pleine face. J'essaye de relancer la machine, mais il est trop tard pour Maîtresse qui nous repousse, moi et le gode. Une fois libéré, je vérifie la cage et constate qu'effectivement elle vient de s'ouvrir sous la pression. Le problème de ses cages en plastique mais que la super glue finit par réparer.

Plus tard, la cage réparée je retrouve Maîtresse N. dans la cuisine.

- C'était si bon mon Amour ce matin. Rien à voir avec ta queue habituelle...

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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