Vendredi 10 mai
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06:00
J'ai en effet été prévenu la veille alors que je continuais à boire joyeusement malgré ses demandes d'arrêter qu'elle me le ferais payer rubis sur ongle dès le lendemain (et comme toujours elle
avait raison, mon réveil du matin a été - disons - difficile). Et je crois que son désir de marquer le coup est exarcerbée en plus par la fessée humiliante que je viens juste de lui donner.
Ne vous trompez quand même pas. Nous ne sommes pas totalement devenus un vrai couple D/S. Cela reste avant tout un jeu conscensuel tout cela. Mais nos séances qui s'espacent malgré nous, ont pris
une tournure très particulière. Et jamais je n'en ai eu conscience de façon aussi précise.
Dans cet espace d'inégalité Maîtresse/soumis se déroule un échange complet de pouvoir, qui lui n'est pas un jeu. Elle le prend complètement et je n'ai plus rien du tout. J'enlève mon alliance,
elle me passe mon collier de soumis et voilà que tout bascule. Maîtresse n'a alors qu'un but : me mater, me faire plier, m'entendre demander grace.
Cela commence par le choix des armes dans le grainetier. J'imagine le fouet. Elle choisit à mon étonnement la canne de rotin, et un paddle de cuir pour l'échauffement. Je connais mal la canne, ne
l'ayant subi qu'une seule fois. Sur la papier je dirais que je la crains moins que le fouet. Mais Maîtresse m'apprendra vite
à mon détriment, combien je me trompe. C'est une arme redoutable entre ses mains qui sait délivrer les coups en rafales intolérables.
L'autre indice de sa détermination est l'immobilisation de mes mains avec une corde de chanvre. D'habitude elle utilise les menottes de cuir et le mousqueton pour me libérer est toujours
atteignable. Là les mains sont étroitement attachées. La corde me rentre dans le peau. Et le tout est accroché en hauteur à une barre métallique. Aucune libération possible ! C'est la première
fois que je me trouve ainsi et cela change la vision que j'ai de nos jeux. Je suis vraiment pris au piège ! Et cela m'envoie immédiatement dans des limbes de soumission...
Dernier point, le baillon boule m'est enfoncé d'autorité, presque de force, et verrouillé derrière la tête. Je me souviens pas de l'avoir voir vu déjà faire cela. D'ailleurs avec le chaud soleil
de l'aprés-midi, je me retrouve vite à baver à ne plus finir. La salive coule le long de mon ventre.
C'est un début de séance envoutant. J'ai l'esprit et le corps pris, et je crains vraiment la suite...
dyonisos
Par dyonisos
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Jeudi 9 mai
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06:00
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- Dis Maman, il a fait quoi le Monsieur ?
- Il n'a pas écouté sa Maîtresse hier...
- Comme une Maîtresse d'école ?
- Ce n'est pas comme ta Maîtresse à l'école, mais comme toi il doit obéir quand la Maîtresse lui demande quelque
chose.
- Alors lui, il n'a pas obéi ?
- Non, elle lui avait demandé d'arrêter de boire du vin hier et il a continué...
- C'est pas bien cela, il faut toujours obéir à la Maîtresse...
- Tu as raison.
- Alors il est puni le Monsieur ?
- Oui, je crois qu'il va prendre une bonne punition de
sa Maîtresse.
- C'est qu'il l'a mérité, Maman, s'il a désobéi. J'espère que sa Maîtresse lui donnera une fessée cul nu.
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dyonisos
Par dyonisos
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Mercredi 8 mai
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06:00
Nous avons prévu une après-midi de parents pas sages. Les enfants sont à l'école donc aucun risque d'être dérangés. En plus chez nous le temps est au magnifique, donc tout va pour le mieux.
Il est question d'un retour de Maîtresse N. et de dyonisos, mais j'ai une petite chose à régler avec Madame avant. Une bétise de N. qui m'a gêné et qui plus est, pour la seconde fois en quelques
mois. Je lui ai dit que je la punirais pour cela et je tiens parole.
J'ai convoqué N. dans notre chambre. Je lui demande de ne garder que sa culotte. Elle essaye de négocier, qu'elle sera une Maîtresse moins bonne après, qu'elle ne veut pas,.. Mais je suis
inflexible et en plus la situation commence à m'amuser.
Je fais prendre à N. une position disciplinaire, les 2 mains à plat sur le lit. Et me voilà la bite excitée prêt à donner à mon épouse une des rares fessées domestiques qu'elle a déjà prise
depuis que nous sommes mariés. Toujours après une bétise de sa part.
J'annonce dix claques sur les fesses et les lui fait compter à haute voix. Les deux premières sont données coup sur coup, sur chaque fesse, suffisamment appuyées pour lui arracher un aie et des
cris de protestation. Je suis satisfait. Les suivantes font moins mal. J'augmente sensiblement la force alors que l'on se reproche de la fin. Une dernière pause pour faire monter l'appréhension,
et voilà la dixième qui porte fortement. N. crie de protestation.
Le résultat est charmant : un beau fessier rouge...
Plusieurs heures après, je lui demande si elle a mal. Elle me répond que non, que c'est vite parti.
- Mais c'est si humiliant de...
- ... te faire fesser comme une petite fille ? Oui c'est fait pour et j'ai pour ma part beaucoup aimé te donner la fessée.
dyonisos
Par dyonisos
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