Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 08:55

Je suis maintenant entièrement nu dans le vestiaire à attendre la volonté de ma Dame. Nu à part ma cage et je me trouve un peu con. Reste plus que le maillot de bain à passer. Maîtresse se prépare tranquillement... J'attends pas rassuré et inquiet de la suite.

- Allez viens là mon dyonisos.

Elle a dit dyonisos comme elle dirait chéri. Mais le principal c'est qu'elle me donne la clé pour que je me libère. Cela pue : je file me rafraîchir rapidement au lavabo pour enlever le principal de l'odeur de la bête sortie de sa coquille. Avant de me retrouver, dans le dit salon de thé, en peignoir blanc et toujours aussi con. Je suis casanier. Madame non. En plus elle connait déjà l'endroit et a, semble-t-il, l'envie d'en jouer à fond avec son dyonisos.

Pour l'instant je suis remisé à l'attendre dans un couloir devant la salle d'aisance. Longuement, trés longuement. L'ensemble fait trés clinique et ne m'inspire pas. Quelques personnes vont et viennent. C'est un des moments où bizarrement même en étant libre je ressens sa patte.

Finalement nous rentrons dans la salle... de torture ? Non d'eau. Qoui que le torture à l'eau, cela existe aussi. Eau chaude, eau à bulles, eau à jets, hamman, sauna, salle de repos, etc... Deux couples sont déjà là, l'un dans la trentaine, l'autre dans la cinquantaine. Avec nous dans la quarantaine, cela complète. L'eau chaude est un délice : je m'y coule avec plaisir. Bon les bulles je connais à la maison, alors peut être que je suis un pleu blasé. Mais il y a un truc qui m'enthousiasme, c'est les bulles à masser les pieds. Génial !

J'oublie un peu N. à vaquer de bassin en bassin. Tout juste nous rencontrons nous de temps en temps pour un chaste baiser. Je préférerai la cubulter et l'embrocher, là séance tenante, mais je ne crois pas vraiment que cela soit l'endroit. L'eau me fait monter des envies. je suis un peu frustré de ne pas être nu. Aprés tout pourquoi pas ? Un petit coup d'oil discret et voilà mon service trois pièces qui baille en dehors du maillot de bain. De toute façon l'eau agitée masque tout. J'ai mes couilles endolories : cela ne pourra que me faire du bien... Au programme perso, un long massage de couille par un puissant jet de fond. C'est si agréable aprés le casse noisettes. Le jet fait remonter les testicules en haut du sac complètement détendu et je prends un plaisir certain à rester longtemps sous sa trajectoire...

Direction aprés les bulles du jacuzzi avec N. Là c'est divin. A l'insu de ma Maîtresse, ma bite libéré du maillot de bain bande et bande sous le massage des bulles. Je suis bien et j'aime beaucoup le décalage. Je m'oblige finalement à sortir pour éviter les empêchements et je propose un hamman à N.

J'aime beaucoup le hamman, plus que le sauna. Nous restons d'abord silencieux à suer et éliminer les toxines. Puis échangons entre nous. C'est comme une bulle hors du temps où nous nous ressourçons. A la sortie, Maîtresse N. est revenue. Il y a une sorte d'étrange machine qui pond régulièrement de glaçons dans une vasque. N. commence à me torturer sous le froid de glaçon, dans le cou, dans le dos, dans le sillon fessier. Avant d'avoir un appétit supplémentaire...

- Ouvre. Je te dis ouvre !

Maîtresse prends une grosse poignée de glacons qu'elle fait tomber dans le maillot de bain, devant. C'est froid : ouille, ouille, ouille aux couilles. Je me précipite dans l'eau chaude, grimace avec l'eau froide des glaçons qui fondent, quelques instants avant de retrouver le confort de l'eau chaude.

J'ai presque oublié l'épreuve du massage, mais N. me dit que l'heure s'approche. Nous partons en salle de repos nous sécher sur les banquettes de bois chauffant. Etonnantes ces banquettes... Mais avant c'est l'heure du thé !?!

N. me lâche pour repasser aux toilettes. Je suis seul dans le salon du thé. Une dame arrive, me propose du thé et un excellent cookie. Me voilà à le siroter dans une fauteuil, attendant le retour de ma belle qui arrive. Moment de complicité absolue devant un thé à l'ibiscus. Je passe aux aveux, que j'avais trouvé où on allait, que j'avais triché.

- Alors ta comédie de ce matin, c'était du pipeau ?

- Un peu...

- Tu m'en veux ?

- Non.

- Et tu sais où je t'emmène manger ? 

- J'ai deviné, je crois...

Effectivement j'avais deviné. D'ailleurs il y a une heure limite pour arriver et N. me complique l'esprit en m'expliquant que pour tenir les délais, je devrais passer en second pendant qu'elle passerait en premier.

Mais il y a une question qui me turlipine la pine.

- Tu m'as bien fait bisquer avec la cage. De toute façon, tu as toujours prévu de me libérer ?

- En fait non, j'envisageais plutôt de te laisser la cage, mais il y avait le problème du monde présent. Là tu aurais pu trés bien y rester. Et pour le massage, je n'ai jamais fait alors je ne sais si c'est risqué ou non. D'ailleurs j'aurais préféré un massage en duo mais ce n'était pas possible avant 15h. Là nous y irons l'un aprés l'autre...

Le massage, merde le massage. Pas le genre d'activités qui me font fantasmer. Bon oublier pour l'instant.

Nous nous souhaîtons chaleureusement 15 ans de plus finalement, avant de nous séparer. Ma belle pour nager dans la piscine de nage et moi pour fumer en peignoir sur la terrasse adjacente. Puis l'heure arrive où l'on vient chercher N. pour son soin. Moi je repique une tête dans l'eau chaude avant de me sécher sur les banquettes chauffantes.

La peur remonte un peu au ventre. Je n'ai aucune idée de ce qu'il va m'arriver, de ce que l'on va me faire. L'inconnu total. Et puis Maîtresse N. m'a tellement noyé d'infos que je ne sais plus ce qu'il pourrait en être.

Je suis surpris par le retour de N. bien plus tôt que je croyais, avec un large sourire.

- Allez à ton tour !

J'attends donc mon tour sur un sofa en peignoir, comme on attends de se faire fouetter dans une école anglaise. Une dame, jeune mais pas trés belle, vient me chercher... Si Monsieur veut bien me suivre... ben voyons, suivons la, le coeur léger...

La piéce est petite et complètement inondée. "Si vous voulez bien vous coucher sur le plan de travail..." Parce que vous allez me fouetter aprés ? C'est un piège ? Je couche méfiant mon ventre sur le plan en plastique aprés avoir enlevé mon peignoir.

- Vous avez demandé, Monsieur, un gommage sous douche à affusion...

Euh en fait moi non, rien, mais ma Maîtresse si. Mais je préfère nettement cela, même si je ne sais pas qu'est-ce que c'est, à une débouchage du petit trou aux huiles essentielles !

- Vous allez avoir un gommage aux sel de Guérande et fleurs de polynésie...

Le tout est dit avec un ton si pédant que je manque d'éclater de rire...

- N'hésitez pas à me dire si l'eau n'est pas trop chaude ?

Nous voilà chez le coiffeur alors qu'un pipi de chat me coule sur les jambes. La dame me "gomme" la peau en un mélange de sels abrasifs et de gestes appuyés qui me font bouger sur mon ventre. Dans un sens, dans un autre, en croisé, en alterné, depuis le bas du dos jusqu'au cou. A ce jeu, elle pourrait aussi faire mes fesses... je pense un instant, le zizi au plus bas.

Finalement, le grattage s'arrête et l'eau coule pour évacuer le sel. 

- Cela a plu à Monsieur ?

En fait non, car le forfait suçage n'était pas compris ! Voilà c'est fini : je remet mon peignoir et sort dans une inondation du sol.

Notre temps de spa est fini, et en plus j'ai faimn. Je prend le temps de bien nettoyer la cage avant de sagement la remettre, les couilles bene pendentes. Le spa est réussi : toute le tension dans mes couilles a disparu.

En route pour le restaurant, maintenant...

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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 23:11

Je n'ai pas bien dormi avec la cage, mais l'aube arrive et c'est le grand jour. Je ne devais être disponible que jusqu'à 16 heures, mais finalement ma contrainte s'est annulée.

- Trop tard, a dit N., j'ai tout organisé.

C'était mardi et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un soumis sourd. Hier, c'était un colis vide sur la table. "C'est quoi ?". "Tu n'as pas à savoir...". Intriguant et inquiétant. C'est fou comme un carton vide peut faire paniquer un peu. Mais je remarque enfin que cela vient d'amazon : je me détends un peu.

Mais ce matin, je suis de nouveau inquiet. Je décide de faire une enquête sur l'ordinateur de N. Je sais c'est pas beau... mais je n'ai pas réssité. Rien dans la messagerie. Je regarde les onglets web ouverts : nada. Reste l'étude de l'historique. J'ai une date, mardi. Et je trouve des éléments. Un Q Resort & Spa dans la grande ville d'à coté. Plusieurs pages, mas pas trés flagrant. Et avec la cage ?  Et une recherche de restaurant dans le coin. Mais bon, N. aurait pu faire tout de son smartphone et cela pourrait être des faux indices laissés à mon intention.

Corvées du matin alors que N. dort toujours. Réveil des pages. Petit-déjeuner. L'un rate son bus et doit être emmené au collège. L'autre n'est pas bonne humeur mais arrive à finir par être livré à l'heure à l'école. Bon cela fait : c'est notre temps des parents maintenant...

Quand je reviens, N. est réveillée et s'est levée. Elle me retrouve en train de faire avancer un jeu de simulation sur la tablette.

- Tu m'arrêtes tout cela immédiatement !

- Euh, quoi ?

- Oui, tu m'as entendu. Tu arrêtes tout et tu vas te changer, mettre quelque chose de plus classe.

Ah non pas le costume. Pas envie. Je réchigne...

- C'est un ordre de ta Maîtresse ! Et dépêche-toi, nous devons être partir à 9h40 au plus tard...

Je prends cela comme une gifle de rappel. Le ton est donné. Je négocie pour un pantalon de toile mais pour la chemise, pas le choix : je suis envoyé la chercher au dressing. La cage est lourde en ce matin et je me traîne jusqu'au centre-ville.

A mon retour, N. finit par se préparer. Je me change.

- Attends, j'ai besoin de toi. Je vais être obligé de t'en dévoiler un peu : je n'ai pas trouvé ton maillot de bain. Il est où ?

Maillot de bain ? Ma piste se précise. Mais avec la cage ?  Cela me mets dans un drôle d'état, trés proche de la soumission prêt à être manger de la façon dont Maîtresse N. veut. Je suis résigné à mon sort.

Avant de partir :

-Il ne faut pas que j'oublie ta clé, pour te l'enlever, ou te la laisser : cela sera plus rigolo...

Je ne sais pas si c'est ce genre d'intention mi figue-mi raisin qui va me rassurer. Je n'ai aucune idée si c'est un jeu, une taquinerie ou si mon sort n'est pas encore pesé ou si Maîtresse N. a décidé que je resterais en cage quoi qu'il arrive.

En route en voiture. Je suis la direction demandée. N. programme le GPS mais je suis distrait par une voiture qui double et je rate le nom. Seule indice : le kilométrage restant qui m'indique que mon espionnage du petit matin n'était pas un si mauvais indice. Cela sera donc le Q. Resort & Spa. En cage ?

Je n'avoue pas et essaye de donner le change. Maîtresse N. parle beaucoup et m'embrouille beaucoup. Nous avons rendez-vous (!). Nous aurons droit à des séances particulières, mais pas ensemble, l'un après l'autre. Je devrais l'attendre une heure. Tout est peu clair pour moi et je crains de devoir passer une matinée très longue. Et cela ne répond pas à ma question : la cage. Je m'imagine couché sur une table de massage, je ne crois pas nu, mais le zizi bien enfermé en cage face à la masseuse. Un moment de solitude.

L'angoisse monte peu à peu. Nous arrivons, nous garons sur le parking un peu trop plein à mon goût. Et Maîtresse m'emmène à la réception. Effectivement, elle a réservé. Je dois payer m'attendant à la douloureuse, mais non. J'ai mal entendu et regarde le ticket de CB un peu incrédule.

Puis le cérémonial commence. On nous emmène via un couloir sombre dans un vestiaire nous donnant rendez-vous dans le salon de thé. Le dyonisos n'en mène pas du tout large... Avec mon équipement, le peignoir, les claquettes. Je me déshabille doucement à l'écoute de la sentence de Maîtresse qui n'arrive pas...

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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 23:52

Finalement j'ai trouvé ce qui clochait ce week-end. Une vilaine blessure en train de grandir à la base des orphelines. Comme il y a 5 ans et qui m'avait laissé une cicatrice de cage. Maîtresse N. a tranché : la santé avant tout. Nos jeux aprés. Libéré dimanche en fin d'aprés midi.

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Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 14:49

J+0

L'esprit est incrédule de s'être vu enfermé ainsi et n'en revient pas. Heureusement la cage est neutre. Maîtresse jubile du retour de son canari jaune favori avec sa couche. Je dois éteindre l'incendie entre ses cuisses. Orgasme de Maîtresse puissant et déstabilisant...

Elle est aussi déçue que la grenouillère d'hiver en éponge orange avec le petit chat et la petite souris ne m'aille pas. Mais le vêtement est mal taillé et ne laisse pas assez d'espace aux épaules. Ce n'est pas ma faute.

J+1

Aucun réveil contraint cette nuit. Etonnant mais je me méfie. Journée assez éprouvante avec la route et la cage qui ne veut pas se décontracter. surtout que je n'ai pas la liberté de me repositionner librement avec la présence des pages. Les poils qui repoussent sous le métal font un peu mal. Au coucher je traine à mettre la grenouillère et à perdre le contact de ma main.

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J+2

La vengeance du serpent déplumé à frapper à 4h24 exactement. Violent réveil dans la dureté matinale matée. Je finis par me lever pour ouvrir les vannes et remplir la couche. Moment humiliant à l'âge que j'ai. La bête s'est rendue et je peux repartir me coucher. Seconde vengeance à 7h25 : cette fois je me lève définitivement (l'encagé se lève tôt). C'est dimanche, je garde ma tenue de canari pour aller fêter plus tard le réveil de Maîtrese comme elle aime me voir, camouflée sous des vêtements en cas d'arrivée impromptue de pages.

Je monte. Je suis accueilli avec plaisir à m'occuper de ma Dame en ce matin ensoleillé. De mes seuls doigts qui constatent l'extrême humidité avant d'être exilé sous la couette pour un long hommage total que l'on attend de moi. Encore une fois, elle a raison : je suis meilleur suceur, suceur empêché. J'en prends plein les sens, d'odeurs et de goûts. Enivrant ! Post-orgasnum, elle me fait mettre nu. Nous discutons de sa domination et ma soumission actuelles, tandis qu'elle s'assure que je ressente bien les limites de mon petit monde entre les jambes, de caresses, des massages et même de mordillements sur mes tétons. A ce traitement, je suis vite frustré à point et elle me fait remarquer combien ma peau sort par toutes les ouvertures de la cage. Avant finalement me demander du rab, avec mes seules doigts qui massent le bouton et jouent de l'élasticité de l'entrée. "Aprés avoir joui une première fois, mes besoins ne sont pas les mêmes..." 

Le reste de la journée s'est passée en famille avec cependant ma découverte que jeudi prochain, c'est les 15 ans de notre rencontre. Je me demande si mon retour en cage n'y est pas quelques part lié, un peu comme nos dix ans qui avaient été fêté à la mode BDSM. Un moment d'anthologie. Ma Dame m'a parlé d'un restaurant rien que pour nous deux, mais l'organisation avec les pages semble difficile. J'ai finalement proposé que nous soyons en congé ce jeudi, idée qui a été trés bien accueillie. Mais pour le reste, j'ai annoncé que je ne m'occuperai de rien laissant à ma Maîtresse de Dame, et à sa sagesse ou sa perversité, les décisions qui s'imposent pour cet anniversaire. Dans la vie, il faut savoir vivre dangeureusement quand on aspire à la soumission domestique.

Au coucher, j'ai été de nouveau longuement excité dans ma petite cage, surtout de par le massage de mes grosses couilles qu'adore Madame. Pas facile de trouver le sommeil aprés. Mais j'y ai gagné la possibilité de ne pas porter la grenouillère pour la nuit. Je ne l'avais pas mise à-escient pour avoir ce contact sur mon sexe emprisonné. Je ne sais pas si ma femme s'en est rendue compte, mais elle n'a rien dit.

Le mot du jour : "Ce n'est pas t'enfermer le zizi en lui-même que j'adore, mais la façon dont, une fois enfermé, tu deviens gentil et attentionné avec moi"

J+3

Nuit d'enfer : 4 réveils douloureux. La bête rechigne à s'être laissée enfermée. Je me suis lève exténué de ma nuit. C'est cela aussi la cage : une discipline nocturne et une gêne diurne.  Au point même quand l'heure du coucher arrive, on craint et rechigne un peu à rejoindre les bras de morphée et les parties de casse-noisettes qui s'y jouent. La cage sonne les heures nocturnes à sa manière : jamais à l'heure pile, à heures assez fixes cependant, sautant, je ne sais pourquoi, certaines périodes. Pour moi en ce moment, c'est 2h30 puis 4h30, 5h30, 6h30 où je préfère me lever. La cage réveil matin aussi. A cela se rajoute la grenouillère qui enchâsse et la couche qui humidifie la nuit. Je sors d'une telle nuit lessivé...

Le jour est différent plus en attente de baisse de tension. Je passe trop vite à mon goût des couilles détendues sous la couette au paquet reserré qui porte sur l'anneau et réveille les échauffements passés. Pas la période la plus confortable. L'aprés-midi est habituellement mieux, un vrai bonheur d'encagé. Mais en ce moment, sans savoir ce qui se passe, les machines sont pressées dans la cage et deviennent un peu douloureuse en fin de journée.

Allez tenir et attendre la détente au bout de 10 jours...

J+4

Hommage en chambre le soir exigé. Aucune négociation possible. Je me mets donc au travail pour "une détente de Maîtresse avant de dormir". Mais l'excitation montant chez Madame, la détente se transforme en une exigence de travail complet jusqu'à la jouissance. Maîtresse très directive pour son plaisir.

J+5

Maîtresse est venue me regarder sous la douche. J'étais en train de laver l'asticot dans sa boite de conserve, à force de jets d'eau et de savonnage de gland par le petit doigt entre les barreaux, avant de délicatement décalotter le gland dans la cage pour finir de bien nettoyer et rincer. Elle avait un petit sourire satisfait de me voir oeuvrer tout en restant sous clé.

C'est la modification qu'a apportée la nouvelle cage, l'enfermement total, avec la solidité à toute épreuve de zizi. Et quelques part cela change le ressenti de la chose. Complètement enfermé 24/24 et 7/7 soumis à la seule volonté de ma Maîtresse de femme. La clé a disparu hors de ma vue et ne réapparait que quand ma Dame décide. La clé de secours est scellée dans une boîte inattaquable sauf en cas d'urgence.

Finalement je préfère. Il n'y a plus la tentation d'en sortir le matin officiellement pour la douche et officieusement traîner avant de la remettre pour soulager la pression matinale. Ce n'est plus laissé à mon bon vouloir. La prise et l'appartenance est plus ferme.

Demain c'est notre quinzième anniversaire de vie commune. Aprés le premier baiser nous nous sommes plus quittés et je me souviens l'émotion que j'avais quand j'ai sonné le lendemain tard chez ma belle pour la rejoindre. Ce blog est aussi mon journal intime. J'ai retrouvé ces derniers jours, notre 10ème anniversaire. Un moment magique en complicité et émotions.

Demain devrait-être autre. J'ai laissé N. organiser tout sans savoir...

J+6

Journée merveilleuse. J'y reviendrai dans un article à part le temps de clarifier un peu mes ressentis...

J+7

Corvée d'achat de couches. Assez humiliant que de devoir faire cela. J'évite les magasins à proximité et vais dans la ville d'a côté pour l'anonymat. Je complète mon caddy de choses plus adultes pour éviter que la caissière ne soit intriguée. Cela pourrait pourrait passer pour être destiné à ma vieille grand-mère... Du moins, je l'espère. Je ne suis pas fier.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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