Vendredi 1 mai 5 01 /05 /Mai 06:08

Au goûter, N. sort de ses vapes post jouissance et redevient Maîtresse d'elle-même et de son dyonisos. Elle nourrit enfin son chien favori de la bonne gamelle qu'elle a prévu : viande crue, morceaux de carotte crus et riz froid. Ce n'est pas le plat du siècle, mais c'est mangeable. Merci Maîtresse !

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Et puis pas question d'utiliser autre chose pour manger que sa bouche : Maîtresse N. y veille sévérement. J'ai récupéré mon tablier : je suis ordonné d'aller préparer des farcis pour le soir, courgette et pommes de terre. Retour à genoux en attente à ses pieds, pour la nième fois. J'ai de plus en plus de mal à m'agenouiller... et je suis envoyé finir la tonte, cette fois sans la grenouillère. C'est nettement moins contraignant.

Retour à genoux encore et une volée d'ordres : un spa chaud pour Maîtresse ce soir, quelques tâches domestiques et une étrange convocation pour le crépuscule.

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Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 06:25

Le café est servi avec la déférence qu'il se doit à sa Maîtresse.

Pourtant après, Maîtresse N. montre son jeu.

- Euh, tu ne vas pas aimer. Bien que là c'est aussi une punition : je suis trop excitée par ton cul que tu me montres et j'ai envie que tu me fourres ta queue !

On ne peut pas être plus direct. Mais bon cela ne cadre pas avec la thématique D/S de la journée. En fait si, j'ai switché et je suis devenu immédiatement dominant. Maître dyonisos. La revanche du serpent à plumes...

- Ouais pas gagné... Tu regardes ta série et cela tangue dans ta domination.

- Oui mais là j'ai vraiment envie de ta queue !

- C'est encapuchonné ou non ?

- J'ai regardé. Pas besoin de capote !

- Ouiais, ouais. Mais pour cela il faut que je veuilles...

Je suis assis (nu) sur mon fauteuil en cuir. Je tâte les paddles qui viennent de me meutrir le cul et les épaules.

- Bon tout a un prix. Tu seras enculée et tu auras six coups ! Lequel veux-tu pour 3 ? pour 2 ? pour 1 ?

Je tiens les 3 paddles dans mes mains. N. refuse mais je persiste c'est le tarif pour avoir ma queue. N. se décide pour le paddle de cuir noir pour 3. Mais hésite pour le reste...

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Vous avez compris à la photo, je suis arrivé à mes fins. Sauf que jusqu'au dernier moment, N. a cru que je cherchais qu'à lui faire peur... Et non ! 

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Quel pied infini à fouetter ma Maîtresse. Elle avait cru que je n'oserais pas... J'ai adoré ses cris d'indignation et sa réaction sous la douleur. Sadique que je suis d'aprés elle. Alors c'est partagé...

Après que voulez-vous : chose promise, chose due...  Sodomie time ! Pas question de jouir en chatte, nom de Dieu ! Son cul fut dégusté jusqu'à ma jouissance de Mâle et je crois pas qu'elle fut perdante....

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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 06:18

Putain qu'est-ce que j'en chie à tondre sous le soleil avec une tenue d'hiver ! Mon caleçon intégral ou ma grenouillère est intolérable et ressemble plus à un hamman turc. Je trouve aussi le temps long. C'est bien parce que c'est ma journée de soumission que je persiste à tondre dans cette chaleur.

Au début Maîtresse est venue superviser. Puis plus de Maîtresse N. Lors d'une pause, je trouve l'explication : Maîtresse N. est endormie aux anges sur le canapé. Quand la chatte dors, les souris mâles font la fête : j'attaque la bière tôt. J'ai trop soif. Tant pis pour la couche que je n'ai pu changer... Et il n'y a qu'à la troisième canette que je me suis fait répérer de loin, une fois Maîtresse N. réveillée.

- Et je ne t'ai pas autorisé à prendre un coca...

- S'il vous plait Maîtresse, il fait trop chaud et j'ai trop soif...

Maîtresse laisse faire : et hop encore une bière pour le dyonisos !  Deux heures à tondre en grenouillère sous le soleil... qu'est-ce que c'est dur de travailler en ayant si chaud ! La voisine ne serait pas dans son jardin, que j'aurais tondu en grenouillère. Mais là je peux pas !

En plus c'est décourageant : le trèfle est dru et au bout de 2 heures je n'ai fait que les 2/3 de la pelouse. J'abandonne temporairement et reviens vers ma Maîtresse en lui annonçant que le trèfle n'est pas sec et qu'il faut mieux attendre la fin de la journée. Je suis dans une étuve. J'y gagne le fait d'arrêter la tonte et d'enlever une couche de ma tenue d'hiver. J'y perds le fait que Maîtresse N. adore me voir en canari et que pour l'instant il n'est pas question de l'enlever cette grenouillère...

Je suis envoyé à la place préparer le repas de Madame. Anticipé trés simple pour laisser le temps à sa domination de son mari : choux fleur et poisson micro-ondable, 2 min 30.

C'est un moment de flottement, je n'ai pas grand chose à faire. J'en profite pour reprendre une bière pendant que N. se douche enfin. A son retour, je suis mis nu avec un tablier. C'est son fantasme du jour. Et cela ne me déplait pas, d'autant que j'ai enfin moins chaud. Je bande même ostensiblement sous le rabat du tablier.

Le repas est prêt. Je le sers à genoux. Maîtresse N. a préconçu l'idée de jouir de la vue de mes fesses pendant son déjeuner soulignées par le tablier. Mon repas à moi, cela sera pour "plus tard".

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J'aime bien le concept. Mais j'ai perdu Maîtresse N. qui regarde sa série favorite qu'elle n'a pas pu finir, vu qu'elle a dormi le matin. Je deviens, collé à mon mur, un peu sarcastique. Evidemment Maîtresse N. ne l'accepte pas et me promet force de représailles. Parle toujours... 

Finalement au bout d'un long moment de solitude collée au mur, l'ordre tombe de me mettre à 4 pattes. Enfin de l'action ! Maîtresse N. me fait lécher les morceaux de poisson qu'elle a laissé tomber au sol. Puis je crains après que cela soit mort, qu'il ne se passe plus rien. Je reste cependant à 4 pattes, le museau collé au canapé, dans l'attente... jusqu'à ce que...

Jusqu'à ce que Maîtresse N. ait décidé de se venger, brutalement. Mon cul, mes épaules reçoivent des violentes attaques destinées à me faire plier. Paddles de tout genre sans aucun doute mais pas que cela ! Cela fait si mal...

- J'arrête quand tu auras demandé pitié...

Je reste silencieux.

2 coups vicieux sur mes épaules ont vite fait de me faire rendre raison. J'abdique et je demande immédiatement pitié piteusement. Là je suis clairement maté de mon insolence. Mais bon c'est un peu de ma faute : je n'avais pas à agresser Maîtresse ainsi. Je reste toujours un petit mari espiègle...

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Mardi 28 avril 2 28 /04 /Avr 06:32

Il me faut longtemps pour éradiquer la forêt de poils autour de ma "douille", mais finalement je redescend fièrement voir ma Maîtresse.

- Humm trés bien mon dyonisos. A genoux maintenant...

Je m'exécute : Maîtresse N. me verrouille d'un cadenas le collier et m'envoie chercher une couche et ma tenue de canari "jaune" que je dois passer.

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Mon collier est inversé et l'anneau de laisse sert à cadenasser la fermeture éclair du dos de la grenouillère. Je suis enchassé dans ma tenue, sans possibilité d'en sortir sans l'autorisation de Maîtresse qui a gardé les clés.

- Je me suis demandé comment j'allais te faire rester bien sage à l'extérieur : mon canari jaune s'imposait. Tu as un début de matinée chargée : passer aux conteners et aller au supermarché - je t'ai préparé une liste sur la table de la cuisine. Allez ouste ! Tu as du boulot pendant que ta Maîtresse se détend...

En regardant sa série préférée... J'ai décidemment une Maîtresse en grande forme aujourd'hui qui est si attentionnée de me faire porter un caleçon intégral du cou aux pieds. Je passe un pantalon, mets mes chaussure et cherche comment je vais cacher le collier. Je ne pense sur le moment qu'à mon vieux pull de camionneur devrait faire l'affaire. Il est tout troué et me sert au bricolage. 

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Cela me rappelle le même pull alors neuf que je portais il y a 7 ans... En fait j'ai vérifié : ce n'était pas le même mais le collier oui avec beaucoup moins de sueur de soumission. Nous n'aurions jamais imaginé d'en arriver là un jour, mais nous y sommes. Sans plus aucune appréhension, Maîtresse N. m'envoie balader à l'extérieur et vu la liste de courses qu'elle m'a laissé, pas possible de tricher et d'aller dans une supérette discrète. Pas le choix cela sera l'hyper !

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L'hyper à l'heure des papis et mamies à l'ouverture. Je trouve mon pull finalement trop dégueulasse et je le cache sous ma veste. Mal m'en prend ; j'avais déjà chaud ; là je cuis à petit feu. Je prends mes précautions en allant aux toilettes faire mon pipi dans la couche... Je me vois pas me laisser aller au milieu des rayons.

J'ai beau être habitué à aller de temps en temps en soumis à l'extérieur, il y a toujours le et-si qui prend au ventre. Et-si mon collier faisait sonner les portiques anti-vol ? C'est une peur irrationnelle car quand je porte une cage métallique bien fichée au zizi, je ne me pose pas ce genre de questions. 

C'est donc un dyonisos tout craintif qui passe la haie menançante de barrières anti-vol en prenant son courage. Ouf il n'a pas sonné ! Et-si il sonnait en passant aux caisses ? Maîtresse N. m'a gâté : il y a des choses à prendre dans tout le magasin et comme je suis un homme et qu'elle n'a pas mis (à escient ?) la liste dans l'ordre et que je suis aussi un peu perturbé ce jour, j'en fais du chemin dans le magasin. Et je sue dans ma grenouillère.

Je prend ma honte absolue quand je fais tomber ma liste au rayon fruits et légumes devant un petit vieux et engoncé dans ma grenouillère est incapable de la ramasser. J'ai l'air d'un handicapé. Et le petit vieux est plus rapide que moi pour se baisser et la ramasser. La honte ! 

J'ai presque fini quand je reçois un sms de Madame. 

Ajouter à la liste de courses : 2 goupillons, soit 1 droit et 1 courbé

Je suis inquiet qu'eesyc-e qu'elle veut faire de 2 goupillons ? Et puis cela se trouve où dans le magasin ? Au rayon bébé ! Bien sûr, c'est évident pour un dyonisos en couche et grenouillère. Je dois très être rouge quand j'étudie le rayon goupillon... Putain c'est gros. Je me persuade à ce moment là que Maîtresse veut me récurer le trou du cul avec ! Arrêtez là je ne joue plus c'est de la torture psychologique ! Mais j'obéis et prend 2 goupillons : 1 droit et 1 courbé.

J'ai l'impression que tout le monde me regarde bizarrement dans le magasin et en particulier la caissière. Je me presse de tout payer, emballer et me réfugier dans la voiture.

Je reviens à la maison et range tout dans le frigo et les placards. Je vérifie que c'était bien ce genre de goupillons que ma Maîtresse voulait. Et merde !

[Allez là je suis sympa avec vous, et surtout pour ne pas l'oublier, les goupillons n'ont pas été utilisés. Ils n'étaient pas destinés à récurer mon rectum, mais plus simplement le fond des chiottes. Qu'est-ce qu'on peut avoir peur de son ombre...]

Retour en position auprés de Maîtresse, à genoux donc. Elle me laisse lambiner un peu avant de m'ordonner d'allez cueillir des orties, des "jeunes pousses" urticantes. Une grande quantité et "tout de suite". C'est ce que j'avais présenti...

Je pars donc armé d'un sécateur à notre endroit habituel. Vide, rien, nada. Reste l'endroit de secours mais il est exposé au bord d'une route et là le moindre bruit me fait peur, ainsi que les gros tracteurs au loin. N. me dirait comment je peux être con. Il suffirait que je dise que je prépare une quiche aux orties... Mais je serais incapable de le faire sans rougir. C'est long, très long, d'autant que mes entrailles commencent à me travailler et la mince couche est dékà pleine de mon pipi. Mais finalement je reviens avec un sac rempli à ras bord, qu'on me fait mettre dans un seau rempli d'eau pour que "les orties ne défrichissent pas".

Retour à genoux au pied de Maîtresse. Je suis content de ne plus porter "que" la grenouillère. La température monte très vite dehors.

- Bon tu vas aller tondre maintenant. J'ai vu que tu n'étais pas trés motivé à la faire ce début de semaine...

Dans la vie, tout finit par se payer !

-... mais avant je vais te punir pour te garder motivé. Allez en place !

- mais, mais vous ne mettez pas nu ?

- non pas besoin.

Je tire une gueule qui est remarquée.

- qu'est-ce qu'il y a ?

- j'ai besoin de faire popo...

- et bien tu as ta couche et la couche c'est fait pour cela !

Je la regarde en détresse et déjà vaincu. Je connais bien ma Dame et là elle ne plaisante pas du tout là. Trés sérieuse même. Comment pourrais-je, la couche est déjà saturée et y rajouter encore une horreur odorifère ?!? Mais finalement...

- non cela serait trop dégueulasse. Je te libère pour aller faire ton "popo"

[ Nous avons reparlé de cette épisode après. Elle avait bien eu initialement l'intention de me faire faire en couche... avant d'y renoncer. Heureusement pour moi, cela aurait un enfer]

Les intestins libérés, je reviens à genoux aux pieds de ma Maîtresse.

- Allez debout !

Elle a saisi le martinet et me frappe les fesses, maugréant que je réagisse pas plus...

- Mais pourquoi tu ne cries pas ? ... Ah oui la couche amortie mes coups !

C'est la minute de la Maîtresse blonde . Et j'en rigole de bon coeur, un peu trop sans doute car elle arrive d'un vicieux coup sur les épaules à me faire enfin crier...

Direction le jardin pour la tonte.

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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