Lundi 30 mars 1 30 /03 /Mars 06:59

Au bout de quelques jours dans la cage que j'avais réclamée, la blessure du mois dernier s'est réouverte et je suis retourné à douiller à vif.

Mais là pas question de m'en débarasser aussi facilement que la fois dernière. Maîtresse N. est devenue trés dure en affaire.

J'ai pensé qu'une promesse d'honneur de renoncer à mon droit de libre masturbation suffirait. C'était un engagement important à mes yeux que je prenais là. Quand je l'ai proposé, Maîtresse a été trés dubitative...

- Oui, tu promets cela et au bout de quelques jours, dés que j'aurais le dos tourné, tu te laisseras aller...

J'étais vexé. Car c'était un engagement solennel que je tenais bien tenir ! Maîtresse N. me propose à la place de revenir à la cage précédente en plastique. Elle se moque de moi ! La cage est détruite de grenouilles ayant voulu se faire plus grosses que le boeuf, et elle est surtout moins confortable que ma Looker actuelle.

J'étais un brin énervé dans le lit que l'on ne me croit pas capable de tenir ma promesse.

- Mais, enfin avec ma blessure, que veux-tu que je fasse ? Dis-moi ce que tu veux à la place ?

- Tss, tss. Cela ne marche pas comme cela. Les soumis proposent et les Maîtresses disposent...

J'ai donc cherché le soir suivant ce que je pouvais "proposer" en échange ayant une valeur aussi symboliquement forte que l'encagement par ma Maîtresse de femme de mon zizi. Et j'ai trouvé...

Je me suis donc engagé à ne plus me masturber, en donnant le droit à Maîtresse de me punir si je cédais à la tentation. J'ai même renoncé à toute possibilité de masturbation sous sa surveillance me privant ainsi de délivrances qu'elle m'accorde souvent facilement une fois son plaisir atteint au lit (du moins quand je ne suis pas en cage).

J'ai accepté d'avoir mes ongles de pieds peints en permanence.

Et j'ai accepté de porter une chaîne cadenassée à la cheville en permanence !

Serait-ce suffisant pour convaincre de ma bonne fois ma belle ? Je pensais que oui. Elle a accepté le package mais pour l'instant, je restais dans ma cage en attendant le temps disponible du lendemain... Je me suis anesthésié à l'alcool pour passer une dernière nuit en cage. Et me suis recouvert de force de crême cicatrisante.

Le lendemain, c'est jour de RTT comme dirait chaste59. Nous allons au magasin de bricolage, chercher ma chaîne de cheville. Il y a quelque chose d'irréel de voir sa femme chercher le meilleur compromis pour la destination que cela peut avoir. Un vrai moment contemplatif de soumis. Nous en profitons pour passer voir la nouvelle jardinerie qui vient d'ouvrir. Et nous nous arrétons devant le rayon colliers et laisses... Ma Dame est joueuse.

- Tu as vu, il y a une laisse de dressage. Tu veux que je t'en achète une ?

- Non pas la peine. C'est trop court et nous avons déjà une longe de dressage. Tu te souviens la première fois quand nous avions acheté notre collier de dyonisos ?

- Oui, c'était une autre époque...

- Et là, cela t'a excité d'acheter une chaîne pour contraindre ton mari ?

- En fait, non. Cela fait longtemps que je ne rougis plus. La dernière fois, c'est quand tu m'as emmené chez Démonia...

- Bah cela n'a pas duré longtemps, vu comment tu étais à l'aise aprés...

- Hi, hi. C'est vrai.

Détour par la papeterie. Nous cherchons un élégant cahier de punition, un de mes souhaits sur lequel s'accorde N. En vain, cela sera donc celui que nous avons repéré sur internet...

Nous déjeunons dans une brasserie. Il y a au plafond un étrange lustre à bières dans les supports me rappellent tant une cage de chastété enserrant un zizi... Nous en rigolons.

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Retour à la maison. L'ambiance se fait tout à coup plus sombre. Mon engagement solennel de non masturbation est rapidement expédié sur le brouillon sans même me le faire réécrire. Trop à mon goût, Maîtresse N. va toujours à l'encontre de ce que je pourrais attendre et elle le fait exprés. Elle me demande de sortir la canne et direction la chambre d'amis. 

- Tu pue, mon chéri, le stress du soumis...

C'est ce qu'il se passe à chaque fois face à l'inconnue de l'appréhension. Maîtresse me fait remonter le haut du pantalon sur les genoux, comme on va à la pêche. J'enlève chaussures et chaussettes et met mes pieds à disposition. Elle a descendu plein d'outils inconnus qui ne me rassurent pas. Elle en rigole... Je me suis étendu sur le lit pour ne pas avoir mal aux coucougnettes. J'ai droit à la lime. Je sursaute et criaute quand elle me repousse les peaux au bâtonnet à cuticules. Cela la fait rire :

- Tiens tu mettras sur le blog que tu crains le bâtonnet à cuticules. Cela fera tellement rire tes lectrices, ou les femmes de tes lecteurs !

Je sens un gel épais sur mes ongles. Dans ma position couchée, je ne peux voir ce qu'il se passe et il est attirant de ne pas savoir avant la fin. Je l'entends qui râle d'avoir débordé. "Tant pis, de toute façon ce n'est pas pour moi.".

blongle2.jpg - Allez debout, dyonisos ! Les mains à plats sur la commode... ton cul en arière.

J'obéis. Elle me descend pantalon et slip. 

- Tu vas être puni parce que tu n'as pas commandé le gaz à temps !

Maîtresse craint de ne plus avoir d'eau chaude ce week-end. Et une chatte qui craint l'eau froide sort les griffes. Je suis puni de rafales de coups de cannes données à la volée. Cela fait mal, trés mal même, sans aucun échauffement : pour répondre à yaya, nous ne sommes là clairement plus trop dans un jeu mais dans quelque chose de plus complexe où la réalité du couple prend une part. Je crie, me tortille sous les coups qui volent. Elle s'arrête une première fois pour dégager ma chemise et une seconde fois pour me faire reprendre ma position. Finalement cela s'arrête. Le cul en feu, j'ai presque un regret qu'elle ne m'ait pas poussé plus loin jusqu'à abdiquer toute dignité... Ma quête du Graal et foutue fierté du mâle en soumission.

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Retour sur le lit, le cul grimaçant au contact. Je dois redonner mes pieds, l'un après l'autre. Nouvelles peintures, à ce qu'il me semble, mais je n'ai aucune connaissance du processus pour se faire les ongles...

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Maîtresse me fait écarter les pieds, mets du coton entre mes orteils... tout cela me semble les rites d'une secte que je pratique pas. Mais je me laisse tranquillement faire en bon soumis sage, les couilles qui se détendent enfin.

C'est fini : le résultat est terrifiant pour un garçon ! Putain, elle s'est lâchée... Mais comme pédicure à bien y réfléchir, je ne la conseillerais pas à ma femme, vu les finitions...

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Mais bon cela veut dire que je vais bientôt ne plus avoir ma cage de douleur au zizi, même si sur le moment : elle s'est fait oublier. Le temps de me cadenasser la chaîne à la cheville...

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Je suis prêt à ma libération. J'ai rempli tous mes engagements même avoir cette horreur aux pieds. Sauf qu'elle tarde...

- Tu me m'enlèves pas la cage ?

- Pas tout de suite, on verra ce soir...

Là je comprends que je me suis fait "eu" en beauté ! Elle jubile ! Et pour être sûre que j'ai bien compris la leçon donnée, N.blongle4.jpg vient se blottir contre mon épaule, comme elle l'adore, pour s'amuser à m'exciter longuement jusqu'à me faire poindre mon jus d'encagé qu'elle me fait goûter perfidemment. Tout y passe : les caresses dans la cage et sa traîtrise de s'attaquer à mes tétons. Je suis "eu" et cuit...

Le mot de la fin, c'est Maîtresse N. qui l'a eu. Il n'y a pas eu plus de libération le soir. Voilà ce que je reçu la nuit de sa part pendant que je dormais. Si je pouvais avoir un moindre doute...

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Elle est si machiavélique : je l'aime, je l'adore ! Me voilà encagé, enchaîné à la cheville et ne pouvant plus enlever mes chaussettes à la maison ! Et j'aime cela...

Malgré cela la vilaine blessure n'avait pas disparu par miracle et le lendemain a été une journée de douillage sans grand répit. Et puisque Maîtresse N. ne va quand même pas détruire un de ses sex-toys préférés... elle m'a deverrouillé la cage finalement en fin d'aprés-midi... Il était grand temps, tant ce n'est pas beau sous l'anneau !

J'ai quand même grimacé quand à l'heure du coucher, Maîtresse N. a sorti ma grenouillère de canari jaune.

- Tu ne veux quand même pas que...

- Oh que si, je le veux et tu vas la mettre ! Que ton zizi soit inaccessible, avec la couche...

- Non pas besoin de couche...

- Tu mets ta couche !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 19:53

Ce week-end m'a été trés spécial. Ces traîtres d'Anglais se sont chargés spécialement de mon cas.

Non que j'ai vu la belle dérouillée qu'ils nous ont mise à Twinkenham. A l'heure du match, un autre match se préparait à la maison avec le retour de nos amis avec affinité.

Le problème avec les amis avec affinité, c'est qu'il faut gérer l'avant-match et les envies de jeu de chacun des quatre. J'étais pour ma part assez zen, ne vendant jamais la chatte de l'ourse avant de l'avoir prise. Mes allusions sexuelles me valaient un sourire énigmatique de la belle convoitée, mais c'est ce qu'elle me fait à chaque fois avant de libérer sa nature dans les bulles.

Il y a aussi l'ami et ma N., qui préparaient leur rencontre avec moi en une sorte d'arbitre confident de leurs élans toute l'aprés-midi. Lui qui annonçait vouloir aller en chercher plus et N. qui subitement se mit à parler en anglais à l'heure du thé. Un anglais du Haut Poitou ("win the yes needs the no to win against the no...") J'ai mis quelques temps à comprendre avant d'être un peu effaré de ce que N. me demandait en public familial. Son anglais était peut-être grammaticalement incorrect, mais sa demande était terriblement précise et effrontée : elle voulait en savoir où elle en était dans sa campagne d'invasion régulière anglaise ! Et me le demander à moi  comme on demande par avance l'absolution de tous ses crimes futurs. Je crois que les Anglais ont un mot pour cela : bareback sex. Cela m'indique l'état de ses envies et de sa chatte. Je sais que déjà que la dernière fois, elle voulait "plus". Je balbutie une réponse en anglais, sous le choc de l'indécence de la question en public. A croire que N. le fait sciemment pour m'embarrasser.

Des anglais, il en fut encore question plus tard sur la terrasse, où je reçois la révélation que les anglais occupent déjà la citadelle de ma belle visée. Cela m'est dit comme un confidence, "désolé pour toi l'ami...". Car je sais que chez ma partenaire temporaire, on ne "mélange pas le propre et le sale" et que donc mes chances viennent de passer proche de zéro...  A votre bon coeur, Madame, une petite branlette, une petite sucette ? est encore un mince et improbable espoir connaissant la Dame.

La soirée vient d'un coup de changer d'ambiance pour moi, assommé par trop d'Anglais belliqueux. Fini les petites passes amoureuses partagées et équilibrées, et bienvenue à l'amertume de devoir laisser faire sans rien pouvoir obtenir moi-même. Le soir venu, je vois, inhabituellement tendu, N. et l'ami s'éclipser un long moment dans les bulles sans savoir et je me renfrogne dans un verre de rhum ambré, pendant que mon amie baîlle sur le canapé. J'essaye cependant de détourner la belle restée, en vain, les envies sont scellées et bel et bien scellées. Dépité, je me laisse dériver dans le rhum.

Ils sortent enfin nus, forcément nus, indécemment nus, et j'en conçois un soupçon inhabituel de jalousie. Lui ne tarde pas - les couilles sans doute bien vidées - d'aller rejoindre les bras de morphée en compagnie de sa Dame. Et me propre Dame en pleine forme reste devant la télévision et m'abandonne. Je pars seul me coucher.

Le lendemain, je me réveille tôt. N. aussi. Je suis si heureux de la retrouver rien que pour moi, après une nuit agitée de mon côté. Je veux savoir ! Et je le demande.

- Alors tu te l'es pris, hier ?

- Finalement non, je ne savais plus où j'en étais dans mon cycle. Mais il m'a branlé et je l'ai sucé. Je l'ai fait jouir finalement...

Je déteste immédiatement l'idée de son sexe, dans sa bouche. De ce sperme révélateur qui fuse. Mais N. a bien l'idée de recommencer avec moi ce matin. En consolation ? Elle est la tête collée contre mon ventre et joue de mes couilles.

- Il est plus long que toi... jusqu'à là.

La chambre est encore dans la pénombre, je descends à tâtons mesurer mes doigts le vide entre mon gland tendu et les doigts qui donne la marque. Il y a bien deux doigts d'écart. Je n'ai jamais eu de problème avec la taille de mon zizi, et je n'en ai toujours pas. Mais là ce qui me choque, c'est la façon dont ma mesure est prise, le long de la joue de N., rappel très clair de comment la mesure a été prise in vivo sur "l'autre". Je crois que c'est à ce moment que j'ai basculé dans le sous-espace. Cette pensée affolante de sexe tiers mesuré par la bouche de ma femme, que je viens d'embrasser amoureusement, m'est terriblement humiliante. Cette idée se plante et me crispe le coeur. Mais en même temps, j'absorbe avec délice cette humiliation et passe immédiatement en mode soumis, au point même de penser qu'il faudrait mieux être en cage pour entendre cela.

Je suis tendu et pas que du sexe. N. ne parle pas de ma grosseur qui me rassurerait. Je pose la question :

- Oh oui, il est moins gros que toi et c'est plus facile pour le sucer.

Tout l'art de la Maîtresse d'annuler en une remarque tout avantage que je penserais pouvoir avoir et me renvoyer me morfondre dans l'humiliation. C'est que l'emboîtement sexe/bouche est une question délicate chez nous. Chacun vit à sa morphologie Et je suis légèrement trop épais pour une bouche légèrement trop petite. La pipe se fait requin et il me manque souvent quelques millimètres pour que je me puisse me laisser totalement aller. Un éternel regret mais qui a pris naturellement sa place dans une conception D/S du couple. Alors avoir un membre moins épais doit être un bonheur incommensurable quand Madame N. s'occupe de vous... (et encore il a osé se plaindre le malotru qu' "elle lui avait rayé le casque...").

Pour l'instant cette bouche s'occupe à me faire reluire le sexe. Elle a un goût d'humiliation amère que je goutte au plus profond de mon esprit parti loin. N. en veut plus et en levrette. Pour moi elle me l'ordonne plus qu'elle me le demande. Je ne sais plus ce qu'elle m'a dit mais pour moi cela sonne comme un "au travail, petit dyonisos cocu !". Je me présente mais impossible de rentrer. Pourtant je vérifie : je suis bien dur. Je trouve la cause, une entrée de vulve dévastée et complètement contractée.

- Il t'a fait quoi, hier ? Il t'a mis la main entière ?

Je le connais pour l'avoir vu être brusque et être plus proche du fist fucking de chatte que des attouchements élégants que je pratique. Et pourtant...

- Peut-être, je ne sais plus. C'était très bon mais je ne suis pas arrivé à partir en orgasme, sans doute trop fatiguée.

Comment peut-on être excitée d'un défilement de zouaves dans son tunnel intime ? Humilié j'ai dit...

Finalement, j'arrête. Il est impossible de rentrer et ma N. n'en veut pas plus. Elle me laisse me finir à la main, m'aidant même de ses dents sur mes tétons. L'éjaculation est étonnamment bonne dans ses circonstances si spéciales, mais je préférerais finalement de ne pas pouvoir le faire en cage. Cela me semblerait plus adéquat avec le ressenti du moment...

- Il ne jouit pas comme toi, moins généreux. Une petite giclée qui monte haut et une seconde sans force.

La comparaison toujours la comparaison, qui me met dans un état si trouble que je ne me connaissais pas. Je pose la question qui me taraude l'esprit, vu que moi je meurs mordu avant d'y arriver...

- Tu l'as accueilli en bouche ?

- Non cela devenait trop long. Je l'ai fini à la main.

J'apprendrais plus tard que c'est lui qui lui a demandé de le finir et que ma N., bonne fille, a acquiesé.

C'est jour d'élection et N. est réquisitionné. Je ne la vois que partiellement ce dimanche. La matinée est passée vite. L'ami ne me parle pas de hier, et même questionné, reste trés évasif, comme si c'était normal de se faire sucer par la femme de son ami. Cela n'arrange pas mon ressenti général. Je me sens de plus en plus soumis à N. Ils repartent finalement peu après midi. Je me fais couler le spa dont je n'ai pas profité la veille. 

Je flotte nu dans les bulles chaudes avec une trique d'enfer et une drôle de pression dans le bas ventre. L'esprit est coincé dans la spirale douce amère de l'humiliation. Je pourrais me finir là, mais je ne le souhaite pas. J'aime le trouble de mon état et je décide de mettre en concordance l'esprit et le corps pour y rester.

bllettre.jpg Je sors et me sèche, avant de prendre ma plume, pour quelque chose que je n'ai jamais dit : dire mon plaisir de l'humiliation et implorer de ma Maîtresse, ma mise sous cage immédiate. Je finis de plier la feuille en quatre alors que N. revient. C'est l'heure de notre pause thé dominicale à l'heure du goûter. N. ne rate pas la feuille. Je ne l'ai pas cachée, mais je ne l'est pas mis en avant non plus, gardant cela pour quand le thé serait prêt. Elle commence à lire le début ("humm, intéressant, cela") et décide de la garder pour accompagner son thé, comme un bon biscuit.

Je me trouve donc à apprécier mon Earl Grey pendant que Madame me lit. J'ai écrit en capitales mais Maîtresse N. me fait quand même préciser un mot. Je ne sais si c'est intentionné mais le mot est "M'ENFERMER".

- Alors tu demandes que je te mettes en cage, là tout de suite ?

- Oui.

- Elle ne t'avait pas sucé la dernière fois ?

- Non.

- Et bien allons mettre sous clé ton zizi...

Ce qui est promptement fait de main de Maîtresse experte. N. me sourit. Je me sens plus détendu en adéquation avec mon état d'esprit. J'ose la question...

- Cela t'excite de me mettre en cage ?

- Ce n'est pas une question d'excitation, mais de pouvoir.

Maîtresse N. doit repartir pour le dépouillement. Elle me laisse avec l'instruction de lui préparer un spa chaud "pour son retour".

J'ai fait manger les enfants quand elle revient et ai organisé le coucher en ordre. Heureusement ils sont fatigués de leur week-end et s'endorment facilement. Direction l'eau chaude, une grande première pour moi, en cage (je ne sais d'ailleurs pas pourquoi je ne l'ai jamais fait : c'est un bonheur de ramolissement pour les orphelines...).

- Tu as changé l'eau ?

Je dois rougir quand je comprends l'indécence de la question : la présence du sperme de l'autre de la veille. Etait-ce encore fait exprès pour me rappeler ? Mais oui j'ai changé l'eau. Maîtresse N. est détendue et aime venir me constater enfermé entre les jambes. Je suis toujours sur mon petit nuage de soumission qui offre humblement les massages de réparation de la chatte endommagée, jusqu'à la fierté du mari de l'emmener à l'orgasme cette fois. Elle me donne de nouveaux détails avec "l'autre" pour me taquiner. Je découvre surpris le récit de positions et de gestes que je ne lui connaissais pas. Elle finit par me prendre longuement de son doigt dans mon cul. Je geins comme une petite femelle... Je suis heureux en soumis de Maîtresse N.

La période est spéciale. N. est enjouée de se retrouver en Maîtresse et je me sens d'un esprit de pure soumission. Maîtresse N. ne cesse de surveiller mon retour en cage. dyonisos a-t-il bien dormi ? comment c'est passé la journée en cage ? etc...

Sans doute un des articles les plus intimes jamais écrits sur ce blog...

dyonisos

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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 08:12

Les semaines suivantes sont utilisées par Madame Pimpelrose pour mettre en place le cadre strict de mon éducation, préciser les attendus et régulariser les relations de notre étrange maisonnée de 4 personnes.

En semaine, la journée s’organise sous un rythme inaliénable : étude le matin et activités sportives, artistiques ou sorties l’après-midi. Le bilan de ma semaine s’effectue le samedi matin, en présence d’Elyse. Puis Madame Pimpelrose nous laisse vers midi et ne revient que le dimanche soir. Tata Aya, elle, est présente du lundi au vendredi de 8h à 18h.

Je me demandais quels genres d’études, on pouvait enseigner à un jeune homme de 24 ans, qui fût-il considéré comme un petit enfant, a déjà son cerveau bien rempli d’années d’éducation ? Mal m’en a pris : l’esprit humain est si inventif quand il s’agit de contraindre autrui !

Il y a d’abord la manière : ce banc d’écolier si inconfortable, certes, mais aussi cette obligation de tout écrire « proprement » à la plume ancienne qui est un calvaire. Et puis il y a les matières, ces longues dictées dont les fautes sont sanctionnées , ces poésies à apprendre, le latin et les cours de religion qui me posent problèmes.

Le dimanche matin, Elyse a instauré un moment entre nous – sans doute sur les conseils avisés de notre Gouvernante – où je suis libre de discuter.  C’est un moment de complicité que j’aime beaucoup, avant d’aller préparer, pour le repas de midi, la recette qu’Elyse a choisi pour nous. Elle tient à ce que mes talents culinaires, s’améliorent. « Aya ne pouvant être tout le temps là ». Je reste le dimanche en grenouillère toute la journée. J’adore cela finalement. Cela me ramène à la période maternelle à la montagne où Elyse s’occupait tant de son « bébé ».

Ma journée débute par mon lever à 8h, suivie du petit déjeuner en grenouillère. Mme Pimpelrose a chargé Tata Aya de l’organisation de ce moment jusqu’au début de l’étude qui commence à 9h30. C’est Tata qui choisit ma tenue du jour et vérifie ma mise avant de me libérer pour l’étude. C’est aussi là que se tient la revue et le solde de mes petits manquements de la veille.

En fait à bien y réfléchir ce n’est pas toujours Tata Aya mais Madame Pimpelrose à la place. Souvent le lundi matin. Est-ce que Tata Aya est en retard plus particulièrement ce jour là ou est-ce qu’elle est occupée ailleurs, par exemple à réveiller mon Elyse ? Je ne sais pas. La Gouvernante elle, a l’air de le savoir mais ne dit rien et de toute façon je suis coincé à partir de 9h30 dans la salle d’études pour pouvoir enquêter. En tout cas, eu repas de midi Tata Aya est de retour et souvent de bonne humeur ces jours là…

L’Etude a lieu habituellement de 9h30 à 12h30, avec une pause à 11h : petite récréation pour moi et éternelle pause thé anglaise pour Madame Pimpelrose. Cela me permet de détendre les muscles car le banc d’écolier – je ne sais où il a pu être trouvé – est aussi dur que peut être la stricte éducation de ma Gouvernante. Et comme il sert aussi de banc à la majeure partie de mes punitions, j’ai un sentiment troublé à son sujet.

L’Etude commence invariablement par la catéchèse qui me rend si mal à l’aise. Bien que baptisé par mes parents, je ne suis pas du tout Dieu, messe et curé. Au contraire même ! Je m’en suis ouvert ou plutôt plaint auprès d’Elyse un dimanche matin…

- Je ne crois pas à un Dieu. Je suis athé. Pourquoi m’imposer les cours de religion et les prières quotidiennes ?

- Oh, c’est très simple, Tom. Pour deux raisons essentiellement. Je veux que nous nous engagions devant Dieu. Certes tu es baptisé et la porte de l’église ne te sera pas fermée. Mais j’ai envie que cela soit un engagement profond de ta part, pas un accommodement pour pouvoir passer devant le curé.  Ensuite, nos enfants devront eux-aussi grandir dans l’Amour de Dieu et que diraient-ils si leur papa n’y accordait pas la plus grande importance ?

- Mais tu ne vas pas à l’Eglise, toi !

- Effectivement je ne fréquente pas souvent les églises, mais j’adore le message de tolérance et d’amour de l’autre de Jésus Christ. Tom, je veux transmettre ces valeurs à nos futurs enfants. Et c’est pour cela que tu dois t’appliquer au fond de ton cœur à les partager. Comme le reste, je souhaite une conversion sincère. Et d’ailleurs le Père Wilfried est là pour t’aider et s’assurer de ta bonne foi.

Le résultat est que je n’ai pas le choix et doit donc m’appliquer à apprendre et comprendre, ce que je ne ferais pas naturellement. Et gare à mes fesses si l’on juge que mon implication religieuse est insuffisante. Je me retrouve tous les soirs à dire ma prière d’avant nuit, et en latin, Madame Pimpelrose ayant définitivement le goût des temps révolus : Pater noster, qui es in caelis, sanctificetur nomen tuum, …

Après la catéchèse, le rythme est invariable. Dictée à la plume ancienne, le lundi et le jeudi. Version latine, le mardi et le vendredi. Les textes que Madame Pimpelrose me donne à traduire ont toujours le même thème, la relation entre les esclaves et les Maîtres de maison au temps de Rome. J’ai fait dans le temps un peu de latin au collège, mais je dois avouer que ce n’était pas ma matière favorite ni que j’en ai gardé beaucoup de souvenirs. Mais qu’importe sous la férule de Madame Pimpelrose, tout élève a intérêt de faire très vite des progrès : c’est mieux pour son intégrité. 

Le mercredi, c’est l’apprentissage d’une poésie, au thème abscons et avec des vers compliqués à retenir. Je n’aime pas du tout cela. De toute façon, j’ai toujours détesté la poésie.

Arrive alors la récréation, c’est l’heure des corrections ou de la récitation, et de la sanction des fautes. Pas de fouet ou de canne, Madame Pimpelrose a sa propre méthode : les « pinces scolaires ». Je ne sais pas si c’est une méthode « classique » d’enseignement, mais en tout cas, c’est terriblement répressif.  Le principe est simple : une faute trouvée = une pince, que m’inflige la gouvernante. 6 potentiellement sur ma tête : les oreilles, les narines et 2 au bout de la langue. Si cela ne suffit pas, je dois alors enlever ma chemise ce qui offre la place à 4 nouvelles pinces, 2 au bout de mes tétons et 2 au niveau du dessous des bras. Si j’ai fait plus de 10 fautes (ce qui est malheureusement assez courant), je finis nu avec 4 pinces de plus accrochées à la peau de mes couilles, qui sont les plus difficiles à supporter.  Au-delà de 14, le solde est reporté au lendemain. J’ai fini ainsi par avoir 19 pinces de retard, avant d’arriver à annuler douloureusement mon « découvert ». 

Les pinces sont à garder, jusqu’à la fin de l’étude, pendant que je prépare les leçons du lendemain seul sous la surveillance de ma Gouvernante, assise derrière le bureau sur estrade qu’elle a rapidement fait rajouter à ma salle d’étude. Madame Pimpelrose adore lire « au calme » pendant que je travaille. « C’est pour cela que je commence toujours chez mes élèves par les pinces sur la langue.  Cela fait un bâillon très efficace… »

La matinée se termine parfois, par la sanction différée d’une ou deux « offenses »  portées à mon « livre de compte » de suivi. Rien n’est oublié et chaque faute est soldée par le compte-rendu de la punition de la personne qui me l’a donné, Madame Pimpelrose, Tata Aya ou Elyse. Le « barème » officiel est encadré sur le mur de l’Etude et connu de tous, en premier lieu de moi.

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J’ai l’obligation avant le bain, maintenant donné à 18h, d’auto-dénoncer mes manquements de la journée sur le cahier destiné à cet effet à la plume d’écolier. Cela a une précision de tenue de compte suisse, que Madame Pimpelrose vérifie attentivement le soir dans sa chambre. Elle rajoute de son écriture rouge les offenses que j’aurais oubliées, jugeant solennellement de l’intention fortuite ou non de mes oublis, ce qui me vaut parfois une réprimande de niveau supérieur. Elle vérifie aussi attentivement l’existence ou non d’une infraction  antérieure de même nature, pour établir sa décision de classement.

C’est un système d’une grande perversité car il me pousse à dénoncer tous les petits crimes que je pense avoir commis, et même ceux qui n’ont pas été remarqués. Chaque soir mon cahier se remplit ainsi d’une dizaine de faits, auxquels ma Gouvernante rajoute les crimes oubliés. J’ai vite compris que je ne tiendrais pas physiquement les punitions à ce rythme et je fais maintenant des efforts de contrôle pour limiter le nombre de claques et de coups que je reçois. C’est en cela que réside l’extrême efficacité du système : se concentrer à bien se comporter pour éviter de se faire punir, d’autant plus que la clause de répétition est implacable. Elle doit être comprise pour une faute non exactement identique, mais par son contexte de même nature.

Le matin, après mon petit déjeuner, Tata Aya récupère le livre de compte de mes fautes sur la commode du couloir. Le rôle qui lui a été dévolu, est de s’occuper de toutes les « offenses » de classe I, de sa main que je crains sur mon popotin. Et souvent elle me claque avec autant plus d’enthousiasme, que moins j’en ai montré la veille. Elle est seule juge du nombre de tapes qu’il faut me donner et souvent je la soupçonne de m’en donner plus que besoin. Le résultat est que cela me fait tous les jours un réveil douloureux. Heureusement que je suis devenu plus sage, et que même Tata Aya a du réduire la cadence, face à mes progrès visibles.

Les « offenses » de classe II à IV sont sous la juridiction de Madame Pimpelrose, et de moments d’application très variés. Certaines sont gardées pour l’application du samedi matin. D’autres sont soldées à divers moments de la journée. Les plus graves, classe IV et plus, me sont habituellement annoncées à l’avance dans un mécanisme programmé d’angoisse que l’appréhension fait fatalement monter en moi.

J’ai déjà une à mon passif, malheureusement, au titre de la « répétition d’un ordre 2 fois », bien que je pense que j’ai été amené à escient à fauter par la perverse Madame Pimpelrose en me rendant mon obéissance inacceptable pour l’estime de soi. 

C’était un mercredi après-midi alors que Madame Pimpelrose était avec nous depuis une semaine.  Le matin, je venais faire la connaissance amère avec « l’oncle écossais » donné à la suite de la correction catastrophique de ma première version latine, qui pour tout vous dire m’avait fait chier et que j’avais bâclée par flemme. J’ai donc été accusé de « fainéantise ». Et ce n’était pas totalement faux, vu le peu d’application que j’y avais volontairement mis. J’acceptais donc la punition qui en suivait. Bien sûr cela était en plus des habituelles pinces. 

Chez une Gouvernante à moitié anglaise, la forme a autant que le fond et le châtiment corporel est aussi un exercice de contrition de l’esprit. Il faut lentement enlever ses vêtements  et les plier au carré, la honte au front, clairement conscient du pourquoi nous devons nous abaisser à cela. Puis je dois me mettre à genoux, nu au pied de la Gouvernante qui déclare solennellement que je vais être puni et la raison de ma punition. Je la regarde choisir avec soin l’instrument qui bientôt va frapper, qu’il faut humblement embrasser avec le respect du. « L’oncle écossais »est fait de deux lanières de cuir plates parallèles avec une poignée. Au total une soixantaine centimètres de long. Le cuir très épais m’étonne et ne me rassure en rien.

« Je ne crois pas qu’il y ait un mot en français pour traduire ce que Tawse veut dire. C’est entre le paddle et la ceinture. Là tu as de la chance, Tom, c’est un authentique « Lochgelly Tawse» de la fabrique qui a tant fournir les écoles écossaises depuis la fin du XXème siècle. Et tu as de la chance, c’est un modèle « Extra Heavy » très rare à trouver de nos jours. Il semblerait que nos vaches modernes nourries aux aliments et bourrées d’antibiotiques, n’ont plus le cuir assez épais pour en fabriquer en grand nombre. Heureusement celui-là me suit depuis le début de ma carrière. Un professeur partant à la retraite me l’avait offert. Il avait déjà tant de peaux et a continué avec moi au manche. Tu vas voir son effet est très particulier et a raison de tant de garçons récalcitrants… »

Cela n’est pas le genre de choses aptes à rassurer justement un garçon pris en faute. Je pose mes mains tremblantes à plat sur le pupitre de bois pour présenter mes fesses à un traditionnel « six-of-the-best » : 6 coups à suivre de cette arme de destruction massive de popotin. Dés le premier, je regrette déjà amèrement de m’être laissé aller alors que j’étouffe la douleur entre mes dents serrées.  Au troisième, je me promets de ne plus jamais recommencer. Au sixième et dernier, maté, je fais acte de contrition totale. La punition se termine par les remerciements rituels et une nouvelle embrassade de l’instrument maintenant tant craint. Le rhabillage se fait habituellement dans la douleur quand le cuir du pantalon vient entrer en contact avec la chair récemment meurtrie.

Mais là surprise : je dois changer ma tenue pour un « rendez-vous » cet après-midi après que Tata Aya m’ai fait prendre un bain inhabituel de milieu de journée. Des collants noirs, une culotte courte de flanelle et  un pull, tous aussi noirs, rehaussés par un chemise blanche dont le large code en dentelle dépasse sagement. Le tout est complété par une paire de souliers noirs à pompons. J’ai oublié qu’exceptionnellement je porte un sous-vêtement, mais que je préférerais ne pas en porter finalement car il ressemble tant à une culotte bouffante du XIXème siècle.

Le repas terminé, Madame Pimpelrose nous emmène dans son authentique Austin Mini Countryman, avec l’habillage de bois, vers le centre ville. Nous nous arrêtons dans une rue cossue et nous présentons devant l’entrée d’un immeuble haussmannien. Une seule plaque, celle du Dr Glucksmann, pédiatre.

En ce mercredi après-midi la salle d’attente est peuplée de mamans avec leur progéniture. Nous détonons…

- Qu’est-ce qu’il a le Môsieur, maman ?

- Je ne sais pas… Tu ne veux pas aller jouer dans le coin, plutôt ?

Les mères ne cessent de me regarder, ainsi que Madame Pimpelrose. Je suis mal à l’aise, j’évite leur regard. J’ai bien compris quelle pouvait être la relation entre la visite chez un pédiatre et mon statut officiellement enfantin actuel, mais je ne comprends pas comment on peut se trouver là ? Vu les gens qui attendent, je ne peux croire une seule seconde que ce pédiatre soit un adepte du BDSM. Mais sait-on jamais avec les gens…

Finalement au bout d’une heure, notre tour vient. Nous rentrons dans le cabinet… Le Dr Glucksmann a la soixante et le bidon associé. Il a tout de l’honnête médecin, gentil avec ses jeunes patients et à l’écoute de leur maux. Il nous regarde par-dessus des lunettes en demi-lune…

- Vous venez pourquoi ?

Le Dr Gulcksmann me dévisage disant cela. Il ne peut me rater dans ma tenue de Little Lord Fauntleroy. Madame Pimpelrose répond en me désignant…

- Pour la visite de ce jeune garçon…

Le docteur me dévisage encore plus, ne comprenant pas. Il répond finalement…

- Il doit y avoir erreur. Je suis pédiatre et ne m’occupe que des enfants…

Sauvé ! Mais Madame Pimpelrose répond du tac au tac.

- C’est justement pour cela que nous venons.

- Mais voyons Madame, tout cela est ridicule !

- Prenez le temps de regarder son carnet de santé…

Je ne sais comment mon vieux carnet de santé atterrit sur le bureau du médecin, qui le prend intrigué. En fait si, le carnet était avec les affaires de mon ancien appartement. Le docteur  trouve dans le carnet une enveloppe à son nom, un peu comme une lettre de recommandation d’un confrère. Il l’ouvre pour voir qu’elle contient une feuille et un tas notable de billets de cinquante euros. Long moment d’interrogation, il me regarde, regarde Madame Pimpelrose, me re-regarde avant d’évaluer la somme des billets.  Finalement dans un souffle, il la prend et la met dans son tiroir qu’il referme vivement… Je suis atterré par la facilité avec laquelle l’argent corrompt même les gens les plus honnêtes et achète leur honneur !

- Soyez la bienvenue, Madame. Désolé pour cette incompréhension. Comme s’appelle ce jeune garçon ?

- Tom.

- Et qu’est-ce qu’a Tom a qui motive votre visite ?

- Rien de spécial, c’est une visite de routine… pour voir si tout va bien pour Tom.

- Et bien, faites-le se déshabiller dans ce cas que je l’examine.

- Tom, mets-toi nu comme le Docteur te l’a demandé…

Je n’ai nulle envie de satisfaire aux envies perverses de Madame Pimpelrose qui vient de pervertir ce que je suppose être un très bon médecin. Putain, il y a les gosses et leurs mères qui attendent à côté et ils ont sans doute besoin du docteur ! Là cela va trop loin ! C’est complètement amoral. Je rentre en résistance, le regard fermé.

- Tom, je t’ai demandé de te déshabiller…

Va te faire foutre, vieille salope anglaise, je n’en ai rien à foutre. C’est une question de principe. Je ne veux pas participer à cette forfaiture ! Je campe sur mes positions…

- Tom, à poil tout de suite ou sinon…

Va chier, la mère Pimpelrose ! Je ne serais pas complice de cela, un point c’est tout. Tu peux me battre, j’en ai rien à branler. Je ne veux pas, point !

Mais c’est sans compter sur l’expérimentée Madame Pimpelrose qui me décroche un coup de genoux dans l’entrejambe. Il a atteint se cible : je tombe par terre, le souffle coupé et les orphelines en détresse. Le docteur tente de réagir, mais le regard froid de la gouvernante le paralyse. Je suffoque de douleur. Toutes mes envies de rébellion ont été anéanties en un instant par l’attaque sournoise et je me sens vaincu.

- Tom, déshabille-toi mon bébé…

Cette fois je cède et me retrouve avec cette seule stupide culotte bouffante devant le docteur, que Madame Pimpelrose fait vite tomber dévoilant mon sexe encagé. Le bon Docteur le découvre avec étonnement et grimace même, il me semble, à la pensée de voir un pénis ainsi empêché. J’ai si honte de ce que je suis devenu lâchement. Il n’ose rien faire ou dire, mais Madame Pimpelrose restée silencieuse, le force à reprendre le programme de son regard.

- C’est un drôle d’appareil… orthopédique qu’a Tom.

- C’est pour Docteur, maintenir l’innocence de ce jeune garçon.

- Cela ne lui fait pas mal ?

- Quand bien même, cela ne serait pas grave… Le contrôle n’apporte que du bien chez les jeunes mâles. Mais si vous pouvez vérifier qu’il n’y pas de blessure pendant que vous l’examiner…

Le Docteur ne répond pas et m’examine du meilleur professionnalisme qu’il peut maintenir en cette occasion si spéciale. Tension, pou, stéthoscope… mais il ne peut rater les gros bleus sur mes fesses. Il ne sait pas quoi faire. Finalement il se décide…

- Il faudrait, Madame, désinfecter ses fesses. Ce n’est vraiment pas beau…

- C’est que voyez-vous, Docteur, cet enfant est trop turbulent… Mais bon vous avez raison, il faut le désinfecter. Peut-être pouvez-vous le faire ici à l’alcool à 90° ?

Le Docteur Glucksmann est coincé. Il a signé le pacte avec le diable et doit l’assumer. Je rigole sous cape… beaucoup moins quand l’alcool réveille mes blessures. Et plus du tout quand il s’intéresse à mon zizi emprisonné. Madame Pimpelrose a apporté la clé et me libère pour l’examen approfondi et mortifère. Je suis d’abord nettoyé au coton car je sens fort de l’entrejambe, puis le Docteur me « manipule » sans douceur pour vérifier l’état de la peau.

- Un peu de tannage entre les deux bourses mais rien de grave. Plus inquiétant est l’œdème sur le gland. Il me faut vérifier qu’il n’a pas gagné l’intérieur et que la voix est libre.

Mais qu’est-ce qu’il dit le docteur, là ? Je ne le sais que trop vite alors qu’il badigeonne mon sexe de Bétadine. Puis il prend un objet dans son armoire vitrée sous poche de stérilisation.

- Si vous voulez bien tenir les mains de Tom, il ne faudrait pas qu’il bouge…

Aussitôt le Docteur enfile ce qui apparait être une sonde dans mon urètre. Ce n’est pas agréable du tout surtout quand il force pour atteindre la vessie. Je me sens alors impuissant à me vider sans contrôle de mon urine que récupère une cuvette haricot en inox. Moment de surprise accablante. Finalement la sonde est retirée.

- Vous pouvez le « rhabiller » devant, Madame. J’en ai fini : tout va bien.

Ce qui veut signifier que Madame Pimpelrose me remet sous clé. Finie la balade au grand air ! Paradoxalement,  je me sens plus protégé dans ma cage, qu’à l’extérieur. Je crois en avoir fini, mais non.

- Je vais donc contrôler maintenant à votre demande, Madame, l’état de la prostate de Tom. 

Il a insisté sur le « à votre demande », comme s’il désapprouvait cela. Je vois le docteur mettre de longs gants qu’il lubrifie un moment. Je ne comprends pas tout de suite où il veut en venir, mais cela devient très clair quad il me fait basculer les jambes sur les épaules et force l’entrée de mon anus qui cède vite à la pression. Il farfouille longtemps dans mon rectum, pressant, palpant de façon non agréable, jusqu’à ce que mon zizi se mette à couler à tout seul, à mon grand étonnement.

- Bien, tout fonctionne bien chez Tom, Madame. Tom peut se rhabiller. Nous nous revoyons dans un mois, mais prenez plutôt rendez-vous en fin de journée. 

Il nous raccompagne jusqu’à la porte de son cabinet. « Bonne journée »

Bien sûr ma désobéissance initiale chez le Docteur ne devrait pas rester impunie. Le soir même, Madame Pimpelrose, me fait rajouter sur mon cahier de suivi une offense de classe IV pour « répétition d’un ordre deux fois », limite même, d’après la Gouvernante, classe V. 

« Nous nous en occuperons demain après-midi au lieu de sortir pour nous assurer que tu n’ais plus du tout le goût à l’avenir de ne pas m’obéir. Et là il n’y a qu’une manière de ramener les garçons désobéissant dans le droit chemin : le fouet ! »

Dans ma préparation, j’ai vu quelque fois des vidéos où la Maîtresse fouettait son soumis fautif. Le pauvre gars criait le cochon égorgé quand le fouet le frappait. Et là cela sera moi qui… j’ai la boule de peur au ventre et elle ne va pas me quitter jusqu’au lendemain après-midi.

C’est en cela que les punitions infligées par Madame Pimpelrose sont décervelantes. Rien n’est fait immédiatement sous le coup de l’émotion ou de la colère. Elles sont annoncées d’autant plus à l’avance que le crime est jugé grand. Cela laisse malheureusement que trop de temps pour craindre le moment où elles se réaliseront douloureusement et commencer à regretter amèrement et sincèrement la faute qui nous a amené à les subir. Pourquoi chez le docteur, n’ai-je pas obéi de suite ? C’était si puéril de croire que je pouvais résister, de la vanité de garçon mal placée. Et fatalement, je finis, coincé dans la boucle sans fin de mon esprit, à me persuader que mon comportement n’a pas été adéquat et que je mérite cette fouettée qui va m’être infligée…

Le lendemain, Elyse vient me voir dans ma chambre au réveil pour me dire son mécontentement solidaire face à ma désobéissance de la veille et qu’elle est tout à fait en accord avec la punition décidée. Je suis atterré qu’Elyse soit au courant. Je pensais que cela resterait entre la Gouvernante et moi. « Malheureusement, je ne pourrais être présent mon bébé… ». Je préfère cela.

L’après-midi n’arrive que trop vite. J’ai tous les muscles en tension et l’esprit accablé. Madame Pimpelrose m’amène ranger et nettoyer la remise au fond du jardin pour « dégager de la place ». Deux heures de rangement, balayage, « mon » fouet en attente à un crochet du mur. Cet instrument me fait terrorise et ma Gouvernante doit m’houspiller pour que je continue à travailler dur.

A l’heure du goûter je finis attaché à la poutre de la toiture comme un vieux saucisson, debout et nu, les mains et les pieds étroitement attachés par des liens serrés. Un bâillon de tissus blanc me force les commissures de mes lèvres. Je me sens fragile et impuissant. Un « pouch » de cuir a été mis en protection au-dessus de sexe encagé. Tout cela n’annonce rien de bon et je tremble de tous mes membres. Madame Pimpelrose me laisse à « mariner » pendant qu’elle va « prendre le thé ».

L’attente me parait indéfiniment longue. Les raisons qui me veulent ce malheur tournent en boucle dans mon cerveau. J’ai froid. Je tremble. La Gouvernante finit par revenir accompagnée de Tata Aya. « Les grosses punitions se donnent en public… » Et le fouet se lance dans l’air et frappe une première fois, puis encore et encore. La lanière de cuir s’enroule autour de mon corps et la mèche vient faire éclater la douleur. Je voudrais hurler et je comprends le bâillon. Le serpent s’enroule partout, dévaste partout. C’est l’ensemble du corps qui est puni ! Je suis une marionnette en sueur, ballotée au gré du travail du fouet.  Car il s’agit d’un véritable besognage de la peau du haut en bas, régulier et sans répit. Oh que oui, je regrette sincèrement ma désobéissances. Oh que non, je ne recommencerai plus jamais. Oh que oui, je le promets sur ce que j’ai de plus cher. Mais cela n’arrête pas le fouet qui continue son œuvre, longtemps, trop longtemps…

Finalement, les liens de mes mains sont coupés au couteau et je m’affale en pleur total sur le sol de terre,  la respiration saccadée et le corps en souffrance. Le bâillon m’est enlevé : je cherche mon souffle en détresse. Mais Madame Pimpelrose attend d’abord que je la remercie et que j’embrasse l’instrument de mon bourreau. Je suis vidé : j’obéis en mode automatique. Je suis maté.

« C’est ainsi, Tom, ce qu’il t’arrivera ou pire encore, chaque fois tu chercheras à nous résister. Laisse-toi faire et ne tente pas. C’est un conseil qui a servi à tant de petits garçons que j’ai dressé avant toi. »

Le « nous » doit recouvrir toutes  les Déesses de mon monde, auxquelles sur l’instant, je n’ai plus du tout envie de froisser.

« Tu pues. Tu t’es même pissé dessus de frayeur… Allez à la douche sous la surveillance de ta Tata et au lit direct après que tu ais du temps pour  penser aux bonnes résolutions que tu vas maintenant prendre… »

Ce qui est fait, avec une Tata Aya particulièrement excitée de se moquer de mon dos et derrière si zébrés…

Le dimanche matin suivant, je passe en confession auprès de ma belle.  Je termine ma seconde semaine le corps en lambeaux et l’esprit en désordre. Je me sens perdu. La veille au matin, Elyse en a rajouté une grosse couche avec un entrain inédit pour sanctionner mon comportement de la semaine, à la canne et au paddle « Heavy » de cuir, sous l’enseignement de Madame Pimpelrose, pour autant qu’on peut enseigner l’art de battre un homme. Heureusement  Elyse vient à mon secours et remet du sens à mon calvaire.

- Oui je sais que c’est sans doute un moment très dur à passer pour toi, Tom. Mais il n’y a pas d’autre choix. Je sais bien que tu fais ton maximum pour me plaire et t’investir à te conformer, par amour, à la place que je veux tu prennes dans notre futur mariage. Mais là tu atteins une limite. Aussi importants que soient tes efforts volontairement consentis, ils ne valent plus rien les jours où tu es moins disposé. Après tout, ton refus d’obéissance chez le Dr Glucksmann était inutile. C’est lui qui a choisi de se faire acheter d’un tas de billets et de pratiquer ce qu’on voulait qu’il fasse sur toi. Pas toi ! Alors pourquoi le prendre sur toi à tes dépends ? Je crois qu’il n’y a pas d’autre chemin que celui qu’empreinte notre Madame Pimpelrose. La seule chose qui peut empêcher que tu te disperses tes jours sans, c’est la peur viscérale ancrée dans ta chair, de toute cette douleur que cela va te coûter après. Et tu n’es pas le seul à devoir travailler sur soi-même, mon bébé. Moi je dois m’appliquer à dépasser mes sentiments pour toi, pour être capable de t’infliger ses punitions sèches, et rendre la menace latente 100% crédible. »

Nous parlons aussi de ma chasteté et je me plains doucement de la pression constante de la cage et de ma frustration de jouissance, qui me tourmente de plus en plus. Je lui dis aussi que les contacts intimes que nous avions à la montagne me manquent, même si je restais dans ma cage et qu’elle me prenait le trou des fesses. C’était quelque chose et là depuis l’arrivée de la Gouvernante, je n’ai plus droit à rien.

« Madame Pimpelrose pense qu’il n’est pas profitable pour une éducation efficace, que tu sois distrait par la sortie de ton fluide intime, que cela consomme trop d’énergie finalement que tu ne peux plus mettre à devenir un bon petit garçon. Je t’ai sans doute mal géré jusqu’à son arrivée, mais je suis maintenant convaincu que, comme toujours, elle a 100% raison. Je sais que tu prenais du plaisir sexuel, à ce que je te taquine le petit trou de mon gode, ce qui déviait mon but premier. J’ai donc décidé d’arrêter et de réserver cela à de rares moments d’intimité que j’aurais décidé. Et je crois que cela restera ainsi après notre mariage. Car j’adore finalement te savoir totalement empêché dans ta cage. Et cela me rassure… Mais rassure toi aussi, nous rependrons nos séances d’hommages intimes, une fois que tu auras suffisamment grandi, Tom. Cela sera la sexualité de base de notre couple…»

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 06:37

bldemoniakaklock.jpg Je l'ai finalement retrouvée...

Retrouvée quoi, me diriez-vous ? Attendez je vais d'abord planter le décor...

Il faut d'abord revenir 25 ans en arrière, vu comme la vie passe vite finalement. Le petit dyonisos, dans sa chambre d'étudiant, enfin libre, loin de la maison. Et la découverte du monde osbcur de la sexualité. Les malheurs de Justine comme livre de chevet. L'attente pour acheter chaque mois le troublant magazine Démonia pour 98F dans un kiosque... Toute une époque mythique finalement que l'homme mature regarde avec tendresse.

Et là dans chambre d'étudiant, le petit dyonisos découvre avec un immense intérêt la cage de chasteté moderne pour homme. Faîte d'acier résistant. Il est fasciné par ce nouvelle accessoire machiavélique... si BDSM.

L'été suivant, c'est l'heure de la première cage bricolée à l'aide de chaînettes et de colliers de plomberie, achetés dans un Bricorama. Et la première nuit passée à moitié dedans.

La première cage en 1991. Une éclipse de 16 ans et retour avec une CB2000 "antique" en 2007.

dyonisos

PS : le plus marrant est que cette cage qui m'avait tant fait fantasmer était finalement importable d'aprés les critiques retrouvées de l'époque.

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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