Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 13:29

Essentiellement pour moi. Mais je ne vois pas pourquoi je ne vous en ferais pas profiter...  Et ne voyez pas de machiavélquues manoeuvres de la part de Maîtresse : elle m'envoie trés souvent ce genre de lien, sans que je comprenne comme elle les trouve... Mystère...

Bonne lecture

dyonisos

http://sexes.blogs.liberation.fr/2015/02/22/les-boules-de-quoi-mode-demploi/

http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/21/regarde-quelle-est-magnifiee-257813

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 06:15

Nous sommes rentrés samedi soir après une seule nuit chez mes parents. Aya étant en congé depuis la veille de Noël et ne devant pas revenir avant la nouvelle année, nous sommes qu’Elyse et moi à la maison et j’apprécie. D’autant qu’à ma grande surprise, la « trêve des confiseurs » continue miraculeusement pour moi, plus de séjour dans la cage de la chambre, plus de collier et autres contraintes et même le sexe resté en liberté ...

Elyse ne travaille pas et en profite pour m’emmener voir des expositions, précédé à chaque fois d’un délicieux  déjeuner au restaurant. Je reste cependant très attentif à ne pas me relâcher et que mon comportement reste respectueux. Je n’ai nulle envie que, pour un propos mal saisi ou mal pris, de retourner dans mes prisons. Cela me demande des efforts de tous les instants et nuit quelque part à mon naturel. 

Au restaurant, j’ai pris la décision de la laisser choisir. Elyse apprécie et s’amuse depuis à me surprendre par ses choix et même à me tirer une grimace quand un plat arrive que je n’aime pas. Mais je mets un point d’honneur à finir mon assiette. Elyse remarque mes efforts et me félicite. J’en suis heureux. C’est fou comme un mois de privation peut changer un homme…

Le soir, nous finissons habituellement devant un film sur le canapé, Elyse lovée dans le creux de mon épaule, tout en m’excitant doucement de sa main. Elle adore me voir faire le beau sous ses doigts, tout comme elle aime voir mon « petit cul sexy » se promener à travers la maison. Je suis donc mis nu dès que nous rentrons. Tout juste ai-je droit à un tee-shirt à manches longues pour ne pas prendre froid qui laisse un large accès au-devant et au derrière, qu’elle s’amuse à me claquer quand je passe à proximité, avant de m’embrasser profondément pour se « faire pardonner ».

« Il ne faudrait pas que tu te relâches. N’oublie pas que nous avons un nouvel homme à faire naître. Et je ne voudrais pas que tu ais un comportement rebelle et grognon, quand nous nous y remettrons intensément, passé le premier de l’An. »

Me voilà donc prévenu. Pour l’instant, je goûte à ma semi-liberté retrouvée. Le soir, Elyse m’autorise son lit pour le plaisir de me sentir à ses côtés, quoiqu’elle dise pour me taquiner, qu’elle ferait mieux d’y renoncer vu que je « ronfle un peu ». Je « paye » mon séjour par mon travail amoureux entre ses cuisses, le soir et aussi le matin, Elyse étant dans sa période gourmande. Pour moi, c’est forbidden ! Pas touche ! Et pas question de tricher, Elyse a des yeux derrière la tête et le sommeil léger. Pour l’instant, je me satisfais de profiter de nuits reposantes sans la foutue cage brise couilles autour du zizi.  

La dernière nuit avant la St Sylvestre, Elyse manifestement très excitée, décide que nous allons rejoindre tôt la chambre. Elle m’attache  de nouveau les mains à la tête de lit. Je crois que mon va cul y passer de nouveau, mais non : elle m’enfile un préservatif avant de me prendre en amazone dans une vigoureuse chevauchée, sa magnifique descente de dos offerte à mon regard. Elyse doit ajuster l’ampleur de sa monte : au début mon phallus s’échappe à chaque montée. Cela va mieux. Elle me mène un trot délicieux, plus qu’un galop effréné. Je résiste pour lui offrir l’orgasme. Je m’épanche de concert dans la capote. C’est nivarnesque !

Elyse se dégage finalement et met quelques minutes à reprendre doucement  son souffle, allongée sur la couette, un petit sourire aux lèvres.

« Finalement tu n’es pas si mal comme amant. Un peu petit certes, mais qui sait faire du bien par où tu fricotes. De temps en temps, ce n’est pas désagréable et cela repose des gros obusiers… »

Je suis aux anges et ne peux pas m’empêcher de montrer ma fierté du compliment.

« Ne te réjouis quand même pas trop vite : cela reste une petite bite à l’aune de celles de mes amants qui dévastent avec bonheur ma chatte, mon cul ou ma bouche. Que veux-tu, tu n’as pas tiré le bon numéro dans la vie, mais Dieu t’a donné une langue travailleuse et des doigts doués à la place, pour compenser. Et une grande gentillesse aussi… »

Me laissant attaché, Elyse se lève pour rejoindre la salle de bain. Elle me caresse tendrement la joue au passage. Je l’entends uriner dans la cuvette avant qu’un moment aprés la chasse d’eau soit tirée. Elle sort tenant son téléphone dans la main.

« Nous en étions où, Thomas ? Ah oui, ton petit zizi est mignon à croquer, mais ce n’est  qu’un apéricube qui m’a mis en appétit ce soir. Et je ne crois pas que ta langue pourra boucher la béance qui est née en bas.»

Le téléphone vibre et Elyse le regarde.

« Parfait. On vient me chercher dans 10 minutes. Ce n’était pas prévu, mais tu vas rester tout seul ce soir mon amour, besoins physiologiques obligent. Chut… ne dis rien que tu regretteras demain. Soit mon bon petit soumis tout sage à la maison. Je reviendrai vite… »

Elyse se rhabille et m’abandonne les mains encore attachées à la tête de lit, non sans m’avoir avec un petit sourire espiègle, donner à boire le contenu du préservatif. Elle me borde sous la couette, me fait un chaste baisé sur le front avant d’éteindre la lumière et de sortir. Je regarde le réveil : il n’est même pas 22 heures…

Je ne trouve pas le sommeil cette nuit-là. Son départ m’a saisi au débotté. Je me sens abandonné et je n’accepte pas du tout l’idée qu’elle soit partie voir un autre. Je sais bien que j’ai signé et ce que j’ai signé. Elle ne s’est pas cachée qu’elle ne se réserverait pas à moi. Mais la réalité fait tellement mal au cœur. Je me sens mal, incapable de dépasser l’image de l’autre en train de la pourfendre de part en part, au milieu de ses cris de jouissance qu’il comble enfin. Alors que moi je suis consigné, mis au rebut. Cela porte sur l’image de soi, sur ma fierté d’homme. Si au moins, j’avais été indisponible, empêché par la cage. Mais là, elle me baisote et décide finalement que je suis insuffisant à lui donner du plaisir. Un apéricube, m’a-t-elle dit ! Un amuse-gueule ! Un boute-en-train, ouais ! Tout juste bon pour la préchauffer avant qu’elle aille se faire prendre par un autre mieux membré. L’humiliation finale. 

Et s’il elle avait tout prémédité ? Pourquoi m’avoir attaché sinon. Pourquoi m’avoir mis un préservatif sinon ? Serait-ce un de ses jeux pervers ? Je pense avec stupeur à la série de cadres dans « ma » pièce. C’est son tableau de chasse, mis là sous mes yeux pour me taquiner, à escient ! Désespérante pensée, je n’ai aucune chance face à ses bêtes de compétitions…  Je pleure d’impuissance, sans fin, une partie de la nuit.

Finalement, Elyse rentre le lendemain en milieu de matinée. J’entends la porte d’entrée. Mais elle ne vient pas me voir tout de suite. Elle file à la place sous la douche de la salle de bain du couloir. L’eau coule longtemps. Puis Elyse passe par la cuisine, sans doute, pour se faire un thé. Cinq minutes plus tard, elle entre enfin dans la chambre apportant 2 mugs fumants, nue sous peignoir, ses longs cheveux humides. Je fais ma tête des mauvais jours et j’ai le regard noir.

- Bonjour mon chéri ! 

Je préfère me taire pour montrer ma désapprobation. Elyse me regarde interrogatif, puis semble comprendre.

- Je suppose que tu as mal dormi… et là tu boudes.

Elle cherche à obtenir ma réaction, mais je garde mon silence. D’ailleurs qu’est-ce que je pourrais lui reprocher : c’est parfaitement son droit et je suppose que ce n’était pas la première fois depuis que je suis arrivé dans sa maison. Mais cela ne veut pas dire que je veux être complice. Si cela excite des hommes, que leur femme aille voir ailleurs, tant mieux. Mais moi, non : c’est un déchirement à vivre.

- Oui tu boudes… que les hommes sont compliqués…  Mais heureusement, je sais comment dérider les petits garçons boudeurs…

Elyse s’assoit au bord du lit et se penche pour saisir entre ses lèvres mon petit bout rabougri. Je sursaute de surprise. Elle ne me l’a jamais fait. Sa bouche est tendre et délicieuse. Je vois ses seins qui dépassent par l’encolure. Mon corps se laisse tenter alors que mon esprit refuse encore. Mon sexe reprend vie dans l’humidité moelleuse, s’érige, se gonfle d’envie. Les lèvres peuvent embrasser la longueur de la colonne pendant que la langue titille mon méat. Je relâche ma tension face à la douceur de l’attaque. Le bout de la langue décrit la couronne à la base du gland. C’est magiquement excitant. Je me détends totalement offert quand qu’Elyse coulisse jusqu’à la racine, débouchant, titillant, branlant, embouchant, en une folle caresse érotique entre une bouche de femme et un sexe d’homme. Je me sens violemment monter en pression d’assouvissement. Elyse le sent aussi. D’un geste assuré, elle me pénètre l’anus d’un doigt farfouilleur pour sonner l’hallali. Un dernier soubresaut, une dernière léchette et je pars en longs jets au fond de sa gorge dans une béatitude infinie. Elyse finit de me vider d’une main poussant sur la hampe avant de se retirer lentement, entraînant un filament de sperme qui se rompt et retombe en filet sous sa lèvre. Elle ne me quitte pas les yeux alors qu’elle fait tourner mon « lait » dans son palais, le dégustant en grand cru. Puis finalement elle avale le tout sans réticence. Je suis stupéfait : aucune de mes copines n’a jamais accepté de le faire ! 

- Très bon goût... Tu as l’air de beaucoup moins bouder maintenant, mon chéri.

Oui je ne boude plus, sidéré par la pipe sidérale qu’elle vient de m’offrir.

- Mais tu comprends que ton comportement est inadéquat ?

- Oui, Elyse.

- Alors tu vas devoir être puni pour cela. Retour du zizi en cage. Je pensais ne te la remettre qu’une fois le premier de l’An passé pour profiter encore un peu de ta queue libre, mais tu as stupidement gâché ta chance. Alors retour en cage de l’oiseau.

Ce qu’elle pratique immédiatement avec dextérité, la cage étant déjà à « disposition » dans la poche de son peignoir. Je me demande d’ailleurs à quel point je ne viens pas de me faire manipuler et qu’Elyse avait prévu à l’avance ma réaction de coquelet bafoué. Elle finit en me détachant avant de m’ordonner d’aller passer l’aspirateur dans toute la maison, pour finir de « refroidir » mes idées.

-  Cela te changera les idées mal placées. Après tu nous prépareras un repas rapide que nous mangerons tôt, pour avoir du temps pour charger la voiture et partir à la montagne skier. 

- Nous allons à la montagne, Elyse, mais… je ne sais pas skier ...

- C’est effectivement un problème le fait que tu ne skies pas. Tous les Berchand-Lagutte sont de bons skieurs et je ne vois pas pourquoi mon futur époux ne le serait pas, lui aussi, pour m’accompagner sur les pistes avec les enfants. Nous allons nous efforcer de rattraper le temps perdu en accéléré. Je t’ai réservé un moniteur rien que pour toi et nous y resterons le temps qu’il faut pour te transformer en skieur convenable. Je ne te cache pas aussi que nous y reprendrons de façon plus intensive ton éducation, après le relâchement de ces derniers temps.

Je mets une heure à passer l’aspirateur dans toutes les pièces de la maison, du moins celles qu’Elyse m’a ordonnées de faire en priorité. Cela comprend « ma »propre pièce et j’en profite pour prendre quelques minutes pour observer le « tableau de chasse ». Je sors perdant de toutes les comparaisons avec les beaux sexes pris en gros plan. Comment pourrais-je lutter ? En devenant un bon mari soumis ? Au moins Elyse m’a montré que si j’étais bien sage, j’aurais sans doute droit à quelques récompenses sexuelles, au-delà de m’occuper de son plaisir à elle. C’est l’enseignement des dernières heures, l’autre étant que je ne suis pas du tout confortable d’être retourné dans ma cage de chasteté. Cela tiraille et picote, et me fait regretter ma liberté.

Le repas est vite expédié. J’ai fait une omelette aux lard et champignons convenables. Et Elyse m’emmène charger le break Audi dans le garage. Aya devait être au courant, car elle a tout préparé y compris pour moi. Mon rôle se borne à charger les caisses et valises dans le coffre, quand je remarque contre un mur, une lampe qui m’appartient et qui était encore à ma connaissance dans mon appartement.

« Ah oui, j’ai fait vider entièrement ton appartement la semaine dernière et tout a été ramené là. Quand nous aurons du temps, nous regarderons ensemble ce qu’il faut jeter ou garder. Et oui, j’ai aussi trouvé ta collection de romans pornos… mon chéri. Avec les tâches sur les pages… Confisquée évidemment. »

Evidemment, ainsi débusqué, je ne peux m’empêcher de rougir encore une fois.

L’après-midi est froide mais ensoleillée. Elyse m’a fait passer au dernier moment un jogging gris neutre. Je conduis le break pendant qu’elle joue avec son téléphone. La radio diffuse des chansons des années 90 qui ont l’air de lui plaire. La route quitte la plaine et s’élève peu à peu du fond de vallée vers le sommet. Je tente une question…

- Elyse je peux te pose une question ?

- Oui mon chéri.

- Les photos dans les cadres de ma pièce, c’est les autres ?

Elyse éclate de rire.

- Mais tu comprends vite, toi. Cela nous a beaucoup amusé avec Elyse de te les mettre là sous les yeux à côté de la tienne, nous demandant quand tu comprendrais… Mais pour répondre à ta question : oui et non. Certaines appartiennent à mes amants réguliers et d’autres non. Mais je ne dirai pas lesquelles, te laissant dans l’ignorance. Cela vaut mieux. En tout cas la dernière, la tienne, m’appartient totalement. C’est pour cela qu’elle est gardée au chaud dans sa petite cage… 

Je me renfrogne dans mon siège ne préférant pas prolonger le sujet déshonorant. Elyse ne me relance heureusement pas à mon soulagement. Sans doute ne suis-je pas encore assez profondément soumis pour entendre plus. Et pour l’instant je n’ai pas envie d’en savoir d’avantage. La douloureuse expérience de la nuit dernière me suffit en émotions honteuses.

Finalement nous atteignons la station en fin d’après-midi, une station d’altitude à l’allure cosue. Je ne suis pas étonné que les Berchand-Lagutte est là leur pied à terre ici, sous la forme d’un chalet des années 70, idéalement placé : pas loin des pistes mais un peu à l’écart du flux. Un maison pour les migrations hivernales confortable et récemment rénovée. Le salon avec sa cuisine ouverte occupe tout le rez-de-chaussée. A l’étage, deux chambres dont une grande chambre parentale avec une porte communiquant avec ce qui doit être un dressing. Chacune avec sa salle de bain confortable. Et en sous-sol : une chambre de service (il y a toujours eu quelqu’un au service des Berchand-Lagutte. Pour Elyse maintenant, c’est Aya), un magnifique jacuzzi d’après- ski et le garage. Elyse m’y fait garer l’Audi pour la décharger et monter les affaires à l’étage en une dizaine d’aller-retour essoufflés par l’altitude. 

Elle me fait faire alors un thé, avant toute chose et de ranger les affaires. Elyse est d’humeur bavarde.

« Tes cours ne commenceront pas avant dimanche, ce qui te laisse le temps de t’adapter à ton nouvel environnement. Il faut normalement 6 fois une semaine pour apprendre à un enfant à skier convenablement, du Piou-Piou à la 3ème étoile. Cette 3ème étoile est ton objectif et mon exigence impérative. Et je pense que 4 semaines seront suffisantes pour un adulte comme toi. De toute façon nous ne redescendrons pas avant que tu l’ais obtenue. Aya sera avec nous pendant la semaine pour te garder et que je puisse aller à l’étude. Ne fais pas cette moue : tu sais bien qu’Aya fait partie de notre famille. Et je trouve très pédagogique qu’une tiers intervienne dans ton éducation. Cela te permettra de trouver plus vite ta place. Tant que tu n’auras pas eu ta 3ème étoile, il n’y aura aucun changement dans ton statut. Tu dois déjà savoir que la persévérance est la meilleure des aides pour avancer… »

Je la regarde interrogatif : de quel statut, Elyse me parle-t-elle ? 

« Attends tu vas mieux comprendre. Suis-moi à l’étage. »

Nous nous retrouvons dans la chambre parentale déjà visitée. Elyse m’emmène directement à la porte du dressing attenant. Quelle n’est pas ma surprise d’y découvrir non un dressing mais une chambre au lit aux hauts barreaux de style bébé mais à la taille adulte le long du mur. Une espèce de plan de travail occupe l’autre partie de la pièce. A ces côtés, une pile de carton est empilée que je reconnais être pour des couches pour adultes, ne laissant aucun doute sur la destination probable du meuble : un plan à langer. La grenouillère taille XXL qui est accrochée au sommet de la porte de l’armoire finit par détruire le moindre doute que j’aurais pu avoir sur l’intention dévoilée. Je deviens si pâle. Elyse me laisse tranquillement découvrir mon nouvel univers, neutre dans son expression.

« Tu es pour moi comme un jeune enfant innocent qu’il  faut accompagner dans ces découvertes. Tu comprends que toute l’éducation que tu as reçue jusque-là, de tes parents et de la société, ne t’a pas armé pour devenir le mari que je souhaite et que tu vas être pour moi. Au contraire, elle t’a donné pleins de barrières morales superflues qui non seulement nous sont inutiles, mais autant d’handicaps à ton évolution. Alors j’ai décidé que nous allons tout reprendre à zéro. Ta cage à la maison était une sorte de matrice de maturation. C’est l’heure d’apparaître au jour dans tes nouvelles dispositions. Nous commencerons par la période de dépendance totale, même pour les actes les plus basiques de la vie, puis peu à peu nous t’amènerons vers une maturité en meilleure harmonie avec ta nouvelle nature. Cela passe par la destruction systématique de l’image de fierté mal placée que tu as de toi, et par l’attachement quasi maternel que je veux que tu me portes désormais pour la réussite de notre union. »

« Je sais déjà oh combien tu vas détester cette période de ton éducation, oh combien tu vas me haïr, et Aya aussi qui y participera activement. Mais sache que je serai inflexible à appliquer ce programme pour notre bien. Dans 2 jours, je t’enlèverai tous tes droits et toutes tes libertés. Je te rendrai totalement dépendant. »

Je la regarde complètement effrayé. Je suis sous le choc, mon esprit incapable d’envisager toutes les conséquences de ce qu’Elyse me montre et me dit , même si j’en comprends un peu le besoin de rupture. Elyse me passe la main dans les cheveux, d’un geste tendre qui se veut rassurant et qui m’apaise un tout petit peu. 

« Mais bon ce n’est pas pour tout de suite. Nous commencerons après le premier de l’an, quand Aya sera arrivée pour m’aider à tout mettre en place. Pour l’instant c’est fête. Ce soir, nous ferons le réveillon dans les bulles du spa. Tu verras, l’eau chaude soulagera la pression de tes couilles. Je t’ai vu grimacer toute la journée. Je t’aurais préféré libre de queue pour ces derniers jours de l’année, mais bon ton comportement de ce matin en a décidé autrement. Et demain, nous préparerons ensemble un merveilleux repas du premier de l’An. D’ailleurs on ne devrait pas tarder à nous livrer les fins mets que j’ai commandés en début de semaine. Tiens cela sonne : c’est notre livreur ! Va lui ouvrir mon chéri. J’arrive. »

J’obéis heureux de quitter ma chambre de futur « bébé » et je descends à la porte d’entrée. Elle s’ouvre sur un livreur de 35 ans environ, authentique montagnard du coin au visage buriné par la réverbération de la neige. Il a les bras chargés de sacs. Il me dévisage un peu étonné. Je l’invite à rentrer et à déposer le tout à la cuisine. Elyse vient de nous rejoindre. « Bonjour Amédée, comment vas-tu ? Nous nous sommes préparé un thé. Tu as le temps de le partager avec nous ?». Elle ne me présente pas : j’en suis un peu vexé. Elyse et Amédée discutent un moment sans tenir compte de ma présence des nouvelles du pays. Je me sens con de rester en statue ignorée là. Je décide d’aller ranger les affaires. Finalement, leur conversation se termine avec la fin du thé dans la tasse d’Amédée et Elyse me rejoint à l’étage.

« Amédée est un vieil ami. Il venait me voir au chalet quand j’avais 16 ans et que mes parents étaient sur les pistes. Cela égayait mes séjours à la montagne. Maintenant, il est marié avec une femme charmante et a trois enfants. Cela l’empêche pas de faire quelques entorses à son régime, quand je lui demande, en souvenir du vieux temps. C’est pour cela que je te garderai sous clé même après le mariage, sachant par nature combien il est difficile à un homme marié de résister à la tentation inspirée par des femmes comme moi… »

M’humilier deux fois dans la même phrase, c’est tout l’art de mon Elyse. Je préfère ne pas relever cette fois, de toute façon l’anneau de cage coince la peau de mes couilles et j’ai autre chose à penser sur le moment. Maudite cage !

Le réveillon s’annonce bien. Les sacs livrés révèlent tant de bonnes chairs, une partie à cuisiner demain que je range dans le frigo et pour ce soir, un délicieux plateau de toasts appétissants et une bouteille de champagne glacée. Elyse revient: «  Notre spa est prêt, mon amour. Je vois que tu as tout préparé. Il manque qur les flutes dans le placard au salon… à droite. » Le temps de les trouver et c’est une femme totalement nue que je retrouve, ses vêtements épars autour. « Allez ouste à poil aussi -Thomas ! »

Buller dans les bulles chaudes tout en sirotant des bulles, est une merveilleuse façon de fêter la fin de l’année. Et Elyse avait raison, l’eau chaude est un bonheur pour mes couilles endolories, qui s’y ramollissent enfin avec délices. Je suis amoureux ce soir. Je me fous des choses signées. Je mes fous des autres. J’ose simplement. Je me penche pour prendre les lèvres de mon amour, d’un profond baiser. Après un instant de surprise, elle s’offre à ma langue totalement. Nous restons soudés en apnée. Ma main se fait sous-marine dans les bulles à la recherche de l’antre du dragon, sans lâcher la douceur de sa bouche. Elle s’offre à ma caresse, m’offrant un orgasme puissant que j’étouffe entre ses lèvres. 2 êtres qui se sont trouvés et sont heureux, ce soir, seuls au monde au milieu de la montagne.

« Merci, c’était très bon. Montons, mon amour, continuer ce que nous avons commencé. Et passe prendre une nouvelle bouteille de champagne à la cuisine : celle-ci est déjà vide… »

Nous arrivons dans la chambre encore mouillés et nous nous lovons d’excitation sur le lit. Je pose des baisers sur toutes les parties de son corps, descendant peu à peu débusquer sa fleur. Sa main titille mes tétons ou me masse le paquet de couilles. Ses ongles taquinent mon zizi enfermé qui fait la grenouille enflée par les ouvertures de la cage. Je suis tout excité. Elyse aussi. Je suis prêt à engloutir d’une bouchée son sexe luisant, odorant et si tentant. Mais elle me repousse doucement.

« Attends, cela ne sera pas suffisant ce soir, tellement tu m’excites et que je suis ouverte. Dommage que tu es été assez stupide pour retourner dans ta cage si tôt, foutu âne bâté jaloux. Et non je ne te libère pas : il faut quand même maintenir la moralité dans notre couple. D’ailleurs je me connais : j’ai laissé la clé à la maison pour ne pas être tentée. Mais j’ai une solution de secours. J’y ai pensé avant de partir. Et si cela peut m’éviter parfois tes bouderies du matin d’après, pourquoi ne pas essayer après tout. Attends-moi, je reviens dans une seconde. »

Elyse revient avec le gode ceinture qui m’a baisé le cul chez mes parents. Mais elle en change le rôle. Elle me le fixe sur moi, au-dessus de la cage : je suis maintenant un garçon bien membré facticement, pendant que mon vrai petit zizi ne cesse de crier sa détresse dans sa petite cage. « Allez prends moi  maintenant mon amour !».

Je fais tout ce que les hommes ont toujours fait. C’est inné chez les garçons. Je m’agenouille face à Elyse et je l’embroche profondément de mon gode accueilli pas un cri de satisfaction. C’est une tromperie de l’esprit : cela ressemble à tout coït intense. Je vais et viens sans cesse. La femme gémit sous mon langoureux pilonnage.  Mais je n’ai aucune des sensations humides et tactiles qui devraient normalement accompagner mes mouvements. C’est le vide absolu de sensation en bas, à part cette pression à moitié douloureuse que je ressens de mon zizi trop à l’étroit. Elyse nous fait changer de position : la voilà maintenant en levrette, avide de mon faux-sexe, bien plus long et gros que ce que je pourrais naturellement lui proposer. Je ne résiste pas enfin à créer un vrai contact sur son anus offert avec mon pouce humidifié qui masse et pénètre doucement : c’est toujours mieux que l’absence de tout. J’entends plus que je sens cette fois-là, l’orgasme de mon Elyse qui monte, monte et explose largement ! 

J’en retire une bite douloureuse à ne pas pouvoir pu faire. Il me faut quelques temps pour que la pression la déserte, Elyse dormant déjà contre mon épaule du sommeil du juste.

Le lendemain, au réveil, je m’occupe des mes doigts et de ma langue à souhaiter un bonne année à Elyse. Nous nous levons tardivement. « Et si nous passions la journée tout nus ? » Cela ne change pas grand-chose pour moi par rapport aux dernières semaines, mais Elyse, juste vêtue de son déshabillé transparent, m’offre une excitation continue. Nous ne cessons de roucouler, de nous embrasser alors que nous préparons ensemble notre repas de fête, que nous dégustons avec de bons vins. Nous ne résistons pas à l’envie éméchée à rejouer le coït de la veille lors d’une sieste crapuleuse avec le gode ceinture, avant de finalement tomber de fatigue le soir et de nous endormir devant la télévision.

Moment de partage, de complicité, d’amour qui prend abruptement fin le lendemain quand Aya nous rejoint au chalet.

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Dimanche 22 février 7 22 /02 /Fév 09:31

Elyse est la Reine de la soirée. Ma mère, ma sœur, ma grand-mère et même mes tantes n’ont d’yeux que pour elle. Mon père et mes oncles me regardent d’un sourire complice pendant que la ribambelle d’enfants s’ébroue tout autour de la table, indifférents aux relations d’adultes. Ils sont tous heureux de me voir si bien accompagné. Elyse répond avec gentillesse à leurs multiples sollicitations. Il y a manifestement de la joie ce soir à la maison, et je me laisserai m’y couler avec volupté, si la main d’Elyse fermement posée au contact de ma cage sous le pantalon, ne me rappelait à quel point je suis dorénavant dépendant de sa bonne ou mauvaise volonté.

Mais je reconnais que cela me fait un soulagement  dans mon dressage, d’être quasiment ce soir libre de contrainte même si je reste sous surveillance rapprochée. Un mois, au jour près, après avoir signé le pacte avec Elyse, je suis exténué physiquement et en plein bouleversement psychologique. J’étais encore il y a quelque heure enfermé dans cette foutue cage qui est devenue mon horizon quotidien. Elyse l’a installée dans la chambre d’ami. Je déteste cet endroit où  l’on m’envoie pour se débarrasser de ma présence sans raison logique et pour des durées aléatoires…

Les volets de la pièce restent toujours fermés. J’y vois simplement le jour et la nuit qui filtre à travers. La cage aux barreaux d’acier est suffisamment grande pour que je puisse m’y allonger confortablement, m’y tenir accroupi mais jamais debout.  Et aussi douillette que puisse être ma prison, elle finit par ankyloser les muscles. Une bouteille de plastique pour pisser, un humiliant seau hygiénique pour les grosses envies, Il n’y a rien à faire qu’attendre dans cette prison. Attendre que l’on vienne me voir, me parler ou me libérer. J’y passe toutes mes nuits et une grosse partie de mes journées, étant libéré souvent juste pour étirer mes muscles endoloris. A Noël, Elyse est partie seule chez ses parents, je suis resté dans ma cage 27h d’affilée, seul, une alarme pour personne âgée reliée à son téléphone et une caméra pour surveiller à distance que je reste bien sage dans ma cage. Comme si enfermé ainsi, je pouvais faire quoi que soit…

Depuis ma mise en esclavage à l’Etude, j’ai donc vécu  80% de mon temps enfermé, toujours complètement nu et n’ai jamais quitté mes attaches de chevilles, poignet et cou qui m’ont été posées le premier jour, même quand j’en sortais. Je porte aussi, sans remise de peine, ma cage de zizi depuis cette date. 

Je crois que la raison d’être de cette prison, est de limiter mon horizon à ma seule Elyse. Ressentir au plus profond de moi-même, combien je dépends dorénavant d’elle et de sa volonté. Cette cage est un accessoire d’éducation, qui me fait saisir ma nouvelle et totale dépendance et me transforme peu à peu douloureusement l’esprit en le tournant vers Elyse…

«  Tu dois apprendre à être trimballé de Charybde en Scylla sans raison autre que mon bon vouloir. Tu dois apprendre à craindre mes inspirations fulgurantes. La crainte est un des plus puissants instruments éducatifs. Mais ce que je cherche à te faire atteindre c’est la sublimation de cette crainte par la confiance que tu me portes. L’état ou tu obéiras sans te poser d’autre question, parce que tu auras confiance que cela sera fait pour notre bien mutuel. »

Il  n‘empêche que ces moments d’enfermement, qui sont la base chez Elyse,  me sont de plus en plus durs à supporter. Dans une cage, il n’y a rien à faire. Chaque centimètre carré de son environnement a été étudié mille fois et reste immuable. La cage c’est l’ennui éternel. Le seul moment agréable en cage est quand j’arrive à m’y assoupir parce qu’il m’escamote ce temps face à soi-même.

Le reste du temps, quand je suis éveillé, mon esprit s’active. Au début je dérivais fatalement  vers mes souvenirs d’homme libre, les bons moments que j’ai vécu dans ma jeune vie.  Mais maintenant je préfère sagement éviter ces pensées qui me torturent trop. Je ressens un bouleversement important au fond de moi-même, une déferlante qui m’emporte sans que je puisse la maîtriser.

 Elyse prend de-facto une part de plus importante dans mes pensées, jusqu’à maintenant habiter aussi mes rêves mais d’une façon différente de celle d’avant, moins l’attirance sexuelle de ces derniers mois – parfois encore oui, je l’avoue, mais la cage au zizi me rappelle vite à l’ordre, rouge et honteux -.  

J’ai maintenant besoin de plus en plus d’entendre sa voix, de ressentir sa présence, de lui donner le plaisir comme autant de bouées auxquelles je peux me rattacher dans ma tempête intérieure. C’est, je crois, le pouvoir magique de la cage, qu’une partie de moi-même regarde encore, un peu incrédule, agir. Mais l’autre adhère totalement à l’étrange atmosphère de ces temps, aux aguets du moindre signe de présence d’Elyse dans la maison. Je goûte avec volupté ses bruits étouffés à l’autre bout de mon monde. Je lui fais la fête quand elle vient me voir, même sans me laisser sortir. Je vis comme un petit abandon quand elle me renvoie soudainement dans ma cage. C’est Elle ! C’est l’origine de mon monde ! Et je maugrée les barreaux de cette maudite cage qui mettent une frontière infranchissable entre Elle et moi ! 

C’est aussi la période des restrictions douloureuses que je vis comme un sacrifice pour Elyse. Ma cage sur le pénis empêche toute libération de tension – aucune depuis le premier jour – sans pour autant avoir anesthésié la bête enfermée. Au contraire, Elyse la veut la plus vivante possible cette bête, que je teste en permanence les limites de mon petit monde, jusqu’à en baver de frustration.

« C’est là mon objectif : que tu ressentes les limites que je t’impose. Et ces limites il faut les titiller sans cesse pour que tu les ressentes bien. Mais c’est aussi une des premières leçons que je te donne : te faire comprendre que tu ne peux plus rien sans moi... »

Et chaque soir, elle m’enseigne sur son lit les bases de ma nouvelle sexualité conjugale. « Oublie tout ce que tu as cru savoir-faire pour le plaisir de tes amantes. C’est complètement nul et à côté de la plaque. Nous allons devoir ensemble tout reprendre à zéro, pour que tu deviennes un amant convenable ».

Elyse travaille à m’enseigner in vivo l’art subtil du suçage et du toucher. Elle a fort à faire. Je suis un élève maladroit, peu sensuel, fuyant les odeurs et les goûts féminins. Mais elle n’abandonne jamais sa feuille de route. Je suis fainéant des doigts et de la langue ? Une prothèse électrique est fixée au-dessus de ma cage à zizi sanctionnant ou récompensant immédiatement toutes mes actions d’un simple appui sur la télécommande. Elle capte avec toute mon attention entre ses cuisses. Trop douloureux sinon. Elle travaille aussi sur mes inhibitions. Un verre de son urine fraiche et odorante m’attend dorénavant chaque soir et elle insiste longuement sur ce que je fuis, jusqu’à ce que je cède. Le long léchage des bords de son anus est ainsi devenu un de nos plus réguliers travaux pratiques du soir. Je me sens progresser et cela me rassure… Si fier la première fois où ma langue l’a emmené à l’orgasme.

Les restrictions comportent aussi l’usage des toilettes. Dans la cage évidemment avec ma bouteille et mon seau dont l’odeur accompagne mes enfermements. Mais en dehors aussi. Les toilettes de la maison sont sous clé. Tout doit être « accompli » dans la cage et après en avoir humblement demandé l’autorisation à Elyse ou à qui est là, aller vider mon  « œuvre » une fois par jour dans le regard à l’extérieur. Je vis cela comme une dégradation, une infantilisation, surtout quand « on » reste pour me regarder « œuvrer » sur mon seau.

« Une autre des leçons que je t’enseigne. Tu ne dois plus avoir d’endroit secret pour te réfugier, même pour tes actes les plus intimes. Ta vie doit totalement m’appartenir dorénavant, jusque dans tes actes les plus basiques… »

Les lavages de mon corps me sont rationnés. Je dois rester dans mon jus et trimballer mon odeur de musc épicé, sans me plaindre, jusqu’à ce que l’on trouve que je pue trop et que l’on m’emmène me nettoyer à grandes eaux dans une bassine extérieure. « Cela interagit avec l’image que tu as de toi et c’est pour cela que je te l’interdis. C’est un orgueil mal placé qu’il faut éradiquer dans notre situation…»

Restriction enfin de mes habitudes tabagiques. Enfin pas restriction, arrêt complet, alors qu’Elyse continue à s’autoriser cette pratique, autrefois partagée entre nous à l’Etude.  Je n’ai pas anticipé cette prohibition et ce n’est pas facile de se sevrer alors que l’on ne le désire pas vraiment…

« L’arrêt des cigarettes pour toi a un côté pratique et un coté symbolique. Que veux-tu que je fasse d’un mari fumeur, alors que je le veux à ma disposition immédiate à tout moment ? Je vois bien la scène… J’ai besoin de tes services. Tu es en train de fumer. Déjà il faut que je débusque et après que me répondrais-tu : attends ma chéri, je finis ma cigarette et j’obéis. Tu vois bien que cela ne peut pas marcher comme cela… Il est donc nécessaire que tu cesses définitivement cette mauvaise habitude. Et vois un peu le topo. Je suis libre de fumer quand je veux. Tu ne l’es pas. C’est un symbole très quotidien de la relation que nous cherchons à établir dans notre ménage : toi soumis et moi libre. »

Et pour bien m’ancrer cette nouvelle réalité dans l’esprit, Elyse a pris l’habitude d’un petit cérémonial entre nous le soir. Souvent elle m’appelle et me dit : « Tu viens prendre une cigarette, mon chéri ». Cela se passe habituellement sur la terrasse de la maison. Elyse préfère fumer au grand air. Elle fume donc une ou deux cigarettes, pendant que moi, agenouillé à ses pieds et grelottant, je suce dans le froid. « C’est un très bon dérivatif à ton envie de fumer, tu ne trouves pas ? ». Encore une fois, elle a raison pour deux.

Elyse n’a pas cessé de travailler. Elle s’absente régulièrement les jours de la semaine, parfois même pour 2/3 jours d’affilée quand elle doit se déplacer.  Je suis alors laissé aux bons soins d’Aya. Cette femme noire qui doit avoir quelques 50 ans a tout de la mama africaine : la force, la bonne chair, les tenues bariolées, les chevaux noirs et une sévérité qui m’intime. Pour ce que j’ai compris, elle travaille pour Elyse depuis quelques années…

« C’est que, vois-tu, Aya est d’ethnie baoulée. Cela ne te dit rien alors je t’explique. Les baoulés vivent en Côte d’Ivoire. C’est un peuple fascinant dans l’inversement des valeurs machistes occidentales. C’est les maris qui payent la dot pour être épousé et viennent habiter dans la famille de leur femme. Les femmes sont les chefs de maison, vendent les récoltes et nourrissent leurs maris qui les aident aux champs. Ils ont même socialisé le droit à la femme de gifler son mari, quand elle n’est pas contente de lui. Normalement, le pouvoir s’inverse dans le couple baoulé quand l’homme a donné deux enfants à sa femme. Mais Aya a choisi de n’en avoir qu’un. Alors son mari continue de filer doux à la maison, Aya n’hésitant jamais à faire usage de son nerf à bœuf. C’est l’aide parfaite pour notre maisonnée...»

Je n’aime définitivement pas cette femme. Sa présence me trouble. Avec Elyse, les sentiments me portent. Tout est érotisé mais si sur l’instant tout n’est pas partie de plaisir. Et je peux voir notre relation déséquilibrée, mon enfermement, les restrictions imposées comme une forme de sexualité amoureuse  entre nous à laquelle j’ai volontairement adhéré. Mais rien de cela avec Aya. Aya, c’est l’œil extérieur, celui qui me voit comme un pauvre mâle à martyriser et bafouer. Aucune sublimation du ressenti n’est possible. Avec Aya, je sens l’humiliation, je sens la honte, d’être ce que je suis en train de devenir.

« Et c’est très bien ainsi, mon chéri. Tu ne croyais quand même pas t’en sortir dans une rêverie porno-érotique ? La soumission, cela ne doit pas être un jeu sexuel, mais une réalité de vie et d’esprit. La présence d’Aya dérange ta petite vertu ? Et bien tant mieux ! Tu apprendras bien plus vite quel est l’état d’esprit docile que je veux que tu atteignes pour moi… Et tu apprendras à craindre sa main, crois-moi».

Aya me « gère » quand la patronne n’est pas là ou n’est pas disponible, me surveillant et m’emmenant à mon « heure » de promenade. Elyse tient à ce que je prenne l’air chaque jour, qu’il pleuve ou vente. « Il ne faudrait pas que tu dépérisses, mon chéri ».  Cela se passe dans ce que j’ai pris l’habitude pour moi-même, d’appeler le poulailler, non que je sois sûr que cela en a été un, un jour, mais en tout cas cela y ressemble beaucoup : un enclos au fond du jardin grillagé jusqu’au ciel, à l’abri des regards, avec un petit auvent pour me protéger de la pluie. Seule concession au confort, un parasol chauffant à l’instar de ceux que l’on trouve en hiver sur les terrasses des cafés, pour que je ne prenne pas froid. C’est le rôle d’Aya de m’emmener et de me récupérer de ma promenade. Je n’aime définitivement pas quand elle le fait et me saisit de ces grosses pattes dans ma cage, m’attache une laisse au collier et m’y emmène… à quatre pattes ! La première fois qu’Aya a dit à Elyse qu’elle m’avait obligé d’avancer ainsi et que j’avais renâclé, Elyse a éclaté de rire, surtout quand Aya a rajouté : «  je trouve que le Missieu blanc il fait moins le fier ainsi et j’adore regardé son cul d’hippopotame se balancer devant moi ! ». Depuis Elyse m’a « condamné » à avancer de cette manière dégradante, à l’extérieur mais aussi dans la maison…

Aya ne rate aussi jamais l’occasion de m’humilier, la garce. Mon « petit zizi de blanc » enfermé est une source sans fin de remarques acerbes dans sa bouche. L’autre fois, elle a attend le summum quand elle a demandé l’autorisation de redécorer « ma » pièce. Aya l’ayant fait devant moi, j’étais particulièrement inquiet. J’ai eu ma réponse quelques jours plus tard quand Aya est revenue avec des cadres à la maison qu’elle a pointés sur le mur en face de ma cage, sous les yeux de « notre » patronne. Tous les cadres montrent des belles bites dressées, souvent africaines ou maghrébines, avec le prénom de leur propriétaire dessous, sauf le dernier qui expose mon petit « asticot » sagement enfermé dans sa cage à la même échelle, avec simplement Thomas en dessous. J’étais mortifié d’autant plus que cela a donné une crise de fou rire à Elyse.

La présence d’Aya m’interdit toute distraction par une tâche domestique. Là est son Royaume ! Et pas question d’y toucher. Non que j’aime faire les corvées domestiques, mais dans mon ennui, cela aurait été un bon dérivatif. J’ai  bien essayé de proposer humblement mes services, surtout quand Elyse est partie, mais en vain. Aya préfère à la place me laisser enfermé des heures durant dans ma cage et être dégagée de ma présence pendant qu’elle nettoie la maison.

Tout cela peut vous paraître léger et amusant, pour qui me lit, mais Elyse m’a montré qu’elle pouvait avoir un côté beaucoup plus sombre et cruel. Le premier soir, les 2 femmes qui sont venues me « prendre » sont devenues mes bourreaux. On les appelle les 2 Sœurs, sans doute parce qu’elles le sont véritablement, d’origine allemande à écouter leur accent dans les rares paroles qu’elles adressent à leur pensionnaire. J’ai été drogué dès ma montée dans leur voiture et je me suis réveillé dans une pièce sans fenêtre éclairée d’une lumière artificielle. Je n’avais aucune idée où je pouvais être : j’ai paniqué, j’ai appelé longtemps au secours. Aucune âme vivante ne m’a répondu. On n’entend rien dans son cercueil…

La pièce était petite, peut être 2x2, grise du haut en bas avec une paillasse pour dormir au trop mince matelas et un seau hygiénique dans un coin (déjà !). J’étais de plus attaché par le collier à une chaîne tombant du plafond. Une lourde porte métallique de prison, m’isolait de l’extérieur. Et une caméra dôme inatteignable surveillait mes faits et gestes.

J’ai fini par voir la lettre sur le matelas et je l’ouvris inquiet… C’était la belle écriture d’Elyse. J’ai lu avec appréhension…

« … il faut que tu comprennes que je ne reculerai jamais devant rien pour que nous réussissions dans ce que nous entreprenons de construire ensemble pour notre bonheur. Et ce que je peux anticiper est que l’attachement que je pourrais ressentir, m’empêche un jour ou l’autre d’être aussi juste et déterminée qu’il le faudrait. C’est pour ces situations là que l’endroit où tu es arrivé, existe. On les appelle simplement les Sœurs. Elles ont une telle réputation chez les soumis, qu’il suffit souvent de les menacer de les renvoyer « chez les Sœurs » pour que tout s’apaise et rentre dans l’ordre dans les maisons. Cette crainte je veux que tu l’es dès maintenant. Je veux aussi que tu connaisses ce qu’il se passera si ton comportement me déplait un jour. Chez les Sœurs, aucune échappatoire possible, aucune jérémiade ne peut influencer son sort et dévier la sentence. Les Sœurs font ce pourquoi elles ont été largement payé et n’en dévie jamais. Il faut aussi que tu saches combien il est facile de t’envoyer « chez les Sœurs ». Tu t’inscris sur leur site après avoir montré patte blanche. Un formulaire apparait. Tu le remplis et tu payes. Tout cela ne prend pas plus de temps que de commander des nouvelles capsules Nespresso… »

J’ai relu deux fois croyant avoir mal lu, que mon Elyse ne pouvait pas être comme cela. Mais aucun doute, elle l’était et le sera. Quel était donc la spécialité des Sœurs ? Forcément quelque chose de très cruel pour terroriser leurs victimes. Je n’étais pas du tout rassuré mais arrivait à gardait mon raisonnement comme bouée de survie. Je ne dormis pas beaucoup cette nuit-là…

Le lendemain, on me servit mon petit déjeuner par une fente en bas de la porte. Cela me réveilla. Rien de très appétissant : une bouillie et de l’eau. Les Sœurs ne sont pas manifestement réputées pour leur cuisine trois étoiles. Aucune possibilité de se laver : je restais dans mon jus.

Mon cachot était définitivement silencieux, trop sans doute. Je perçu cependant un petit buzz à un moment puis le son vint. J’aurais préféré rester sourd. Des bruits de chaînes. Une femme qui pleurait. « …. non s’il vous plait ne faîtes pas cela… ». « … non je serais sage dorénavant… » Des bruits de lutte vite matés, puis juste des pleurs sans fin. Avant le fracas, le tonnerre, les hurlements, les cris, les vaines suppliques. J’étais sous le choc, incapable de reprendre pied.

Les plateaux repas sans goût arrivaient et 2 autres soumis et soumises étaient sacrifiés. Mon moral était au plus bas. Je me voyais comme un condamné dans le couloir de la mort…

Quand vint mon tour, 2 jours après mon arrivée, les Sœurs vinrent me chercher et me forcèrent pour arriver dans la salle d’exécution. Mes jambes ne me soutenaient plus. Je pleurais comme je n’avais plus pleuré depuis l’enfance. Je me laissais attacher au centre de la pièce, les bras en l’air accrochés à la chaîne qui descendait du plafond, les pieds fixés au sol. Les Sœurs me mirent une espèce de coque autour de la cage au zizi englobant les testicules, avant de me couper la vue d’une cagoule de coton sombre épais. Je tremblais, j’avais peur et l’Enfer se déchaîna…

Je n’ai pas envie de raconter ce que les Sœurs m’ont fait subir. De toute façon, l’éthique de notre monde D/S veut que l’on ne fasse jamais ni avec son Maître ou sa Maîtresse, ni avec ses congénères. Tout ce que vous avez besoin de savoir, c’est qu’Elyse a raison et que je vais suffisamment obéir pour ne jamais retourner « chez les Sœurs ». Car c’est l’Enfer sur Terre là-bas…

La soirée se termine chez les parents. Elle est si plaisante au point d’inspirer Elyse qui m’a promis à l’oreille de me donner enfin du plaisir sur l’oreiller « dès que nous serons dans ta chambre ». Depuis ma bite bat la gigue dans sa cage, impatiente.

Moi aussi je suis impatient et finalement nous allons enfin nous coucher vers 2-3 heures du matin. Elyse étudie avec intérêt ma chambre d’adolescent qui est resté inchangée sauf le lit de 140 que Maman a acheté lorsque que je suis venu avec une précédente copine. Elyse se déshabille et me demande de faire pareil. Je me mets nu et me couche sur le lit.

« Attend, mon amour. Il faut que je prenne des assurances ». Mes mains sont attachées aux montants du lit avant qu’Elyse me libère de la cage. Je ne crois pas à la pipe : il ne faut pas trop rêver. Mais une petite chatte en amazone, cela serait divin. « Tss, tss. Faudrait pas que tu me vois œuvrer… » Et elle utilise son écharpe pour me masquer la vue. Je suis chaud comme un puceau. Elle me caresse la bite tendue à l’extrême. Un mois que je ne suis pas parti ! Enfin !

Je la sens s’installer sur le lit. Elle m’enfonce un bâillon en bouche. Ce n’est pas la peine… même si mes parents sont dans la chambre d’à côté, je sais me tenir et je ne beugle pas dans l’amour. Elle me fait un bisou sur les joues tout en me caressant langoureusement le membre, pour me rassurer. Je suis aux anges, avide de sentir son humidité enfin coulisser pour mon plaisir. Mais Elyse traîne. Je ne comprends pas encore quand elle me fait relever le cul sur des oreillers, encore moins quand elle balance mes pieds au-dessus de mes épaules et les attache à la tête de lit. Je ne finis pas comprendre que quand je sens le gel sur ma rondelle, suivi bientôt de la pression du gode ceinture sur mon trou. Ma Maîtresse a décidé de me baiser le cul ! Je beugle de désapprobation. Je ne suis plus une oie blanche en termes de pratiques noires. Je sais ce que c’est ce que les femmes dominantes aime faire subir à leurs mâles. Il y en a tant de vidéos de strapon sur le web, tant cela a l’air de faire fantasmer les hommes. Mais moi ce n’est définitivement pas mon trip. Je crois n’avoir aucune envie homosexuelle non-avouée, et se faire prendre par le trou qui vient d’expulser moins de deux heures de la merde, c’est répugnant !  Et en plus me faire subir cela, à la maison, de l’autre côté de la cloison avec papa et maman... Je refuse et je ferme donc la porte.

Elyse m’enlève  l’écharpe de mes yeux. Elle me sourit avec bienveillance. Je boude et détourne les yeux, mais elle vient me chercher et me ramène dans son regard doux. Elle me chuchote : « Je ne vais pas quand même devoir te violer, mon chéri ? Nous allons y aller doucement, en complicité. Pas te casser dès la première fois. J’ai envie que tu prennes plaisir à cet échange… Allez détend toi… Laisse toi aller… ».  Elyse se désengage et se penche pour m’embrasser les lèvres, tandis que son doigt fureteur me détend et m’ouvre. Je me laisse aller à la caresse très intime. La pulpe de son doigt parcourt longtemps le bord, avant de masser le centre. Elyse ne cesse ne m’embrasser, de me câliner, je me sens beaucoup mieux. Je sursaute à peine quand sa phalange me pénètre en douceur. Je ferme les yeux et me laisser aller à l’étrange massage. Ma fleur de mâle s’ouvre et accepte l’intrusion d’un doigt, bientôt de deux qui jouent de mon élasticité interne. Je soupire d’aise…

 «  Voilà qui est mieux... Nous allons y aller tout en douceur pour une première… »

Elyse remet beaucoup de lubrifiant sur le gode, sur l’anus et se positionne de nouveau à l’entrée. Je suis plus en confiance, je la laisse entrer. La fleur se dilate sans douleur et avale en douceur la tête du gode : la trouée est faîte. C’est le plus dur. Elyse fait une pause et me laisse accepter l’intrus, puis peu à peu elle s’enfonce millimètre par millimètre jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus et que les fausses couilles reposent contre ma raie. Je relève ma tête incrédule de l’avoir pris jusqu’à la garde. J’ai une brève pensée de honte à me voir ainsi pris par ma future femme, vite remplacée par une fierté naissante.

« Attention, Thomas, je vais commencer à bouger… »

Elyse donne des petits coups d’avant en arrière, doucement. Cela ne fait pas mal mais par encore grand bien. La profondeur du va et vient augmente, et mon plaisir avec. Elyse utilise maintenant tout la longueur du gode en prenant soin de ne pas déculer. Je soupire, à ma grande surprise, de plaisir. J’aime ce qu’Elyse m’offre. Ses mouvements se font plus rapprochés. Sensations d’excitation limite douleur/plaisir. J’adore ! Je geins de plaisir. Elyse aussi à ma surprise. Puis je comprends qu’elle s’est munie d’un double gode. Elle me baise. Elle se baise. Nous baisons. C’est génial !

Elyse me défonce maintenant à grands coups de gode. Déculant quai systématiquement avant de replonger d’un coup de rein puissant dans l’origine de mon monde. Je deviens pute, sautée les jambes en l’air, la chatte en chaleur à beugler mon plaisir dans mon bâillon. Le lit couine sans fin. Le plaisir d’Elyse monte. Elle augmente la cadence jusqu’à l’épuisement, jusqu’à s’effondrer au fond de mon cul d’un long et puissant orgasme.

Ma femme reprend peu à peu ses esprits. « Mais tu bandes encore… » J’explose plutôt, dans l’impossibilité de me terminer. Elyse vient à mon secours, jouant doucereusement de l’élasticité de ma rondelle du bout de son gode, pendant que sa main me fait monter la sauce en tige. Je me laisse aller à ces bons soins et lâche rapidement une quantité importante de sperme retenue depuis un mois. Une inondation. Le bâillon m’est finalement retiré et Elyse me présente son doigt souillé de mes basses œuvres.

« Lèche, mon petit soumis... »

Le plus marrant est que, le lendemain, Papa m’a glissé complice au petit déjeuner : « Eh bien, on vous a entendu hier soir… ». Je n’ai pu m’empêcher de rougir jusqu’aux oreilles et plonger mon regard dans mon bol…

dyonisos


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-> Les autres petits contes D/S

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 06:49

Fin janvier, lors de mon anniversaire, j'ai eu un étrange cadeau sous la forme d'une carte KADO à la sauce de Maîtresse N.

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Comme vous pouvez le voir, l'invitation n'était pas complètement remplie. Je m'en suis étonné auprés de ma Maîtresse, qui m'a répondu en sphinx énigmatique...

Date inconnue -> Plannings à confronter pour date au retour du ski 
Principe de réalité avant tout sinon échec assuré
Je t'aime

Ce n'était donc pas pour tout de suite.

Les vacances au ski se sont passées, et je suis devenu plus inquiet en rentrant. Et si elle m'encageait dès que j'aurais mis un pied de retour à la maison ? J'aime bien l'idée d'être encagé mais je n'aime finalement pas trop l'instant où je perds ma liberté pour la cage.

J'ai eu un premier indice le lendemain. N. se plaignait d'avoir la maison en désordre : "Il me faudrait un soumis pour la ranger". J'ai fait mon chat endormi sur mon fauteuil club. Ne surtout pas remuer une oreille... ou sinon...

2 jours plus tard, Maîtresse N. se rappelle à moi alors que je encore suis au bureau...

Ce soir je vais au kiné
Tu prépares tout au salon
Petite séance avant mise sous cage
Rasage de propreté
Paddle, roue crantée, badine
Drap de soie sur la canapé
Et retour en grenouillère pour la nuit

C'est ce qu'on appelle un programme d'une Maîtresse déterminée. Je rentre tôt espérant la croiser parce que pour le drap de soie, je ne vois pas ce qu'elle veut dire. Je suis deçu de ne pas la trouver mais je reçois bientôt son appel pour s'assurer que j'ai bien reçu ses instructions. Le cas du drap de soie est clarifié. J'ai une heure avant son retour. Le temps de me raser intimement et de retrouver dans toutes les caisses les objets demandés.

Le rasage de son intimité face à la glace à la salle de bain est toujours un moment particulier, vaguement honteux. C'est à ce genre de chose que l'on sait que l'on n'est plus tout à fait un homme libre, même si je suis complice. Une demi-heure d'éradication de poils récalcitrants mais à la fin tout est bien lisse. J'en profite pour faire la raie entre les fesses et rafraîchir les dessous de bras. Ce n'est pas la peine de me prendre un carton rouge d'emblée, surtout avec une badine à proximité...

Je suis enfin prêt, un peu le vague à l'âme, à me retrouver de nouveau enfermé. N. revient et se joue de moi m'envoyant dans un étrange soulagement frustré : cela ne sera plus pour ce soir.

Le lendemain soir, j'ai baissé ma garde. Maîtresse N. me demande de me déshabiller et de passer l'anneau autour des couilles. Je reviens pour me voir offrir une langoureuse sucette débout devant ma Maîtresse. Puis un travail au gode d'urêtre qui s'enfonce avec délice profond, profond et que je n'ose regarder...

Je n'ai pas joui et je suis excité. Maîtresse N. s'en fiche et me condamne là sur le champ à l'enfermement. Elle doit un peu forcer pour faire rentrer le zizi récalcitrant dans sa coquille mais tout est enfermé et bien enfermé. Me voilà pris.

Le temps de me faire passer une couche et ma grenouillère et me voilà déjà aux hommages à rendre de ma langue pour éteindre l'incendie né. Au dire de ma Maîtresse, les hommages (très directifs) furent longs et bons à l'extrême, "comme à chaque fois que je tiens en cage..." A moins que cela soit ma Maîtresse qui est plus excitée par la situation.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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