Nous sommes rentrés samedi soir après une seule nuit chez mes parents. Aya étant en congé depuis la veille de
Noël et ne devant pas revenir avant la nouvelle année, nous sommes qu’Elyse et moi à la maison et j’apprécie. D’autant qu’à ma grande surprise, la « trêve des confiseurs » continue
miraculeusement pour moi, plus de séjour dans la cage de la chambre, plus de collier et autres contraintes et même le sexe resté en liberté ...
Elyse ne travaille pas et en profite pour m’emmener voir des expositions, précédé à chaque fois d’un délicieux
déjeuner au restaurant. Je reste cependant très attentif à ne pas me relâcher et que mon comportement reste respectueux. Je n’ai nulle envie que, pour un propos mal saisi ou mal pris, de
retourner dans mes prisons. Cela me demande des efforts de tous les instants et nuit quelque part à mon naturel.
Au restaurant, j’ai pris la décision de la laisser choisir. Elyse apprécie et s’amuse depuis à me surprendre
par ses choix et même à me tirer une grimace quand un plat arrive que je n’aime pas. Mais je mets un point d’honneur à finir mon assiette. Elyse remarque mes efforts et me félicite. J’en suis
heureux. C’est fou comme un mois de privation peut changer un homme…
Le soir, nous finissons habituellement devant un film sur le canapé, Elyse lovée dans le creux de mon épaule,
tout en m’excitant doucement de sa main. Elle adore me voir faire le beau sous ses doigts, tout comme elle aime voir mon « petit cul sexy » se promener à travers la maison. Je suis donc mis nu
dès que nous rentrons. Tout juste ai-je droit à un tee-shirt à manches longues pour ne pas prendre froid qui laisse un large accès au-devant et au derrière, qu’elle s’amuse à me claquer quand je
passe à proximité, avant de m’embrasser profondément pour se « faire pardonner ».
« Il ne faudrait pas que tu te relâches. N’oublie pas que nous avons un nouvel homme à faire naître. Et je ne
voudrais pas que tu ais un comportement rebelle et grognon, quand nous nous y remettrons intensément, passé le premier de l’An. »
Me voilà donc prévenu. Pour l’instant, je goûte à ma semi-liberté retrouvée. Le soir, Elyse m’autorise son lit
pour le plaisir de me sentir à ses côtés, quoiqu’elle dise pour me taquiner, qu’elle ferait mieux d’y renoncer vu que je « ronfle un peu ». Je « paye » mon séjour par mon travail amoureux entre
ses cuisses, le soir et aussi le matin, Elyse étant dans sa période gourmande. Pour moi, c’est forbidden ! Pas touche ! Et pas question de tricher, Elyse a des yeux derrière la tête et le sommeil
léger. Pour l’instant, je me satisfais de profiter de nuits reposantes sans la foutue cage brise couilles autour du zizi.
La dernière nuit avant la St Sylvestre, Elyse manifestement très excitée, décide que nous allons rejoindre tôt
la chambre. Elle m’attache de nouveau les mains à la tête de lit. Je crois que mon va cul y passer de nouveau, mais non : elle m’enfile un préservatif avant de me prendre en amazone dans
une vigoureuse chevauchée, sa magnifique descente de dos offerte à mon regard. Elyse doit ajuster l’ampleur de sa monte : au début mon phallus s’échappe à chaque montée. Cela va mieux. Elle me
mène un trot délicieux, plus qu’un galop effréné. Je résiste pour lui offrir l’orgasme. Je m’épanche de concert dans la capote. C’est nivarnesque !
Elyse se dégage finalement et met quelques minutes à reprendre doucement son souffle, allongée sur la
couette, un petit sourire aux lèvres.
« Finalement tu n’es pas si mal comme amant. Un peu petit certes, mais qui sait faire du bien par où tu
fricotes. De temps en temps, ce n’est pas désagréable et cela repose des gros obusiers… »
Je suis aux anges et ne peux pas m’empêcher de montrer ma fierté du compliment.
« Ne te réjouis quand même pas trop vite : cela reste une petite bite à l’aune de celles de mes amants qui
dévastent avec bonheur ma chatte, mon cul ou ma bouche. Que veux-tu, tu n’as pas tiré le bon numéro dans la vie, mais Dieu t’a donné une langue travailleuse et des doigts doués à la place, pour
compenser. Et une grande gentillesse aussi… »
Me laissant attaché, Elyse se lève pour rejoindre la salle de bain. Elle me caresse tendrement la joue au
passage. Je l’entends uriner dans la cuvette avant qu’un moment aprés la chasse d’eau soit tirée. Elle sort tenant son téléphone dans la main.
« Nous en étions où, Thomas ? Ah oui, ton petit zizi est mignon à croquer, mais ce n’est qu’un apéricube
qui m’a mis en appétit ce soir. Et je ne crois pas que ta langue pourra boucher la béance qui est née en bas.»
Le téléphone vibre et Elyse le regarde.
« Parfait. On vient me chercher dans 10 minutes. Ce n’était pas prévu, mais tu vas rester tout seul ce soir mon
amour, besoins physiologiques obligent. Chut… ne dis rien que tu regretteras demain. Soit mon bon petit soumis tout sage à la maison. Je reviendrai vite… »
Elyse se rhabille et m’abandonne les mains encore attachées à la tête de lit, non sans m’avoir avec un petit
sourire espiègle, donner à boire le contenu du préservatif. Elle me borde sous la couette, me fait un chaste baisé sur le front avant d’éteindre la lumière et de sortir. Je regarde le réveil : il
n’est même pas 22 heures…
Je ne trouve pas le sommeil cette nuit-là. Son départ m’a saisi au débotté. Je me sens abandonné et je
n’accepte pas du tout l’idée qu’elle soit partie voir un autre. Je sais bien que j’ai signé et ce que j’ai signé. Elle ne s’est pas cachée qu’elle ne se réserverait pas à moi. Mais la réalité
fait tellement mal au cœur. Je me sens mal, incapable de dépasser l’image de l’autre en train de la pourfendre de part en part, au milieu de ses cris de jouissance qu’il comble enfin. Alors que
moi je suis consigné, mis au rebut. Cela porte sur l’image de soi, sur ma fierté d’homme. Si au moins, j’avais été indisponible, empêché par la cage. Mais là, elle me baisote et décide finalement
que je suis insuffisant à lui donner du plaisir. Un apéricube, m’a-t-elle dit ! Un amuse-gueule ! Un boute-en-train, ouais ! Tout juste bon pour la préchauffer avant qu’elle aille se faire
prendre par un autre mieux membré. L’humiliation finale.
Et s’il elle avait tout prémédité ? Pourquoi m’avoir attaché sinon. Pourquoi m’avoir mis un préservatif sinon ?
Serait-ce un de ses jeux pervers ? Je pense avec stupeur à la série de cadres dans « ma » pièce. C’est son tableau de chasse, mis là sous mes yeux pour me taquiner, à escient ! Désespérante
pensée, je n’ai aucune chance face à ses bêtes de compétitions… Je pleure d’impuissance, sans fin, une partie de la nuit.
Finalement, Elyse rentre le lendemain en milieu de matinée. J’entends la porte d’entrée. Mais elle ne vient pas
me voir tout de suite. Elle file à la place sous la douche de la salle de bain du couloir. L’eau coule longtemps. Puis Elyse passe par la cuisine, sans doute, pour se faire un thé. Cinq minutes
plus tard, elle entre enfin dans la chambre apportant 2 mugs fumants, nue sous peignoir, ses longs cheveux humides. Je fais ma tête des mauvais jours et j’ai le regard noir.
- Bonjour mon chéri !
Je préfère me taire pour montrer ma désapprobation. Elyse me regarde interrogatif, puis semble
comprendre.
- Je suppose que tu as mal dormi… et là tu boudes.
Elle cherche à obtenir ma réaction, mais je garde mon silence. D’ailleurs qu’est-ce que je pourrais lui
reprocher : c’est parfaitement son droit et je suppose que ce n’était pas la première fois depuis que je suis arrivé dans sa maison. Mais cela ne veut pas dire que je veux être complice. Si cela
excite des hommes, que leur femme aille voir ailleurs, tant mieux. Mais moi, non : c’est un déchirement à vivre.
- Oui tu boudes… que les hommes sont compliqués… Mais heureusement, je sais comment dérider les petits
garçons boudeurs…
Elyse s’assoit au bord du lit et se penche pour saisir entre ses lèvres mon petit bout rabougri. Je sursaute de
surprise. Elle ne me l’a jamais fait. Sa bouche est tendre et délicieuse. Je vois ses seins qui dépassent par l’encolure. Mon corps se laisse tenter alors que mon esprit refuse encore. Mon sexe
reprend vie dans l’humidité moelleuse, s’érige, se gonfle d’envie. Les lèvres peuvent embrasser la longueur de la colonne pendant que la langue titille mon méat. Je relâche ma tension face à la
douceur de l’attaque. Le bout de la langue décrit la couronne à la base du gland. C’est magiquement excitant. Je me détends totalement offert quand qu’Elyse coulisse jusqu’à la racine,
débouchant, titillant, branlant, embouchant, en une folle caresse érotique entre une bouche de femme et un sexe d’homme. Je me sens violemment monter en pression d’assouvissement. Elyse le sent
aussi. D’un geste assuré, elle me pénètre l’anus d’un doigt farfouilleur pour sonner l’hallali. Un dernier soubresaut, une dernière léchette et je pars en longs jets au fond de sa gorge dans une
béatitude infinie. Elyse finit de me vider d’une main poussant sur la hampe avant de se retirer lentement, entraînant un filament de sperme qui se rompt et retombe en filet sous sa lèvre. Elle ne
me quitte pas les yeux alors qu’elle fait tourner mon « lait » dans son palais, le dégustant en grand cru. Puis finalement elle avale le tout sans réticence. Je suis stupéfait : aucune de mes
copines n’a jamais accepté de le faire !
- Très bon goût... Tu as l’air de beaucoup moins bouder maintenant, mon chéri.
Oui je ne boude plus, sidéré par la pipe sidérale qu’elle vient de m’offrir.
- Mais tu comprends que ton comportement est inadéquat ?
- Oui, Elyse.
- Alors tu vas devoir être puni pour cela. Retour du zizi en cage. Je pensais ne te la remettre qu’une fois le
premier de l’An passé pour profiter encore un peu de ta queue libre, mais tu as stupidement gâché ta chance. Alors retour en cage de l’oiseau.
Ce qu’elle pratique immédiatement avec dextérité, la cage étant déjà à « disposition » dans la poche de son
peignoir. Je me demande d’ailleurs à quel point je ne viens pas de me faire manipuler et qu’Elyse avait prévu à l’avance ma réaction de coquelet bafoué. Elle finit en me détachant avant de
m’ordonner d’aller passer l’aspirateur dans toute la maison, pour finir de « refroidir » mes idées.
- Cela te changera les idées mal placées. Après tu nous prépareras un repas rapide que nous mangerons
tôt, pour avoir du temps pour charger la voiture et partir à la montagne skier.
- Nous allons à la montagne, Elyse, mais… je ne sais pas skier ...
- C’est effectivement un problème le fait que tu ne skies pas. Tous les Berchand-Lagutte sont de bons skieurs
et je ne vois pas pourquoi mon futur époux ne le serait pas, lui aussi, pour m’accompagner sur les pistes avec les enfants. Nous allons nous efforcer de rattraper le temps perdu en accéléré. Je
t’ai réservé un moniteur rien que pour toi et nous y resterons le temps qu’il faut pour te transformer en skieur convenable. Je ne te cache pas aussi que nous y reprendrons de façon plus
intensive ton éducation, après le relâchement de ces derniers temps.
Je mets une heure à passer l’aspirateur dans toutes les pièces de la maison, du moins celles qu’Elyse m’a
ordonnées de faire en priorité. Cela comprend « ma »propre pièce et j’en profite pour prendre quelques minutes pour observer le « tableau de chasse ». Je sors perdant de toutes les comparaisons
avec les beaux sexes pris en gros plan. Comment pourrais-je lutter ? En devenant un bon mari soumis ? Au moins Elyse m’a montré que si j’étais bien sage, j’aurais sans doute droit à quelques
récompenses sexuelles, au-delà de m’occuper de son plaisir à elle. C’est l’enseignement des dernières heures, l’autre étant que je ne suis pas du tout confortable d’être retourné dans ma cage de
chasteté. Cela tiraille et picote, et me fait regretter ma liberté.
Le repas est vite expédié. J’ai fait une omelette aux lard et champignons convenables. Et Elyse m’emmène
charger le break Audi dans le garage. Aya devait être au courant, car elle a tout préparé y compris pour moi. Mon rôle se borne à charger les caisses et valises dans le coffre, quand je remarque
contre un mur, une lampe qui m’appartient et qui était encore à ma connaissance dans mon appartement.
« Ah oui, j’ai fait vider entièrement ton appartement la semaine dernière et tout a été ramené là. Quand nous
aurons du temps, nous regarderons ensemble ce qu’il faut jeter ou garder. Et oui, j’ai aussi trouvé ta collection de romans pornos… mon chéri. Avec les tâches sur les pages… Confisquée
évidemment. »
Evidemment, ainsi débusqué, je ne peux m’empêcher de rougir encore une fois.
L’après-midi est froide mais ensoleillée. Elyse m’a fait passer au dernier moment un jogging gris neutre. Je
conduis le break pendant qu’elle joue avec son téléphone. La radio diffuse des chansons des années 90 qui ont l’air de lui plaire. La route quitte la plaine et s’élève peu à peu du fond de vallée
vers le sommet. Je tente une question…
- Elyse je peux te pose une question ?
- Oui mon chéri.
- Les photos dans les cadres de ma pièce, c’est les autres ?
Elyse éclate de rire.
- Mais tu comprends vite, toi. Cela nous a beaucoup amusé avec Elyse de te les mettre là sous les yeux à côté
de la tienne, nous demandant quand tu comprendrais… Mais pour répondre à ta question : oui et non. Certaines appartiennent à mes amants réguliers et d’autres non. Mais je ne dirai pas lesquelles,
te laissant dans l’ignorance. Cela vaut mieux. En tout cas la dernière, la tienne, m’appartient totalement. C’est pour cela qu’elle est gardée au chaud dans sa petite cage…
Je me renfrogne dans mon siège ne préférant pas prolonger le sujet déshonorant. Elyse ne me relance
heureusement pas à mon soulagement. Sans doute ne suis-je pas encore assez profondément soumis pour entendre plus. Et pour l’instant je n’ai pas envie d’en savoir d’avantage. La douloureuse
expérience de la nuit dernière me suffit en émotions honteuses.
Finalement nous atteignons la station en fin d’après-midi, une station d’altitude à l’allure cosue. Je ne suis
pas étonné que les Berchand-Lagutte est là leur pied à terre ici, sous la forme d’un chalet des années 70, idéalement placé : pas loin des pistes mais un peu à l’écart du flux. Un maison pour les
migrations hivernales confortable et récemment rénovée. Le salon avec sa cuisine ouverte occupe tout le rez-de-chaussée. A l’étage, deux chambres dont une grande chambre parentale avec une porte
communiquant avec ce qui doit être un dressing. Chacune avec sa salle de bain confortable. Et en sous-sol : une chambre de service (il y a toujours eu quelqu’un au service des Berchand-Lagutte.
Pour Elyse maintenant, c’est Aya), un magnifique jacuzzi d’après- ski et le garage. Elyse m’y fait garer l’Audi pour la décharger et monter les affaires à l’étage en une dizaine d’aller-retour
essoufflés par l’altitude.
Elle me fait faire alors un thé, avant toute chose et de ranger les affaires. Elyse est d’humeur
bavarde.
« Tes cours ne commenceront pas avant dimanche, ce qui te laisse le temps de t’adapter à ton nouvel
environnement. Il faut normalement 6 fois une semaine pour apprendre à un enfant à skier convenablement, du Piou-Piou à la 3ème étoile. Cette 3ème étoile est ton objectif et mon exigence
impérative. Et je pense que 4 semaines seront suffisantes pour un adulte comme toi. De toute façon nous ne redescendrons pas avant que tu l’ais obtenue. Aya sera avec nous pendant la semaine pour
te garder et que je puisse aller à l’étude. Ne fais pas cette moue : tu sais bien qu’Aya fait partie de notre famille. Et je trouve très pédagogique qu’une tiers intervienne dans ton éducation.
Cela te permettra de trouver plus vite ta place. Tant que tu n’auras pas eu ta 3ème étoile, il n’y aura aucun changement dans ton statut. Tu dois déjà savoir que la persévérance est la meilleure
des aides pour avancer… »
Je la regarde interrogatif : de quel statut, Elyse me parle-t-elle ?
« Attends tu vas mieux comprendre. Suis-moi à l’étage. »
Nous nous retrouvons dans la chambre parentale déjà visitée. Elyse m’emmène directement à la porte du dressing
attenant. Quelle n’est pas ma surprise d’y découvrir non un dressing mais une chambre au lit aux hauts barreaux de style bébé mais à la taille adulte le long du mur. Une espèce de plan de travail
occupe l’autre partie de la pièce. A ces côtés, une pile de carton est empilée que je reconnais être pour des couches pour adultes, ne laissant aucun doute sur la destination probable du meuble :
un plan à langer. La grenouillère taille XXL qui est accrochée au sommet de la porte de l’armoire finit par détruire le moindre doute que j’aurais pu avoir sur l’intention dévoilée. Je deviens si
pâle. Elyse me laisse tranquillement découvrir mon nouvel univers, neutre dans son expression.
« Tu es pour moi comme un jeune enfant innocent qu’il faut accompagner dans ces découvertes. Tu comprends
que toute l’éducation que tu as reçue jusque-là, de tes parents et de la société, ne t’a pas armé pour devenir le mari que je souhaite et que tu vas être pour moi. Au contraire, elle t’a donné
pleins de barrières morales superflues qui non seulement nous sont inutiles, mais autant d’handicaps à ton évolution. Alors j’ai décidé que nous allons tout reprendre à zéro. Ta cage à la maison
était une sorte de matrice de maturation. C’est l’heure d’apparaître au jour dans tes nouvelles dispositions. Nous commencerons par la période de dépendance totale, même pour les actes les plus
basiques de la vie, puis peu à peu nous t’amènerons vers une maturité en meilleure harmonie avec ta nouvelle nature. Cela passe par la destruction systématique de l’image de fierté mal placée que
tu as de toi, et par l’attachement quasi maternel que je veux que tu me portes désormais pour la réussite de notre union. »
« Je sais déjà oh combien tu vas détester cette période de ton éducation, oh combien tu vas me haïr, et Aya
aussi qui y participera activement. Mais sache que je serai inflexible à appliquer ce programme pour notre bien. Dans 2 jours, je t’enlèverai tous tes droits et toutes tes libertés. Je te rendrai
totalement dépendant. »
Je la regarde complètement effrayé. Je suis sous le choc, mon esprit incapable d’envisager toutes les
conséquences de ce qu’Elyse me montre et me dit , même si j’en comprends un peu le besoin de rupture. Elyse me passe la main dans les cheveux, d’un geste tendre qui se veut rassurant et qui
m’apaise un tout petit peu.
« Mais bon ce n’est pas pour tout de suite. Nous commencerons après le premier de l’an, quand Aya sera arrivée
pour m’aider à tout mettre en place. Pour l’instant c’est fête. Ce soir, nous ferons le réveillon dans les bulles du spa. Tu verras, l’eau chaude soulagera la pression de tes couilles. Je t’ai vu
grimacer toute la journée. Je t’aurais préféré libre de queue pour ces derniers jours de l’année, mais bon ton comportement de ce matin en a décidé autrement. Et demain, nous préparerons ensemble
un merveilleux repas du premier de l’An. D’ailleurs on ne devrait pas tarder à nous livrer les fins mets que j’ai commandés en début de semaine. Tiens cela sonne : c’est notre livreur ! Va lui
ouvrir mon chéri. J’arrive. »
J’obéis heureux de quitter ma chambre de futur « bébé » et je descends à la porte d’entrée. Elle s’ouvre sur un
livreur de 35 ans environ, authentique montagnard du coin au visage buriné par la réverbération de la neige. Il a les bras chargés de sacs. Il me dévisage un peu étonné. Je l’invite à rentrer et
à déposer le tout à la cuisine. Elyse vient de nous rejoindre. « Bonjour Amédée, comment vas-tu ? Nous nous sommes préparé un thé. Tu as le temps de le partager avec nous ?». Elle ne me présente
pas : j’en suis un peu vexé. Elyse et Amédée discutent un moment sans tenir compte de ma présence des nouvelles du pays. Je me sens con de rester en statue ignorée là. Je décide d’aller ranger
les affaires. Finalement, leur conversation se termine avec la fin du thé dans la tasse d’Amédée et Elyse me rejoint à l’étage.
« Amédée est un vieil ami. Il venait me voir au chalet quand j’avais 16 ans et que mes parents étaient sur les
pistes. Cela égayait mes séjours à la montagne. Maintenant, il est marié avec une femme charmante et a trois enfants. Cela l’empêche pas de faire quelques entorses à son régime, quand je lui
demande, en souvenir du vieux temps. C’est pour cela que je te garderai sous clé même après le mariage, sachant par nature combien il est difficile à un homme marié de résister à la tentation
inspirée par des femmes comme moi… »
M’humilier deux fois dans la même phrase, c’est tout l’art de mon Elyse. Je préfère ne pas relever cette fois,
de toute façon l’anneau de cage coince la peau de mes couilles et j’ai autre chose à penser sur le moment. Maudite cage !
Le réveillon s’annonce bien. Les sacs livrés révèlent tant de bonnes chairs, une partie à cuisiner demain que
je range dans le frigo et pour ce soir, un délicieux plateau de toasts appétissants et une bouteille de champagne glacée. Elyse revient: « Notre spa est prêt, mon amour. Je vois que tu as
tout préparé. Il manque qur les flutes dans le placard au salon… à droite. » Le temps de les trouver et c’est une femme totalement nue que je retrouve, ses vêtements épars autour. « Allez ouste à
poil aussi -Thomas ! »
Buller dans les bulles chaudes tout en sirotant des bulles, est une merveilleuse façon de fêter la fin de
l’année. Et Elyse avait raison, l’eau chaude est un bonheur pour mes couilles endolories, qui s’y ramollissent enfin avec délices. Je suis amoureux ce soir. Je me fous des choses signées. Je mes
fous des autres. J’ose simplement. Je me penche pour prendre les lèvres de mon amour, d’un profond baiser. Après un instant de surprise, elle s’offre à ma langue totalement. Nous restons soudés
en apnée. Ma main se fait sous-marine dans les bulles à la recherche de l’antre du dragon, sans lâcher la douceur de sa bouche. Elle s’offre à ma caresse, m’offrant un orgasme puissant que
j’étouffe entre ses lèvres. 2 êtres qui se sont trouvés et sont heureux, ce soir, seuls au monde au milieu de la montagne.
« Merci, c’était très bon. Montons, mon amour, continuer ce que nous avons commencé. Et passe prendre une
nouvelle bouteille de champagne à la cuisine : celle-ci est déjà vide… »
Nous arrivons dans la chambre encore mouillés et nous nous lovons d’excitation sur le lit. Je pose des baisers
sur toutes les parties de son corps, descendant peu à peu débusquer sa fleur. Sa main titille mes tétons ou me masse le paquet de couilles. Ses ongles taquinent mon zizi enfermé qui fait la
grenouille enflée par les ouvertures de la cage. Je suis tout excité. Elyse aussi. Je suis prêt à engloutir d’une bouchée son sexe luisant, odorant et si tentant. Mais elle me repousse
doucement.
« Attends, cela ne sera pas suffisant ce soir, tellement tu m’excites et que je suis ouverte. Dommage que tu es
été assez stupide pour retourner dans ta cage si tôt, foutu âne bâté jaloux. Et non je ne te libère pas : il faut quand même maintenir la moralité dans notre couple. D’ailleurs je me connais :
j’ai laissé la clé à la maison pour ne pas être tentée. Mais j’ai une solution de secours. J’y ai pensé avant de partir. Et si cela peut m’éviter parfois tes bouderies du matin d’après, pourquoi
ne pas essayer après tout. Attends-moi, je reviens dans une seconde. »
Elyse revient avec le gode ceinture qui m’a baisé le cul chez mes parents. Mais elle en change le rôle. Elle me
le fixe sur moi, au-dessus de la cage : je suis maintenant un garçon bien membré facticement, pendant que mon vrai petit zizi ne cesse de crier sa détresse dans sa petite cage. « Allez prends moi
maintenant mon amour !».
Je fais tout ce que les hommes ont toujours fait. C’est inné chez les garçons. Je m’agenouille face à Elyse et
je l’embroche profondément de mon gode accueilli pas un cri de satisfaction. C’est une tromperie de l’esprit : cela ressemble à tout coït intense. Je vais et viens sans cesse. La femme gémit sous
mon langoureux pilonnage. Mais je n’ai aucune des sensations humides et tactiles qui devraient normalement accompagner mes mouvements. C’est le vide absolu de sensation en bas, à part cette
pression à moitié douloureuse que je ressens de mon zizi trop à l’étroit. Elyse nous fait changer de position : la voilà maintenant en levrette, avide de mon faux-sexe, bien plus long et gros que
ce que je pourrais naturellement lui proposer. Je ne résiste pas enfin à créer un vrai contact sur son anus offert avec mon pouce humidifié qui masse et pénètre doucement : c’est toujours mieux
que l’absence de tout. J’entends plus que je sens cette fois-là, l’orgasme de mon Elyse qui monte, monte et explose largement !
J’en retire une bite douloureuse à ne pas pouvoir pu faire. Il me faut quelques temps pour que la pression la
déserte, Elyse dormant déjà contre mon épaule du sommeil du juste.
Le lendemain, au réveil, je m’occupe des mes doigts et de ma langue à souhaiter un bonne année à Elyse. Nous
nous levons tardivement. « Et si nous passions la journée tout nus ? » Cela ne change pas grand-chose pour moi par rapport aux dernières semaines, mais Elyse, juste vêtue de son déshabillé
transparent, m’offre une excitation continue. Nous ne cessons de roucouler, de nous embrasser alors que nous préparons ensemble notre repas de fête, que nous dégustons avec de bons vins. Nous ne
résistons pas à l’envie éméchée à rejouer le coït de la veille lors d’une sieste crapuleuse avec le gode ceinture, avant de finalement tomber de fatigue le soir et de nous endormir devant la
télévision.
Moment de partage, de complicité, d’amour qui prend abruptement fin le lendemain quand Aya nous rejoint au
chalet.
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