Dimanche 22 janvier 7 22 /01 /Jan 12:30

CHAPITRE 18 - Første kys

Quelques minutes plus tard, Claire était immobilisée le ventre contre l’établi de travail, les jambes pendantes d’un côté, trop courtes pour toucher le sol, mais laissant son cul à hauteur de phallus. Impossible de se relever avec les mains ficelées au bord de la table.

Elle avait continué de protester contre l’homme, de lui dire qu’il était trop bien monté pour elle, qu’il allait faire trop de dégâts, qu’elle ne le voulait pas… mais à aucun moment elle avait essayé de s’échapper. Oh comme elle se détestait dans cette molle attitude. La déconnection de sa volonté et de son corps continuait. Elle mouillait de plus belle, indéniablement, de la façon la plus humiliante possible. Comme une donzelle qui attendait avec avidité les coups de goupillon blasphémateurs  du Mâle.

Claire avait fini par se taire quand son esprit s’était aperçu avec fatalité que toutes ces véhémences ne faisaient que renforcer la dureté du barreau de chair chez l’homme. Elle reporta donc son attention sur la danoise au fond qui passait un coup de fil, dérivatif pour ne pas appréhender la suite. 

La main de l’homme se posa sur ses reins. Claire sursauta. Il lui caressait pesamment les globes des fesses. Une image se forma dans sa tête : une jument que l’on flatte avant la saillie ! Cette idée l’hypnotisa alors que l’homme pressé enfonçait brutalement son doigt entre ses grandes lèvres. L’index forçait la vulve et affolait ses sens. Impossible de cacher l’humidité qui régnait dans sa matrice. Elle feula de résignation face à la trahison de son corps. Qu’il soit maudit ! Non elle ne devra pas se laisser aller à apprécier cette bassesse. Mais, sitôt née, sa fragile résolution chancela déjà quand l’homme rajouta un second doigt et s’enfonça plus profond pour aller découvrir la rondeur du col au fond du conduit. Elle ressentait maintenant l’infâmante pression de la main sur l’entrée du vagin. Jamais elle n’avait eu l’impression d’être aussi envahie et son corps lui aimait tellement cela. Les doigts remontaient lentement en écartant les muqueuses.  Claire serra les dents pour ne pas gémir. Son reste de volonté défaillante ne voulait pas offrir à son tourmenteur cette victoire. L’homme s’arrêta à une phalange de la sortie et recroquevilla l’extrémité de ses deux doigts à l’intérieur vers le cul de la femme. C’était comme s’il avait trouvé l’extrémité d’un nerf. Un puissant influx traversa le corps de Claire et alla éclater en un long gémissement que ses lèvres laissèrent échapper.

- Ah ! Tu te décides enfin à crier ma belle. Mais rassure-toi, tu hurleras tout à l’heure comme une bonne salope en chaleur quand je te perforerai ton cul vierge de femme mature ! J’en bave d’impatience ! D’ailleurs nous y allons de ce pas…

Et sur ce, satisfait de son effet, l’homme dégagea d’un coup ses doigts dans un bruit de succion, avant de donner une tapette possessive sur le cul de Claire. Toujours l’image rémanente de la jument avant la saillie.

L’animation avait attiré Elke, toujours dans sa conversation. Elle se rapprocha au-devant de sa consœur.

- Attends… cela se précise… reste en ligne… tu y es ?... profite… cela devrait être très… intéressant….

Et sur ce, la danoise posa le téléphone sur l’établi à côté de Claire, qui n’eut pas le temps de s’en inquiéter car déjà les doigts, luisant de cyprine, de l’homme remontaient le sillon de ses fesses pour s’arrêter sur la rondelle dont ils se mirent à tester la résistance et les défenses. L’appréhension monta d’un cran chez la femme. L’inquisiteur arriva à forer finalement un passage, difficilement. La bouche de Claire se crispa sur la douleur. Tout mouillé qu’avait été le séjour du doigt dans l’autre antre, ce n’était pas apparemment pas suffisant. Le doigt tâta un temps l’intérieur, interrogatif. Crème ou pas crème ? L’idée d’être prise à sec finit d’affoler le cerveau de la femme. Non pas ça ! Elle ramassa ses derniers restes de lucidité pour protester :

- Monsieur, s’il vous plait ?

- Oui mon trou à bite ?

Toujours ce même langage ordurier et humiliant du Mâle en rut. 

- S’il vous plait, pouvez-vous mettre de la crème ? S’il vous plait !

Claire se haïssait dans cette demande ! Ne pas avoir le cran de dire non. Réduite à quémander un peu de lubrifiant pour avoir moins mal au « popotin ». La honte ! Très loin de l’image qu’elle se donnait d’elle-même. Réduite à subir la loi d’un Mâle qu’elle ne connaissait pas il y a une heure. Sous sa déchéance, elle baissa sa tête pour cacher sa honte derrière ses cheveux retombant.

- Si tu veux ma salope…

L’homme retira son doigt pour aller chercher le lubrifiant dans le bureau. Il revint vite. Claire sentit l’odeur puis le contact a noix de crème qui lui étalait à l’entrée de l’anus. Elle n’était d’ailleurs plus que cela ! Une machine déshumanisée à sensations. Un doigt de nouveau la pénétra pour bien étaler l’onguent jusqu’à l’intérieur, puis s’enleva. C’était l’heure ! Le passage entre-ouvert ne fut pas laissé longtemps béant et elle sentit le dur et exigeant contact du bélier monstrueux de son assaillant forcer déjà sur l’étroit passage. Claire chercha à se relever par réflexe. Par peur aussi sans doute. Mais l’homme ne l’entendait pas ainsi et de sa lourde paluche dans son dos, il l’obligea à reprendre la position. 

Le bélier de chair gagna finalement. D’une dernière poussée, il détruisit toutes les défenses et pénétra dans la citadelle écartant impitoyablement les chairs. L’onde de choc douloureuse remonta le long de la colonne vertébrale pour finir en un long cri de désespoir. L’homme n’en tint aucun compte et continua centimètre par centimètre par s’enfoncer dans les entrailles, séparant avec douleur les muqueuses qui cédèrent une à une pour laisser la place à l’envahisseur. Claire avait cessé de respirer, les yeux se troublant de larmes. Le mandrin finit par buter au fond, salué par le paquet de couilles du Mâle qui vint rebondir sur les bords du sillon des fesses. C’était insupportable ! Claire essaya encore une fois de se dégager, mais la main de l’homme se fit plus pressante pour la maintenir. La colonne de chair resta un instant fichée au bout du monde, avant d’attaquer son retrait temporaire. Les muqueuses et l’anneau de nouveau malmenés envoyèrent un afflux de signaux de détresse, que Claire ne parvenait pas à gérer. Arrivé presque au bout, l’homme attaqua un lent mouvement de pilonnage. Claire hurlait sa détresse inondée par les larmes qui s’écrasaient sur l’établi. Chaque envahissement était souffrance infinie. Elle n’aurait pas eu plus mal s’il avait utilisé directement un fer rougeoyant dans le cul. Même la veule excitation de son corps s’éteignait. Claire pleurait maintenant à chaudes larmes incapable de gérer sa souffrance.

- Respire !

Ce conseil d’une voix amie émergea au milieu du labyrinthe de douleur. Claire s’y raccrocha immédiatement comme un frêle esquif au milieu de sa tempête de souffrance. Elke venait de s’accroupir devant elle, et lui prenait la tête entre ces mains. Que ce contact était doux. Elle lui dégagea les mèches de cheveux du visage pour mieux lui transmettre la force de son regard réconfortant. Sa main lui caressait tendrement la joue, apaisante. Et peu à peu les cris de Claire diminuait alors qu’elle s’agrippait à la douceur des yeux de la danoise. Son corps était balloté en tous sens par le désir de l’homme, de plus en plus rudement. Mais elle s’en fichait, son attention concentrée vers les beaux yeux d’Elke.

Les visages se rapprochèrent. Les lèvres se frôlèrent. Claire désirait Elke, indépendamment de ce que lui faisait subir l’homme derrière. Les lèvres finirent par s’écraser les unes contre les autres. Une telle fraicheur, une telle douceur, une telle féminité par rapport au désir brut du Mâle qui lui labourait les reins, entre deux hans de satisfaction masculine égocentrique entrecoupés d’injonctions ordurières. Claire accueillit l’intromission de la langue avec avidité, cherchant le contact pour s’enivrer du goût de son amante, luttant même pour garder ce lien si désiré malgré les soubresauts que l’homme imposait à son corps. Elle goûtait l’âme d’Elke.

L’émotion brut se transformait en boule de plaisir qui montait du bas de son corps nu, déclenchant des vagues de palpitations dans tous les nerfs qui finissaient par des gémissements étouffées par la bouche d’Elke. La douleur dans son cul se sublimait. Le phallus de l’homme s’était réduit à un excitant gode vibrant naturel et pervers qui venait idéalement compléter le plaisir pris dans la bouche de la danoise. Claire se laissait couler dans le goût, l’odeur, le toucher d’Elke. Son plaisir montait et elle le partageait avec son amante. Sa tête se mettait à tourner de plus en plus vite en tous sens. Elle ressentait maintenant chaque partie du gode vibrant besognant vicieusement dans ses entrailles lui arracher des gémissements encore des gémissements. Elle était bien, heureuse, accrochée à la bouche d’Elke. Le plaisir déferlait en elle. Enfin ! La pression dans sa tête augmentait. Elle voulait que ce moment de communion ne finisse jamais. Elle n’était plus qu’une boule de ressentis et d’émotions, avide de plaisir. Elle était prête à exploser. Elle ressentait dans les limbes que le sexe de l’homme se faisait plus gros, plus puissant. Et elle partit dans un fabuleux orgasme avec un profond râle de jouissance trop longtemps contenu qui l’éteignit complétement au moment même où les premiers jets de sperme brûlants fusaient au fond de ses entrailles.

_______________

- Al…lo… ? Al…lo… ?

Claire se réveillait doucement sur l’établi de son évanouissement de plaisir. C’est la première fois que cela lui arrivait. Elle avait était détachée. La question presque incompréhensible venait du haut-parleur grésillant du téléphone toujours allumé. Elke le récupéra.

- Oui… je suis là… alors ? …

Claire n’entendit pas plus car Elke s’éloigna avec le téléphone. Elle était sonnée. Lucas l’aida à se relever. Un homme prévenant, si différent de la bête qui lui avait déchiré le cul. Ses premiers sentiments étaient mitigés à son encontre. Voulait-elle retenir la brute mâle et inattentionnée qui l’avait prise quasi de force ? Le puissant phallus qui lui avait apporté - au final - tant de plaisir intense ? ou le plaisant ajout à son premier baiser avec Elke ?

Elle entrevoyait cependant la puissance de jouissance qu’apportait cette position si dégradante pour la femme. Pourquoi avait-elle attendu aussi longtemps à ne pas s’y adonner ? Par peur de l’inconnu sans doute. Mais là quelles découvertes, la douceur de la langue d’une femme, le plaisir se faire prendre le cul par une belle queue. Mais si Elke n’avait pas été là, aurait-elle pris autant de plaisir ? Tout s’était mélanger dans le climax et il lui été impossible de dire quelle était la part de chacun.

Claire n’était pas belle à voir le corps flétri par le mélange de sueur et d’huile de  l’établi. Son anus continuait encore à palpiter, suite de l’assaut. Elle voulait prendre une douche chaude mais Lucas lui dit que l’atelier n’en avait pas. Dommage. Mais Elke, qui en avait fini avec son interlocuteur, la pressait déjà de se rhabiller car il était plus que temps de partir. Elle jeta ses vêtements sur elle plutôt qu’elle s’habilla. Et elles furent rapidement dehors … sans autre forme de politesse.

Sur la route vers le Domaine, Elke posa sa main sur la cuisse de Claire qui frissonna de plaisir. 

- Alors tu as aimé ?

- Enormément Elke ! C’était si puissant ! Merci de m’avoir fait découvrir ce plaisir… 

Claire laissa sa phrase en suspens. Elle ne savait pas comment en parler. Elle aurait tout donné pour goûter de nouveau, immédiatement, à la bouche de la danoise. Mais celle-ci était redevenue distante comme s’il ne s’était rien passé entre elles. Et elle ne savait pas trop comment l’aborder. Elle dit simplement :

- Encore Merci Elke.

Elle se tût un moment alors que la voiture traversait des bois. Elle n’en revenait pas de s’être évanouie. Evanouie de plaisir ! Pour elle, ce n’arrivait que dans les livres, pas dans la vie réelle. Et pourtant… Elle était bien, heureuse et détendue.  Son esprit arriva sur Lucas, un homme si étrange, si délicat et prévenant dans la vie, mais qui devenait un Mâle en rut au lit ou … ailleurs. Un homme si différent de son Pierre. Un vrai Mâle lui ! Elle comprenait qu’il n’aurait pas pu la prendre d’une autre façon. Face à une telle nature, il était finalement normal que les femmes subissent les assauts du Mâle. Il ne pouvait pas en être autrement et elle s’avouait qu’elle avait été loin d’être perdante dans l’échange au final, malgré sa peur, malgré ses appréhensions, malgré la douleur initiale. 

Claire jeta un coup d’œil à Elke au volant. Elle ne se serait jamais crue capable d’aimer échanger un baiser amoureux avec une autre femme. Elke était si désirable et au final, elle en avait eu un peu, si peu. Elle en voulait plus, mais la danoise était redevenu si distante, décourageant à l’avance toute nouvelle tentative de retrouver ces lèvres envoutantes. Elle se rappela alors le détail du téléphone. Elle n’y avait pas pensé. Mais l’interlocuteur de la Danoise avait écouté tout le temps où elle avait crié et supplié. Il l’avait aussi forcément entendu hurler son plaisir à la fin. Claire rougit à cette dernière pensée. Elle osa poser la question.

- Elke qui c’était au téléphone tout à l’heure pendant que Lucas me…

- Tiens tu as remarqué.

- Oui

- Tu veux vraiment le savoir ?

- Oui 

- Même si cela ne devait pas te plaire ?

- Tu m’inquiète Elke. Qui… Qui c’était ?

- D’accord. Tu l’auras voulu. Je parlais avec mon bjørneunge avant que… vous commenciez Lucas et toi.

Claire s’enfonça dans le fauteuil de la voiture.

- Il.. il a tout entendu ?

- Oui tout ! Et il a beaucoup aimé. Un efficace dépucelage de cul qu’il m’a dit. Plaisant à écouter.

Elke jeta un regard à sa passagère. Son visage était devenu cramoisi ce qui la fit sourire intérieurement.

- Par contre il n’a pas trop aimé quand je lui ai dit que je t’avais embrassé. Tu sais même après toutes ces années, il est encore jaloux de mes nouvelles conquêtes.

Jaloux ? Nouvelle conquête ? Et Joseph a tout entendu ? Elle n’était quand même pas un jouet entre les mains d’Elke. Elle s’était offerte à elle en toute innocence ! Pas pour ajouter une ligne à un tableau de chasse d’une Maîtresse femme ! Pas pour apporter de la veule excitation à un mari encagé et frustré ! Claire se sentit dégradée et trahie. Elle réagit véhément.

- Tu n’avais pas le droit !

- Comment cela ? Je ne t’ai rien imposé. C’est bien toi qui a pris la bite de Lucas en bouche, lui a offert ton cul et a accueilli avec avidité mon baiser. Mais si j’étais toi je ne m’inquiéterai pas pour si peu car tu as un problème plus grave…

- un… un problème plus grave?

- Oui mon bjørneunge n’était le seul à écouter tes exploits. 

- pas… pas seul ?

- oui ton chihuahua a aussi entendu au haut-parleur. C’est toujours très instructif pour un mari soumis d’entendre sa femme prendre du plaisir avec un vrai Mâle ou une femme.

Catastrophe ! Non Pierre ne pouvait pas avoir tout entendu. Que pourrait-elle lui dire après tout cela ? Claire tomba en larmes, sous le regard amusé d’Elke. La voiture s’engageait déjà dans l’allée du Domaine et se gara dans la cour. La danoise fit le tout pour ouvrir la portière à la passagère.

- Allez, descend maintenant. S’il te plait… Claire…

Claire descendit en chancelant en automate.  Sonnée et si lasse. A quelques mètres, se tenait le bâtiment en pierres de l’écurie où Pierre l’attendait dans son cachot. Mais là elle se sentait incapable de l’affronter. Elle avait trahi sa confiance !

Elle tourna les talons et prit le chemin de la chambre.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Dimanche 22 janvier 7 22 /01 /Jan 06:00

En fait, Maîtresse m'a autorisé à la fin de la rencontre sur l'oreiller à ne pas remettre la cage tout de suite. J'avais gagné quelques heures de liberté... L'après-midi se passe avec une agréable impression de légereté autour du zizi et dans les couilles.

Arrive le soir. Je suis toujours libre. N. se couche tôt sans moi qui n'ait pas sommeil. Et là je rémomore la journée... J'ai soudain conscience de ma liberté et peu à peu nait une idée vicieuse dans mon esprit ! 

Et si j'en profitais ?

Je balance entre le non, le oui, puis le non, puis le oui. Et puis merde ! Me voilà parti pour une authentique petite branlette, délicieuse à souhait, avec le goût de l'interdit qui finit en un bel orgasme orné de puissants jets de sperme. Sentiment de plénitude. Et pour couronner mon pêché je reste libre de ma queue pour la nuit... tout en étant curieux en m'endormant de la réaction de ma Maîtresse de femme.

Réveil le matin. Maîtresse N. comme elle a pris l'habitude part à la recherche de SON pénis encagé. Mais là rien, rien du tout, libre la bête mais au garde à vous.

- Ben qu'est-que-c'est que cela ?

- Je ne l'ai pas remise hier soir...

- Humm pas bien cela. Tu seras puni !

- Bien Maîtresse. Et... en plus je me suis branlé hier.

- Quoi ?

Et là Maîtresse part à la recherche de mes couilles pour les écraser. J'ai heureusement anticipé la réaction en refermant au plus vite mes cuisses.

Et puis .. rien de plus. Il était temps de se lever.

Alors ? Je ne sais... L'avenir dira si c'est une faute impardonnable ou une faute avouée à moitié pardonnée. Et personnellement je pencherais plus pour la seconde. Mais bon ce n'est pas moi qui tient le fouet...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 21:11

Je finis de nettoyer (désinfecter plutôt) la cage avant remontage, bite à l'air. J'en profite pour me... masser délicieusement la hampe. Et je me dis que finalement ce n'est pas cool d'y retourner dedans.  Mais bon pas le choix.

Je reviens dépité dans la chambre pour m'y faire enfermer. Maîtresse N. est allongée lascivement sur le lit, manifestement très détendue. Elle discute au téléphone avec une copine.  Je tiens une belle érection dans la main en adorant des yeux les subtile courbes de son corps sous la dentelle. Un peu embêté quand même car cela ne va pas lui être facile de me faire rentrer dedans (et oui la bête éveillée n'est plus si rikiki).

N. raccroche. Son regard va de la tête à l'entrejambe avec un petit sourire aux lèvres. 

- Approche-toi !

Je pose les genoux sur le bord du lit. Le phallus arrive à quelque centimètres de son visage..

- C'est tout propre cela ?

- Oui Maîtresse. J'ai bien nettoyé.

- Vérifions !

Et sans autre cérémonie, elle attrape de ses lèvres le bout de ma tugescence pour un premier baiser amoureux. Humm que c'est bon.

- Cela sent encore le petit garçon négligé.

Aie ! Je crains de perdre toute chance. Mais non. Elle descend peu à peu le long de la tige qui frétille de bonheur et j'accueille d'un long soupir l'humidité intime de sa bouche. Un régal après si longtemps. N. trouve rapidement le on rythme et je grimpe quatre à quatre les marches du plaisir, sentant au creux de mon ventre la boule s'épanouir. En de larges mouvements, elle m'amène de plus en plus près de l'explosion finale. Mais elle arrête subitement !!!

- Tu ne pars pas ? Pourtant j'aurais attendu qu'après 40 jours tu n'éclates au moindre frottement. Décevant tout cela... Tant pis pour toi ! On verra peut être ce soir si tu auras une autre chance. Va remettre ta cage !

Je dois faire une tête d'épagneul déçu, car elle me dévisage en riant un peu. Je n'ai vraiment pas envie de retourner dans ma cage ! Pas tout de suite, pas ainsi.

- Ou...

- Ou quoi mon Amour ?

- Ou tu me prends tout de suite là ! Tu as un préservatif ?

Je me jette sur le grainetier pour en récupérer un et me capuche la bite en feu avec.

- Allez viens maitenant. J'ai envie de ta queue !

Je ne me le fais redire deux fois. En un instant, j'obéis et m'enfonce entre ses cuisses. Quel plaisir ! Et quelle jouissance. L'impression de se vider de tant de tension accumulée. Maîtresse m'a laissé allez au front tout seul heureux que son petit mari soumis prenne son pied après si longtemps.

C'est ainsi que j'ai perdu ma (nouvelle) virginité au bout du 43ème jour.

Merci Maîtresse.

Merci N.

Je t'aime.

Bien sûr après j'ai vite retrouvé la cage et tout est redevenu comme avant.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 06:00

Un peu plus tard, j'attends son retour à genoux au pied du lit les mains dans le dos. 

Inspection !

Aie. Je sais ma Maîtresse une croisée de la délivrance des pauvres petits poils coincés dans mes méchants boutons. Evidemment elle en a trouvé quelque uns quoique moins qu'elle aurait espéré. Et après le sempiternel reproche pour lui avoir perdu son scalpel, l'arme d'attaque improvisée du jour est... un capuchon de stylo bic. Sans doute pas très efficace, car je douille moins que d'habitude. Mais la chose en cage a quand même entamé une manifestation de protestation en allant se cacher bien au fond de sa coque. Maîtresse n'est pas contente, elle n'arrive pas à me piquer le méat par l'ouverture. Alors elle se venge, en me comparant à la taille du dit capuchon.

Comment-veux tu me faire jouir avec cela ? Heureusement que tu as tes mains et ta langue, car sinon...

Je constate navré qu'effectivement le capuchon et le zizi ont la même longueur. Honte et humiliation ! 

Passons... et ouvrons le grainetier !

Elle en sort rapidement la baguette d'osier. Pas d'attaches, libre de mes mouvements mais devant rester en position mains sur la nuque. Cela va être dur. Une douzaine de coups dont 4 puissants me frappent les reins pendant qu'elle me fait la morale.

Je t'ai autorisé à racheter une bouteille de whisky samedi SOUS RESERVE que tu sois raisonnable. Et quand je vois combien tu en as pris, je ne suis pas prêt de l'autoriser de nouveau ! C'est minable !

Je savais que j'allais m'en prendre une pour cela... alors là c'est l'addition. Elle a changé pour le fouet qui claque devant moi.

Ah, ah. J'adore ce bruit !

Et sans que j'ai le temps de d'appréhender, la lanière me cingle déjà le cul en coups rythmés. Je commence une gigue avec mes jambes qui la ravit et il me faut toute ma volonté pour revenir à portée de l'arme cinglante. Elle continue ses reproches.

Et tu me trouveras un système comme les cigarettes pour te brimer toute consommation de boisson alcoolisés jusqu'à nouvel ordre ! Je contrôlerai car je ne peux pas vraiment te faire confiance !

Il semble que la leçon soit terminée car elle repose le cuir. Maigre répit.

Penche-toi sur le lit et tend ton cul, mon amour.

Je pose les mains sur les couvertures pour sentir une nette pression froide sur ma rondelle. Le rosebud ! A sec ! Je m'inquiète d'avoir mal tout en me persuadant qu'il ne rentrera pas. Mais ce que Maîtresse veut... Les portes cèdent sous la poussée et l'antre noir finit par avaler goulûment l'intrus. Au bout d'année de jeux, c'est si bizarre de constater que ce qui paraissait impossible devient réel finalement. La cage en permanence, le fourrage à sec. Bien pris, l'ordre suivant m'arrive. Le temps de l'hommage entre ses jambes.

Drôle de minette d'ailleurs. Maîtresse d'abord très bavarde me parlant de la dernière bêtise du gamin, comme si nous étions dans la cuisine. Mais là j'ai la tête entre ses jambes ! Et évidemment je ne peux rien répondre. Tu écoutes et tu suces ! semble être le thème. Puis Maîtresse devient silencieuse. Je sens qu'il est temps de passer la seconde. Je sors les dents et va mordiller le petit chose aux grands soupirs de contentement de N. La voilà partie pour une nouvelle balade de plaisir...

Mon devoir fait, Maîtresse est détendue prête à s'endormir du sommeil du juste. 

Tu vas te nettoyer maintenant et tu retournes à ton travail. Et tu enlèves ta cage pour bien tout nettoyer, la clé est sur la commode.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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