Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 08:30

Hier soir je suis monté au lit avant N. C'est d'ailleurs assez habituel pendant mes périodes de soumission et à l'opposé des périodes vanilles. Comme si être soumis fatigue plus tandis que les endomorphines de dominante donnent un surcroit d'énergie à N. 

Quand elle me rejoint, je suis en train de lire tranquillement un blog D/S que j'ai déniché ces derniers jours, a man in my position, qui relate la vie, fondée sur la discipline conjugale du mari, d'un couple américain et de leur bonne. Inventé ou pas ? C'est toujours la question qui se pose à la lecture de tels blogs. Mais c'est rudement bien écrit. Sauf qu'il il y a dedans l'emploi de mots ou d'expressions typiquement américaines dont je dois vérifier le sens sur internet pour saisir exactement la subtilité du récit.

- Que fais-tu mon soumis ?

Je lui dis que je lis un blog américain et lui explique la situation en deux mots. Elle me regarde chercher la traduction de mes mots.

- Tu dois être le seul, mon chéri, qui entretient son anglais en allant lire des blogs SM !

El elle en rit.

- D'ailleurs tu n'as rien écrit de nouveau sur le blog depuis le début de la semaine. J'y suis allé hier.

Maîtresse est une personne étonnante. Jamais elle ne participe à la communauté des blogs : aucun article, aucun commentaire. Mais elle adore se lire en reflet dans mes propos. Je prends sa remarque comme un reproche.

- Tu as du y aller hier dans la journée. J'y ai mis depuis deux nouveaux articles.

- Ah ? Je ne savais pas. J'irai donc voir...

Maîtresse s'est lovée sous les draps. Et je sens sa main partir à la recherche de mon sexe comme elle a l'habitude chaque soir. Elle le trouve... libre.

- Comment cela tu n'as pas remis ta cage ?

- Non tu ne me l'as pas ordonné, alors j'ai attendu...

- Je croyais que tu allais la remettre dès ton retour à la maison, comme un soumis bien sage. Je l'aurais bien vérifié à mon retour, mais il y avait les enfants et ce n'était pas possible...

Je me tais en attendant la suite, qui ne vient pas. A la place, elle me caresse amoureusement la colonne qui apprécie et devient dure. Je me replonge dans la lecture du blog tout en savourant le massage.

- C'est fou que quand, tu es en période de cage, ta dureté laisse à désirer. 

Pourtant il me semble que mon érection an bas est très fière, mais manifestement elle juge que non.

- C'est un peu mou tout cela... tu m'as habitué à être plus dur.

Je lui fais remarquer qu'elle a l'habitude actuellement de la dureté des godes et que le contraste ne joue pas en ma faveur. Elle acquiesce presque à regret. L'image du gode doit lui avoir donné d'autres idées de comparaison, car elle reprend !

- Et c'est si petit ! Comment veux-tu me donner du plaisir avec cela ?

Maîtresse est taquine.

- Quoique que je reconnais qu'elle a la taille parfaite pour que tu me prennes le cul. Je ne vois comme je pourrais m'enfiler la taille de bite comme celle de Donatien sur les blogs.

Tout a fait ma Maîtresse là : m'humilier tout en adoucissant ses mots en même temps. Mais l'humiliation est bien là. A côté de la bite de Donatien, j'ai un zizi de garçonnet. J'ai beau savoir que Donatien est plutôt dans le haut de l'échelle, l'attaque porte ses fruits et je mange ma honte. Elle ne parle plus mais continue à me caresser. Je reprends la lecture du blog américain.

Tout d'un coup je sens une piqure. Elle vient de me rentrer son ongle effilé dans la fragile peau du gland décalotté. Je sursaute et gémis.

- Tu ne croyais pas que tu allais t'en tirer à si bon compte... Punition !

Punition qui commence immédiatement faite de griffures sur ma tige, d'enfoncement de ses ongles dans la chair et de broyage de couilles. J'ai laissé tomber l'ordinateur et je souffre en silence, les yeux plissés, la grimace à la bouche, le souffle court. Je sens son regard sur mon visage pendant qu'elle me punit.

- Tu sais que j'adore te voir pincer ta petite lèvre quand je te martyrise. Un vrai bonheur !

- Oui Maîtresse. Vous adorez contempler le résultat de vos actions !

J'ai dû mettre involontairement un petit ton ironique dans ma réponse, car elle me vaut en représailles une prise immédiate en tenaille de mon gland entre ses ongles pointus. Je laisse échapper un petit cri, qui manifestement la ravit. Elle continue sa punition tout en observant attentivement mes grimaces de douleurs. Cette idée m'excite indéniablement. Je sens au fond de mon corps, la mécanique de la jouissance masculine se mettre en place en une sorte de boule de pression bienveillante. Je sais que je rentre dans la zone interdite. Alors je demande...

- Bien sûr, je n'ai pas le droit de jouir...

- Non ! C'est notre période de chasteté. En vanille tu aurais sans tout une droit à un baisé de ma bouche sur ton sexe. Mais actuellement... la fée Lacion est en vacances !

Je mets deux secondes avant de comprendre l'énigmatique fin de se phrase. J'en éclate de rire suivi par ma Maîtresse qui continue sa métaphore.

- Non en ce moment elle est remplacée par la fée aux doigts crochus !

Et pour appuyer son image, elle me griffe fortement le sexe.

- D'ailleurs ce n'est pas la seule fée en vacances. Il y a aussi la fée du logis. Et là c'est mon soumis qui la remplace... Mais je t'assure la fée Minité est, elle, toujours là...

J'en rigole avec elle. Ma Maîtresse est vraiment en grande forme ce soir. Elle finit par lâcher sa propriété entre mes jambes et se relâche sur son oreiller.

- Allez fais-moi jouir de tes doigts mon petit soumis. Maintenant !

Ce que j'ai fait longuement, bite au vent... Jusqu'à qu'elle s'endorme bienheureuse sur mon épaule...

La morale de cette histoire est que je n'ai rien eu à part des douleurs et des reproches. Et que j'ai remis bien sagement mon zizi en cage ce matin. 

Je l'aime.

dyonisos

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Vendredi 6 janvier 5 06 /01 /Jan 21:34

J'ai fait rire aujourd'hui ma Maîtresse.

J'étais donc dans ma seconde séance de piscine de la semaine, évidemment avec la cage. Mais aujourd'hui ce n'était pas plaisant. Je trouvais l'eau glacée ! J'avais froid depuis mon levé ce matin. Et chez un encagé la réaction physiologique quand il a froid est imparable : les 2 petites boules cherchent à rentrer bien au chaud. En vain puisqu'il y a un anneau qui les empêche. Et comme j'ai la peau manifestement un peu abimée à cet endroit, cela tiraille et agace sans cesse : un jour de port désagréable de la cage.

Même l'eau n'a pas réussi à m'apaiser. J'alignais activement mes 25 longueurs de bassin obligatoires fixées par N. avec la sensation de la présence très piquante de la cage sur le sexe. Quand tout à coup la sensation désagréable a disparu. Comme je ne suis plus un encagé novice, j'ai su que immédiatement qu'un des machins venait de passer le mur de l'anneau, me libérant par là-même. Cela arrive de temps en temps, mais pour l'encagement actuel c'est la première fois. 

J'ai continué pour finir les longueurs imposées, avant de sortir pour aller sous une douche bien chaude. J'ai enlevé le maillot de bain et la cage de plastique est venue avec. Ce n'était pas une orpheline (ce nom ne leur ait jamais allé si bien avec le zizi est en cage - lol), mais les deux qui s'étaient échappées, les coquines !

Un peu embêté le dyonisos quand même... Une fois rhabillé, j'ai envoyé immédiatement un sms à ma Maîtresse pour signaler mon petit problème. Je sais qu'elle n'a pas l'habitude de considérer cela comme une faute lourde mais plutot comme une conséquence de l'imperfection du dispositif. Mais les Maîtresses changent vite d'humeur. On ne sait jamais avec elles ...

Je me suis dit qu'elle va m'ordonner de faire un détour par la maison pour la remettre en place, mais je n'ai pas eu de réponse tout de suite... Celle-ci est arrivée une heure plus tard.

Heureusement qu'elle n'est pas tombée au fond du bassin !

Cela semble lui avoir tellement plu qu'elle m'en a reparlé dès son retour à la maison,en me racontant que cela l'avait fait bien marrer. C'est sans doute aussi un des moments, où elle a du se rappeler, loin de la présence de son mari soumis, qu'elle l'avait mis en cage, car je sais qu'elle n'y pense pas habituellement à son travail.

En tout cas, l'ordre de la remettre n'est pas encore arrivé, alors je vous écris libre de la bite et cela fait du bien ! (pas le droit de toucher quand même). En fait, finalement, comme à chaque fois, mon plus grand plaisir retrouvé, est de pouvoir pisser debout, comme un homme dans le jardin. Je pense que cela lui a donné des envies et que ce soir ma queue va passer à la casserole pour donner du plaisir à Madame. Avec autorisation de jouissance ou non ? Là est toute la question, mais je ne me fais pas trop d'illusion... 

dyonisos

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Jeudi 5 janvier 4 05 /01 /Jan 22:54

La vie continue à la maison. Une vie presque normale sauf que la cage est bien arrimée et qu'elle n'est pas prête de tomber. Mais même cela est devenu d'une banalité confonfante. J'y suis habitué car finalement cela se passe tojours de cette manière : soumis oublié dans sa cage.

Rien de nouveau à l'horizon ces derniers temps. La vie de tous les jours avec en ce moment des problèmes de la vie réelle à régler qui nous prennent le temps des soirées. La période des fêtes n'a pas été vraiment une période de progrès dans le redressage de mes torts. Pas de progrès notable sur mes mauvaises habitudes de fumeurs. Je ne pas continué à maigrir. Au moins ai-je réussi à ne pas reprendre un gramme... Et un besoin sexuel de Maîtresse en nette recul en ce moment. La fatigue post-fêtes sans doute.

Oh si, quelques bricoles.

Hier j'ai dépassé mon premier mois de chasteté totale dans la cage. Rien du tout depuis les derniers 31 jours. J'en ai parlé à Maîtresse qui a m'a répondu avec un petit sourire : Ah bon ? Déjà ? Je n'ai pas vu le temps passé... Maîtresse m'a déjà emmené à 5 semaines, mais là je crois que le record va être explosé. D'autant que si je comprends bien ses demi-mots, elle pense à reessayer sur moi une pratique qui l'avait interessé il y a 2 ou 3 ans. Me traire par la prostate !

Et notre fils a trouvé depuis 2 semaines un nouveau jeu marrant à faire sur son papa. Je ne suis pas du tout chatouilleux alors que lui l'est beaucoup. Mais il a trouvé que s'il attaquait l'entrejambe de son père, je réagissais immédiatement en mettant mes mains en protection dessus. Alors il est persuadé d'avoir trouvé mon point faible... quoique au moins théoriquement je ne peux pas lui donner tort Cela me demande une vigilance de tous les instants. Et interdit de rire cher lecteur !

J'ai aussi recommencé les séances de piscine en cage, la aussi presque devenue une normalité.

Tiens une vraie nouvelle, Maîtresse a reçu mercredi, dans notre boite au lettre, le paquet qu'elle m'avait fait commandé spécialement pour mon cas. Et la perspective ne m'avait pas du tout réjoui. Mais comme j'ai du attendre, il est normal que vous aussi restiez dans l'expectative pour le moment.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 2 janvier 1 02 /01 /Jan 10:58

Samedi soir, nous sommes allés réveillonner chez des amis. Moi bien encagé sous le costume. J'ai cru à un moment que Maîtresse N. rajouterait le string qu'elle m'a acheté il y a plusieurs mois, mais non. Impossible à trouver... En tout cas soirée entre amis très sympa, sauf que moi je me trouvais quelque peu différent avec le machin bien attaché sur mon zizi. Impossible d'oublier de qui j'étais le soumis ! Heureusement, Maîtresse m'avait autorisé l'alcool pour ce jour de fête...

Bref la soirée s'est terminée fort tard et nous étions dans les vapes toute la journée du premier. Et je suis allé faire une sieste réparatrice l'après-midi. Drôle de sieste à vrai dire, vu le rêve que j'ai fait...

C'était aux caraibes du temps des pirates et autres corsaires. Je ne sais pas ce que j'étais, mais en tout cas je venais de me fait prendre par les anglais. Et Maîtresse donnait les ordres... Des gardiens m'emmenait vers les cachots au blbaguecouille.jpgfond de la forteresse. Souvenir d'une longue descente dans l'obscurité et l'humidité de la pierre. Arrivée dans une espace de salle de torture acceuilli par un bourreau. Il était temps semble-t-il de me baguer les couilles... Je me suis réveillé en sueur juste au moment où le dit bourreau m'arrachait mon slip blanc !

Bien sûr à mon réveil, je bandais à mort dans ma cage...

Drôle de rêve que j'espère non prémonitoire.

En tout cas, Maîtresse m'a dit ce matin qu'elle allait reprendre ardemment mon dressage après la période de fêtes.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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