Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 07:49

CHAPITRE 17 - Den unge smed

C’était un large portail en bois dans une ruelle au calme du village. Au-dessus une enseigne en métal ciselé marquée forgeron d’art se balançait. Au fond du sac de la danoise, le téléphone sonna. Elke prit l’appel. 

Claire se tenait à côté et fixait son amie. Oh que cette femme la troublait ! La visite dans les caves avaient été un moment hors du monde pour Claire. Elle y avait été déboussolée par l’émotion qui lui avait pris le ventre et ne s’en remettait pas. Ses sens ne trouvaient pas le réconfort que son inconscient désirait. Son regard suivait inconsciemment les lignes courbes d’Elke qui discutait laconiquement avec son interlocuteur. Tout cela était si fou ! Non elle ne devait pas se laisser dériver. Ce n’était pas elle, ça. Elle était mariée à un homme qui l’aimait et lui avait fait de si beaux enfants. Non cela n’était pas convenable. Elle réussit héroïquement à détourner, un moment, son regard, mais ne tint pas et replongea dans les abysses  sombres des yeux de la danoise. Elle était ivre des sens, avide d’émotions pures, mais frustrée.

C’est à ce moment-là qu’Elke remarqua son manège. Ses yeux pointèrent ceux de Claire. Un regard brûlant, tentateur et exigeant. Claire ne savait que faire. Ses doigts jouaient nerveusement avec une mèche de cheveux.  Les yeux inquisiteurs de la danoise transperçaient l’âme de la jeune femme. Le temps était suspendu, avant qu’Elke vienne effleurer l’arrondi des lèvres du bout du majeur. Claire bascula imperceptiblement  pour accueillir la caresse. Le doux majeur s’était arrêté sur la bouche et s’enfoncer avec autorité entre les lèvres. Claire accueillit cette intrusion avec un désir primitif. Enfin ! Les phalanges qui forçaient une à une la cavité humide, étaient fêtées dès leurs arrivées par une langue avide de contact. Malheureusement le doigt ne resta pas longtemps. Il fût  retiré doucement. Les sens  bouillonnant face au vide soudain, Claire ne put réprimer une feule plainte de déception, ses yeux au bord des larmes. Elke contempla sadiquement les effets qu’elle causait, puis redevint très distante pour finir sa conversation.

- …. et reste à portée de sonnerie au cas où, c’est un ordre !

L’appel prit fin.

- C’était mon bjørneunge.  Il me faisait le rapport de ses activités. Allez, le temps passe vite et il faut qu’on avance pour ne pas rentrer trop tard !

Et sur ce, Elke entra dans la chaleur étouffante de l’atelier. Les forges du Diable ! Avec le bruit et le musc de la sueur humaine. Un homme torse nu, musclé, totalement en nage, martelait sans cesse le métal sur une enclume. Tching... Tching… Tching… De loin, son jean noir moulait une paire de fesses de mâle quasi parfaites.  Elke lui tapa sur l’épaule. L’homme s’arrêta et posa sa masse. Un visage d’ange tentateur  souligné par deux pupilles bleu saphir, profondes et puissantes, des lèvres presque androgynes  et une magnifique tignasse en désordre. La finesse alliée à un corps puissant.

- Ah bonjour Elke. Comment vas-tu ?

- Bonjour Lucas. Je te présente Claire, l’amie dont je t’ai parlé. Celle qui veut transformer son mari en toutou bien dressé.

Lucas dévisagea la femme plantée à l’entrée de l’atelier qui absorba la force du regard et en fût gênée comme si elle était complétement nue devant l’homme.

- Ah c’est vous Claire. Enchanté de vous rencontrer. Elke m’a parlé de vous et votre projet. Mais ne restez-pas là. Approchez-vous, je ne vais pas vous manger…

Claire bougea à regret peu rassurée. Le corps de l’homme irradiait d’animalité. Il ne devait pas avoir plus de 25 ans. De près elle ne pouvait maintenant que remarquer la fière protubérance sur le devant du pantalon.  Rien à voir avec la queue moins qu’honnête de son Pierre.

- Vous êtes donc venues… pour le fer. 

Elke répondit.

- Oui. Tu as pu préparer l’esquisse ?

- Bien sûr, j’ai travaillé l’idée que nous avons eue et je suis assez fier de ce que j’ai pu en tirer.

 - Qu’est-ce que attends alors, pour nous le montrer ?

- Toujours aussi impatiente, Elke !

Lucas s’éclipsa dans le bureau annexe. Claire laissa sa main suivre les lignes des courbes élégantes de la structure que fabriquait actuellement  le forgeron. Une girouette. Et il était en train de travailler la pièce d’ornement principale : une silhouette de volatile épurée qui sortait peu à peu de son cocon de métal. Elke s’approcha :

- Tu aimes ?

- Oui j’adore. Original et très subtil. 

- Comme toujours chez Lucas. Alors je ne suis pas inquiet que le fer destiné à ton chihuahua soit une œuvre magnifique. Il est très doué, que ce soit dans son atelier ou… ou au lit. 

- Tu couches donc avec lui ?

- Oui, petite curieuse. Pourquoi devrais-je m’en empêcher s’il me le propose ? Tu as vu sa beauté juvénile?

- Oui, je ne pouvais pas la manquer !  Lui aussi t’est soumis ?

- Non certainement pas, cela serait un vrai gâchis. Un homme comme cela on se le garde pour en jouir sans fin au lit, pas pour l’avilir. Et Je n’en prive pas. Il est l’amant rêvé : inventif, exigeant et un brin pervers sous les draps. Tout ce qu’une femme peut désirer, surtout à mon âge.  Il a en lui une force sexuelle qui sait déchaîner à mon plus grand plaisir ! Mais elle va de pair avec une grande exigence. il adore particulièrement m’embrocher le cul, profondément et longuement. Je rechigne toujours à chaque fois, je crains de me faire prendre par cette voie qui est loin d’être une balade plaisante. Mais je cède toujours à la fin avant de fatalement me mettre à « couiner » de plaisir  comme une jeune pucelle alors qu’il me pistonne… En fait c’est le seul que je laisse me prendre par ce côté. On a les armes de son âge. Et il adore tellement me pénétrer l’anus par effraction, que je cède malgré le côté limite côté douleur. Tu connais-toi le plaisir honteux que t’apporte la bite d’un amant qui te défonce l’anus ?

- Pas vraiment. Nous avons essayé au début avec Pierre 2 ou 3 fois quand nous nous sommes rencontrés. Et j’ai eu mal dès l’introduction. J’y ai mis fin immédiatement à son grand regret. Mais il vrai que je suis paradoxale, car j’adore lui prendre le cul au gode ceinture.

- Alors imagine. Le sexe de Lucas fait dix-huit centimètres de pur bonheur au garde à vous. Et son diamètre est à l’avenant. J’étais morte d’appréhension la première fois qu’il s’est présenté contre ma rondelle. Mais que n’aurais-je pas fait pour garder cet amant miraculeux auprès de moi ? Je sens toujours chaque centimètre de son bâton m’écarteler durement et douloureusement pendant les premiers va et vient. Mais après c’est une vraie extase mystique. Des sensations inouïes à la limite de la douleur, un pilonnage qui t’amène vers de nouvelles contrées de plaisir. Un feu d’artifice qui éclate dans le corps, jusqu’à ne plus souhaiter d’être rien de plus que sa putain à avaler sa bite ! Bien mieux que devant !

- Oups. Ce n’est pas possible, on ne peut pas prendre autant de plaisir de se prendre un phallus si énorme !

- Si, crois-moi, cela apporte un ressenti extraordinaire dans l’offrande de ton corps. Et la douleur qui affleure sous le plaisir sublime les sensations, vers quelque chose de plus physique par rapport à la baise vaginale qui provoque une ivresse totale des sens. Tu te mets à vouloir qu’il te bouscule encore plus et encore plus fort. Tu te mets à vénérer la sainte queue qui te possède jusqu’aux tréfonds de ton corps. Tu deviens autre une sorte de femelle en chaleur qui en appelle à l’expiation immédiate par son fondement, jusqu’à son dernier cri de jouissance. Tu comprendras le jour où ton amant – car tu en auras, j’en suis sûr – usera de toi ainsi.

- Je n’avais jamais vu la sodomie sous cet aspect. C’est finalement assez proche du SM…J’aimerais réessayer un jour, mais certainement pas avec la taille d’engin de Lucas ! C’est monstrueux pour un petit trou ! 

- Détrompes toi. Le corps a plein de ressources pour s’adapter…

Elles se turent car Lucas revenait avec l’esquisse sur papier et une bouteille de blanc. Un subtil goût sec et minéral, avant que le breuvage éclate en gorge. Claire scruta la feuille où étaient dressés les contours du futur fer : un entrelacs de courbes prometteur jouant sur les épaisseurs où, au milieu de la dentelle, surgissait des arabesques un M et C clairement typographiés. 

- C’est les initiales de Maîtresse Claire. L’idée est que tu es, Claire, le sens ultime pour ton soumis. L’ordre dans le chaos ! J’ai eu l’idée que la profondeur varie pour que cela fasse un effet différent quand tu l’appliqueras sur la peau de ton mari. Les lettres seront très nettes alors que les courbes autour seront plus estompées, comme floues. 

Claire était hypnotisée par la beauté du concept. Oh oui il lui plaisait beaucoup ! Elle s’imaginait l’appliquer sur son amour, le crépitement, l’odeur de chairs brûlées. Et tout cela l’excitait ! Immensément ! La perspective de lui imposer cela, la rendait, sadiquement, inondée de l’entrejambe. Elle aurait tellement aimé le marquer immédiatement de ce fer magique ! Pourquoi n’est-il pas là ? Pourquoi le fer n’était-il pas déjà prêt ?

- J’adore, Lucas… mais resserre moi un autre verre. J’en ai besoin tellement cela m’excite !

Cela fit rire ces deux compagnons qui comprenaient très bien ce qu’il se passait dans la tête de la jeune Maîtresse. Après tout marquer son soumis au fer était l’acte de possession le plus symbolique, qui ramène l’homme à l’état d’un animal sur lequel le propriétaire pose sa marque d’appartenance au cheptel. Claire demanda des précisions sur le geste à faire, la température, la durée d’application sur la peau. Toute précision technique qui ne faisait qu’alimenter sans cesse son excitation du bas. Elle se sentait bien, avec le subtil goût du vin sur ses papilles, et aussi l’alcool qui avait déjà envahi son corps – elle buvait habituellement plutôt avec parcimonie – et avec surtout la chaleur des décharges d’adrénaline sexuelles dans tous ses organes. Une impression de plénitude !

La conversation autour du fer prit fin avec l’engagement de Lucas de l’apporter directement au domaine le lendemain.

Claire pensait qu’elles allaient repartir maintenant vu ce qu’Elke lui avait dit sur leur emploi du temps serré. Mais Lucas ne l’entendait pas ainsi.

- Et pour le paiement, comment fait-on ?

Elke sursauté mais Lucas la retint par le bras, avant de lui glisser quelques mots à l’oreille qui eurent l’effet de la faire rougir des joues. Elke recula d’un pas.

-Oh non ! je veux bien te payer en nature mais tu ne peux pas me demander cela ! Pas maintenant ! Pas devant Claire ! ... S’il te plait, Lucas…

- La maison ne fait crédit et toute commande spéciale doit être réglée à l’avance. C’est écrit sur le mur depuis mon grand-père. Je crains malheureusement que tu n’aies pas le choix, Elke. 

Lucas la mettait au défi. Pour mieux mettre la pression sur la danoise, il baissa son pantalon pour dégager son impressionnant engin qui déjà prenait forme. A la vue du phallus impatient, Elke su immédiatement que sa marge de négociation venait de disparaitre. Déjà son amant forçait sur sa tête pour la faire agenouiller à ses pieds et lui prodiguer la caresse qu’il semblait désirer. Il y parvint faisant fi de sa résistance. Claire venait de comprendre la nature du paiement exigé et était gêné pour Elke de devoir assister à cela. Lucas pointait déjà son gland poli vers la bouche de la danoise, qui ne voyait pas comment y échapper, sans risque de le mettre en colère. Lucas était si exigeant avec elle ! Elle eut au dernier moment une idée.

- Attend, juste une seconde. J’ai une contre-proposition à te faire.  Si elle ne te va pas, tu pourras me baiser la bouche de la façon que tu adores.

- Tu m’intrigues…  que peux-tu me proposer de mieux qu’une bonne bouche de grognasse à baiser ?

Avec l’excitation, Lucas devenait vulgaire. Il se baissa pour écouter la proposition de son amante.  Claire n’arrivait pas à saisir le contenu de leurs échanges à voix basse. Mais le jeune forgeron la regardait étrangement. Lucas finit par relever la tête manifestement satisfait. 

- Claire, je crains que ta copine Elke vienne de te sacrifier pour sauver son petit honneur. Aurais-tu l’obligeance d’enlever tes vêtements ?

Claire mis quelques secondes avant de comprendre le sens de la demande si gentiment formulée. Et quand elle saisit toute la perversité qu’elle sous-entendait, elle prit peur.

- Quoi ? Je ne….

- Tu ne m’as compris. Elke vient de me vendre ton petit trou, quasi vierge à ce qu’il parait, et vois-tu ma chérie, ça cela m’excite beaucoup d’être le premier à y tremper vraiment sa queue. En plus, je rajouterais qu’à bien y réfléchir, la fabrication du fer qui va me prendre une partie de la nuit et toute la journée de demain, pour qu’il soit prêt à temps, c’est plus pour toi et ton soumis, que pour Elke. Alors cela me parait équitable que cela toi qui me paye. Donc je répète ma demande simple : à poil !… ou je ne perds pas mon temps sur le fer qui ne te fait tant mouiller.

Claire était complétement affolée devant cette exigence. Elle n’arrivait pas à aligner deux pensées cohérentes. Elke, très loin de son assurance habituelle, s’était relevée et l’encourageait d’un regard insistant à satisfaire les désirs de son amant qui finissait de se déshabiller, sûr de son bon droit, la bite au garde à vous.  Claire voulait au fond d’elle-même dire ou faire quelque chose mais n’arrivait à pense à rien, impuissante à contrer le piège. Alors ses yeux se mouillèrent de larmes d’impuissance et elle céda faute d’avoir trouvé mieux à faire,  annihilant toute raison pour se déshabiller en automate.

Une fois nue, l’homme s’approcha. Claire baissait la tête très mal à l’aise. Elle frissonnait. Elle avait mis instinctivement les mains devant le pubis pour cacher son sexe. Il les lui enleva. De près, elle sentait son odeur de mâle en rut. L’homme tourna autour de son corps en testant entre ses doigts sa peau à la manière d’un maquignon évaluant une pouliche avant la saillie. Elle n’osait pas le regarder. Puis satisfait, il se pressa un moment contre son dos, son braquemart coincé contre ses fesses. Claire ne put s’empêcher de laisser échapper un soupir d’appréhension. Elle devrait être folle de se laisser prendre ainsi, mais que pouvait-elle faire ? Elle n’avait même pas eu le courage de se révolter ! Elle qui se voyait comme une Maîtresse implacable, n’arrivait même pas résister à un jeune homme qu’elle n’avait jamais vu et qui lui ordonnait de devenir sa putain ! Et en plus pour couronner le tout, elle ne pouvait se mentir : son corps lui aimait cela. Elle était inondée dans le bas. Ce qu’en expert, l’homme ne tarda pas de s’assurer par l‘introduction d’un doigt dans sa vulve. 

- Tu as vu, Elke, ta petite salope de copine mouille à la perspective de se prendre mon gros sucre d’orge dans le cul. Je sens que cela va être intéressant… Finalement se faire obéir n’est pas si difficile, je ne vois pas pourquoi tu en fais tout un plat Elke.

Claire aurait voulu protester, dire que ce n’était pas vrai, qu’elle ne voulait pas mais qu’elle était trahi par son corps.  Mais que vaudraient tous ses arguments face à la réalité : elle mouillait indéniablement. Même elle, elle le sentait. 

L’homme exigea qu’elle le prenne en bouche « en guise d’apéritif ».  Il avait accompagné sa demande du même geste de pression sur le haut de la tête que pour Elke, pour la forcer à s’agenouiller. Et contrairement à la danoise, il n’y avait pas d’échappatoire pour elle. Le gland vibrait devant ses lèvres. Une sphère polie et luisante d’une taille si inhabituelle pour elle! Son corps en avait envie, pas son cerveau, mais c’est le corps qui dirigeait. Elle se vit sortir sa langue et commencer à lécher avec délicatesse la boule ivoire. La fellation, elle connaissait après tout. Elle la pratiquait encore de temps en temps sur Pierre. Mais l’homme en voulait bien plus qu’elle allait lui donner volontairement : d’un geste rapide, il lui prit la nuque et la força à engloutir la colonne de chair, en distendant les lèvres, envahissant le palais, dégageant la langue de chemin pour pénétrer au plus profond de sa gorge. Quand le gland buta au fond, Claire paniqua un peu. Elle avait du mal à respirer et un haut le cœur commençait à la gagner. Elle essaya de crier mais le sexe la bâillonnait, et le cri se termina en gémissement rauque. Les poils de la toison du male lui chatouillaient les narines. Aucun de ses amants passés, même plus doués que Pierre, ne l’avait jamais utilisée comme cela. L’homme relâcha un peu la pression de sa nuque, le temps qu’elle reprenne son souffle en repoussant un peu le sexe mais une nouvelle pression le ramena au fond de la gorge. Nouveau haut le cœur et suffocation. L’homme de sa main commença à donner le tempo, augmentant de plus en plus l’amplitude des mouvements de son sexe dans la bouche. La femme était devenue un pantin entre ses doigts. Elle ne le suçait pas : il lui baisait la bouche, les lèvres en permanence distordues par le mandrin. Claire comprenait ce qu’Elke avait voulu évité. Sans doute une des façons les plus égocentriques de jouir d’une femme. Le sexe en bouche changea bientôt de goût : l’arrivée du pré-sperme, pensa-t-elle. Désagréable. Elle s’aperçut alors qu’avec la contrainte qu’il lui imposait, sa liqueur de mâle finirait fatalement par se répandre au cœur de sa bouche. Et ça elle ne l’avait jamais voulu avec aucun de ses amants. L’idée la révulsait. Toujours spectatrice d’elle-même, Claire se demanda si elle allait vomir quand elle recevrait son sperme. Mais elle n’eut pas le temps de le vérifier car Lucas mit fin aux mouvements avant terme et la relâcha.

- Pas de doute. Tu es docile, Claire. Tu feras le bonheur de tes futurs amants… et si on décapsulait ce trou du cul maintenant ?

- S’il vous plait, non, vous êtes trop gros. Vous allez me déchirer.

 - Tiens tu me vouvoies maintenant.  Pourquoi pas ? Cela fait très Maître et soumise ! Qu’en penses-tu Elke ? Que ferais-tu en tant que Maîtresse ?

- J’attacherais la fille avant de tenter la perforation. Je serais plus tranquille…

- Oui, tu as raison. Une dinde fourrée et ficelée, voilà une excellente recette. Toi, dit-il en désignant Claire, tu m’attends là à genoux que je nous fasse un peu de place sur l’établi pour t’installer ma mignonne.

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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