Jeudi 27 octobre 2011 4 27 /10 /Oct /2011 19:50

CHAPITRE 16 -Nedstigning til helvede

Claire et Elke étaient appuyées sur le muret de pierre au bord de la terrasse de l’ancien château du bourg réduit à l’état de ruine à la Révolution et que la Mairie avait grand mal à maintenir débout maintenant. La danoise montrait la vue : le bourg qui descendait jusqu’à la rivière avec ses toits enchevêtrés en tuiles rouges et au-delà ses anciens vergers encadrés entre les murets de pierres sèches.

Les filles discutaient.

- Tu rigolais Elke tout à l’heure avec le jeune Zépharin ? Tu ne comptes quand même pas qu’il vienne te voir ce mercredi ?

- Oh, si j’y compte. Pour tout t’avouer, la perspective de dresser une jeune queue m’excite énormément. Les jeunes garçons sont impulsifs et si naturels. A croquer !  De vrai petits chiots qui sont prêt à tout pour baisoter à tout va. Le petit Zépharin ne sera pas le premier, ni le dernier à être dépassé par ses hormones. Sauf que là je m’en occuperai. Un vrai soumis né.  Et je me délecte déjà du moment où je lui prendrai sa virginité. Deux fois : la normale et l’anale !

- Oh, mais… Tu es terrible. Ce n’est pas possible, cela va se savoir et tu auras des ennuis.

- Et qui tu voudrais qui s’en offusque de ce que je fais ou pas avec un jeune puceau ? Je me fous des convenances de toutes façons, et crois-moi le Zépharin y trouvera son compte !

- Mais le propriétaire du café va forcément s’en offusquer ?

- Gaspard ? Je ne crois pas. Je le baise de temps en temps. Il est un amant bien monté. J’en ai deux ou trois autres réguliers, dont le Maire actuel de notre commune. Je le fréquentais avant son élection. Cela m’aide bien à être tranquille « peinarde » dans mes activités. J’aime aussi passer du temps avec les copines pour me changer les idées.

- Mais c’est immoral !

- Non c’est normal. Je n’ai pas fui mon pays natal et mon insipide mari et mes enfants pour rien. Crois-moi, le Danemark, les français le prenne pour le nirvana du sexe. Là-bas ce n’est que puritanisme et faux-semblants. Des coincés du cul, comme vous diriez ici. Alors que depuis que je suis ici, dans votre pays, c’est fête tous les jours. Votre côté latin je dirais.

- Et… et Joseph.

- Joseph, le bjørneunge. Disons que je suis attaché à lui sentimentalement parce que c’est mon esclave personnel et que c’est grâce à lui que j’ai pu m’enfuir de mon pays coincé.  Le domaine c’est son œuvre, son cadeau pour que je vienne vivre en France. Et si je me suis mariée en toute discrétion avec lui, c’est juste pour pouvoir faire un contrat de donation totale pour récupérer le Domaine si j’en ai marre un jour de sa présence. Tu sais le terrain et les bâtiments, en ruine, lui venaient de son père. Il était charpentier et a arrêté de travailler pour tout restaurer pour mes beaux yeux.

- C’est pas possible ! Tu ne l’aimes pas !

- Si je l’aime, à ma manière. Comment dire ? Un peu comme on aime la présence d’un animal domestique à la maison. Pas fondamental mais si reposant. Au début il espérait plus, mais a vite déchanté quand j’ai commencé son dressage en arrivant. A ce temps-là, j’avais un peu honte, alors je m’offrais à lui quelques fois par an, sans avoir l’air de perdre ma superbe, en le montant en amazone. Mais depuis trois ans maintenant, c’est ceinture pour lui. Soit il me suce sans rien obtenir en retour, soit quelques fois par an, il a le droit de masturber devant moi.

- Et il le vit bien ?

- Tu crois ? Au début, il espérait et essayait de me plaire en étant mon bon soumis. Mais moi je reconnais ses efforts, mais je n’avais pas vraiment envie de coucher avec lui. C’est à cette époque que j’ai pris un premier amant au village. Son pénis est loin d’être ridicule pourtant, mais il ne m’intéressait vraiment pas. Je préfère finalement son côté classe sans le sexe où il redevient banal. Peu à peu imperceptiblement, je l’ai gardé de plus en plus en manque. Il était si mignon dans sa volonté effrénée de partir. Bref quand il s’est aperçu qu’il n’aurait plus rien, il est devenu aigri. Rassures-toi rien qu’un bon fouet et six mois sans pouvoir sortir de sa ceinture de chasteté, n’arrivent à faire face. Cela a duré quelques temps avant qu’il rentre définitivement dans le rang, un vrai plaisir de dominatrice !

- Je n’arrive pas à te comprendre. Comment peux-tu jouir de tout cela ?

- Parce que tu crois que tu es différente ? Suffit tes grands airs de femme trop convenable ! Tu mouillais ma chérie en me voyant humilier le Zépharin et là aussi en m’écoutant évoquer mes côtés fille perverse, tu mouilles !

- Mais non tu te trompes ! Ce n’est pas vrai !

- Tu sais que je n’aime pas qu’on me mente. Si tu ne mouilles pas, alors chapeau ! Mais quelque chose me dit que ce n’est pas le cas… 

Et sur ce, la danoise posa autoritairement sa main sur le galbe du cul de Claire qui sursauta.

- S’il te plait enlève ta main… Ce n’est pas rigolo !

- Sache, jeune fille, que, quand j’ai décidé de faire quelque chose, je vais jusqu’au bout !

La main glissa sous la jupe, suivit le sillon et entra dans l’entrejambe. Elle remonta ensuite le long des grosses lèvres où elle se délecta de la moiteur incontestable. Elle continua à progresser vers la toison, tout en laissant un doigt fureteur trainer entre les chairs. Un autre doigt finit par atteindre la protubérance cachée au cœur de la toison et en prit possession d’autorité. La chair commença à gonfler sous la pression. Les cuisses s’ouvraient, le souffle devenait court, les jambes s’amollissaient. Elke était satisfaite de son résultat, mais mis court à son action.

- Je…

- Pas la peine de parler. Tu mouilles nettement ma chérie. Et si nous allions visiter maintenant les caves voutées de l’ex-château ?

Claire partit d’un éclat de rire nerveux qui surprit la danoise.

- Pourquoi ris-tu ?

- J’ai une copine célibataire qui vit à Paris et travaille dans un organisme d’état qui envoie des scientifiques à l’étranger. Il y a quelque temps, elle a invité chez elle un archéologue qui partait en campagne pour deux ans en Colombie. Elle m’a appelé le lendemain pour me dire qu’elle ne savait plus que faire ? Il voulait l’épouser immédiatement pour qu’elle le suive en Colombie. Elle ne comprenait pas ce qu’il s’était passé ! Et tu sais pourquoi ?

- Non.

- Elle l’avait invité à « visiter sa cave ». Pour elle, la cave architecturée de son immeuble. Pour lui, sans doute beaucoup trop troublant pour sa libido. Et effectivement, ils sont allés la voir sa cave. J’en ai bien ri, tellement elle n’avait pas compris comment cela l’avait pu l’exciter… Mais bon je ne suis pas elle, alors donc voir tes caves ? Le grand méchant loup ne devrait pas être là… du moins j’espère.

Déjà, Elke ouvrait la grille qui en barrait l’accès.



A quelques kilomètres de là, Pierre attendait enfermé dans son cachot qu’il maudissait. Depuis longtemps déjà. Il était enchainé à quatre pattes au milieu de la cellule, le collier solidement attaché à un anneau dépassant de la paille au sol. Joseph ne lui avait pas enlevé son bâillon et sa salive suintait autour du gode-pénis enfoncé dans sa bouche. Il n’avait pas mangé et son ventre criait famine. 

Depuis combien de temps était-il là ? Deux heures peut-être. Il avait froid, faim et ses muscles s’engourdissaient dans la position. Il détestait être là. Et pourtant il y était, abandonné du monde réel. Désespérément seul ! Un cauchemar.

Du bruit se fit entendre, puis les barreaux de fer se déverrouillèrent. Joseph arrivait apportant un plateau avec une gamelle de riz. Il le posa sur le banc béton au fond de la cellule.

- Alors le chihuahua, tu trouves le temps long dans le cachot ?

- Tu ne réponds pas ? Suis-je bête ! Tu es empêché de parler par le bâillon Efficace objet d’ailleurs. Tu as sans doute faim aussi ? Le plateau te tente ?

Pierre avait levé les yeux vers le visiteur.  Cette sorte de regard désespérée de bête aux abois. Joseph le fixa un moment  avant de se détourner pour saisir des cordelettes pendues à un crochet du mur. Il en garda une et laissa tomber les autres sur le sol, s’agenouillant auprès du poignet droit de Pierre sur lequel il entoura promptement une bonne longueur de corde, solidement.  Puis il écarta la paille à la recherche d’un anneau caché pour y passer le bout de la cordelette avant de tirer. Pierre résista.

- Laisse-toi faire : cela t’évitera de connaitre les morsures du fouet à chevaux. Et si tu ne connais pas, crois-moi tu t’en souviendras toute ta vie d’esclave.

Pierre céda et son bras fut déplacé avant de se trouver immobilisé à l’anneau par un nœud serré. Joseph continua avec les trois autres membres, tout en reprenant son monologue.

- Tu sais, ce cachot je l’ai construit de mes propres mains à la demande de ma Maîtresse. Elle le désirait, m’avait-t-elle dit.  Une fois terminé, Maîtresse Elke, ma propre femme, m’y enferma immédiatement. Et j’y suis resté trois mois. Trois mois à m’y morfondre et souhaiter ardemment son retour comme la seule preuve de vie  dans ce néant. Trois mois à avoir faim, à avoir soif et à dépendre uniquement de son bon vouloir pour simplement survivre. 

Le deuxième poignet venait d’être attaché.

- Le bâillon que tu portes, a été le mien. Celui qu’Elle me mettait pour un oui ou non, sans logique, et que je gardais parfois plusieurs jours. Je le déteste ce bâillon ! Mais rassures-toi, tu n’en es pas encore à ce stade. Tu es presque sûr de sortir avant demain.

Pierre sentit une violente secousse sur sa cheville droite qui le força à écarter sa jambe. Elle fut immédiatement immobilisée à un troisième anneau.

- Et pourtant je l’ai toujours aimé mon Elke chérie. Nous nous sommes mariés un jour de printemps à la mairie. Et la première nuit – notre nuit de noce – elle m’a sadiquement laissé pour aller coucher avec un autre. Sans remord. Pour toi, il est aussi déjà trop tard. J’ai vu le regard d’envie dans les yeux de ta femme hier.

Joseph attacha le dernier pied. 

- Le plus marrant c’est que toi comme moi, nous l’avons fantasmée cette mise en soumission. Mais quand elle devient trop réelle, et que nos Maîtresse se lâchent, c’est une terrible épreuve. Je sais que tu n’en es qu’au début, mais je pense que cela sera aussi violent pour toi, que cela a été pour moi. Heureusement finalement que la fierté d’appartenir à nos Maîtresses adoucit le tout sur le chemin… Laisses-toi faire, Pierre, s’il te plait.

Joseph venait de s’agenouiller devant le chihuahua pour lui prendre de la main le dessus du crâne et faisait pression pour amener se tête contre le sol. Le chihuahua céda…

- Tourne ta tête de côté. Tu seras plus confortable.

Pierre obéit et bientôt sa joue vint s’appuyer contre la froideur du sol. Pendant ce temps Joseph raccourcissait la chaîne du collier pour ne lui laisser aucune autre possibilité que de rester dans cette position, la face contre terre, le dos courbé, la croupe en l’air, le regard limité vers le banc du fond. Joseph apparut dans le champ de vision.

Le chihuahua toussa dans son bâillon.

- Reste sage ce sera mieux.

Les yeux du chihuahua virent que Joseph avait commencé à enlever sa chemise qu’il replia impeccablement avant de la poser sur le banc.

- Tu sais que les filles sont au bourg cette après-midi. Oui tu le sais. Et je crois que tu as compris. J’ai bien vu que tu discutais ardemment avec Thomas dans le pré. Alors tu as sans doute compris que ma Maîtresse Elke adore cocufier les soumis avec leur femme ou copine. Je n’en ai vu aucune qui ait résisté : elles finissent toutes dans le lit d’Elke. Donc attends-toi à rien d’autre pour ta femme. Elle succombera comme toutes les autres avant elle !

Pierre avait le regard triste au bord des larmes.

Joseph fit tomber son pantalon. Il ne portait pas de sous- vêtement au-dessus de la ceinture de chasteté d’acier. 

- Je t’avoue que je ne me suis jamais complétement habitué à être trompé par Elke. J’ai essayé de me révolter il y a longtemps et Elle m’a puni durement pour cela. Maintenant elle me garde chaste pratiquement tout le temps. Cinq mois que je n’ai pas eu le droit de toucher à mon sexe. Mais aujourd’hui c’est fête : elle m’a libéré. Et je t’avoue que je suis désolé pour toi, pour ce que je vais faire, mais pour rien au monde je manquerais cette occasion ! Tu comprendras toi aussi un jour.

La ceinture s’ouvrit et se détacha comme si elle n’avait jamais été verrouillé. Le phallus libéré s’éveillait de sa longue nuit et prenait des formes longtemps réprimées. C’était son heure ! Joseph arborait un sourire d’enfant ayant retrouvé son doudou. Il le caressait, le maternait, le titillait, heureux. Pierre regardait le culte se déroulait avec terreur, constatant que la bête était maintenant bien plus grosse que tous les godes que Claire avait jamais utilisé sus son cul. Joseph lâcha avec regret son joujou et enduisit la hampe de gel.

- Allez allons-y !

Il venait de s’agenouiller derrière les jambes de sa victime et immédiatement Pierre sentit les larges paluches se poser sur ses reins alors que la tête du pénis était positionnée durement contre son trou. L’anus non préparé résistait mais la pression exercée finit par vaincre toute résistance aidée par les mains qui avaient pris les hanches et tiraient irrésistiblement. Le bâton de chair pénétrait profondément jusqu’à atteindre la garde et violait physiquement et psychologiquement le chihuahua qui beuglait dans son bâillon. L’impression d’un fer rouge qui distendait et brûlait les chairs, une douleur vive dans le bas.

La place conquise jusqu’aux couilles, Joseph resta un moment immobile. Pierre cherchait à reprendre son souffle par le nez. Puis un mouvement de va et vient s’initia  précautionneusement. La tige qui coulissait le long de l’anneau, rapait les muqueuses et arrachait de nouveaux cris. La cadence augmenta et le chihuahua était sans-cesse écartelé par le barreau de la chair dont il rejetait de tout son être la présence contendante. C’était si différent de ce que lui faisait sa Claire. Il prenait des coups de rein puissants, rien à voir avec la délicatesse féminine, juste l’expression de la brutalité d’un mâle en rut.

-Allez hue ma cocotte que j’entende couiner comme une femelle !

Joseph accentua ses mouvements de va et vient, s’amusant même à dégarder complètement la tige avant de s’enfoncer à nouveau en puissance dans la rondelle. Le sexe de son violeur pressait en bout de course la prostate et donnait une terrible envie de pisser à Pierre. Il ne distinguait plus les mouvements individuels, juste l’impression d’une douleur continue causée par la charge d’un troupeau d’éléphants qui lui dévastait le cul. Joseph avait commencé à marquer par un petit râle chaque défoncement.

- Alors petit pédé ? Elle est bonne la grosse pine de Joseph !

Les mots orduriers semblaient redonner encore plus d’ardeur et de grosseur au phallus. Pierre haïssait sa situation de vide-couilles.  Il cherchait à crier non et à se dégager. En vain ! Les cordes et le bâillon enlevaient toute espoir de défense. Ses tentatives de parler finissaient en une suite de sons étouffé, inaudible. Mais le pire arriva quand son corps le trahit. Effaré, il sentait son zizi s’éveiller dans sa cage. Non pas cela ! Non pas cette déchéance ! En vain, son sexe avait bientôt pris toute la place de la coque indifférent aux états d’âmes de son propriétaire. Il sentit même l’humiliation de l’arrivée de la première humidité de pré-sperme.

- Ma tapette prend son pied ?

Non ! Criait Pierre de toute sa volonté dans ta tête. Mais si ! Son sexe appréciait. Les douleurs s’étaient muées en une étrange sensation de ressentir avec précision chaque renflement du phallus qui l’empalait. De percevoir les plus infimes mouvements ou sursauts de la bête dans son cul. Et son sexe aimait terriblement cela à l'insu de la tête. Il commença à ce moment à pleurer de la double humiliation.

Joseph avait atteint sa vitesse de croisière. Manifestement il se retenait pour profiter le plus longtemps possible de sa bonne fortune. Son corps s’était effondré sur le dos du chihuahua, jouissant des soubresauts dans la chair que créaient ses attaques.  Pierre sentait le musc acide de son violeur, avec le souffle chaud dans ses cheveux. Son enculeur haletait maintenant alors que le phallus durcissait et palpitait dans son rectum. Son corps avait cessé de résister et était trimballé d’un côte à l’autre au gré des perforations. Son esprit était complétement anesthésié. Un dernier mouvement très profond suivi d’une longue plainte du mal en rut, et il sentit avec effroi le liquide infâme gicler au fond de son cul, longtemps, impitoyablement sous le poids de Joseph complétement effondré sur lui.

Joseph reprenant son souffle, lui glissa au creux de l’oreille : 

- Te voilà donc devenu femme, chihuahua. J'espère que tu as apprécié autant que moi. J'avais oublié à quel point c’est bon de partir dans un petit cul vierge ! Merci à toi.

L'homme repu se désengagea et se releva. La rondelle débouchée palpitait et semblait devoir à jamais rester entre-ouverte. Le clitoris du chihuahua dans sa cage était totalement humide. La plus terrible humiliation que Pierre n’avait jamais reçu.

Joseph posa la gamelle de riz devant, déboucla le bâillon et libéra Pierre de son collier sous les yeux de sa victime embués de larmes.

- Tu dois avoir faim, Pierre… Reprends un peu de force. Nos Maîtresses ne rentreront pas avant deux/trois heures, et je crains que je doive encore profiter de toi un peu. Mais pour l’instant, il faut que j’aille préparer le repas de ce soir.

Il prit ses vêtements à la main et sortit.

blinferno


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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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