Vendredi 8 juin 5 08 /06 /Juin 08:12

Maîtresse est partie en déplacement pour 3 jours. Elle n'a pas voulu prendre le risque de prendre la clé de la cage. Au contraire, elle a enfermé la clé ainsi que la clé de secours dans le coffre à combinaison. 5 ou 6 chiffres de verrouillage à ce que j'ai cru entendre. La clé de secours du coffre a été scellé dans un tube qui empêche son accès par un cadenas plastique numéroté (dont elle pris une photo preuve) et cachée quelque part dans la maison.

Cela en dit beaucoup sur sa volonté actuelle de me voir rester en cage.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 5 juin 2 05 /06 /Juin 22:45

 

J'ai reçu au boulout un SMS hier en fin d'après midi m'ordonnant d'aller cueillir pour ma Maîtresse un bouquet d'orties fraiches  avec l'exigence de le faire au bord d'un chemin où ne passent pas de voitures. Facile je me suis dit car je connais un chemin quasi désert où je vais m'approvisionner d'habitude une fois que j'ai récupéré les sécateurs à la maison... Mais là il y avait un tracteur et une voiture en train de discuter dare dare. Mince. Je suis parti en chercher ailleurs mais ce qui est marrant, c'est quand on cherche quelque chose on ne le trouve pas ! J'ai erré un moment avant de trouver un champ d'orties assez fourni en bord de route. Mais on ne peut pas dire qu'il s'agit vraiment d'un endroit isolé. J'espère seulement qu'il n'y aura pas de passage. J'avoue ne pas être très rassuré d'être ici et je coupe une à une les tiges d'orties avant de les cacher derrière la voiture d'autant plus précautionneusement que j'ai oublié de prendre des gants. En plus les orties ont quasiment tous fleuris...

Retour à la maison avec ce qui ressemble à un bouquet d'orties et attente que les enfants soient endormis. Vers 22h30, N. m'annonce qu'elle est en train de finir ses obligations et que cela va être bientôt mon tour. Elle finit enfin et décider d'aller regarder la fin du zapping de la semaine à la télé. Je la rejoins.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Allez ouste du balai ! Il y a une lessive qui t'attend pour l'étendre !

20 minutes plus tard, j'ai fini d'étendre les linges (ce que je déteste, et ça Maîtresse le sait...). Retour au salon. Le zapping est en train de se terminer. Et là je m'aperçois avec angoisse que les mains de ma Maîtresse sont maintenant recouvertes de gants de latex bleu. Les deux ! Pourquoi ? Que veut-elle en faire ? Cela ne préfigure rien de bon pour moi. J'ose poser la question :

- Maîtresse, pourquoi avez-vous mis des gants ?

- Petit curieux, tu verras bien assez tôt... Allez ouste en chambre.

Je m'arrête sur le palier pour vérifier que la marmaille dort. Dans la chambre conjuguale, N. m'attend.

- Déshabille moi !

- Fais gaffe à mes bas, ne les file pas.

Maîtresse est toute nue. Elle est belle. Je bande immédiatement en cage. Elle ouvre le gainetier et le premier accessoire qu'elle sort est un bâillon. Etrange elle qui adore m'attendre crier sous ses cruautés d'habitude. Peut-être parce que la chair de sa chair ne dort pas loin. Je bave rapidement sur la boule qui écarte mes lèvres. La suite est plus classique, elle me pose les bracelets de cuir rouge, m'enlève la chemise, fait tomber slip et pantalon avant de m'attacher les mains en l'air aux anneaux de la poutre. Mais la cage reste en place pour mon désapointement.

Maîtresse prend le contrôle et me prend les couilles sous la cage pour les écraser entre ses doigts. Je grimace. Elle continue en les frappant du creux de sa main et savourant mes comiques sauts de reculade.

- Ah, ah !

Puis baisant les yeux sur la cage qui fuit du présperme.

- Incorrigible dyonisos ! Tu vas encore tout tâcher...

Elle utilise ma chemise en serpillière pour essuyer mes dégâts et la laisse là en prévision de toute fuite extérieure. Maîtresse me donne un moment ses seins à sucer et lécher puis saisit la roue à pics dans le grainetier dont elle se sert pour me marquer les fesses et le dos, avant de finir face à mon appréhension sur la fine peau des couilles. J'en tremble mais heureusement pour ma virilité elle n'appuit pas trop.

La suite est classique : inspection, traque, décapitage des boutons sur mon corps pour libérer le pauv' poil enfermé. Elle est déçue car elle n'a pas grand chose à se mettre sous la main. C'est autant de gagner pour moi, car c'est une des choses que je crains le plus !

Maîtresse saisit alors le bouquet d'orties et l'inspecte.

- Pas très net tout cela. Il a y même des pucerons ! Tu as de la chance, car je comptais te dresser à manger les orties. Je suis sérieuse quand je dis qu'il y a plus de vitamines C que dans une orange.

Les manger ?!? Oups ! Comment peux-on macher et avaler des feuilles qui piquent ainsi ? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir trop car elle a commencé de me fouetter vivement tout le derrière des molets aux épaules en passant pas les fesses. J'appréhende le moment où ma peau prendra feu, réaction temporisée de quelques minutes au vu de mes expériences passées. Cela commence à piquer mais pas trop. N. s'arrête pour scruter la peau, à la recherche des cloques.

1 Qu'est-ce qui se passe ? Pas très actives tes orties... sans doute un peu trop tard dans la saison. Dommage... Allez occupons-nous du devant !

Le bouquet s'abat entre mes cuisses et vient lécher mes orphelines. Je recule de peur et le cadenas vient claquer contre la coque de la cage. Elle sourit... Je reprends position et elle recommence. Nouveau claquement du cadenas. Elle enchaîne en cadence ses coups... avec mes reculs.

- Ah, ah. J'adore ce bruit de castagnette !

Les orties se terminent. N. pose le bouquet... Je l'attends chercher dans le grainetier que je ne vois pas. Elle revient.

- Allez donne-moi tes fesses !

Je me rappelle à ce moment là le présence des gants de latex et je me demande se ellle ne désire pas me rentrer sa main dans le rectum. Là immédiatement ! Demi fausse peur, car ce n'est pas ses doigts que je sens mais la pression de la tête d'un gode sur ma rondelle. A sec ! Tu as suffisamment du t'exciter du cul pour qu'il rentre tout seul. C'est son nouveau truc depuis quelque temps : me prendre à sec. Mais cette fois comme les autres fois le plug de 4cm malgré la pression n'arrive pas à perforer. Elle m'engueule aussi pour avoir la raie du cul trop odorante (sic) et en profite pour abandonner sans perdre la face. 

Je suis libéré. Je suis toujours bien bandé et je rêve d'une délivrance de sa main.

- Tu rêves mon pauvre dyonisos. En cage tu es, et en cage tu restes. Et puis qu'as tu fait pour m'aider cette semaine ? Allez à ta place de suceur soumis. Au travail !et tu rangeras tout le bordel après !

Je me retrouve la tête entre ses cuisses : c'est complétement inondé avec une odeur hypnotisante. Je suce/masse/mordille le bouton avec avidité. Elle râle car son plaisir ne monte pas assez vite. Elle m'ordonne de rajouter mes doigts pour aller chercher son point G. Petit effet, mais cela ne va toujours pas assez vite à son goût. Alors de guerre lasse, elle commence à se masturber sur mon visage en ondulant du bassin, à me baiser la bouche. Je suis comme je peux, mais je ne suis manifestement plus à la manoeuvre. La jouissance arrive. Fluides mouillés et contractions. Elle jouit !

Merci Maîtresse.

dyonisos


 

PORT FOLIO

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Lundi 4 juin 1 04 /06 /Juin 07:49

Le dimanche a commencé assez tôt. Je me suis réveillé et j'ai glissé mes doigts sous l'élastique de la culotte de N. J'avoue que même après plus de 10 ans de mariage, je n'ai toujours pas compris quand ma femme mettait une culotte pour dormir et quand elle en mettait pas. En tout cas, ce matin il y en avait une. N. a manifestement et couinement apprécié jusqu'à l'orgasme, avec à la fin petit commentaire assassin : dommage je me serais bien pris ta bite... grrr... la clé était en bas, loin !

Pas de possibilité de maugréer,  il était temps d'aller réveiller ma fille. C'était notre accord entre père et fille. Elle voulait préparer le petit dejeuner de sa mère le jour de la fête des mamans... Et elle l'a fait ! Après le fils s'est réveillé et toute la famille s'est réunie autour de lit de notre chambre pour la sempirternelle ouverture des cadeaux pour maman (assez jolis, il y a eu pire).

Après les enfants se sont éparpillés l'un dans sa chanbre à jouer à la nintendo, l'autre en bas à regarder la télé. N. lisait au lit. L'offre du matin me trottait toujours dans la tête, alors je me suis éclipsé avec le trousseau de clé, pour rejoindre N. Oh joie ! Elle accepte de me décager. Détour à la douche avant pour rincer le tout rapidement et arrivée du satyre nu au phallus dressé dans la chambre. C'est l'heure des parents pas sages. Petite gaterie de bienvenue : une merveille ! Surtout tenir... Mais N. est pressée de sentir sa queue et met son dos maginifique en levrette sur le lit. Je m'introduis... Bonheur de sentir la matrice chaude... J'en profite, je prends mon temps à flâner dans la vulve pour mieux déguster le calin... Trop sans doute. Alors que que l'éjaculation montait et arrivait, que j'étais prêt à accueillir dans un minute tout au plus, elle me dit :

- Tu ne jouis pas mon amour ?

- Si, si, je profite j'arrive....

- Non, non : on arrête. Finis moi aux doigts !

Et merde ! J'ai perdu un peu de virilité immédiatement et Maîtresse fut comme demandé "finie" mes doigts pressant le point du bon docteur Gräfenberg. Visuellement un orgasme formidable... sans moi...

Après je n'ai pas eu le droit de jouir. Je me suis retrouvé de nouveau enfermé dans la cage. Le zizi ne voulait pas rentrer alors il a fallu forcer pour verrouiller le tout. Clic. Clac. Que des regrets... N. est épanouie après sa jouissance. Trop à mon gout. Elle ordonne de me rapprocher, ses mains en prise sur les orphelines qui dépassent sous la cage. Nous parlons...

- je suppose que quand tu partiras pour ton colloque en fin de semaine, tu me laisseras en cage...

- Eh oui ! Tu as bien deviné...

Je n'espérais quand même pas pouvoir en sortir avant. Fallait être réaliste... 

N. me souriait... Je tente ma chance.

- J'ai été déçu que l'on n'ait pas eu le temps mardi dernier de jouer en chambre avec les orties

- Oui je l'avais déviné.

- Alors, alors je peux espèrer quelque chose ce soir après le coucher des enfants ?

- Ce soir non cela me plait pas, lundi soir peut être ! Je n'ai rien ce soir là...

Encore attendre et espèrer. Vous pourriez croire que tout cela est machiavéliiquement planifié par ma Maîtresse. Et bien non la plupart du temps il n'y a rien d'organisé à l'avance et je me suis depuis longtemps persuadé qu'elle ne faisait pas exprés de me torturer comme cela. C'est juste l'expression de sa nature dominante et du moment. En tout cas me voilà encore une fois trimballé... et je reste totalement surpris de la tournure qu'a pris ma demande. Ma tête doit être impayable1 pendant que je fais cette remarque car elle me fixe dans les yeux.

- Tu fais une drôle de tête. Tu es déçu mon amour ?

Avant de rire gentimment de mon état...

Puis suite à une idée que j'avais impudemment évoquée dans la semaine, j'ai été envoyé aux courses de "compléments" avec un vieil ami : le rosebud bien fiché dans la fondement ! Je l'avais oublié celui-là... Avec la cage devant et le plug derrière, les courses s'allongent. Je me fais même doubler en allant à la boulangerie par un père et son gamin de 3 - 4 ans. Et je ne conduit bizarrement qu'assis sur une fesse... J'étais heureux de m'en débarrasser en rentrant à la maison.

Le soir a été le moment d'un long hommage entre ses jambes. Allez-suce bien ta Maîtresse, mon petit soumis !

dyonisos

 

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Dimanche 3 juin 7 03 /06 /Juin 23:00

CHAPITRE 19 - Sammensværgelse

L’eau chaude coulait depuis un bon moment dans la douche. La salle de bain était devenue hammam. Claire nue, assise sur la lunette du WC, semblait perdue dans ses pensées.

Non je ne sortirai pas. Non je ne veux pas le voir. Il fait très bon ici. Oh que j’y suis bien. Pas envie de quitter. Je veux y rester toute la vie, m’y enterrer. Et qu’est-ce que je lui dirai ? Je suis désolé… Excuse-moi… Qu’il était magnifique la première fois que j’ai vu ses beaux yeux noisettes et si timide... A croquer ! D’ailleurs c’est ce que j’ai fait rapidement. Hum que c’était bon de le croquer tout cru. Et il m’a donné trois beaux enfants. Dommage qu’il ait un petit pénis… par comme celui de l’autre homme. Comment il s’appelait ? Ah oui Lucas. Quel bel engin ! Et mince cela me reprend dans le ventre. Il a dû trop me secouer tout à l’heure. Cela me fait comme quand j’avais la gastro l’hiver dernier. Vite urgence, pousser. Putain l’odeur ! On ne peut pas imaginer que mon petit corps puisse produire de telles choses. Ah cela va mieux… L’atelier était vraiment chouette,  mais qu’est-ce qu’ il y faisait chaud ! Les forges du diable ! Et l’odeur de son corps nu elle m’envoutait. On aurait dit une odeur de tabac. Ah ses muscles fermes. Un vrai mâle, pas comme mon amour. S’il pouvait faire un peu plus de sport… oui c’est décidé je vais le mettre au sport. Après tout la Maîtresse c’est moi ! Elles sont où ses affaires de sport ? Ah oui dans le placard du haut… Mais il a grossi – il est trop gros d’ailleurs je trouve – il faudra sans doute aller chez Sportif pour lui en faire acheter d’autres… ah au fait ai-je arrêté le sèche-linge en partant ? Oui je me souviens. Mais je n’ai pas enlevé le linge dedans. Il va être tout humide au retour. Et il faudra que je le range. Non je le ferai ranger à Pierre, il faudra bien qu’il apprenne à le faire après tout. Il aurait quand même pu nettoyer son établi avant de m’y coucher. Je sens encore l’huile. Humm que c’était bon quand il m’a enculé ! Je n’ai jamais eu un tel orgasme ! Dommage que cela fasse si mal au début… l’impression d’un fer rouge dans mon cul… j’ai ai encore mal au petit trou. Et putain quels coups de pilon. Rien avoir avec mon mari. Il faut être maso pour se laisser prendre ainsi ! Mais je n’avais pas le choix. Oh en es-tu sûre ? Tu avais bien su dire non quand le garçon t’avait mis les mains sur les seins. D’ailleurs il était moche ! Ridicule ! Pas comme Lucas. Alors pourquoi t’as pas dit non tout à l’heure ? Peut-être parce que tu le voulais ma cocotte ! Non je ne suis pas comme cela ! Si rappelle-toi quand tu t’astiquais le bouton dans ta chambre d’étudiante. Tu rêvais à un beau mâle qui te prenait de force et te faisait crier de plaisir ! Oui mais ce n’était qu’un fantasme ! Non cocotte, ne te ment pas à toi-même. Tu étais consentante avec l’homme tout à l’heure. Tu voulais vivre ton fantasme… Humm peut être. Mais je n’ai pas aimé quand il s’est enfoncé dans ma bouche. Il me donnait la nausée. Il aurait pu faire attention quand même… A-t-on encore du lait pour les enfants pour le petit dèj lundi ? Non on a fini la dernière brique avant de partir. Il faudra que je demande à maman si elle peut m’en passer une. Et il ne faut pas que j’oublie de prendre les affaires des cousins. Paul n’a plus de pantalon à sa taille. Ah si le bleu en coton… Je ne sais pas si j’ai bien fait de faire confiance à Elke. Elle est si bizarre… Pas très sympa sa dérobade tout à l’heure. Me livrer en pâture à son amant. Je sens le piège à chaque fois avec elle. Sympa son idée de domaine SM. J’ai adoré prendre le cul de mon chihuahua dans le sauna. Il était si excitant à ne pas vouloir se laisser faire. Mais qu’est-ce qu’Elke me matait ! Je n’avais jamais embrassé une fille jusqu’à présent. C’était un vrai bonheur. Ses lèvres sont si fraiches. Mais non je ne devrais pas… c’est pas bien… je ne suis pas lesbienne, moi. En es-tu si sûre  ma fille ? Oui tout à fait. Petite menteuse, va. Non je ne mens pas. Et Clara ? Ce n’est pas la même chose… En est tu sûre ? Tu l’as bien embrassé sur les lèvres ! Oui mais ce n’était pas pareil, nous avions quinze ans et nous voulions savoir ce que cela donnait d’embrasser un garçon.  Pourtant tu mouillais ta culotte pendant qu’elle t’embrassait… Euh oui, non… Si tu mouillais ma chérie ! Et le dernier soir sous la tente, vous vous êtes caressées ensemble sous la couverture. Non ?… Clara !....Il faudra aller faire les courses en rentrant. Beurre, steaks hachés, on est où dans les yaourts, et les enfants ont piquenique mercredi. Il nous reste des petites bouteilles d’eau ? Faudra que je commence une liste… Cette Elke me fascine. J’avais tant envie qu’elle m’embrasse dans les caves sous le château. Mais elle l’a fait ! Un bonheur ! On fait comment l’amour entre femmes ? Arrête, tu es folle. Tu ne vas pas te lancer dans une telle aventure. En-as-tu envie d’ailleurs ? Envie ? Envie de retrouver ses lèvres ? Envie de toucher son corps nu ? Envie de sentir l’odeur de sa foufoune ? Non je n’en ai pas… envie ! Petite menteuse va ! Mais si je te jure… Ne jure pas ou t’ira en enfer, me disait mamie. Elle était si gentille. Elle me manque. Sois toujours une bonne petite fille qu’elle me disait. C’est que j’essaye d’être mamie ! Oui je sais que tu n’aimerais pas ce que je fais actuellement mais c’est si bon, mamie. Et tu disais toujours, qu’il faut vivre ses envies… Et là j’ai envie de découvrir le corps nu d’Elke ! … Mince je n’ai pas pensé cela ?... Et si ! Tu dois être folle ma fille. Bah ce n’est pas plus grave que d’enculer au gode Pierre ou de fouetter son cul. Su tu savais mamie, tu en serais rouge jusqu’aux oreilles et tu me ferais ton regard courroucé. Mais c’est ma vie après tout, la vie que je me suis choisie. Et tu m’as toujours dit de vivre ma vie intensément. Ah tes galettes aux sucres me manque, j’en mangerais bien un morceau tout de suite. Il était mignon à croquer le petit Zépharin qu’Elke a gentiment torturé. Je suis sûre qu’il ne devrait pas rester libre longtemps avec Elke ! Dommage que je ne puisse pas voir cela. Mercredi nous serons partis. Déjà ! Pierre a-t-il réparé la porte de derrière ? Je ne crois pas. Je vais devoir lui rappeler et s’il ne le fait pas, je le punirai. Nom d’un Maîtresse ! Mince Pierre ! Qu’est-ce que je lui dis ? Et il a tout entendu ! Pas possible de lui mentir. Je ne veux pas le voir. Je reste ici pour toujours. Mince cela reprend dans le ventre… vite soulager la pression ! Pourquoi je suis si mal depuis tout à l’heure. Parce qu’il a trop remué mon intestin ? On dirait comme le lavement que j’ai reçu la fois où j’étais à l’hôpital. Mais là je n’en ai pas reçu un… et si pauvre idiote ! M’empêche qu’il aurait pu faire attention le Lucas de ne pas m’en mettre trop au fond de mon cul ! Il faudra que je lui dise la prochaine fois… Quelle prochaine fois ? Tu ne vas pas quand même le revoir après ce qu’il t’a fait ? Je ne sais pas…mais j’aimerais bien. C’est très différent qu’avec mon amour de Pierre ! Beaucoup plus puissant et jouissif ! J’ai adoré en fait. Oui tu veux Elke ET Lucas, mais Pierre tu en fais quoi ? Pi..e..rr..e ? Oui ton mari ! le père de tes enfants ! Celui que tu as envoyé au cachot pour avoir la paix pour te faire sauter comme une jouvencelle par le premier venu ! Non Lucas n’est pas le premier venu… Elke couche avec lui ! C’est lui qui a préparé le fer pour marquer mon Pierre demain. Superbe fer d’ailleurs, j’en mouillais tellement tout à l’heure. Je me demande si cela sentira le cochon brûlé quand j’appliquerai le fer sur sa peau ? Je n’ai jamais aimé cette odeur… Mais Pierre !! … Tu m’embêtes à la fin, Pierre est mon soumis et je suis une Maîtresse je fais ce que je veux !... il faudra bien que tu ailles le voir ! … non je reste là… je ne bouge pas… laisse-moi en paix !... que vas-tu lui dire ?... Mais rien, je suis sa Maîtresse et il obéit ! Un point c’est tout !... Tu devras quand même rentrer avec lui… Tu m’emmerdes à la fin, tu ne peux pas me laisser dans mes rêveries ! Que va-t-il lui dire ? Il a tout entendu de tes exploits ! Je… Je… Mince comment faire ? Ecoutes mon amour je suis une femme libérée et je fais ce que je veux ? Tais-toi ? Barre-toi si tu n’es pas content ? Je ne suis pas sûr qu’il apprécie… Mais qu’est-ce que je dis aux enfants ? Papa a quitté Maman parce que Maman se fait sauter par le premier venu et fantasme à coucher avec une autre femme ? Ils l’aiment tellement leur père ! Et c’est vrai qu’il sait bien s’amuser avec eux. Mon quatrième gamin en fait !  Bon je lui dis quoi ? Toute la vérité ? A-t-il tout entendu ? Je criais tellement pendant Lucas me prenait, qu’il sait forcément ce que je faisais…. Mais pour Elke il ne peut pas le savoir, alors pour ça je me tais… tu crois que t’être envoyée en l’air avec un autre homme sera facile à accepter pour lui ? … euh ? non ! Il est assez jaloux en fait… alors ? que vas-tu faire ?... qu’est-ce que je vais faire ? après ce que je lui ai fait ?... je ne sais pas… je dois être maintenant une salope à ses yeux…et s’il me quittait après cela, il aurait tout à fait raison… merde comme je peux réparer les choses, maintenant ? Oublie, ma fille, tes rêves. Tu as ton mariage à sauver… Bon qu’est-ce que je peux faire ?... Tu peux lui demander pardon et voir s’il accepte de te pardonner… Oui mais je ne suis pas sûr qu’il accepte et s’il le fait il me tirera la gueule pendant longtemps… Oui mais ce qui est fait est fait et tu ne peux plus qu’essayer de réparer les pots cassés !... il sera très en colère et aura raison, je me suis conduite comme une idiote… il me faudrait un truc pour mieux lui faire avaler la pilule… Je sais ! Je vais tout mettre sur le dos de la mauvaise influence d’Elke… Cela pourrait marcher…  Et tu te barres avec lui de ce lieu maudit immédiatement ! … oui, oui, il n’y a que cela à faire. Pas d’autre moyen, allez hop ma fille à la douche pour aller vite le retrouver !

Une fois douchée, Claire se pressa de redescendre vers le cœur du domaine. Elle avait le cœur en tension, les yeux au bord des larmes. La douche avait fini de la débourrer brutalement. Et le souvenir de son mauvais comportement lui était devenu intolérable. Son visage affichait maintenant un teint honteux. Elle avait hâte d’en finir, de le retrouver le cœur serré, espérant qu’elle pourrait arriver à sauver leur couple. 

Arrivé à proximité de la bâtisse, Claire se rappela que cela devait être l’heure du diner. Tous les invités du domaine étaient rassemblés, sauf son Pierre qu’elle avait laissé enfermé dans son cachot. Vite le retrouver pour s’expliquer. Cependant en s’approchant, elle fut surprise de voir les Maîtresses regroupées devant la maison. Elle s’arrêta stupéfaite. Le bjørneunge de Maîtresse Elke – Joseph – avait été attaché nu les bras en l’air à une poutre sortant du mur, , les chevilles étroitement liés et la pointe des pieds touchant tout juste le sol. Il était bâillonné serré. A quelque pas derrière lui, Elke maniait un long fouet de dressage pour cheval. La lanière de cuir sifflait dans l’air avant de venir s’écraser sur le dos et les fesses du soumis attaché qui répondait pas un beuglement de détresse étouffé dans le bâillon. La punition était sérieuse, les coups pleuvaient en rafale sur le pauvre Joseph.

Claire se rapprocha des femmes qui regardaient.

- Qu’est ce qui se passe ? Qu’a-t-il fait ?

Sophie lui répondit immédiatement.

- Désolé mais cela te concerne aussi…

- Cela me concerne… moi ?

- Oui ! Elke l’a découvert à votre retour en train de se faire sucer la bite mais ton chihuahua. A ce que j’ai compris elle lui avait donné une journée de liberté sans sa ceinture de chasteté. Et ce n’est pas tout, il vient d’avouer qu’ils ont baisés ensemble pendant l’après-midi. Joseph a enculé ton chihuahua. Elke est furax. Je suis vraiment désolé !

Claire était choquée à un point qu’elle n’aurait jamais cru ! Elle ne pouvait s’enlever de la tête l’image des deux corps bougeant l’un sur l’autre. C’est trop dégoûtant. Ils n’avaient pas le droit ! Elle laissa sa colère monter. Et dire qu’elle s’en voulait de sa conduite, alors que lui, pendant ce temps, prenait aussi du bon temps! Elle lui en voulait aussi de l’avoir laissé se torturer l’estomac par le stress d’essayer de recoller les morceaux. Et pendant ce temps ce petit pédé de Pierre prenait du bon temps avec un autre soumis. On ne pouvait pas être forcé à sucer un autre homme. Il était forcément consentant. Bon il n’avait qu’à mariner dans son cachot. Elle s’occupera de lui plus tard, mais il ne perd rien pour attendre, ce saligot !

Elke fit une pause. Le dos et le cul du supplicié étaient striés d’une trentaine de traits violacés dont certains laissaient perler des gouttes de sens. Joseph essayait de reprendre son souffle par le nez. La danoise se tourna vers Claire.

- A voir ta tête, je vois que l’on vient de te mettre au courant. Dès que l’on leur relâche un peu la bride, les soumis sont jamais sages. Quand nous sommes rentrés, je suis passé voir ton chihuahua au cachot et je les ai découverts, mon bjørneunge debout bite en érection, ton chihuahua agenouillé à ses pieds en train de lui sucer activement le pénis ! Je suis intervenu pour les séparer immédiatement ! C’est vraiment trop dégoutant deux hommes qui baisent ensemble. J’ai renfermé ton chihuahua dans le cachot, bâillonné et solidement attaché. Celui-là je te laisse ! Tu en feras ce que tu en veux ! Mais pour le mien, son comportement est inacceptable et il sera donc puni terriblement pour son incartade.

- Merci d’être intervenue ! Les hommes sont vraiment des porcs… Et soit sûr que je punirai le mien comme il se doit pour un tel comportement. Je ne savais pas qu’il était intéressé par les hommes. D’ailleurs je m’en vais de ce pas lui dire ce que je pense de son comportement…

- Oh pas tout de suite, car j’ai besoin de toi pour m’aider à punir mon bjørneunge. Tu auras bien le temps de t’occuper du cas de ton soumis dans la soirée !

Et elle lui tendit le fouet avec une autorité à laquelle on ne peut se soustraire. Claire le saisit sans hésitation.

La danoise connaissait bien sa comédie humaine, et savait comment amener les gens là où elle les voulait. Elle avait pris le pari que Claire réagirait au premier degré oubliant immédiatement son propre comportement de l’après-midi, son subconscient activant la colère pour éviter de devoir se regarder en face. Car après tout, le comportement de Claire cet après-midi était tout aussi répréhensible voir pire. Elle avait été néanmoins surprise de la facilité avec laquelle elle avait séduite la femme. Sophie par exemple avait montré beaucoup de résistance. Elke pensa qu’elle avait sans doute déjà eu une expérience avec une fille dans sa jeunesse. Quelque chose qu’elle avait cru refoulé et sans doute jamais avoué à son mari. C’était inattendu mais cela ne changeait pas grand-chose à son plan. Bien sûr cela serait ainsi plus trop difficile de l’emmener dans son lit. Mais Elke en voulait plus d’elle de toute façon. Pour garder tout l’intérêt à la chasse, cela l’obligeait à réaménager son plan et à passer plus rapidement à l’étape suivante. 

Elle jeta un coup d’œil à Claire qui avait manifestement du mal à contrôler le long fouet. Le dernier coup s’était enroulé contre la cuisse pour finir manifestement contre les parties intimes. Son soumis essaya de hurler à mort en vain dans le bâillon. Oh que cette maladresse est intéressante… Elke annonça à haute voix :

- Vingt de plus comme celui-là Claire. Il les mérite !

Bien sûr qu’il les méritait, elle l’avait laissé éjaculer deux fois aujourd’hui. Une fois au bout d’une longue pénétration et la seconde fois dans la bouche du chihuahua. Cela ne lui était pas arrivé depuis au moins trois ans et il aurait tout fait pour avoir droit à ce privilège. D’autant que sa dernière masturbation autorisée datait de 7 mois et il n’avait eu droit depuis qu’à des milkings de la prostate.  Il n’avait pas de penchant particulier pour l’homosexualité, mais dans la situation où il était un trou était un trou, et il aurait été bête de ne pas en profiter… Même si sa Maîtresse ne lui avait rien dit de précis, il s’avait qu’après cela serait fortement douloureux pour lui. Et avoir la possibilité de partir deux fois en une seule journée était un événement si exceptionnel à ne surtout pas laisser passer. Elke était arrivée dans le cachot alors que l’action entre les deux hommes avait déjà débuté. Evidemment car elle avait synchronisé tout cela au départ de l’atelier. Ils étaient si attendrissants suceur et sucé  qu’elle avait renoncé à les interrompre. Elle les avait finalement laissé finir jusqu’à le chihuahua est bien tout avalé comme un bon soumis avant d’intervenir dans une colère forcée et les séparer de force… Elle avait ensuite bâillonné son bjørneunge pour la soirée surtout pour qu’il ne lâche rien sur le complot en trame. Il devient habituellement si faible sous la douleur…

La suite des coups de fouets que Claire infligeaient au puni était une catastrophe. Soit ils n’arrivaient nulle part soit sur des parties inattendues du corps supplicié, les jambes, les bras. Supplice devait être le mot car la danoise se dit que cela devait être terrible pour le bjørneunge de ne pas savoir où le suivant frapperait incidemment…

La danoise savait aussi pertinemment que Pierre n’était pas enclin à l’homosexualité et qu’il n’avait pas été privé comme son Joseph de jouissance pendant des mois pour s’y laisser aller par bas intérêt. Pour la prise de son cul, cela avait suffisamment facile. Elle avait demandé à Joseph de l’attacher et de le violer. Par contre la fellation devait donner l’impression d’avoir été librement consentie pour que le plan marche totalement. Cela avait été tout juste un peu plus compliqué à organiser, et ils avaient dû recourir au chantage envers Pierre. Oh quelque chose de très simple : une photo du chihuahua enchaîné à quatre pattes que Joseph avait pris avec le téléphone portable de Pierre puis il l’avait menacé de l’envoyer au hasard à quelques-uns de ses contacts. Pierre avait d’abord douté qu’il le fasse vraiment. Mais bientôt la première photo avait été envoyée sur le téléphone de Claire en guise d’avertissement devant les yeux effarés du pauvre homme. Un second SMS fut vite préparé toujours avec la photo et de multiples contacts en destinataire qui comportait non seulement maman, mais aussi les collègues et son patron, de la famille ainsi que des parents de copains et copines de leurs enfants. Et c’est ainsi le doigt près de la touche envoi qu’il réussit à se faire sucer plus ou moins volontairement par le chihuahua.

Bien sûr, Pierre ne manquerait pas de raconter à Claire dès qu’il la verrait le chantage auquel  il venait de céder. Mais une surprise l’attendait et la danoise en rigolait d’avance. Le téléphone avec lequel Joseph a menacé le chihuahua ressemblait au sien, même marque, même modèle, mais n’était pas celui de Pierre. Elke avait envoyé son soumis l’acheter au bourg ce matin à cette fin. Pendant la pause du déjeuner, après qu’il eut enfermé le chihuahua dans le cachot, Joseph était monté dans leur chambre récupérer le vrai portable, avait recopié une vingtaine de nom de contact véritable, pointant tous sur le même numéro, celui du Domaine, et avait gardé le vrai téléphone pour le donner à Elke pour qu’il réapparaisse magiquement à la terrasse du café du bourg. C’est fou ce que l’on peut faire avec des téléphones modernes et les gens sont si imprudent de ne pas les verrouiller ! Ainsi l’alibi de Pierre ne tiendrait pas. Elke en rigolait d’avance.

Claire venait de péniblement finir sa série. Le puni fut laissé pendu en pénitence. Il était temps de passer à table : un buffet froid ce soir car le servant de la maison avec son après-midi de liberté sexuelle n’avait pas vraiment eu le temps de préparer des mets compliqués. Après le repas, Nikka et Thomas eurent les restes à finir dans leur gamelle et Elke leur ordonna de ranger et de nettoyer tout pour remplacer Joseph pendant leurs absences. Pas de thé dans le boudoir ce soir, la Maîtresse de maison réservait à ses hôtes une soirée mémorable de punition de son pauvre soumis. Joseph avait essayé de négocier de ne pas subir les punitions les plus sévères pour sa fausse désobéissance. Elke lui avait vaguement promis que non il les éviterait. Et bien sûr elle l’avait trompé ! Mais il ne le savait pas encore, aussi il se laissa détacher et emmener dans la pièce du sous-sol, aussi noire et encombrée que le pendant du haut (la « hus elskerinder ») était clair et aéré, plus proche en fait du donjon moyenâgeux avec croix, cage, outils divers et un lit à lattes au milieu sur lequel il fut prestement sanglé serré avec l’aide des autres femmes.

Elke alla récupérer une boite de vieux bois noir sur une étagère qu’elle posa sur la console au pied du lit. Dès que bjørneunge la vit, il se mit à hurler à mort dans son bâillon, les yeux révulsés et à essayer de s’agiter dans ses sangles. En vain !

- Oui je sais tu t’aimes vraiment pas cela, mais deux éjaculations dans une seule journée valent bien de souffrir un peu mon petit bjørneunge. Allez préparons le !

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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