Lundi 4 juin 2012 1 04 /06 /Juin /2012 07:49

Le dimanche a commencé assez tôt. Je me suis réveillé et j'ai glissé mes doigts sous l'élastique de la culotte de N. J'avoue que même après plus de 10 ans de mariage, je n'ai toujours pas compris quand ma femme mettait une culotte pour dormir et quand elle en mettait pas. En tout cas, ce matin il y en avait une. N. a manifestement et couinement apprécié jusqu'à l'orgasme, avec à la fin petit commentaire assassin : dommage je me serais bien pris ta bite... grrr... la clé était en bas, loin !

Pas de possibilité de maugréer,  il était temps d'aller réveiller ma fille. C'était notre accord entre père et fille. Elle voulait préparer le petit dejeuner de sa mère le jour de la fête des mamans... Et elle l'a fait ! Après le fils s'est réveillé et toute la famille s'est réunie autour de lit de notre chambre pour la sempirternelle ouverture des cadeaux pour maman (assez jolis, il y a eu pire).

Après les enfants se sont éparpillés l'un dans sa chanbre à jouer à la nintendo, l'autre en bas à regarder la télé. N. lisait au lit. L'offre du matin me trottait toujours dans la tête, alors je me suis éclipsé avec le trousseau de clé, pour rejoindre N. Oh joie ! Elle accepte de me décager. Détour à la douche avant pour rincer le tout rapidement et arrivée du satyre nu au phallus dressé dans la chambre. C'est l'heure des parents pas sages. Petite gaterie de bienvenue : une merveille ! Surtout tenir... Mais N. est pressée de sentir sa queue et met son dos maginifique en levrette sur le lit. Je m'introduis... Bonheur de sentir la matrice chaude... J'en profite, je prends mon temps à flâner dans la vulve pour mieux déguster le calin... Trop sans doute. Alors que que l'éjaculation montait et arrivait, que j'étais prêt à accueillir dans un minute tout au plus, elle me dit :

- Tu ne jouis pas mon amour ?

- Si, si, je profite j'arrive....

- Non, non : on arrête. Finis moi aux doigts !

Et merde ! J'ai perdu un peu de virilité immédiatement et Maîtresse fut comme demandé "finie" mes doigts pressant le point du bon docteur Gräfenberg. Visuellement un orgasme formidable... sans moi...

Après je n'ai pas eu le droit de jouir. Je me suis retrouvé de nouveau enfermé dans la cage. Le zizi ne voulait pas rentrer alors il a fallu forcer pour verrouiller le tout. Clic. Clac. Que des regrets... N. est épanouie après sa jouissance. Trop à mon gout. Elle ordonne de me rapprocher, ses mains en prise sur les orphelines qui dépassent sous la cage. Nous parlons...

- je suppose que quand tu partiras pour ton colloque en fin de semaine, tu me laisseras en cage...

- Eh oui ! Tu as bien deviné...

Je n'espérais quand même pas pouvoir en sortir avant. Fallait être réaliste... 

N. me souriait... Je tente ma chance.

- J'ai été déçu que l'on n'ait pas eu le temps mardi dernier de jouer en chambre avec les orties

- Oui je l'avais déviné.

- Alors, alors je peux espèrer quelque chose ce soir après le coucher des enfants ?

- Ce soir non cela me plait pas, lundi soir peut être ! Je n'ai rien ce soir là...

Encore attendre et espèrer. Vous pourriez croire que tout cela est machiavéliiquement planifié par ma Maîtresse. Et bien non la plupart du temps il n'y a rien d'organisé à l'avance et je me suis depuis longtemps persuadé qu'elle ne faisait pas exprés de me torturer comme cela. C'est juste l'expression de sa nature dominante et du moment. En tout cas me voilà encore une fois trimballé... et je reste totalement surpris de la tournure qu'a pris ma demande. Ma tête doit être impayable1 pendant que je fais cette remarque car elle me fixe dans les yeux.

- Tu fais une drôle de tête. Tu es déçu mon amour ?

Avant de rire gentimment de mon état...

Puis suite à une idée que j'avais impudemment évoquée dans la semaine, j'ai été envoyé aux courses de "compléments" avec un vieil ami : le rosebud bien fiché dans la fondement ! Je l'avais oublié celui-là... Avec la cage devant et le plug derrière, les courses s'allongent. Je me fais même doubler en allant à la boulangerie par un père et son gamin de 3 - 4 ans. Et je ne conduit bizarrement qu'assis sur une fesse... J'étais heureux de m'en débarrasser en rentrant à la maison.

Le soir a été le moment d'un long hommage entre ses jambes. Allez-suce bien ta Maîtresse, mon petit soumis !

dyonisos

 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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