Mardi 5 juin 2012 2 05 /06 /Juin /2012 22:45

 

J'ai reçu au boulout un SMS hier en fin d'après midi m'ordonnant d'aller cueillir pour ma Maîtresse un bouquet d'orties fraiches  avec l'exigence de le faire au bord d'un chemin où ne passent pas de voitures. Facile je me suis dit car je connais un chemin quasi désert où je vais m'approvisionner d'habitude une fois que j'ai récupéré les sécateurs à la maison... Mais là il y avait un tracteur et une voiture en train de discuter dare dare. Mince. Je suis parti en chercher ailleurs mais ce qui est marrant, c'est quand on cherche quelque chose on ne le trouve pas ! J'ai erré un moment avant de trouver un champ d'orties assez fourni en bord de route. Mais on ne peut pas dire qu'il s'agit vraiment d'un endroit isolé. J'espère seulement qu'il n'y aura pas de passage. J'avoue ne pas être très rassuré d'être ici et je coupe une à une les tiges d'orties avant de les cacher derrière la voiture d'autant plus précautionneusement que j'ai oublié de prendre des gants. En plus les orties ont quasiment tous fleuris...

Retour à la maison avec ce qui ressemble à un bouquet d'orties et attente que les enfants soient endormis. Vers 22h30, N. m'annonce qu'elle est en train de finir ses obligations et que cela va être bientôt mon tour. Elle finit enfin et décider d'aller regarder la fin du zapping de la semaine à la télé. Je la rejoins.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Allez ouste du balai ! Il y a une lessive qui t'attend pour l'étendre !

20 minutes plus tard, j'ai fini d'étendre les linges (ce que je déteste, et ça Maîtresse le sait...). Retour au salon. Le zapping est en train de se terminer. Et là je m'aperçois avec angoisse que les mains de ma Maîtresse sont maintenant recouvertes de gants de latex bleu. Les deux ! Pourquoi ? Que veut-elle en faire ? Cela ne préfigure rien de bon pour moi. J'ose poser la question :

- Maîtresse, pourquoi avez-vous mis des gants ?

- Petit curieux, tu verras bien assez tôt... Allez ouste en chambre.

Je m'arrête sur le palier pour vérifier que la marmaille dort. Dans la chambre conjuguale, N. m'attend.

- Déshabille moi !

- Fais gaffe à mes bas, ne les file pas.

Maîtresse est toute nue. Elle est belle. Je bande immédiatement en cage. Elle ouvre le gainetier et le premier accessoire qu'elle sort est un bâillon. Etrange elle qui adore m'attendre crier sous ses cruautés d'habitude. Peut-être parce que la chair de sa chair ne dort pas loin. Je bave rapidement sur la boule qui écarte mes lèvres. La suite est plus classique, elle me pose les bracelets de cuir rouge, m'enlève la chemise, fait tomber slip et pantalon avant de m'attacher les mains en l'air aux anneaux de la poutre. Mais la cage reste en place pour mon désapointement.

Maîtresse prend le contrôle et me prend les couilles sous la cage pour les écraser entre ses doigts. Je grimace. Elle continue en les frappant du creux de sa main et savourant mes comiques sauts de reculade.

- Ah, ah !

Puis baisant les yeux sur la cage qui fuit du présperme.

- Incorrigible dyonisos ! Tu vas encore tout tâcher...

Elle utilise ma chemise en serpillière pour essuyer mes dégâts et la laisse là en prévision de toute fuite extérieure. Maîtresse me donne un moment ses seins à sucer et lécher puis saisit la roue à pics dans le grainetier dont elle se sert pour me marquer les fesses et le dos, avant de finir face à mon appréhension sur la fine peau des couilles. J'en tremble mais heureusement pour ma virilité elle n'appuit pas trop.

La suite est classique : inspection, traque, décapitage des boutons sur mon corps pour libérer le pauv' poil enfermé. Elle est déçue car elle n'a pas grand chose à se mettre sous la main. C'est autant de gagner pour moi, car c'est une des choses que je crains le plus !

Maîtresse saisit alors le bouquet d'orties et l'inspecte.

- Pas très net tout cela. Il a y même des pucerons ! Tu as de la chance, car je comptais te dresser à manger les orties. Je suis sérieuse quand je dis qu'il y a plus de vitamines C que dans une orange.

Les manger ?!? Oups ! Comment peux-on macher et avaler des feuilles qui piquent ainsi ? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir trop car elle a commencé de me fouetter vivement tout le derrière des molets aux épaules en passant pas les fesses. J'appréhende le moment où ma peau prendra feu, réaction temporisée de quelques minutes au vu de mes expériences passées. Cela commence à piquer mais pas trop. N. s'arrête pour scruter la peau, à la recherche des cloques.

1 Qu'est-ce qui se passe ? Pas très actives tes orties... sans doute un peu trop tard dans la saison. Dommage... Allez occupons-nous du devant !

Le bouquet s'abat entre mes cuisses et vient lécher mes orphelines. Je recule de peur et le cadenas vient claquer contre la coque de la cage. Elle sourit... Je reprends position et elle recommence. Nouveau claquement du cadenas. Elle enchaîne en cadence ses coups... avec mes reculs.

- Ah, ah. J'adore ce bruit de castagnette !

Les orties se terminent. N. pose le bouquet... Je l'attends chercher dans le grainetier que je ne vois pas. Elle revient.

- Allez donne-moi tes fesses !

Je me rappelle à ce moment là le présence des gants de latex et je me demande se ellle ne désire pas me rentrer sa main dans le rectum. Là immédiatement ! Demi fausse peur, car ce n'est pas ses doigts que je sens mais la pression de la tête d'un gode sur ma rondelle. A sec ! Tu as suffisamment du t'exciter du cul pour qu'il rentre tout seul. C'est son nouveau truc depuis quelque temps : me prendre à sec. Mais cette fois comme les autres fois le plug de 4cm malgré la pression n'arrive pas à perforer. Elle m'engueule aussi pour avoir la raie du cul trop odorante (sic) et en profite pour abandonner sans perdre la face. 

Je suis libéré. Je suis toujours bien bandé et je rêve d'une délivrance de sa main.

- Tu rêves mon pauvre dyonisos. En cage tu es, et en cage tu restes. Et puis qu'as tu fait pour m'aider cette semaine ? Allez à ta place de suceur soumis. Au travail !et tu rangeras tout le bordel après !

Je me retrouve la tête entre ses cuisses : c'est complétement inondé avec une odeur hypnotisante. Je suce/masse/mordille le bouton avec avidité. Elle râle car son plaisir ne monte pas assez vite. Elle m'ordonne de rajouter mes doigts pour aller chercher son point G. Petit effet, mais cela ne va toujours pas assez vite à son goût. Alors de guerre lasse, elle commence à se masturber sur mon visage en ondulant du bassin, à me baiser la bouche. Je suis comme je peux, mais je ne suis manifestement plus à la manoeuvre. La jouissance arrive. Fluides mouillés et contractions. Elle jouit !

Merci Maîtresse.

dyonisos


 

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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