Vendredi 1 juin 5 01 /06 /Juin 22:11

- J'ai mis le produit dans le WC comme Madame N. me l'a demandé. Dans les 2 WC...

La femme de ménage vient d'apparaitre dehors pour m'annoncer cette grande nouvelle. Ma femme lui avait demandé en début de semaine de mettre du produit dans les WC contre les odeurs de la fosse. Et cette brave dame est tout fière de me dire qu'elle l'a fait dans les 2 WC uniques de la maison. Il faut alors attendre 6h que le produit fasse effet sans utiliser les sanitaires. Et là je sens déjà ma vessie se remplir que je soulagerais sans aucun problème contre un arbre normalement. Mais là je suis en cage !

J'ai pensé tenir jusqu'à son départ. Mais bientôt sans succès : il fallait que je me soulage. 

J'ai pesé un moment l'option d'utiliser un des WC, en prétextant une envie soudaine et violente. Mais je me suis dit pas très soumis tout cela. N. a décidé que les WC devaient être traités et je me dois de respecter cette volonté. Restait donc que le jardin.

Par expérience je sais qui pisser debout en cage est la plus mauvaise des idées. Je m'en suis mis partout la fois où j'ai cru que cela m'était encore possible. La vanité du jeune encagé. D'autre part, problème, la maison a une magnifique et profonde vue sur le jardin. Et la femme de ménage ne cesse de rentrer et de sortir habituellement pour épousseter le balai ou étendre le linge. En fait à y bien y réfléchir j'ai détermine qu'il il n'y a qu'un spot de quelques mètres carrés cachés à la vue de la maison au fond du jardin.

Je m'y dirige. Pas de voisin à droite. Ils travaillent heureusement. Mais le voisin de gauche lui est là, pour l'instant de  l'autre côté de ma pissotoire imposée mais il faut que je me dépêche. Virer le pantalon, enlever le slip, se faire le blpipijardin.jpgplus plat possible pour en pas être détecté, écarter les cuisses pour ne pas s'en mettre dessus et lacher les vannes. Bien sûr quand j'ai atterri : pas de chance. Il y avait un chardon piquant sous un mes genoux. Ouille.

Que dire ? Que l'humiliation est là mais que finalement j'aime bien sentir l'air extérieur sur mon cul. Cela me ramène les quelques fois où N. m'a emmené en laisse le soir dehors pour faire faire le pipi au toutou. J'ai lu aussi que les hommes ne sont pas morphologiquement fait pour vider leur vessie assis. Je crois qu'ils ne sont pas fait aussi pour la vider à quatres pattes. Bigre que ce fût long... La femme de ménage était ressortie et je l'entendais au loin battre les tapis de sol de l'entrée.

L'autre sujet de pré-occupation du jour a été la clé de la cage. Ce matin c'était jour de sortie de cage pour grand nettoyage. Après en avoir demandé l'autorisation, N. me donne le trousseau de clé auquel la clé de l'oiseau est attachée. Mais j'ai beau regardé, je ne vois point la clé que je cherche. C'est pourtant moi qui l'ait solidement attaché au gros anneau, mardi matin. Car j'ai déjà eu des mésenventures avec ma Maîtresse de femme. Une fois j'ai retrouvé la clé dans la poubelle... l'autre fois au bout d'un mois de chasteté N. ne savait plus où était passée la clé. Cela a finit au coupe boulon. Depuis je m'assure toujours que la clé de secours soit bien rangée sous enveloppe scellé et atteignable. Je l'ai prise pour me délivrer pour la toilette.

Une heure plus tard je reçois un SMS de N. qui me dit qu'elle a retrouvé la clé ! J'ai eu son explication de l'histoire ce soir. Désolé je vais devoir être très évasif sur les lieux et l'activité. Cela mettrait du piment mais c'est le genre de détails qui me vaudrait que N. m'étripe les couilles. Disons qu'elle assistait avec une dizaine de personnes à une rencontre avec un artisan d'art dans un lieu atypique. C'était une rencontre qu'elle avait organisée et elle y était passée hier pour tout caler avec l'artisan (ça va tout le monde suit ?) .Si j'ai tout compris une des personnes a senti la clé sous son pied. Tout le monde a cru que c'était la clé du cadenas de la caisse à outils de l'artisan. Mais non. C'est alors N. qui a reconnu la clé de la cage de son mari, perdue donc la veille. J'ai été très intéressé par l'explication qu'elle a donné pour récupérer la clé sans trop éveiller les soupçons. Quand elle a réclamé la clé, un de ses collègues lui a dit : C'est la clé de ta ceinture de chasteté ? N. a alors fortement pensé mais rien dit, Si tu savais George à quoi sert la clé ! à la place N. a subtilement sorti qu'il s'agissait de la clé du journal intime de notre fille ! C'est presque bon. Intime c'est cela mais pas pour un journal ! MDR.

N'empêche que cela reste un mystère pour moi. Je me vois très bien l'accrocher au gros anneau de la clé du trousseau. J'ai pensé un moment aujourd'hui que c'était un coup montée de N. Mais elle me jure que non. J'aurais plutôt tendance à la croire sauf que cela reste un réel mystère pour moi, cette clé baladeuse.

Dernier point si j'en "chie" depuis plusieurs jours dans le plâtre, aujourd'hui j'ai du me faufiler dans les endroits exigus de la pièce avec à la clé par d'autre choix que de me broyer les couilles pour travailler. Dur, dur

dyonisos

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Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 11:36

Qu'offrir à une Maîtresse de femme ?

L'un est pour la femme.
L'autre pour la Maîtresse.
Lequel choisir ?
Les deux ?

blroses.jpg blnettles.jpg

La proposition fut envoyée par SMS à son travail.

- Jolie proposition culinaire...

- Pourquoi culinaire ???

- Parce que l'ortie est bcp+ riche en vitamine C qu'une orange !

Retour de Madame à la maison. Très amoureuse et excitée.

- Pourquoi autant de roses ?

- Une pour chaque année de ton âge !

- grrrr

- Non je rigole ! Alors lequel tu préfères ?

- Je crois que je préfère les orties, mais... j'ai beaucoup de travail ce soir.

Et shit ! Moi qui rêve d'un moment de complicité douce-amère en chambre... Je sentais déjà les morsures des orties... tout en le craignant.

22h. Miracle les enfants dorment ! N. est sur le canapé en train de travailler sur son ordinateur pour le boulot. 

- Je crois que je vais devoir y passer une partie de la nuit...

22h30. N. toujours sur son maudit ordinateur. Moi exténué par ma journée. J'ai sommeil... Je décide d'abandonner et d'aller me coucher. Je ne peux pas lutter.

- Tu vas te coucher ?

- Oui !

Je m'endors quasiment de suite.

2h30. Personne dans le lit. Je descends. Toujours sur son ordinateur.

- Il est plus de deux heures. Allez ouste au lit !

- Mince je n'avais pas vu l'heure...

Elle dort maintenant mais moi plus. je me relève pour fumer dehors. Plus tard je finis par me recoucher. N. le sent et vient se lover contre moi. Juste le temps de me dire Pardon avant de repartir dans son sommeil.

dyonisos


 

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Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 07:45

Eh oui j'ai été remis dans ma cage hier. Quoique j'ai espéré y échapper à la dernière minute...

Pourtant j'étais prévenu dès dimanche à potron minet. Réveillés avec N. avant les enfants. O Joie possibilité de passer un peu de bon temps en chambre à deux. Emboitement lapinoux un peu décevant. N. est déjà trop excitée et moi pas dans ma plus grande forme suite aux travaux d'Hercule avec une fourbitude qui m'a pris dans le dos.

Bref cela a fini très simplement en utilisant la partie la plus douée de mon corps d'après ma femme : mes doigts. Très directif Madame en fait. Fais-ci, va-là, traine ici. Un peu le concept du sex toy vivant. Avec à la clé un immense orgasme pour Elle qui a été précédé d'une ferme prise en main de mes orphelines alors que la vague montait. J'ai craint alors qu'elle me le brise quand la vague déferlera. Mais la main a finalement glissé sur la hampe et elle a joui en m'agrippant le désormais phallus dressé.

Repos de la guerrière post-orgasnum, la tête lové contre mon épaule, la main titillant l'entrejambe. Je ne sais pas comment N. a exactement amené cela, mais elle a tout d'un coup déclaré qu'elle allait mettre tout cela dans sa petite cage avec des coups de paddle en plus. Le zizi a repris de la vigueur ce qu'elle n'a pas manqué de constater.

- tu vois que cela t'excite !

Excité certe, mais réaliste aussi. Les travaux sont déjà suffisamment dur alors avec le zizi encagé en plus... C'est à ce moment là, que je me suis dis qu'il serait peut être salutaire de négocier un trêve nocturne, puisque pour le reste mon sort était manifestement scellé. J'allais lui en parler, quand les enfants se sont levés. Raté !

Hier matin, N. ne m'en avait pas reparlé. Je pensais qu'elle avait oublié, était passée à autre chose. Alors pour m'en assurer j'ai annoncé innocemment que j'allais profiter d'être sans enfants et sans femme, pour faire une pause intime avec moi même pendant la journée. Aucune réaction. J'ai poussé le vice jusqu'à lui demander une caresse de sa bouche. Qu'elle n'a pas faite mais aucune rétorsion. J'ai bêtement cru à ce moment là que je resterais libre pour cette semaine de bricolage.

Et pourtant une heure et demie plus tard, ce que Maîtresse veut... ma queue était bien enfermé en cage et la clé avait rejoint à son trousseau de clé ses autres possessions.

Le retour en cage n'a pas été trop compliqué finalement, si ce n'est que cela rajoute de la fatigue à la fatigue. La sensation ambigüe de se promener encagé par sa femme est toujours là. Cela n'a pas changé et de retour aussi la position assise au wc.

N. travaillait hier et elle est rentrée alors que nous passions à table avec les gamins. Pendant le repas en famille, elle m'interroge sur ma journée.

- et alors tu as pu faire ce que tu avais programmé ce matin ?

Je pense : elle n'est pas quand même en train de me parler de notre conversation du matin dans le secret de la chambre ? A mon air interrogatif, N. reprend et précise...

- Tu sais la pause plaisante dont tu m'as parlé ce matin.

Je dois faire une tête ébahie. Elle parle vraiment de ça à table. Petit moment de temps suspendu.

- Ah oui, suis-je bête. The key ! Tu n'as pas pu. Tu sais mon amour quand je ne vois pas les choses, j'ai du mal à m'imaginer...

Tout cela a fini ce soir au salon par une inspection de visu de mon attirail enfermé. Oui là je vois : le zizi est tout recroquevillé dans sa cage et les boules si grosses dessous. Si tu sais comment cela m'excite ! Allez remonte ton pantalon avant que je t'écrase tout.

Et bien sûr, de trêve nocturne il n'en est pas question ! Comme j'ai pu m'en rendre compte cette nuit.

dyonisos

bltravauxcagemai2012.jpg

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 27 mai 7 27 /05 /Mai 06:58

Il est tard. Je suis couché dans le lit conjugual en train de lire le merveilleux recueil Dressage de Montorgueil (un petit bijou  BDSM). Bien sûr cela m'excite et la main traine le long de la hampe dure. Mon affaire est déjà en bonne voie, proche du dénouement, quand arrive Madame.

- Eh bien, je vois que l'on se fait plaisir tout seul !

Aucune honte ou regret à avoir. Madame a actuellement la visite de ses amis anglais. Elle se couche à mes côtés. 

- Tu me gènes, je veux dormir. Va te masturber dans la salle de bain !

Mais moi j'en ai pas envie. Je suis confortablement installé sur le matelas. Puis j'ai vraiment pas envir de faire refroidir mon envie du moment. Déçue, elle vient se lover contre mon épaule. Mince ! Je dois trouver une nouvelle position pour pouvoir continuer à lire les aventures de ce charmant petit soumis, couché sur un banc. Et puis Madame se met à vouloir discuter. Arghhh  Elle ne peut pas attendre 2 minutes que je me finisse. Et non !

Elle parle de ma semaine congé bricolage à la maison. Tout seul. Elle réfléchit à voix haute...

- ... et j'en suis sûr que tu vas en profiter pour faire des pauses crapuleuses pour jouer avec ton zizi !

Elle me connait bien. Je me suis jamais caché après tout d'elle pour mes pratiques solitaires. Elle me donne un coup de main parfois. Mais rien ne vaut le calme en tête à queue avec moi même. Pas de femme (au travail), pas d'enfants (à l'école), Pourquoi je m'en privérais ? 

- humm pas juste tout cela... Et si je te mettais en cage pendant ce temps ?

Vavhe ! Une image me traverse l'esprit, plutôt une sensation, la dureté des travaux avec le sexe pincé, douloureux. La double épreuve physique. Non pas ça ! Je proteste.

- Non pas ça ! J'ai de lourds travaux à faire et pas possible avec la cage !

Elle ne répond pas. Aucune idée si c'est une boutade ou une idée de sa part. Elle continue sa conversation en me décrivant par le détail sa journée du lendemain. Très féminin. Très elle. Mais pas dans l'ambiance dans ce que je m'échine à voir se terminer en bas. Elle me vole ma rêverie érotique avec ces détails si vie très terre à terre. Et pourtant qu'est-ce-que je suis dur ! Je veux finir ! Enfin. J'en ai envie. Mais rien à faire, elle n'arrête pas de parler. Vengence de sa part, sans aucun doute.

D'ailleurs elle gagne car j'abandonne finalement, pose le livre et ferme la lumière. Soupir de contentement de son côté et elle s'endort immédiatement. Tandis que moi, il m'a fallu 2 heures avant de réussir à m'endormir. 2 heures la béquille montée sans qu'elle veuille s'endormir elle aussi.

Après m'avoir voler ma jouissance, elle m'a aussi volé mon esprit. Les limbes de soumission reviennent depuis. Quelque chose d'ambigu. N'avoir humainement aucune envie de se retrouver en train de bricoler la bite en cage, tout en aillant un fol penchant masochiste de s'y voir contraint. L'éternel écartement du soumis. Etait-ce une boutade ? Etais-ce une envie ? Vais-je lui demander de le faire ? Faut-il lui en parler (ce qui revient à fabriquer sa propre corde de pendu) ?

Que de questions ...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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