Mercredi 30 mai 2012 3 30 /05 /Mai /2012 07:45

Eh oui j'ai été remis dans ma cage hier. Quoique j'ai espéré y échapper à la dernière minute...

Pourtant j'étais prévenu dès dimanche à potron minet. Réveillés avec N. avant les enfants. O Joie possibilité de passer un peu de bon temps en chambre à deux. Emboitement lapinoux un peu décevant. N. est déjà trop excitée et moi pas dans ma plus grande forme suite aux travaux d'Hercule avec une fourbitude qui m'a pris dans le dos.

Bref cela a fini très simplement en utilisant la partie la plus douée de mon corps d'après ma femme : mes doigts. Très directif Madame en fait. Fais-ci, va-là, traine ici. Un peu le concept du sex toy vivant. Avec à la clé un immense orgasme pour Elle qui a été précédé d'une ferme prise en main de mes orphelines alors que la vague montait. J'ai craint alors qu'elle me le brise quand la vague déferlera. Mais la main a finalement glissé sur la hampe et elle a joui en m'agrippant le désormais phallus dressé.

Repos de la guerrière post-orgasnum, la tête lové contre mon épaule, la main titillant l'entrejambe. Je ne sais pas comment N. a exactement amené cela, mais elle a tout d'un coup déclaré qu'elle allait mettre tout cela dans sa petite cage avec des coups de paddle en plus. Le zizi a repris de la vigueur ce qu'elle n'a pas manqué de constater.

- tu vois que cela t'excite !

Excité certe, mais réaliste aussi. Les travaux sont déjà suffisamment dur alors avec le zizi encagé en plus... C'est à ce moment là, que je me suis dis qu'il serait peut être salutaire de négocier un trêve nocturne, puisque pour le reste mon sort était manifestement scellé. J'allais lui en parler, quand les enfants se sont levés. Raté !

Hier matin, N. ne m'en avait pas reparlé. Je pensais qu'elle avait oublié, était passée à autre chose. Alors pour m'en assurer j'ai annoncé innocemment que j'allais profiter d'être sans enfants et sans femme, pour faire une pause intime avec moi même pendant la journée. Aucune réaction. J'ai poussé le vice jusqu'à lui demander une caresse de sa bouche. Qu'elle n'a pas faite mais aucune rétorsion. J'ai bêtement cru à ce moment là que je resterais libre pour cette semaine de bricolage.

Et pourtant une heure et demie plus tard, ce que Maîtresse veut... ma queue était bien enfermé en cage et la clé avait rejoint à son trousseau de clé ses autres possessions.

Le retour en cage n'a pas été trop compliqué finalement, si ce n'est que cela rajoute de la fatigue à la fatigue. La sensation ambigüe de se promener encagé par sa femme est toujours là. Cela n'a pas changé et de retour aussi la position assise au wc.

N. travaillait hier et elle est rentrée alors que nous passions à table avec les gamins. Pendant le repas en famille, elle m'interroge sur ma journée.

- et alors tu as pu faire ce que tu avais programmé ce matin ?

Je pense : elle n'est pas quand même en train de me parler de notre conversation du matin dans le secret de la chambre ? A mon air interrogatif, N. reprend et précise...

- Tu sais la pause plaisante dont tu m'as parlé ce matin.

Je dois faire une tête ébahie. Elle parle vraiment de ça à table. Petit moment de temps suspendu.

- Ah oui, suis-je bête. The key ! Tu n'as pas pu. Tu sais mon amour quand je ne vois pas les choses, j'ai du mal à m'imaginer...

Tout cela a fini ce soir au salon par une inspection de visu de mon attirail enfermé. Oui là je vois : le zizi est tout recroquevillé dans sa cage et les boules si grosses dessous. Si tu sais comment cela m'excite ! Allez remonte ton pantalon avant que je t'écrase tout.

Et bien sûr, de trêve nocturne il n'en est pas question ! Comme j'ai pu m'en rendre compte cette nuit.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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