7 avril
Ce matin, quand elle est venue me réveiller, Maîtresse a commencé par monter son taurillon reproducteur pour la « dernière fois ».
- J’ai fait un test d’ovulation lundi en début d’après-midi. Il était positif. Compte-tenu des incertitudes, j’estime que c’est la dernière giclée de paillettes à bébé utile. Merci donc à mon petit taureau dont l’attribut a été très agréable à se prendre…
Et elle a ajouté un chaste baiser de remerciement sur ma joue, un peu cruel car il signifie qu’elle va maintenant m’interdire l’accès à sa chatte.
- Mais ne soit pas trop triste… cette baise extra-maritale devait bien finir un jour… tu t’es bien donné et c’est ça le principal… et puis cela signifie que j’ai plus besoin d’épargner ton sexe… que ton masochisme se réjouisse : nous allons maintenant nous en occuper activement… et j’ai plein d’idées toutes plus délicieuses que les autres !
Et pour me faire bien comprendre, Emilie a commencé par me broyer les couilles intensément jusqu’à ce que je demande pitié et encore après.
Une fois les activités traditionnelles du matin effectuées, et sans être allé aujourd’hui déterrer un œuf vu que nous avons un « d’avance », je suis donc à attendre Maîtresse dehors, attaché à des montants de la terrasse. Elle ne s’est pas trompée : il fait un beau temps magnifique et déjà chaud en ce milieu de matinée.
Ce qu’elle a prévu pour aujourd’hui est donc possible. Et pour l’instant, cela se caractérise par le fait qu’elle m’ait transformé en cheval. Elle vient de m’équiper de la selle de poney livrée hier par Monsieur Jean et son ami, posée au dessus du couverture sur mon dos et sanglée étroitement sur ma taille au point qu’elle restreint quelque peu ma respiration. Pour compléter ma transformation, mon harnais de tête a été modifié avec l’enlèvement des crochets nasaux et le rajout de petites oreilles ridicules équines. Le mors est bien en place à me faire baver en bouche en liaison avec des rênes de dressage, nonchalamment posés sur mes épaules en attente de la cavalière. Et mon cul a été orné d’une magnifique queue de vrai crin de cheval gris, qui rejoint presque le sol. Je vois pour la première fois comment marche le système d’accrochage : un plug de métal qui se déploie une fois à l’intérieur et dont le port aujourd’hui est plus délicat après les ravages de la queue monstrueuse de Monsieur Jean. Les couilles douloureuses de ce matin pendent relâchées en dessous de mon sexe libre délicieusement balloté dans les courants d’air du matin.
J’ai un indice fort que la journée va être éprouvante. Maîtresse m’a fait mettre une paire de gants de cuir blanc et des genouillères de carreleurs en plus des chaussons de piscine aux pieds.
Quand la cavalière finit par me rejoindre, je suis à 2 doigts d’éclater de rire. Emilie s’est déguisée en indienne avec nattes et plumes dans les cheveux et une robe de cuir à franges, « sans culotte » tient-elle à me préciser pour l’imagination de mon petit zizi qui réagit immédiatement !
- Tu devais bien jouer aux cowboys et aux indiens quand tu étais petit. Moi j’y jouais avec mes frères et mes cousins, et j’étais systématiquement le souffre douleur des garçons à être capturée et attachée au totem. C’est fou que rejouer à ce type de jeux une fois grands, entre adultes pas sages, m’a excité la foufounette de pleins d’idées perverses… Sauf que là, bien sûr, je ne serais plus la victime… Tu vas voir ! Ce matin, pendant que je t’ai laissé dormir, j’ai fait un aller-retour pour tout amener… Donc il ne reste plus que mon souffre douleur favori qui manque là-bas !
Maîtresse monte en selle. Je manque d’abord de m’effondrer sous son poids, qui me demande toute la force de mes faibles muscles pour résister. Putain, cela va être dur ! Et encore plus quand elle enlève ses pieds du sol et les coince dans les étriers qui ont été raccourcis au plus court. Je serre le mors sous l’effort violent demandé, alors que Maîtresse prend les rênes en main et me fait sentir précisément qui détient le pouvoir !
Un coup de cravache sec sur mes fesses salue le domptage finalisé.
- Allez hue mon bourricot ! N’attends aujourd’hui de moi, aucune pitié, aucune préservation : tu voulais en baver grave, et je t’en faire baver grave ! Et la première chose est que cela prendra le nombre de coups de cravache que cela prendra, mais mon cheval va m’amener sur son dos jusqu’à destination. Je m’interdis de poser un seul pied à terre !
Je suis à bout de souffle quand nous atteignons finalement notre destination, les muscles au bord de la crampe, la commissure des lèvres endolorie de ce mors méchant sur lequel Maîtresse a tant tiré. Mais elle a tenu parole pour sa sévérité annoncée. J’ai été contraint, forcé, par la cravache à avancer, toujours avancer, une main, un genoux après l’autre à une allure de tortue sur les 500m environ qu’il nous faut pour rejoindre les affaires déjà amenées ce matin.
Maîtresse me déharnache intégralement pendant que je redescends un peu en rythme cardiaque et reprends une respiration plus calme. Mais elle m’a quand même déjà tué pour la journée.
- Tu auras bientôt l’occasion de te reposer, mais pour l’instant tu as encore des travaux de force à effectuer et mets s’y une ardeur convaincante, car j’ai apporté mon fouet à motiver les petits esclaves paresseux !
Elle me sort la totale aujourd’hui en faisant claquer en avertissement à plusieurs reprises son fouet dans l’air. C’est terriblement efficace pour mon petit esprit soumis : j’en tremble ce matin !
- Bon je t’explique. Tu vois les 4 pierres en carré posée au sol ? Là, là, là et là ! Tu prends la masse et tu enfonces les 4 piquets de bois que j’ai achetés hier à la jardinerie en revenant. Il faut qu’ils tiennent fortement sans possibilité de pouvoir les bouger ou les enlever. Je contrôlerai avec soin ton travail…
Je m’attaque au premier pendant qu’elle se boit un mug de thé, amené dans un thermos. Je soulève la lourde masse et enfonce centimètre par centimètre, les poteaux dans la terre. Cela n’en finit pas et je m’exténue vite. Je m’arrête souvent pour reprendre mon souffle, trop au goût de Maîtresse qui fait siffler son fouet au-dessus de ma peau exposée. Je me dépêche de reprendre. Il se passe quelque chose d’inédit : le fouet brise là mes dernières velléités de contrôle. Je ne suis plus un homme qui accepte quelque part volontairement de subir des choses de plus en plus osées, de plus en plus extrêmes. Je les subis maintenant au sens premier, au-delà de tout besoin d’acceptation. Je voudrais tant m’arrêter pour souffler, mais le fouet me contraint à continuer et continuer encore, en m’infligeant sa sèche douleur. Je suis devenu un soumis contraint et craintif !
J’arrive enfin au bout de ma tâche, le corps meurtri et fatigué. Je tombe naturellement à genoux sur le sol, n’ayant plus d’autre pensée cohérente que d’obéir à Maîtresse. Elle a gagné ma totale attention!
Peut être pas encore à son goût car elle s’approche pour me décrocher une gifle. C’est cinglant. Je ne peux m’empêcher d’y porter ma main pendant que les larmes me mouillent les yeux. Je suis hébété et ne comprends pas : qu’est-ce que j’ai fait mal ?
- Oh ne me regarde pas en chien battu comme cela ! Je suis bien ta Maîtresse ici ?
- Oui, vous êtes ma Maîtresse, pardonnez-moi…
- Te pardonner ? Pourquoi devrais-je le faire : tu n’as rien fait de mal…
Je la regarde sans rien comprendre…
- Si je suis ta Maîtresse et que toi tu es mon petit esclave, j’ai donc le droit de faire ce qu’il me plait sans demander ton avis ?
- Oui, vous avez tous les droits, Maîtresse…
- Donc j’ai aussi celui de voir mon petit esclave quémander avec insistance que je lui rougisse aussi l’autre joue ?
Je suis coincé ! La logique est imparable : je lui reconnais tous les droits sur moi, donc aussi celui d’exiger tout de moi, donc en particulier de lui demander de me donner une autre gifle. La logique D/S poussée à son extrême, où la partie soumise est 100% perdante quoi qu’il arrive. C’est pervers de me demander d’être le complice volontaire du fait qu’elle va m’infliger une autre gifle cinglante… J’appréhende à mort alors que je m’exécute…
- S’il vous plait Maîtresse, pouvez-vous me donner une autre gifle… votre esclave en a… euh besoin…
- Comme tu voudras…
Je me crispe, prêt à encaisser autant on peut être prêt. Mais la gifle ne vient pas encore… L’attente m’est intolérable. C’est encore pire de savoir ce qui va arriver, que de ne pas savoir. Maîtresse me laisse amplifier en esprit, les mauvais effets de la gifle que je n’ai pas encore reçue. Je me retrouve même pressé d’être après la gifle… C’est très pervers et très dominant…
Finalement au bout d’une minute d’attente intolérable, la gifle part et me délivre, dans un cri que je ne cherche pas à retenir. Maîtresse en profite pour me bâillonner d’un foulard blanc. Me prendre par surprise n’était pas nécessaire : j’ai été un soumis bien élevé avec Maîtresse Emilie. Mais la surprise de la contrainte, donne un frisson bien plus fort qui m’hypnotise, même si sur le moment c’est les questions qui tournent encore sans fin dans ma tête… Pourquoi ? Dans quel but ?
Maîtresse semble très satisfaite de son petit stratagème. J’attends avec inquiétude la suite.
- J’ai toujours aimé les vieux westerns. Quand j’ai imaginé cette journée, 2 images me sont revenues. Il y a en particulier ce souvenir de cowboy capturé par les peaux rouges et attaché entre 4 poteaux au sommet d’une falaise de roche rouge, à demi-nu, alors que les vautours tournent déjà autour de lui... Couche-toi sur le sol entre les 4 piquets ! Sur les fesses…
La position n’est pas agréable avec les cailloux et les branches qui me rentrent dans la peau. Mais je n’ai pas le choix. Fidèle à son idée, Emilie est revenue avec des cordes et s’attèle à m’immobiliser sur le sol, les 4 membres étirés et attachés aux piquets. La position écartelée n’est pas naturelle et me dérange. Je me sens humilié à devoir tout indécemment exposer ! C’est cela la soumission, il y a des nuances et toujours pire que la position dans laquelle on est mis.
Bien évidemment il n’y a pas de vautour ici… Heureusement ! Mais je crois que Maîtresse n’est pas à court d’idée quand il s’agit de terroriser un petit cowboy craintif, tombé entre ses mains.
Je la regarde avec inquiétude tourner autour de moi et jauger je ne sais quoi… Maîtresse a un petit sourire qui m’effarouche. Je n’aime pas ce sourire là qui, quand il arrive, me promet des moments difficiles.
- Tu as vraiment une peau trop pâle pour un peau rouge !
Cette remarque me désarçonne.
- Mais heureusement j’ai pris ce qu’il faut pour y remédier et te montrer qu’il a des choses banales de la vie quotidienne des Maîtresses, qui peuvent être terriblement craintes comme moyen de torture d’un petit esclave !
Je comprends vite que Maîtresse me parle de d’épilation « à vif ». Je n’ai jamais fait, mais je ne vois pas comment cela pourrait ne pas faire mal. Elle s’agenouille au-dessus de moi armée d’un tas de bande de cire froide… Elle passe son doigt nonchalamment sur mon téton droit qui se rétracte de peur.
- Tu vois bien que ce n’est pas joli, cette forêt de poils qui masque tes seins ! Dis leur adieu maintenant…
Maîtresse retire en force la première bande et arrache sa première garnison de poils perdus. Je hurle combien cela fait mal !
- Tu es un petit homme bien douillet finalement… alors que toutes les femmes le font, sans faire leur chochotte comme toi ! On recommence donc…
Je fais un non désespéré de la tête, mais ne peut empêcher de me voir dépoilé d’une nouvelle bande. Ce n’est pas du jeu. C’est de la torture tout cela ! Maîtresse est d’autant plus enthousiaste à m’arracher les poils, que j’essaye de l’éviter. Elle en rajoute des tonnes humiliantes sur ma belle peau de bébé, toute lisse, tout en progressant à dépoiler son « homme pâle », partout où elle débusque des poils accessibles à « éradiquer », le torse, les bras, les jambes. Je n’en peux plus à hurler dans mon bâillon à chaque bande, me sentant honteux de ne pas avoir plus de courage que cela !
Finalement il ne reste que mon sexe que j’ai heureusement rasé avant de venir ici…
- Mais c’est un tout petit zizi rikiki de peau pâle ! Qu’est-ce qu’il se passe, trop impressionné, le petit chou ? Alors plus rien à faire là ? … oh si… il y a des poils oubliés là en bas des petites coucougnettes… humm la peau est si fragile là… je ne sais pas si je ne vais pas faire plus de dégâts que de bien…
Elle me regarde de son œil menaçant, alors que ses doigts me soulèvent les couilles et indiquent la zone ciblée… Non s’il vous plaît, pas là ! En vain, je suis affolé quand je la vois prendre une nouvelle bande, la positionner sous mon paquet et tirer d’un coup sec, le sourire aux lèvres, à m’arracher les couilles pendant que je hurle !
Heureusement, Maîtresse arrête là de me torturer et se ressert un thé. Je ressors exténué de l’éradication de mes poils en vrac pendant plus d’une heure.
- Bon ce n’est pas une épilation parfaite. Il reste des bandes de poils de ci et de là, ridicules. Peut-être devrais-je t’emmener te montrer à la piscine demain… Non, tu ne veux pas ? Mais si, les humiliations ne valent que quand on les déguste à petit feu ! En tout cas, j’ai réussi la transformation : tu as une vraie couleur de peau rouge maintenant ! Un peu trop même… Il faudrait peut-être que je te refroidisse un peu la couenne à la naturelle…
Maîtresse s’installe au-dessus de mon buste rouge, remonte lentement sa robe d’indienne. Elle n’a pas mentie : elle est totalement nue dessous. Elle s’accroupit légèrement et m’urine dessus ! Il n’y a pas plus dominant comme acte. Réduire l’autre à un réceptacle de ses besoins intimes, l’humilier profondément, le marquer primitivement de son odeur et lui signifier ainsi qu’il n’est pas plus considéré qu’une cuvette de WC…
Elle me laisse alors un temps sécher avant de revenir s’occuper de son prisonnier ou plutôt de son entrejambe. J’appréhende tout maintenant. Je lève la tête pour suivre. Maîtresse reste silencieuse mais lève les yeux de temps en temps pour s’assurer qu’elle a toute mon attention.
Je n’ai aucune idée où elle veut en venir. Cela commence par une espèce de toile trouée qu’elle m’enfile à la base de mon sexe. Une cordelette vient se resserrer sous mes couilles et détacher outrageusement testicules et pénis. Je suis glacé dans mon sang de la voir déplier un long couteau qu’elle pose sur la toile. J’ai les pires idées qui me passent dans la tête. Je cherche à me débattre et je geins véhément mon appréhension totale dans le bâillon.
- Tais-toi ! De toute manière, tu n’y peux plus rien, quoi que je décide de te faire !
Cela commence étrangement par une branlette de sa main. J’ai beau me dire que c’est une très mauvaise idée, mon zizi lui s’en fout et s’érige sans réfléchir en petit garçon stupide. Il se fait avoir : son érection est immédiatement bloquée d’une cordelette qui serre sa base. Je frémis quand le couteau coupe l’excédent au ras de mes couilles. Tout cela ne me dit rien de bon et je continue à m’agiter. Maîtresse doit bloquer mes jambes de ses genoux pour pouvoir continuer à travailler…
Je la regarde de plus en plus inquiet fixer à la base de mon zizi, deux petits morceaux de bois à encoche, qui une fois assemblés, m’enserre la colonne. 4 longues vis attendent la partie supérieure. Maîtresse me fait passer le gland dans le trou central et sans précaution fait glisser la plaquette jusqu’à être au-dessus des orphelines dont je commence à craindre pour leur intégrité future, quand je comprends qu’il s’agit d’un étau à couilles artisanal. J’ai des souvenirs, adolescent, de brisures de couilles douloureuses, surtout de la part de ma grande sœur qui avait trouvé là un moyen radical de me calmer immédiatement… C’est pour cela que j’avais soigneusement éviter de le mettre sur la liste de mes envies. Et là, devenu adulte, c’est une autre femme qui va recommencer sans mon accord !
Je frémis d’abord quand Maîtresse mets en place les écrous papillons. Puis serre immédiatement les dents quand elle commence à visser, un tour après l’autre, sur les 4 vis. Je n’ose plus alors regarder. Je sens mes délicates orphelines se déformer, s’aplatir sans que je puisse rien n’y opposer. C’est douloureux par à-coups avant que je m’habitue à la pression. Cela me donne une impression de chaleur intense qui ne cesse d’augmenter.
- Ouvre les yeux et regarde : c’est un ordre !
Je suis incrédule à contempler mes chers testicules réduits à une galette de 2 cm et cela en est même affolant !
- Et dire que vous, les hommes, vous prétendez être fragile de cet endroit là… Et je suis sûre qu’il y a encore de la marge.
Elle rigole alors que je fais désespérément non de la tête.
- un tour de plus pour Maîtresse Claire…
Je suis sûr qu’elle me trompe et qu’elle en fait plus d’un tellement, j’ai l’impression d’être broyé au cœur. La pression est intense.
- Il y a encore de la place, je t’assure… respire ! Un tour pour mon plaisir ?
Je me débats alors que Maîtresse sers encore les vis tellement cela fait mal ! Emilie vient me calmer de douces caresses dans les cheveux, jusqu’à ce que la pression finisse par se diffuser et que j’accepte mieux la douleur… N’empêche cela reste quand même une impression redoutable que de se sentir écrasé de cette manière…
- Heureusement que je t’ai garroté avant ou je crois que tu aurais débandé depuis longtemps… On continue ?
Je fais non, non, non de la tête.
- Mais non, tu es idiot : je ne vais pas rendre définitivement impuissant, le possible père de mon futur enfant. Qu’est ce que je ferai, si je veux dans le futur en faire un 3ème ?
Folle perspective qui me transperce de part en part. A la place, Maîtresse s’intéresse à mon gland turgescent qu’elle finit de décalotter avec précaution, pour mieux le ficeler en-dessous de la couronne d’une fine cordelette qui me rentre durement dans la peau. Le reste de la bobine est lancée au-dessus d’une branche qui me domine à la verticale. La cordelette est coupée à la bonne longueur et attachée à l’anse d’un seau de plastique. Déjà mon sexe est étiré vers le haut, et encore plus quand Maîtresse charge le seau de quelques cailloux soigneusement choisis aux alentours que je vois avec inquiétude être rajoutés au seau. Je ne sais plus maintenant entre mes couilles écrabouillées ou mon zizi étiré à l’extrême, ce qui me fait le plus mal, mais en tout cas je douille et je pense que rien de pire ne peut m’arriver maintenant…
Sauf que Maîtresse revient étrangement avec un pot de miel liquide. J’en suis recouvert au pinceau des couilles jusqu’au gland. Si cela ne fait pas mal, cela fait terriblement peur à l’esprit craintif d’un petit soumis. Où veut-elle en venir ?
J’ai un début de réponse quand la toile du début est refermée autour de mon sexe en souffrance, laissant une ouverture en haut de ce baluchon inquiétant, autour de la cordelette…
- Cela va ?
Je fais un petit oui de la tête… Et me détend un peu trop vite…
- Ok alors regarde ce que j’ai acheté spécialement pour toi, hier… j’ai demandé au vendeur s’ils mordent mais il a été incapable de me répondre…
C’est une vision d’horreur : Maîtresse tient entre ses doigts un gros vers de pêche grouillant et dégueulasse ! Et elle le glisse par l’ouverture du baluchon autour de mon sexe ! Je hurle de détresse, alors qu’elle en saisit déjà un second.
- Un… deux… trois…quatre et cinq… Cela devrait suffire… voilà il n’y a plus qu’à finir de fermer le tout et je peux te laisser « apprécier » le moment…
Je sens déjà que cela « grouille » autour de mon sexe. C’est la panique finale : je me débats, je hurle, je pleure alors que Maîtresse me laisse à mon sort pour reboire du thé…
Plus tard, dans l’après-midi et sans avoir eu le droit de manger, seulement celui de contempler Maîtresse le faire, je suis de nouveau mis à l’épreuve, attaché à un arbre en guise de totem de torture…
- De toute manière, il n’y avait aucun risque. Les vers ne mordent pas. Mais tu aurais vu ta tête quand je te les ai sortis ! C’était à mourir de rire … Finalement ton pire ennemi est ton imagination trop fertile… Il suffit juste de te pousser un peu dans ta crainte…
Maîtresse ne m’a pas bâillonné mais je préfère ne rien dire, d’autant qu’à son retour effectif au bout de 5 « petites » minutes, elle a découvert avec jubilation que je m’étais pissé dessus de peur ! Rajoutant encore de l’humiliation à de l’humiliation…
Là pour l’instant, étroitement immobilisé à mon totem, je n’ai d’autre choix que de la laisser « exposer » mon sexe déjà bien meurtri sur une planche de bois trouée. La planche est tenue est place par une ceinture serrée autour de ma taille et Maîtresse est en train de me lacer le sexe contre elle, en position verticale, pointant vers le haut. Bien sûr, ce stupide zizi, qui vit sa vie égoïste, bande encore indécemment même après tout ce qu’il a enduré le matin, ce qui réjouit Maîtresse Emilie,
- Tu es donc mon prisonnier à la peau pâle attaché au totem du village, c’est cela ?
J’opte pour un prudent « oui, Maîtresse ».
- Tu te souviens des westerns de ton enfance ? Qu’est-ce qu’il arrivait au malheureux cowboy tombé aux mains des indiens ?
Je sais qu’Emilie a préparé avec soin cette journée en recourant à toute l’imagerie des westerns américains. Il me revient bien des images de films très sombres où la victime était écorchée vivante, mais je ne crois pas une seconde qu’elle puisse en arriver à ces extrémités, même simulées. Non cela doit être autre chose… je comprends et je pâlis en même temps : elle veut mon scalp ! Je lève les yeux de surprise…
- Oh, ne me regarde pas comme cela. Cela fait partie des possibles d’humiliation BDSM et l’idée m’excitait. J’ai cependant la conscience que cela déborde là de l’intimité et que l’on touche à la représentation sociale de la personne, surtout quand on a une belle chevelure comme toi. Donc entre l’excitation et la raison, j’ai choisi, comme tu fais souvent, de ne pas choisir et de le laisser le hasard faire. Tu n’as pas eu de chance, c’est tombé parfaitement pile poil pour cette journée…
C’est la pire humiliation que l’on m’ait jamais promise et elle dépasse de loin ce que je suis prêt à accepter.
- Non, s’il te plait, Emilie, ne fait pas cela…
- Oui, je sais c’est particulièrement vache de te l’imposer. Cela touche tant à ton image publique. Malheureusement cela ne rentre pas dans l’éthique que je me suis promis de suivre : faire tout ce que les œufs demanderaient, même le plus dégueulasse pour toi. C’est la règle. Et dans ton besoin de soumission, cela fera au moins une chose à laquelle tu n’auras pas inconsciemment acquiescé. Et en plus cela m’excite follement. Donc on fait ! Immédiatement !
Définitivement eu et humilié, je n’arrive pas à retenir mes grosses larmes, quand Maîtresse Emilie rayonnante fait tomber pan par pan, à la tondeuse à barbe sur batterie, mes beaux cheveux. Je me sens déjà si nu sans eux…
Mais je n’ai pas le temps d’y penser beaucoup, car Maîtresse me « distrait » immédiatement d’un long travail de torture du sexe collé à sa planche, à coup de roulette à pique et de petit paddle à couilles. Je crie, je bouge sans cesse, passant de mauvaises surprises en désagréments en patin désarticulé. Maîtresse joue en majesté de mes demandes de pitié, pour mieux m’accabler encore et encore, me pinçant, m’écrabouillant, pour finir dans un summum de perversité sadique en me cinglant l’ensemble du sexe exposé à l’aide d’un terrible mini fouet qui laisse ses marques sur la fragile peau tout en m’excitant les sens d’un vibro terrible, une fois sur mes couilles, une fois sur mon gland…
Elle joue de ma montée de plaisir, la ralentie, la supprime d’une cinglée vicieuse, la fait rejaillir sans cesse, dans un intense teasing qui n’en finit plus et m’épuise. Je veux jouir, enfin jouir ! La montée de sperme est au ralenti, douloureuse. Je ne désire plus rien d’autre qu’éjaculer et quand j’y arrive enfin, Maîtresse lâche tout, pour un vain orgasme ruiné qui part dans le vide et me laisse si frustré!
Après Maîtresse me ramène, zizi de nouveau sécurisé dans sa cage, et m’enferme au chenil pour me laisser reprendre mes esprits et mes sens, des émotions de la journée. Elle m’apporte enfin ma gamelle pour que je puisse me rassasier. Je me jette dessus !
Maîtresse Emilie revient me chercher quelques heures plus tard, accompagnée Monsieur Jean de retour. Ils discutent devant la grille de l’enclos.
- Mis au chenil comme un chien ! Vous êtes quand même un peu fol dingue, vous 2… En tout cas je suis heureux de revoir le chenil dégagé. C’est moi qui l’ais construit, il y a 40 ans. J’y mettais mes 3 chiens de chasse, du temps où ma femme était encore vivante, paix à son âme. C’est une époque où je croyais encore que pour être un vrai Mâle, il fallait faire des activités d’hommes entre hommes. Maintenant je sais que ceux sont des conneries tout cela ! Etre un vrai Mâle c’est savoir se servir de sa bite ! Et je ne pense pas que la dizaine de mecs, qui se la sont prise, penseraient une seule seconde que je ne suis pas un vrai Mâle… Non, aucune chance. Tu en penses quoi, toi ?
Il me pose cette question... Je relève les yeux surpris pour constater que son regard me mate sans gêne comme de la chair fraiche à baiser. Il m’impressionne. J’en suis tout timide !
- Oui, tu en penses quoi ?
Ses yeux me transpercent et m’intimident. Je voudrais tant me cacher. J’essaye de marmonner une réponse…
- Non, vous…
Je le vois ouvrir sa braguette et commencer à en sortir le braquemart déjà à demi bandé qui m’a pris mon reste de dignité d’homme hier. Des flashs me reviennent… l’impression d’écartèlement… mes couinements si forts que l’on les entendait à l’extérieur... l’humiliation ultime finalement, alors que je n’ai rien fait pour éviter quoi que ce soit. C’en est trop pour moi. Le rouge me monte aux joues et je détourne en urgence mon regard, pour me perdre dans le sol.
Emilie éclate d’un rire nerveux et sonore.
- N’est-il pas définitivement mignon, notre Pierrot ?
La réponse fuse du tac au tac.
- Un mignon ? Sans conteste ! Et il est de quelle race ?
- Oh, de la race que vous appelez habituellement bâtarde !
Là c’est les 2 qui s’éclatent à mon détriment, rajoutant une couche d’humiliation à la honte. Ils finissent par reprendre difficilement leur calme…
- Il lui est arrivé quoi pour avoir perdu tout ces poils depuis hier ?
- Nous avons joué aux cowboys et indiens. J’étais l’indienne et j’ai eu son scalp !
- Tu me fais marcher là ?
- Est-ce que j’ai en l’air ? Il adore se prêter à ces petits jeux apriori innocents mais qui finissent toujours un peu cruellement pour lui… Maintenant j’avoue que trouver des idées pour toute une semaine a été épuisant. C’est plus simple finalement de baiser à l’ancienne, à la papa-maman : pas besoin de toutes ces préparations… Bon ce soir, c’est moi qui cuisine et il faut que j’y aille. Cela ne te dérange pas Jean de baigner le chien, qui a grand besoin tellement il a sué pour sa Maîtresse aujourd’hui ? Cela te laissera tout le temps de mater son petit cul mignon… Et toi, tu n’oublies pas que les chiens cela marche à 4 pattes !
Maîtresse m’enlève la cage à zizi et m’humilie à me branler – « c’est qui va se faire sauter ce soir ? » pour ne me laisser qu’une fois la queue du toutou bien sortie. Elle confie la laisse à Monsieur Jean et s’en va…
Pendant qu’il me fait nager dans l’eau fraîche de l’étang, je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil à la bosse de la braguette de Monsieur Jean Je dois être fou à être ainsi fasciné parce qu’elle dissimule !
Il me fait inhabituellement sortir en montant à l’échelle au bout du ponton et j’arrive devant lui. Il me surprend à m’embrasser à pleine bouche en faisant tourner sa langue. Avant de me pousser sur les épaules pour me mettre à genoux.
- Regarde le beau nonos que j’ai pour toi !
Pantalon et caleçon à terre, il exhibe sa superbe bite en érection. Et instinctivement, je me mets à lécher et sucer avec avidité, me détestant d’être aussi facile. Monsieur Jean n’a pas besoin de me guider. Je suis à fond dans un état second que je reconnais bien maintenant, à sucer avec dévotion mon « nonos », jusqu’au bout !
Quand nous revenons, Emilie ne me rate pas à m’humilier un coup de plus.
- Tu deviens trop gourmant comme chien lubrique : tu as encore du sperme sur les babines… Allez à table !
Dans l’ordre de préséance : les Maîtres, assis à la table à déguster un plat de saucisses, tomates et lentilles fraiches et le toutou à manger son éternelle gamelle de pâtes froides, que je commence à détester. Surtout que les odeurs divines qui m’arrivent m’indiquent que je perds nettement au change. Et cela me fait envie. J’essaye de faire le beau pour en récupérer un peu : en vain…
- La seule saucisse à laquelle tu as droit en tant que chien, c’est celle de ton Monsieur Jean !
Je me renfrogne à devoir avaler ma pâtée froide en tendant l’oreille pour suivre la conversation des Maîtres, en vrai chien de salon. Leur dialogue est très détendu, sans doute aidé par les 2 bouteilles de vin qu’ils descendent sans y faire attention. Et cela finit évidemment à tourner autour des différences sexuelles de chacun. Moi je garde le regard fixée sur la bosse de Monsieur Jean, ayant presque hâte de retrouver, dès que nous serons seuls, l’humiliation spéciale de sa bite en moi. Je vois donc d’un œil noir quand Emilie lui ouvre la braguette...
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
- Je veux voir de près ton « baobab » ! Ouah, cela fait envie ! Tu ne baises plus qu’avec des hommes ?
- Depuis la mort de ma femme, oui. Il n’y a eu qu’elle ! Je n’arriverais pas à faire avec une autre…
- En es-tu si sûr ?
- Presque, il n’y a plus que les hommes qui me font bander maintenant…
- Humm, si c’est le cas, tu ne vois donc aucun problème que j’essaye. Faisons donc un petit pari. Si j’arrive à te faire bander à fond, tu perds !
- Ne crois pas que tu arriv……
Mais il n’a pas le temps de finir sa phrase car il est surpris par la bouche d’Emilie qui s’est penchée pour le sucer. Son premier réflexe est d’essayer de la repousser, mais elle s’accroche et insiste si bien que bientôt Monsieur Jean est obligé de fermes les yeux et de laisser passer un gémissement. Emilie s’enlève finalement.
- Tu vois que tu n’es pas devenu totalement insensible aux charmes féminins. Tu as perdu et donc ton gage sera de me suivre en chambre pour voir jusqu’à qu’elle point tu y es encore sensible…
Monsieur Jean en reste bouche bée et semble incrédule de bander pour une femme. Emilie se dépêche de m’attacher à mon poteau avant de le conduire la main sur sa belle queue à l’étage… J’en suis doublement jaloux.
Il y a d’abord les pas précipités sur le plancher, le bruit des vêtements jetés, les murmures déformés de leur voix qui négocient, avant que cela se décide. C’est moi qui entends ce soir, Emilie gémir et le lit craquer, sous les vifs assauts du Saint phallus. Je me sens exclu de la fête et terriblement frustré d’avoir été remisé à mon poteau. Mon sexe butte en vain contre les parois de la cage et n’arrive pas à plus grossir, alors que cela jouit là haut. Moi aussi je veux jouir !
Emilie crie maintenant pour l’encourager son amant d’un soir à y aller « plus fort, encore plus. Met-moi là à fond ! ». Le lit branle de tout part et fait un boucan d’enfer. Je n’en peux plus. Joue sur la tommette, je me branle les couilles et je me pénètre le cul des doigts, aussi loin que je peux aller, si peu. Je suis si excité. J’implore l’éjaculation en cage comme le Saint Graal qui me délivrera, mais cela n’arrive pas à accrocher, malgré l’ardeur de ma main, de mes doigts.
Là haut c’est le final. Emilie hurle maintenant. Je m’échine à rattraper mon retard… En vain, jusqu’à cela se taise après un dernier hurlement commun de jouissance, me laissant seul, ridicule, à essayer encore et encore à obtenir un mince plaisir de petit encagé frustré qui m’échappe ce soir...
Monsieur Jean redescend peu après minuit dans le silence de la maison. Je le regarde plein d’espoir…
- Emilie dort. Je crois que je l’ai mise KO. Mon premier cul de fille depuis la mort de ma femme. J’avais oublié que cela pouvait être bon… Mais bon, un cul est finalement un cul. Cela ne change pas trop qu’il soit celui d’une fille ou d’un gars… Et elle a vraiment plus de technique pour sucer que toi, même si je trouve cela beaucoup moins excitant que ta petite bouche encore un peu vierge de tapette…
Ses mots m’excitent. Sa queue m’excite. Je bande à fond dans ma cage… Je le regarde en demande, sortant explicitement la langue. Si je pouvais remuer ma queue pour lui faire la fête, je le ferais…
- Putain, tu es en train de devenir un vrai bâtard assoiffé, toi ! Mais c’est non. Trop crevé ce soir, et je dois me lever tôt demain. Et en plus je n’aurais plus rien à t’offrir. Ne fais pas cette tête. Je te réserve ma soirée demain pour s’occuper de ton petit trou… promis.
Je crois que je n’ai jamais été aussi frustré sexuellement. La nuit est longue et difficile, surtout avec un sexe qui ne veut pas dégrossir…
dyonisos
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