Je stocke depuis toujours des textes récupérés de ci de là qui me plaisent. En voici 4 sur le même thème : la mise au coin.Je les
avaient mis de côté pour les faires partager via le centre de ressource car ils contiennent quelques pratiques utiles. Ils sont issus la plupart de blogs en anglais (souvent plus branchés
en D/S domestique) donc traduits. Vous voudriez bien m'excuser si certaine tournure de phrases sont restées lourdes, et j'ai souvent beaucoup de mal à comprendre certaines expressions
familières.
Ma première mise au coin, je l'ai vécu à 39 ans. Et je la dois à N. Pour autant que je me souvienne, je n'en
ai jamais subi quand j'étais gamin, ni d'ailleurs aucune fessée. Alors elle résonne bizarrementt quand N. l'utilise à mon encontre...
Je trouve que la mise au coin ramène forcèment à l'enfant, cet être pas encore totalement libre de faire ce qu'il veut. En ce
sens, elle est régressive comme la soumission peut l'être. Donc humiliante ! Mais je n'ai pas de honte à être exposé cul nu, au contraire il nait à chaque fois une excitation au niveau de
l'entrejambe créée par l'incongruté de la situation et amplifiée par la sensation d'être nu et exposé. Mais je dirais que là c'est dans les premières minutes car cela devient vite très ennuyeux de regarder le même bout de mur. Et peu à peu cela devient une vraie épreuve physique pour tenir la position
contrainte. Comme quoi il n'est pas nécessaire d'imaginer des sévices plus élaborés pour mettre son soumis en difficulté.
La dernière chose que je rajouterais est que la mise au coin facilite la tâche de la Maîtresse, en le fixant à un endroit pendant qu'elle
s'occupe ailleurs. Du moins c'est souvent l'utilisation que N. en fait. Par contre devient-on plus contrit au coin ? Pour moi cela marche beaucoup moins bien que l'effet cinglant du
fouet. Mais à chacun son mode de fonctionnement.
Bonne lecture
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Un grand classique la femme, le mari et la chambre de femme issu de amaninmyposition.wordpress.com, blog américain
superbement écrit, bien que je pense que tout cela n'est pas réellement ou complétement vécu.
Monsieur, Madame veux que vous alliez au coin.
J'obéis en silence. Maîtresse venait de donner une instruction à la femme de chambre, rien de plus. L’intérêt de la servante pour
l’incongruité de la situation était soit caché soit inexistant. Elle me suivit dans les escaliers et nous passèrent devant le bureau où Maîtresse était occupée, pour arriver dans la
chambre. Je connaissais la musique. Je me mis en face du lit et me déshabilla complétement. J'ai fini en désengageant complètement ma ceinture du pantalon. Mon sexe dans une main,
la ceinture dans une autre, je me dirigeai vers le coin.
Nous avons une grande chambre et il me fallut une marche humiliante d’une douzaine de pas pour le rejoindre. La femme de chambre me suivait
derrière mon dos. Je lui ai tendu ma ceinture et elle me donna la culotte fraichement portée de ma Maîtresse. Je l’ai coincé entre mon nez et le mur. Notre femme de chambre pouvait
voir que j'étais prêt dans le miroir de la coiffeuse. Silencieusement, elle m’immobilisa les coudes dans mon dos avec la ceinture qu’elle boucla assez serré. Pas aussi serré qu’il lui
était possible, mais suffisamment pour m’empêcher de me libérer et d’accéder à mon sexe en demi érection.
Dix minutes avant de libérer Monsieur, Anna.
Maîtresse venait d’entrer dans la chambre pour vérifier que tout se passait bien.
Nous utiliserons les pinces ce soir, Anna .Monsieur doit tout simplement apprendre que je ne tolère aucune
grossièreté.
Oui, Madame.
J'ai été alors laissé seul à considérer mon comportement irrespectueux envers ma Maîtresse, les bras étroitement liés, position qui
commençait à devenir inconfortable au bout d’un certain temps. Ce qui était le but recherché évidemment, et j'ai été soulagé d'entendre des talons marcher dans le couloir. Faux espoir,
c’était la femme de chambre qui revenait chercher quelque chose. Elle repartit rapidement. J'ai commencé à fléchir les jambes, tout en continuant à être enivré du parfum de la
culotte de Maîtresse, alors que je sentais le fourmillement envahir mes mains. La femme de chambre finit par revenir et défit la ceinture. Je laissais tomber la culotte sur le sol. La
femme de chambre attendit que je me sois rhabillé, puis elle transmit le message de Maîtresse.
Monsieur, Madame vous fait dire que vous êtes libre pour le reste de l’après-midi. Elle a rajouté qu’elle vous attend à 18h précise dans
son boudoir pour vous donner le fouet.
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La pièce de monnaie ou la manière de Kathy sur femdom101.blogspot.com utilisée sur son mari soumis. Blog 100% réel dont je
vous ai déjà parlé. u ut lien
C'est une punition très simple, mais je crois beaucoup à l’efficacité de la mise au coin pour un homme. Il punit l’homme à plusieurs
niveaux. Premièrement, il y a l'humiliation d'être mis à genoux contre le mur comme un petit enfant. Cela lui donne le temps de penser à ce qu'il a fait de mal. Cela fait aussi mal aux
genoux et dans le dos. Jean est dans la cinquantaine. Il ne faut pas longtemps de mise au coin avant qu'il commence à souffrir. Juste quelques minutes. En règle générale, je mets
une pièce entre son nez et le mur. S'il laisse tomber la pièce de monnaie, je rajoute du temps à sa peine. Pour ajouter au sentiment de frustration, Jean ne sait pas combien de temps il
aura besoin de rester dans cette position. J'utilise un minuteur que je laisse sur une table juste derrière lui. Il peut entendre le tic-tac, mais il ne sait pas combien de temps il reste
encore. Quand le minuteur finit par sonner, il a la permission de se relever tout seul.
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Un autre extrait de amaninmyposition.wordpress.com, cette fois avec seulement la Maîtresse de maison.
« Vous avez été très irréfléchi. Et ce n'est pas la première fois. Alors je pense que 50 coups de brosse de bain suivis de 50 coupes de
canne est tout à fait juste, Je vous donnerai la brosse de bain sur votre culotte gainante. Cependant, avant je que je veux vous faire passer un moment au coin pour réfléchir au pourquoi
vous allez être puni. Maintenant allez prendre ma culotte mise la nuit dernière et la brosse de bain et venez avec moi. » Hannah a marché
devant moi jusqu’à sa table de maquillage. « Enlevez votre T-shirt. » J’ai obéi et Hannah a pris mon téton
gauche entre ses ongles. Il était dressé quand elle a serré les dents de la vieille attache de lingerie, puis le téton droit a reçu le même traitement. « Ouvrez la bouche. » Je me suis exécuté et Hannah a délicatement
enfoncé sa petite culotte dans ma bouche en prenant soin de laisser sorti un morceau de coton de telle sorte que je puisse y poser mon nez contre le mur quand je serais au coin.
« Maintenant, mettez-vous au coin et tachez de ne pas faire tomber la brosse que je pose dans votre dos. Pieds joints
et éloignés du mur. » Cette dernière instruction était importante, car elle signifiait que je devais m’appuyer
complétement contre le mur. Facile pour une minute ou deux, difficile au-delà.
« Je pense que vous devriez réfléchir à la façon dont vous pouvez mieux vous comporter à l'avenir. » Hannah a caressé mes
hanches gainées. « Il n’y a pas d’autre choix pour un homme dans votre position que d'être strictement obéissant. Vous n'avez pas demandé la permission de sortir et vous êtes arrivé à
la maison une heure plus que ce que vous aviez promis. Ce n'est pas acceptable. Maintenant, j'ai des choses à faire et je veux que vous réfléchissiez à combien il est désagréable pour moi
d'avoir un homme dans votre position ignorer sa discipline et ses promesses. » Et sur ce, elle m’a laissé.
Debout, le nez enfoncé dans les parfums de la culotte d’Hannah, la brosse de bain posée en équilibre dans mon dos, je me concentrais sur
l'amour que je lui portais. Et sur la chance que j’avais. Et je réfléchissais aux attentes tout à fait raisonnables d'Hannah et de la façon dont je m’étais mal comporté. J'avais beaucoup
de temps pour y réfléchir. Les pinces sur les tétons commençaient à mordre la chair. Et ma position contrainte me ramenait à ma soumission. Je ne sais pas comment j’ai tenu si longtemps.
Hannah était quelque part en bas, se préparant son premier thé du matin. L'humidité de mon souffle libérait le parfum enivrant de la culotte d’Hannah dans ma bouche. Je commençais à
perdre la notion du temps et j’ai été un peu surpris quand la Maîtresse de la maison est revenue...
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Une mise au coin très introspective trouvée sur voiceinthecorner.wordpress.com que
j'aime beaucoup. Evidemment traduite de l'anglais le mieux que j'ai pu.
Je déteste les mises au coin. Je veux dire que je sais que c'est nécessaire et
fondamental dans notre
relation, mais le moment où je suis réellement débout votre nez dans le coin est vraiment un mauvais moment.
La pire espèce de mise de coin, après celui ou vous devez vous exposer devant des témoins, est quand attendez une punition.
Ce n’est pas marrant de se tenir debout devant le mur, les mains croisées dans le dos, désirant désespérément de se gratter le nez. J’ai
alors essayé de me frotter le nez contre la paroi pour soulager les démangeaisons, mais David m'a ordonné d’arrêter de gigoter.
" S'il te plaît, David, c’est injuste ", ai-je dit sans réfléchir, bien que je sache que cela l’était.
" Six coups de plus ! ", soupira David.
" Oh ce n'est pas ... oh je ne voulais pas dire que... ". Je frappais du pied de frustration et il m’a
grondé à nouveau pour avoir gigoté.
Dernièrement, j'ai été surprise à me plaindre des punitions de David et des gros mots qu’il disait pendant. C'est pour
cela que je ne cesse de dire que c'est injuste. Aussi David a décidé que toute remarque de ce type pendant mes punitions, me vaudrait six coups supplémentaires de canne ajoutés à la
correction en cours.
Ce matin Alex m’a appelé pour qu’on se retrouve ensemble pour déjeuner avec Nan et lui, et David et moi. J’ai oublié le rendez-vous
pris pendant que je faisais dans les boutiques. J’ai aussi oublié d’en parler à mon homme. Par conséquent, quand je suis rentrée avec David le soir, il y avait un message sur le
répondeur d’un Alex furieux demandant où nous étions.
" Oups ! J'ai oublié. " ai-je dit avec une grimace.
David a froncé les sourcils. " Tu sais que tu viens de gagner une fessée ! "
J'ai laissé échapper un " C’est injuste ". Trop tard avant de réaliser mon erreur. " Oh, je ne voulais pas ... "
" Enlève tout. Ne garde que ton T-shirt et va au coin ! Je m'occuperai de toi plus tard. ", a simplement dit David d’un air
maussade en me montrant le coin du doigt.
" Oui " ai-je docilement marmonné en réponse, en évitant la tentation de clamer encore que c’était injuste.
Donc, depuis que j’ai été mise au coin, je suis simplement habillée de mon T-shirt, le nez collé contre le mur et les fesses exposées
nues au froid de la pièce.
La conséquence de la mise au coin, quand elle est correctement faite et croyez-moi, David la fait correctement; est que vous ne savez jamais
combien de temps vous avez allez rester dans cette position, et si vous êtes surveillé. Vous n'avez aucune idée de combien de temps il reste encore et si oui ou non vous serez renvoyé
vers le coin une fois votre fessée terminée.
Cette pensée donne la chair de poule à mon derrière. Je me demande s’il va m’administrer la canne juste après la fessée ou
s’il va me remettre au coin entre les deux. J'essaye de réfléchir. Sur une échelle de un à dix, comment se situe la faute de faire passer votre homme pour un idiot en lui faisant
manquer un rendez-vous avec son meilleur ami et dans le même temps faire de même avec mon meilleur ami ? Eh bien dans le bilan des raisons égoïstes de mon oubli, je crois qu'en termes de
rencontre foirée, c’est bien pire que de laisser brûler le dîner.
Je pense aussi à tous les coups de cannes que je me suis pris pour mon langue impertinente.
Quelque part j’entends un claquement. Je n'ai aucune idée de ce que s’est, mais il me rappelle que je suis debout
dans le coin à la merci de David.
Le fait qu’on vous sentiez une présence qui se déplace dans la pièce pendant que vous êtes au coin, vous permet de rester
concentré sur votre faute. Je veux dire que si David était sorti et m'avait laissée seule, je me serais probablement dissipée et aurait pensé à autre chose. Je le sais parce que cela est
déjà arrivé. David n'a pas confiance en moi pour rester au coin une fois qu’il est sorti, mais il a ses petits trucs.
Dans les premiers jours de notre relation, j'ai lu un livre sur une femme que son mari avait laissé attachée serrée quand
il avait dû s’absenter. Intrigué j'en ai parlé à David.
" Que t’arriverait-il s'il y avait un incendie ", m’a-t-il répondu. " D'ailleurs, nous n’avons pas besoin de
faire cela. "
J'ai appris plus tard ce qu'il voulait dire. Il a sa méthode pour attacher une fille par les pouces avec du ruban adhésif. Il n'existe aucun
moyen de libérer vos mains sans briser le scotch, et aucun moyen de le remplacer si vous l’avez fait. Alors si vous êtes mis au coin avec votre nez contre le mur, c’est sûr en cas de
problème et complètement imparable si vous essayez de tricher.
Comme je le disais, David a ses petits trucs.
Une des choses possibles au coin est d’appuyer discrètement son front contre le mur. Après avoir attentivement observé Nan dans la même
position, il n'est pas toujours facile de repérer ce subterfuge.
" Angela tiens-toi droite ! Je veux que seul ton nez touche le mur et rien d'autre " Je ne suis pas contente d’être démasquée, je
lui jette furtivement un regard noir.
" Tu as bougé : tu as regardé en arrière "
J'ai menti " Non. Comment le pourrais-je ? Je ne peux pas le faire sans cette position. "
" Tu viens de gagner six coups supplémentaires pour m'avoir répondu ! " me répondit-il sèchement.
Je gémis inconsciemment un nouveau " C'est injuste ! Merde et double merde ! "
J'ai utilisé ma dernière cartouche si j’ai dit ma dernière pensée à haute voix et j’irais dans ce cas-là devant plus d'ennuis. Heureusement
je ne pense pas qu’il ait pu l’entendre.
Mais si ! David soupire " Oh mon amour… Je te donnerai donc un total 24 coups de cannes après une bonne fessée. "
Je tente de l’amadouer " Pitié. S’il te plait, David. Je promets de ne plus me rebeller... "
" J'espère que non parce que, dans le cas contraire, ce sera six coups supplémentaires. "
" C'est ... très juste et mérité ". Je me suis reprise à temps heureusement " mais pense à mes pauvres fesses "
" Je pense à rien d'autre qu’à ton derrière mon amour. Mais maintenant, arrête de parler et reste immobile. "
A l’évocation de mon cul, je prends immédiatement conscience de la fraîcheur de l'air sur mes jambes nues et mes fesses. Je pense alors à
mon derrière et à ce qui va lui arriver et je commence à rougir.
Je me tais pendant un temps J'attends simplement mon cul à l’air en écoutant le bruissement du journal que David lit derrière. .Je
l'imagine me regarder de temps en temps, mater mon cul et attendre son heure. Je commencé à être excitée à cette pensée.
Quoi que vous puissiez en penser, cela rend en fait les choses plus difficiles. C’est pire qu'un nez qui démange. Vous devez rester là
en essayant de ne pas se frotter les cuisses l’une contre l’autre et plus vous essayez de ne pas le faire, plus vous en avez envie. Et si David vous attrape ... aïe, aïe, aïe ! Et pendant
ce temps, tout ce que vous voyez est ce foutu mur, et la tension devient vite insupportable.
Puis vous entendez ces mots que vous craigniez et ne vouliez surtout pas entendre. Pas tout de suite. Jamais !
" Bon, c'est l'heure ! "
David me pend par la main pour conduire vers le canapé. Je trouve toujours assez reposant de pouvoir s’agenouiller, mais dans le même temps
mes fesses sont exposées et je sais ce qui vient !
" Penche-toi sur le dos du canapé ! "
Plus tard, une fois que c’est fini, David attend que je reprenne mon souffle. Alors je commence à pleurer : cascade de larmes qui descendent
le long de mes joues.
" Retour au coin ! ", David dit son ordre à voix basse.
J'y vais d'une marche lente, précautionneuse et quelque peu honteuse en retraversant la pièce, mais cette fois j'aime le coin. Je m’y sens
en sécurité.
Je sais que je vais y rester un moment. Suffisamment longtemps pour commencer à haïr de nouveau mon coin. A ce moment-là, je devrais avoir
cessé de pleurer et commencé à réfléchir sur la façon de donner satisfaction à David. Je pourrais même penser combien je suis désolée et qu’en vérité je l’avais bien mérité…1
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MAJ 07/01/12
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