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Vendredi 8 juin 5 08 /06 /Juin 08:12

Maîtresse est partie en déplacement pour 3 jours. Elle n'a pas voulu prendre le risque de prendre la clé de la cage. Au contraire, elle a enfermé la clé ainsi que la clé de secours dans le coffre à combinaison. 5 ou 6 chiffres de verrouillage à ce que j'ai cru entendre. La clé de secours du coffre a été scellé dans un tube qui empêche son accès par un cadenas plastique numéroté (dont elle pris une photo preuve) et cachée quelque part dans la maison.

Cela en dit beaucoup sur sa volonté actuelle de me voir rester en cage.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 5 juin 2 05 /06 /Juin 22:45

 

J'ai reçu au boulout un SMS hier en fin d'après midi m'ordonnant d'aller cueillir pour ma Maîtresse un bouquet d'orties fraiches  avec l'exigence de le faire au bord d'un chemin où ne passent pas de voitures. Facile je me suis dit car je connais un chemin quasi désert où je vais m'approvisionner d'habitude une fois que j'ai récupéré les sécateurs à la maison... Mais là il y avait un tracteur et une voiture en train de discuter dare dare. Mince. Je suis parti en chercher ailleurs mais ce qui est marrant, c'est quand on cherche quelque chose on ne le trouve pas ! J'ai erré un moment avant de trouver un champ d'orties assez fourni en bord de route. Mais on ne peut pas dire qu'il s'agit vraiment d'un endroit isolé. J'espère seulement qu'il n'y aura pas de passage. J'avoue ne pas être très rassuré d'être ici et je coupe une à une les tiges d'orties avant de les cacher derrière la voiture d'autant plus précautionneusement que j'ai oublié de prendre des gants. En plus les orties ont quasiment tous fleuris...

Retour à la maison avec ce qui ressemble à un bouquet d'orties et attente que les enfants soient endormis. Vers 22h30, N. m'annonce qu'elle est en train de finir ses obligations et que cela va être bientôt mon tour. Elle finit enfin et décider d'aller regarder la fin du zapping de la semaine à la télé. Je la rejoins.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Allez ouste du balai ! Il y a une lessive qui t'attend pour l'étendre !

20 minutes plus tard, j'ai fini d'étendre les linges (ce que je déteste, et ça Maîtresse le sait...). Retour au salon. Le zapping est en train de se terminer. Et là je m'aperçois avec angoisse que les mains de ma Maîtresse sont maintenant recouvertes de gants de latex bleu. Les deux ! Pourquoi ? Que veut-elle en faire ? Cela ne préfigure rien de bon pour moi. J'ose poser la question :

- Maîtresse, pourquoi avez-vous mis des gants ?

- Petit curieux, tu verras bien assez tôt... Allez ouste en chambre.

Je m'arrête sur le palier pour vérifier que la marmaille dort. Dans la chambre conjuguale, N. m'attend.

- Déshabille moi !

- Fais gaffe à mes bas, ne les file pas.

Maîtresse est toute nue. Elle est belle. Je bande immédiatement en cage. Elle ouvre le gainetier et le premier accessoire qu'elle sort est un bâillon. Etrange elle qui adore m'attendre crier sous ses cruautés d'habitude. Peut-être parce que la chair de sa chair ne dort pas loin. Je bave rapidement sur la boule qui écarte mes lèvres. La suite est plus classique, elle me pose les bracelets de cuir rouge, m'enlève la chemise, fait tomber slip et pantalon avant de m'attacher les mains en l'air aux anneaux de la poutre. Mais la cage reste en place pour mon désapointement.

Maîtresse prend le contrôle et me prend les couilles sous la cage pour les écraser entre ses doigts. Je grimace. Elle continue en les frappant du creux de sa main et savourant mes comiques sauts de reculade.

- Ah, ah !

Puis baisant les yeux sur la cage qui fuit du présperme.

- Incorrigible dyonisos ! Tu vas encore tout tâcher...

Elle utilise ma chemise en serpillière pour essuyer mes dégâts et la laisse là en prévision de toute fuite extérieure. Maîtresse me donne un moment ses seins à sucer et lécher puis saisit la roue à pics dans le grainetier dont elle se sert pour me marquer les fesses et le dos, avant de finir face à mon appréhension sur la fine peau des couilles. J'en tremble mais heureusement pour ma virilité elle n'appuit pas trop.

La suite est classique : inspection, traque, décapitage des boutons sur mon corps pour libérer le pauv' poil enfermé. Elle est déçue car elle n'a pas grand chose à se mettre sous la main. C'est autant de gagner pour moi, car c'est une des choses que je crains le plus !

Maîtresse saisit alors le bouquet d'orties et l'inspecte.

- Pas très net tout cela. Il a y même des pucerons ! Tu as de la chance, car je comptais te dresser à manger les orties. Je suis sérieuse quand je dis qu'il y a plus de vitamines C que dans une orange.

Les manger ?!? Oups ! Comment peux-on macher et avaler des feuilles qui piquent ainsi ? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir trop car elle a commencé de me fouetter vivement tout le derrière des molets aux épaules en passant pas les fesses. J'appréhende le moment où ma peau prendra feu, réaction temporisée de quelques minutes au vu de mes expériences passées. Cela commence à piquer mais pas trop. N. s'arrête pour scruter la peau, à la recherche des cloques.

1 Qu'est-ce qui se passe ? Pas très actives tes orties... sans doute un peu trop tard dans la saison. Dommage... Allez occupons-nous du devant !

Le bouquet s'abat entre mes cuisses et vient lécher mes orphelines. Je recule de peur et le cadenas vient claquer contre la coque de la cage. Elle sourit... Je reprends position et elle recommence. Nouveau claquement du cadenas. Elle enchaîne en cadence ses coups... avec mes reculs.

- Ah, ah. J'adore ce bruit de castagnette !

Les orties se terminent. N. pose le bouquet... Je l'attends chercher dans le grainetier que je ne vois pas. Elle revient.

- Allez donne-moi tes fesses !

Je me rappelle à ce moment là le présence des gants de latex et je me demande se ellle ne désire pas me rentrer sa main dans le rectum. Là immédiatement ! Demi fausse peur, car ce n'est pas ses doigts que je sens mais la pression de la tête d'un gode sur ma rondelle. A sec ! Tu as suffisamment du t'exciter du cul pour qu'il rentre tout seul. C'est son nouveau truc depuis quelque temps : me prendre à sec. Mais cette fois comme les autres fois le plug de 4cm malgré la pression n'arrive pas à perforer. Elle m'engueule aussi pour avoir la raie du cul trop odorante (sic) et en profite pour abandonner sans perdre la face. 

Je suis libéré. Je suis toujours bien bandé et je rêve d'une délivrance de sa main.

- Tu rêves mon pauvre dyonisos. En cage tu es, et en cage tu restes. Et puis qu'as tu fait pour m'aider cette semaine ? Allez à ta place de suceur soumis. Au travail !et tu rangeras tout le bordel après !

Je me retrouve la tête entre ses cuisses : c'est complétement inondé avec une odeur hypnotisante. Je suce/masse/mordille le bouton avec avidité. Elle râle car son plaisir ne monte pas assez vite. Elle m'ordonne de rajouter mes doigts pour aller chercher son point G. Petit effet, mais cela ne va toujours pas assez vite à son goût. Alors de guerre lasse, elle commence à se masturber sur mon visage en ondulant du bassin, à me baiser la bouche. Je suis comme je peux, mais je ne suis manifestement plus à la manoeuvre. La jouissance arrive. Fluides mouillés et contractions. Elle jouit !

Merci Maîtresse.

dyonisos


 

PORT FOLIO

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 4 juin 1 04 /06 /Juin 07:49

Le dimanche a commencé assez tôt. Je me suis réveillé et j'ai glissé mes doigts sous l'élastique de la culotte de N. J'avoue que même après plus de 10 ans de mariage, je n'ai toujours pas compris quand ma femme mettait une culotte pour dormir et quand elle en mettait pas. En tout cas, ce matin il y en avait une. N. a manifestement et couinement apprécié jusqu'à l'orgasme, avec à la fin petit commentaire assassin : dommage je me serais bien pris ta bite... grrr... la clé était en bas, loin !

Pas de possibilité de maugréer,  il était temps d'aller réveiller ma fille. C'était notre accord entre père et fille. Elle voulait préparer le petit dejeuner de sa mère le jour de la fête des mamans... Et elle l'a fait ! Après le fils s'est réveillé et toute la famille s'est réunie autour de lit de notre chambre pour la sempirternelle ouverture des cadeaux pour maman (assez jolis, il y a eu pire).

Après les enfants se sont éparpillés l'un dans sa chanbre à jouer à la nintendo, l'autre en bas à regarder la télé. N. lisait au lit. L'offre du matin me trottait toujours dans la tête, alors je me suis éclipsé avec le trousseau de clé, pour rejoindre N. Oh joie ! Elle accepte de me décager. Détour à la douche avant pour rincer le tout rapidement et arrivée du satyre nu au phallus dressé dans la chambre. C'est l'heure des parents pas sages. Petite gaterie de bienvenue : une merveille ! Surtout tenir... Mais N. est pressée de sentir sa queue et met son dos maginifique en levrette sur le lit. Je m'introduis... Bonheur de sentir la matrice chaude... J'en profite, je prends mon temps à flâner dans la vulve pour mieux déguster le calin... Trop sans doute. Alors que que l'éjaculation montait et arrivait, que j'étais prêt à accueillir dans un minute tout au plus, elle me dit :

- Tu ne jouis pas mon amour ?

- Si, si, je profite j'arrive....

- Non, non : on arrête. Finis moi aux doigts !

Et merde ! J'ai perdu un peu de virilité immédiatement et Maîtresse fut comme demandé "finie" mes doigts pressant le point du bon docteur Gräfenberg. Visuellement un orgasme formidable... sans moi...

Après je n'ai pas eu le droit de jouir. Je me suis retrouvé de nouveau enfermé dans la cage. Le zizi ne voulait pas rentrer alors il a fallu forcer pour verrouiller le tout. Clic. Clac. Que des regrets... N. est épanouie après sa jouissance. Trop à mon gout. Elle ordonne de me rapprocher, ses mains en prise sur les orphelines qui dépassent sous la cage. Nous parlons...

- je suppose que quand tu partiras pour ton colloque en fin de semaine, tu me laisseras en cage...

- Eh oui ! Tu as bien deviné...

Je n'espérais quand même pas pouvoir en sortir avant. Fallait être réaliste... 

N. me souriait... Je tente ma chance.

- J'ai été déçu que l'on n'ait pas eu le temps mardi dernier de jouer en chambre avec les orties

- Oui je l'avais déviné.

- Alors, alors je peux espèrer quelque chose ce soir après le coucher des enfants ?

- Ce soir non cela me plait pas, lundi soir peut être ! Je n'ai rien ce soir là...

Encore attendre et espèrer. Vous pourriez croire que tout cela est machiavéliiquement planifié par ma Maîtresse. Et bien non la plupart du temps il n'y a rien d'organisé à l'avance et je me suis depuis longtemps persuadé qu'elle ne faisait pas exprés de me torturer comme cela. C'est juste l'expression de sa nature dominante et du moment. En tout cas me voilà encore une fois trimballé... et je reste totalement surpris de la tournure qu'a pris ma demande. Ma tête doit être impayable1 pendant que je fais cette remarque car elle me fixe dans les yeux.

- Tu fais une drôle de tête. Tu es déçu mon amour ?

Avant de rire gentimment de mon état...

Puis suite à une idée que j'avais impudemment évoquée dans la semaine, j'ai été envoyé aux courses de "compléments" avec un vieil ami : le rosebud bien fiché dans la fondement ! Je l'avais oublié celui-là... Avec la cage devant et le plug derrière, les courses s'allongent. Je me fais même doubler en allant à la boulangerie par un père et son gamin de 3 - 4 ans. Et je ne conduit bizarrement qu'assis sur une fesse... J'étais heureux de m'en débarrasser en rentrant à la maison.

Le soir a été le moment d'un long hommage entre ses jambes. Allez-suce bien ta Maîtresse, mon petit soumis !

dyonisos

 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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