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Dimanche 9 décembre 7 09 /12 /Déc 13:00

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En fait avec la cage, il y avait aussi le retour du rosebud depuis le départ de la maison, jusqu'à mon arrivée à l'hôtel.

Alors au dernier moment, je le prends dans le tiroir, passe aux toilettes et l'enfile. J'adore la sensation quand le trou obscur avale la chose. En fait il se trouve que nous possèdons deux rosebuds. Un plus petit avec une jolie corolle de fleur qui dépasse de l'anus que je qualifirais d'apparat. Il m'a été offert par N. pour mon Noël, il y a quelques blrosebud2012.jpg années. Mais sa beauté est son point faible. Les pétales finissent toujours par presser et blesser les parois du sillon culier au bout d'une paire d'heure. Il y aussi tendance à s'échapper. Diamètre manifestement trop faible (3 cm) comme la plug de ma queue de toutou de la même taille qui se perd en route pour le promenade. Nous en avons acheté donc un autre, il y a deux ans. Moins joli, mais plus mettable avec une barre arrondi en T pour le maintenir et une taille suffisante (4 cm). C'est intimement paré de ce dernier que je suis parti.

Une demi-heure de voiture pour rejoindre la gare. Je suis bien, détendu du trou du cul, tellement détendu que j'ai cru l'avoir perdu. Mais non il est bien là ! Dans le train aussi un délice, sauf qu'il doit appuyer quelque part sur la prostate car la vessie se rappelle à moi rapidement. Et il est toujours délicat de pisser assis en cage en le gardant bien fiché. Là aussi cela doit être fait exprès. lol.

Mais le rosebud c'est le contraire de la sodomie en fait : cela commence aussi bien que cela finit mal. Au bout de 2-3 heures ainsi pris, le conduit s'assèche. L'air poussé par l'intromission veut ressortir. Le port devient plus contraignant. Il semble plus gros, plus proche de la sensation d'une grosse m**** dans le cul. Je commence à compter les minutes dans le train. Cela semble long. 

Le train arrive finalement. Il faut se traîner jusqu'à l'hôtel, le cul en arrière et les couilles frisquées contre la cage dans l'air froid du soir. Sentiment d'humiliation. Je ne suis définitivement pas comme les autres passants que je croise. J'appartiens à N. Je note avec un petit amusement, le bar dans la rue qui se nomme... rosebud justement. Dernière grimace devant le réceptioniste et me voilà sur le trone de la chambre pour la libération trop longtemps attendue...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 8 décembre 6 08 /12 /Déc 13:00

 

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blcagehotel.jpg - Va mettre ta cage !

Mercredi dernier au réveil dans le lit avec Madame. Retour en arrière. Cette sorte de demande qui ne laisse la place à aucune contestation. Un mélange toujours étonnant de complicité et d'autorité inné.

Pour les fidèles qui suivent nos aventures, nous en étions resté sur une interrogation : et alors la suite ? Ces dernières semaines, on a pas mal discuté, des fois sérieusement et d'autres en pur déconne. Ce qu'il en ressort ? Rien dé révolutionnaire... pour l'instant on s'accorde à continuer sur le même rythme qui nous réussi jusqu'à présent, celui d'un jeu épicé entre adultes consentants, vécu pour notre plaisir mutuel...

Mercredi dernier, il se trouve donc que je devais aller à la capitale, Et là il y a une tradition familiale qui s'est mise en plca ces dernières annés : pas de problème mon amour mais tu y vas en cage. On ne sait jamais...!

Et me voilà sous la douche à commencer à massacrer par centaines des poils qui se sont installés depuis plusieurs mois. Un vrai Verdun du poil, où chaque attaque du rasoir rose (celui de Madame finalement bien plus efficace pour ce genre de débrouissaillage), où donc chaque attaque fait tomber au champ d'honneur des dizaines de bon petits soldats dressés. Un long combat avant de finir à libérer la zone à force d'offensives successives contre ses malheureux poils (c'est fou que depuis que j'ai commencé à me raser ce que le poil a poussé partout tel la mauvaise herbe). Un doux sentiment humiliant aussi de devoir faire cela alors que la famille se réveille qui me revient à l'esprit. Puis un peu de crême, un dernier renaclement de l'oiseau ret clic-clac, il finit sage (?) dans sa cage ! Tout de suite la pression des machins contre l'anneau : le matin n'est jamais la bonne période pour un encagé.

Départ de la maison avec ma valise...

- Attends mon chéri, tu ne m'as pas fais de bisou !

Je lui lance un baiser d'amoureux, profond. Elle le partage langoureusement tout en portant sa main durement sur la cage dans l'entrejambe, en possession. Je sursaute : les enfants sont à un mètre dans mon dos !

Il y avait une épreuve dans la liste que j'étais sûr qu'elle aurait choisi pour mon départ : le voyage en train rosebudé. Alors au dernier moment, je le prend, passe aux toilettes et l'enfile. J'adore la sensation quand le trou obscur avale la chose.

Une demi-heure de voiture pour rejoindre la gare. Je suis bien et fier de porter ma cage pour elle (et pour moi aussi - lol). 

Arrivé à l'hotel : un encagé s'assoit pour pisser ! Le temps d'envoyer une photo par sms et de recevoir la réponse debltrone.jpg N. (Grotesque !) et hop au lit.

Puis vint la nuit, et l'éternelle épreuve du poteau dans la cage à partir de 4h du mat que l'on vit seul.. Une sorte d'épreuve mystique pour les encagés sans laquelle la cage - cet objet de lanscinante torture moderne - ne serait pas la cage. Et une petite peur le lendemain : l'immeuble du bureau où j'allais avait un vigile équipé d'un détecteur de métal corporel. Aie ! Heureusement, je l'ai vu à temps et que j'avais pour une fois la clé de secours dans une enveloppe scellée...

dyonisos


 

Dernier point : après 2 jours à avoir aglagla aux couilles et donc à douiller dans la cage, l'esprit humain s'est mis en route. Une vieille chaussette coupée et hop voici un nouvel habit tendande hiver 2012 pour les encagés ! Et il n'y a pas a dire, c'est efficace. Et si bene pendentes... c'est bien mieux pour l'encagé. 

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 09:20

Les 10 choses que j'ai apprises depuis que je suis devenu le soumis de ma femme...

Encore un veil article que j'ai ressorti du grenier du blog. J'en ai encore quelques uns qui traînent là esseulés. Faire un peu de ménage dans ma seconde maison est une très bonne chose. Je l'ai relu. Déjà je ne sais pas compter, il n'y en a que neuf ! D'autre part, je trouve que fait un peu testament de soumis. Mais je ne suis pas mort !

Bon d'accord à part les aventures du Domaine, il ne se passe plus grand chose ici. Le blog est à l'image de notre vie, et là oui depuis de nombreux mois c'est le grand calme côté SM. Le manque de temps sans doute. Mais aussi le temps de la réflexion.

Car nous réfléchissons à ce que - finalement - nous voulons pour l'avenir. Pas celui de notre famille, mais celui intime entre nous  à l'image des personnes du Domaine. Nous avons aimé et nous aimons ces jeux épicés entre nous. Comme certainement beaucoup de couples BDSM avant nous, nous avons exploré notre nouveau terrain de jeu, celui que nous avons fait naitre de notre pacte entre nous, il y a cinq ans. Et qu'est-ce que nous nous sommes amusés à enfiler une à une les perles de notre nouveau domaine. Un temps de grandes découvertes, sur nous et sur notre plaisir. Un temps de complicité aussi.

Je suis retombé il y a quelques temps sur nos "check-lists' que nous avions remplies au tout début comme beaucoup. Les notres étaient croisées, une pour Monsieur et une pour Madame. Nous en avions tirés le dénominateur commun avant de nous lancer... Je me souviens encore de l'éclat de rire gêné de N. quand elle m'a découvert la toute première fois, nu avec un seul collier autour du cul, à l'attendre à son retour de travail. C'était le temps où elle me servait un whisky pendant qu'elle me torturait doucement pour m'aider à mieux "supporter". Que de chemin parcour depuis. Que ce temps semble si loin maintenant quand elle manie le fouet avec une précision cinglante.

Non la lecture de nos listes est riche d'enseignement. Nous étions à 70-80% dans la vérité. Certaines pratiques dont nous attendions beaucoup sans les avoir testés, nous ont au final déçues. Et d'autres - sans doute plus avançées - que nous n'envisagions au grand jamais de faire ont été une révélation étonnante. Nous avons donc progressé avec avidité dans notre nouveau monde, nous équipant - sans doute trop - trop de choses finalement pas si utiles qui traînent dans un placard : erreur de jeunesse -, trouvant aussi les temps de tranquiliité pour nous amuser sans contrainte. Une magnifique ballade dans le BDSM !

J'y ai découvert une femme exigeante et précise dans ses gestes, naturellement douée pour certaines pratiques, et qui les réalise sans aucune honte, en mouillant intensément. Moi de mon côté qui voyait d'abord tout cela en libertin comme une prolongation des jeux dans le couple - sans doute plus épicés -, j'ai découvert que j'aimais tout simplement être humilié et souffrir, bien plus que je l'aurais cru initiallement. Et des moments de fusion totale me restent en mémoire. La première ballade nu dans le jardin à quatre pattes, tenu en laisse à ses pieds, la séance de fouet de mes 40 ans, ou ma première libération de cage. Que des moments exquis de complicité intime, savourés ensemble.

Même le sexe vanille a changé en miroir pendant ces cinq années. Beaucoup plus centré sur le plaisir de l'autre. Du plaisir dans un sens offert par l'un à l'autre, avant de se retrouver en communion autour d'un petit trou. Moins de pénétration à la papa-maman aussi, que nous avons fini par trouver si terne par rapport à l'immensité des options offertes pour prendre du plaisir.

Maintenant ils nous semblent que nous avons effleuré chacun des bords de notre monde BDSM, du moins dans la règle que nous nous étions fixés il y a cinq ans : celle de s'amuser uniquement. Et nous nous interrogeons sur ce que nous allons faire de tout cela...

Nous ne sommes par vraiment un couple D/S mais plus un couple qui tire du plaisir de la D/S. C'est une nuance importante, mais qui n'est pas là par hasard. C'est la limite que nous nous étions fixée dans notre pacte. L'étape suivante serait celle où nous cessons de faire comme-ci pour le faire vraiment. C'est un col difficile à franchir, un peu tabou. Le voulons-nous ? Le souhaîtons-nous ? Est-ce une bonne idée pour notre couple ? C'est en tout cas pas une décision neutre...

J'en accepte sans doute plus l'idée que N. Mais je me pose pas mal de questions. Est-ce une bonne idée d'introduire la vie réelle dans notre sexualité ? Es-ce que je le souhaite réellement ou c'est le "toujours plus" des jeux BDSM qui parle ? Je contaste aussi que N. s'est de plus engagée dans des activités en dehors de la maison, et je suis déjà en quelques sortes un mari ou un papa coincé à la maison, s'occupant des tâches ménagères et des enfants. Cela me dérange pas trop parce que je suis finalement assez casanier. Mais c'est comme si j'avais tout les invénient d'être soumis à la maison, sans en avoir les avantages. Je serais prêt à essayer pour voir, mais pas quelque chose de définitif, juste des périodes de soumission entrecoupées de périodes normales, pour l'équilibre.

Pour N. de son côté, comme toute femme, ses pensées restent partiellement un mystère. Avec cependant quelques zones dévoilées. N. a mis quelques années à quitter le "je le fais, parce que tu le veux" et à reconnaître devant moi - et donc à assumer - le plaisir extrême qu'elle prenait à me tourmenter. Elle se pose aussi la question si elle veut aller plus loin maintenant. Pour elle ? Pour moi ? "Tout cela prend du temps, l'aurons-nous ?". Il y aussi la vision qu'elle a de son mari. "Ne finirai-je pas à te mépriser ?", "Je ne me suis pas marrié avec toi, pour te transformer en larvette !".

Bref, beaucoup de questions pour chacun et pour nous. Et nous avons surtout décidé de prendre notre temps...

Bref désolé de cette longue introduction. Voici les dix, non neuf choses que j'ai apprises. Quoique j'ai en tête l'idée d'une dixième, mais celle-là je la garde pour nous... Et au fait, il n'y a aucun ordre.

dyonisos


n°1. J'ai un petit zizi ridicule de garçonnet

J'avoue que je ne m'étais jamais posé la question avant. Bien sûr je savais que je n'avait pas été bien doté par la nature, mais cela n'était pas allé plus loin. Maintenant c'est clair et Maîtresse N. me le rappelle sans cesse pour m'humilier. 

n°2. Je n'aurais jamais plus le dernier mot

Là c'est peine perdue. Quand vous donnez le pouvoir à votre femme, même par jeu, elle le prend entièrement et définitivement. D'ailleurs le second effet kiskool, est que je finis parfois par m'autocensurer à l'avance.

n°3. Je suis devenu un suceur attentif de minou

Et d'après N. il n'y a pas meilleur suceur que suceur encagé !

n°4. La femme est encore plus un mystère pour moi

Comprendre la femme dans les méandres de son esprit dominant est devenu impossible. Le soumis doit accepter qu'il n'accèdera qu'à la surface des pensées.

n°5. J'ai appris à dissimuler les accesoires de jeu dans la maison

Ah qu'il était bon le temps 100% vanille. Il demandait rien, tandis que le BDSM nécessite plein d'accessoires sans doute très plaisants mais qu'il faut cacher dans la maison.

n°6. Que le meilleur plaisir n'est pas d'éjaculer

Les anciens disaient soignent les préliminaires mon garçon. La soumission peut se voir comme un long préliminaire qui n'offre aucune garantie d'aboutir.

n°7. J'ai découvert un petit trou si sensible

Délicieusement sensible quand il s'agit d'avaler un rosebud et méchamment sensible quand Maîtresse N. a décidé de me violer au gode ceinture ou au plug gonflable, heureusement pas si fréquent que cela. 

n°8. Une cage de chasteté peut devenir une seconde maison

Le genre de contrainte que l'on s'est tous demandé un jour comme il est possible de la garder 24/24 et 7/7, et pourtant fatalement on le fait. Si bien que maintenant je me sans nu quand j'en ressors...

n°9. Votre femme si douce peut devenir une Maîtresse exigente

Vous ignoriez qu'elle recelait tant de talents cachés. Et pourtant le résultat est là : la voilà fouetteuse cinglante, tourmentrice de votre service trois pièces ou taquineuse d'espoir de libération, Bien sûr elle vous dira d'abord qu'elle le fait pour vous faire plaisir. Mais bien vite vous constaterez qu'elle en tire un intense plaisir dans l'entrejambe...

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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