Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 06:48

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C'est cela d'être trop curieux : on sait à l'avance à quelle sauce aigre on va être mangé...

Bon d'abord il faut tout préparer et prendre ce foutu rosebud. En plus pas possible de le trouver. Juste l'autre plus petit qui prend moins le cul, mais à une couronne de fleur de métal qui rentre dans les chairs du sillon et fait douiller. Non il fallait que je trouve l'autre aux bords plus arrondis.

Entre temps, j'apprends que mes slips sont supprimés et que je n'ai droit en tout et pour tout qu'à un string à dentelle qui rentre dans le cul ("comme cela il maintiendra ton plug en place") comme unique sous-vêtement pour 3 jours (!). Le seul point positif, est que je dois prendre l'avion, donc plus de cage. J'en profite pour refaire un coup de propre sous la douche avec le rasoir rose...

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En fait là où Maîtresse se trompe c'est que ce n'est pas une formation mais un séminaire, assez classe dans un 4 étoiles déserté en ces temps hirvernaux par les touristes et le premier diner commence par un cocktail dans le lobby. En tout cas, ce que je suis quasiment sûr, c'est que sur la centaine de personnes invitées, je dois être le seul dans ma (très grande) chambre à me tâter (au sens figuré bien sûr), si j'obéis ou pas et m'enfile le rosebud.

Finalement je me décide à obéir. Un peu de crème et pan dans la lune sans trop de dégats. Le plug est neutre au départ, bien que froid. Me mettre en string de dentelle m'amuse et m'excite. J'envoie la photo à Maîtresse qui apprécie...

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Bon je suis prêt, le cul pris et je quitte le refuge de la chambre pour prendre l'ascenseur. J'ai une conscience aigüe de la boule de métal dans mon rectum, ni agréable, ni désagréable. J'arrive dans le lobby : il est plein de monde. Et en plus j'en connais pas mal qui viennent discuter en ignorant totalement que j'ai le cul pris au même moment sur l'ordre de Maîtresse N.

J'essaye de me détendre et de m'intéresser aux conversations. Mais ce que je ressens, c'est un machin qui me travaille le cul de plus en plus difficilemet au fil des minutes. Impossible de me détacher de ce rosebud. Je le sens de plus en plus à vif, qui me travaille le tréfond, tandis que l'on me parle naturellement. Mais moi je ne suis pas naturel : j'ai le cul pris sous ordre de Madame. Je commence à suer, mal à l'aise...

Une demi-heure déjà. Il est l'heure de passer à table et pour moi d'être courageux ou non. Une fois à table... J'ai été couard et je me suis éclipsé pour me dépénétrer le cul, honteux de ma non résistance et de mon échec. C'est vrai que dans ces conditions, c'est plus difficile que face à des parfaits inconnus. Mais totalement piteux, le dyonisos, sur l'affaire !

Donc j'ai désobéi.

dyonisos

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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 10:45

Loin des yeux de Maîtresse N. en ce début de semaine, j'ai pris quelques stupides libertés. Bien sûr je suis passé aux aveux immédiatement, mais Maîtresse N. n'a pas réagit. Pas non plus à mon retour à la maison...J'ai quand même rempli la partie fautive d'un avis de discipline, comme le veut notre "règle" de jeu, remis à Maîtresse N. Aucune réaction.

Sauf que ce matin, quand je me suis levé après le départ de ma Dame, l'avis rempli m'attendait sur le frigo. Aie ! Rattrapé !

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Le week-end ne va pas être facile à être restreint et appréhender la "convocation" du lundi matin. Je sais maintenant que Maîtresse N. n'a plusla main légère.

Pour l'instant, je me suis dépêché à me remettre sous cage avec le zizi empalé, un brin inquiet pour les nuits à venir ainsi équipé, qui s'étaient révélées comme cauchemardesques, la dernière fois.

Pour tout vous dire, je craignais ce retour du plug dans la cage. Nous en avons discuté, il y a quelques jours avec N. Pour c'est définitivement, une version punitive de la cage, beaucoup plus délicate à supporter, surtout dans l'esprit qui se dit en permanence que le zizi est empalé. Quelque chose d'anormal, qui rend le sujet soumis à ce traitement, pleinement conscient de son appartenance à autrui et humilié d'être traité ainsi.

Mais bon c'est la règle du jeu, à partir du moment où le jeu a commencé. Et notre jeu nous mène de plus en plus à une Maîtresse prenant le jeu à sa charge et un dyonisos balloté entre Carybe et Scylla. Et j'avoue que ces évolutions ne sont pas pour me déplaire.

dyonisos

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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 06:47

Le lendemain de cette scène dominicale, bis répétita a priori. Le peuple revient de son air enfumé et trouve sa Reine dans le plus simple appareil lascivement étendue sur le lit dans la douce lumière matinale. "Et mince" pense le peuple qui sur l'heure n'a pas trop envie de redescendre dans le sous-sol étouffant. C'est un de ces jours où il est pesant pour le peuple d'être sous la coupe Royale...

La Reine s'éclipse dans le lieu d'aisance tandis que le peuple coincé se déshabille à contre-coeur pour l'hommage à rendre (sa Majesté tient particuilièrement à ce que les hommages lui soient rendus peuple nu...) Quand il s'aperçoit, un peu à sa grande honte, d'avoir douté : la Reine a, en ce matin, le désir d'un hommage plus aérien que cela...

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Le peuple est libéré pour servir de phallus d'eunuque pour le plaisir de la Reine et de la façon exacte où elle le désire. Le peuple a une belle érection libérée. D'abord en missionnaire rapidement écourté par Royal décision pour la position préférée de sa Majesté, celle où elle feind la chienne. Que volupté est-ce tout cela pour le peuple, qui n'a néanmoins pas le droit de se laisser aller, clairement interdit par sa Majeste, du moins pour le moment. Le peuple pourfend les chairs et fait monter la température de la chambre de quelques degrés. La Reine est aux anges, avant même que les anges accueillent son puissant contentement...

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Volant sur vent d'Amour, la Reine est apaisée de son contentement obtenu du vit de son peuple. Elle roucoule révolutionnairement avec son peuple et l'autorise même - oh joie ! - à le laisser couler lui aussi d'une vigoureuse branlée à ses côtés, conduite cependant du bout de ses ongles planté dans ses têtons de son peuple, une Reine reste Reine. Le peuple exulte enfin de s'être tant retenu !

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Le peuple croyait le Royaume éteint, et se baladait libre de contraintes, au retour au Château. La Reine finit s'en apercevoir, la nuits  de retour, le vit mou se balandant au dehors des couettes. Elle le réveilla (!) pour le réprimander et lui faire remettre la queue basse, le fer à castrer, au plus tôt...

Non le Royaume n'était pas éteint ! Loin s'en faut : la Reine le tient fermement en place.

dyonisos

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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 06:14

Nous avions laissé le bas peuple en facheuse posture face au courroux à suivre de la Reine. Sa Majesté prend vicieusement son temps et laisse l'angoisse populaire monter, car dans ces régimes autoritaires, le peuple en sort rarement sans égratignure. La Reine d'ailleurs qui s'était mise très à l'aise en ne gardant que le pigeonnant pour opérer.

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Le peuple qui est loin d'être un peuple inculte, se doutait des Royales intentions quand sa Majesté à faire rajouter dans ses malles, ce "prolongement naturel de son bras". Il tenait jusqu'à présent le paddle préféré de sa Majesté comme un accessoire peu cuisant d'échauffement. La Reine a montré que son peuple était dans le faux avec 3 terribles coups secs et cuisants sur les derrière populaire. "Putois, qu'est-que cela fait mal !" n'a que eu le temps de penser le peuple, alors que les coups suivantsarrivaient, encore plus fort que les précédents. Heureusement que le peuple était baîllonné ou il aurait alerté toute l'auberge, d'autant que le cuir fait un clac d'enfer arrivé sur la peau.

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La Reine apprécie de plus en plus les belles marques laissées par ses Royaux instruments sur la peau, mais n'était pas contente sur l'instant que le cul populaire soit trop grassouillet pour y laisser de belles marques. Elle s'intéressa donc à la fragile peau des épaules. D'abord une puis, mécontente, de toute ses forces l'autre, cruellement. Le peuple en eut le souffle coupé et l'application très désagréable.

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Petite pause pour peindre le tableau de la marque et la Reine était prête à administrer de nouveau son traitement, encore courroucée par son peuple en faute, quand elle s'arrêta aux bruits de matelas que les servantes battaient dans la chambre d'à côté. Le peuple cru que cela mettrait fin à la cinglée, mais oh que non, cela amusa tellement la Reine qui elle aussi se mit à répondre et battre en cadence et bruyamment son peuple, en des coups redoublés à la jointure des fesses et des cuisses, douloureusement cuisants. Le manège recommença plusieurs fois, avant que la Reine s'aperçut que son peuple respirait lourdement et mettait plus de temps à revenir en position. Le signe indéniable que le peuple commence à comprendre la Royale irritation et qu'il lui voudrait mieux maintenant de faire obligeance.

La Reine demanda donc si son peuple était à nouveau maté et avait compris la Royale exigence. Le peuple, fier comme Artaban, résista encore un peu mais se vit reprocher sa résistance de quelques coups supplémentaires et cuisants, qui finirent par mettre sa volonté à genoux.

Le bas peuple se vit donc remis à l'ouvrage de sa langue entre les Royales cuisses fortement inondées. Et croyez votre serviteur, la Reine obtint cette fois de sa poigne directrice, le panache dans son esprit qu'elle recherchait depuis son réveil ! Fusse-t-il en coûter des crampes à la langue du bas peuple et un goût sauvage pour la matinée.

La morale de cette histoire est double.

Il eut d'abord cette même servante qui croisa interrogative le regard de la Reine à sa sortie de la chambre, au grand amusement encore mouillé de sa Majesté. La Reine fait maintenant sans se soucier de l'environnement. S'en amuse même. Douloureuse perspective...

Il eut aussi cette Royale revendication, énoncée à table devant les Seigneurs locaux, que la Reine avait du sévir sévérement le matin suite à la mauvaise volonté de son peuple, et que c'est pour cela qu'il se trémoussait le cul sur le banquette. Et là le peuple aurait voulu disparaitre sous terre. Si maintenant la Reine revendique sa Royauté absolue publiquement...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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