Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 05:35

Après un bon repas dans un délicieux restaurant aux saveurs d'automne, nous voilà à découvrir un château ruiné et inconnu. LEs vieilles pierres n'intéressent personne c'est bien connu, donc le lieu est désert en ce milieu d'après midi. Et les châteaux déserts cela donne des envies... Une sorte de tradition du couple respectée et un lieu de plus à notre collection après les dolmens, ruines et autre.

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Humm... déliciieux !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 05:34

Je crois qu'arrivé à ce point du récit du Royaume à l'heure indienne, il faut quitter la forme du récit, le conte, et revenir au ressenti premier d'un homme qui va se faire fouetter par son Amour. Car de l'Amour il y en beaucoup entre nous pour pratiquer ce genre d'échange, disons très cinglant.

Il faut une double disposition complice. L'une à faire volontairement mal à l'être aimé. L'autre à accepter d'avoir mal. Car j'ai appris avec le temps à adorer cette sensation aigue du fouet ou de la canne sur mon corps. Cela doit être quelque part du masochisme mais sans sadisme de la part de ma maginifque N. Mais il n'en reste pas moins que les fouettées ou "raclées", comme dit N., fonctionnent toujours un peu de la même façon. Je les fantasme avant, je les crains sur l'instant, et j'en suis totalement ébloui et fier après.  Elles m'envoient loin à chaque fois.

J'étais en effet à ce moment nu, baillonné et attaché à une solide branche d'un arbre au coeur de la forêt. Et je n'en menais pas large du tout, loin de là. Maîtresse N. attendait derrière me laissant angoisser le moment où elle débuterait vraiment. C'est sa façon à elle de faire maintenant avec l'expérience pour me laisser pleinement  appréhender la suite. Je pensais que sur ce cas la frontière était floue entre le jeu et notre réalité vraie. Elle l'était. Et je me rend compte oh combien que je n'est pas été un vaillant amant ces dernier temps. Quelque part je trouvais juste, que je sois puni pour cela...

L'attente est toujours un moment très spécial, un "entre deux", que j'apprécie de plus en plus, enfermé dans mon esprit. Puis la canne est venue frapper sans que je détecte à quel moment elle le ferait. Le premier coup est toujours très spécial, souvent donné avec force par Maîtresse N. Cela met fin à la rêverie pour revenir à la réalité : la canne ou le fouet, bien maniés, cela fait mal, très mal même. J'abdique toute dignité me trémoussant ridiculement et criant dans mon bâillon que je trouve si utile pour m'y accrocher.

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Je ne sais pas combien de coups de cannes j'ai reçus. De toute façon, Maîtresse N. a une manière de les infliger qui me surprend totalement à chaque fois. Je ne sais pas mais je m'attends à les recevoir un par un, espacés à craindre le suivant, sans doute un peu à la façon dont c'est souvent montré dans les vidéos thématiques. Maîtresse N. n'agit pas comme cela. Elle sert des rafales qui ne semblent n'avoir aucune fin et plie toute volonté de vouloir garder un semblant de contrôle. C'est très efficace pour me "mater" rapidement et affirmer qui tient le manche. Je pense que je passe même en apnée pendant ce temps là, le cerveau en vrac ressentant primitivement la douleur des coups sans pouvoir avoir une pensée cohérente. La raclée est aussi un moment de reddition de mon esprit fort, là où Madame gagne et jubile d'enfin gagner. Je ne souhaite alors qu'une chose : que cela s'arrête, que cela s'arrête enfin, me débattant comme je peux et jouant une gigue de mes pieds.

C'est là que l'expérience que nous pouvons avoir, parle. Au début, Maîtresse N. aurait arrêté tôt de me frapper. J'étais déçu et je lui reprochait quelque part. Maintenant elle est seule juge de mon état et de ma capacité à encaisser encore. La seule limite est l'état de ma peau et mon état général, mes réactions sous l'instrument. Cela va donc maintenant loin dans l'échange mais il a fallu du temps pour en arriver là, moi pour céder et N. pour poursuivre. Cela permet des échanges très cuisants qui amène loin dans son subconscient. Maîtresse N. dit que ce n'est pas plus excitant que cela de fouetter son homme. Avant oui et après oui. Mais sur le moment, elle est concentrée à bien faire en Maîtresse avisée qu'elle est devenue avec l'expérience.

Sur cette cinglée là, au fond des bois, Maîtresse N. m'a "servi" la canne en une seule longue série, longue pour celui qui l'a vit mais une cinglée qui n'a pas du durer plus de 5 - intermidables - minutes au total. Elle m'a ensuite annoncé qu'elle délaissait la canne pour passer au fouet.

C'est pour moi l'arme "Royale" que je fantasme et que je crains à la fois. C'est un instrument assez difficile à efficacement manier qui demande beaucoup d'apprentissage de celle qui le manie et cet apprentissage se fait à chaque séance, sur sujet réel. Notre fouet est en cuir de 1m30 de long sans mêche au bout (trop dangereux, cela peut éclater la peau). Quand le fouet cingle la peau, la douleur est très intense et parfaitement localisée à l'endroit ou le cuir est tombé. C'est une douleur que je dirais très sèche qui me fait me tordre dans mes liens et hurler dans mon baîllon.

Maîtresse N. depuis quelque temps, a rajouté un facteur d'appréhension supplémentaire. Elle fait siffler le fouet dans l'air sans que je sache si le fouet va porter sur ma peau ou non. C'est terrifiant et très fort à vivre. Le fouet a aussi une différence avec la canne qu'il est impossible à savoir avec la position que l'on devine de sa fouetteuse, où il va porter. Cela rajoute à l'inquiétude et l'appréhension.

On parle de travailler le corps au fouet. Je pense que l'image est bonne. Une cinglée, c'est quelque chose de construit, qui a un début, un coeur de fouettée avec le rythme et l'intention et une fin que le fouetté ignore, ce qui déstabilise. Quand Maîtresse N. juge que c'est assez, elle s'arrête et me demande si j'en ai assez ou si j'en veux encore. Souvent je fais mon fier et j'en redemande, ce que je regrette après. Il arrive toujours le même petit jeu très humiliant, où Maîtresse N. feint de ne pas me comprendre, ce qui aboutit toujours à ce que je repousse de la langue le baîllon pour essayer ridiculement de me faire comprendre. Maîtresse N. continue de feindre de ne pas comprendre et je recommence et je recommence encore à essayer de me faire comprendre. Très humiliant.

 

Là sur cette fouettée, j'avais déjà le corps en feu mais je n'ai pas céder au début. Maîtresse N. seule juge de mon été a donc repris plus doucement par ce qui semblait une de ces dispositions que j'adore : quand Maîtresse N. me cingle à la canne le cul, tout en me tenant au sens propre par les couilles. Ne cherchez pas à comprendre, c'est comme cela, j'aime être traité comme cela. Mais là, Maîtresse N. m'a surpris par une innovation improvisée, une de ces inspirations sublimes dont elle a le génie. Au lieu de me tenir par les couilles, elle a commencé à me branler par une main alors que l'autre me battait le derrière de la canne. Parfois elle venait me mordre en plus. A ce traitement, je suis vite devenu dur désireux cracher dans le plaisir mon sperme. L'avantage ou l'inconvénient est que je tiens longtemps avant de partir et Maîtresse N. en joue. J'étais donc branlé, mordu et canné en même temps. La boule de plaisir montait dans mon ventre et je ne voulais plus que tout partir. Mais Maîtresse N. a perversement tout arrêté avant la fin me laissant dans ma frustration.

Une fois détaché, la marque des menottes était profondément ancrée sur ma peau, ce qui m'a surpris et est le meilleur indice des convulsions qui m'ont pris.

En tout cas, merci à ma N. pour ce merveilleux moment dans les bois, qui faisait partie de mes envies noires. Nous avions déjà essayé de le faire au printemps sans réussir à trouver un bois "fréquentable" pour notre activité. Là c'était très réussi et si cuisant.

Je t'aime !

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 05:55

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ans le Royaume de Dyonisie, la Reine ne fait pas les basses besognes. Il en est ainsi des fers à main que sa Majesté a prévu pour rendre son peuple totalement à la merci de ses Royales actions. La Reine entend que le peuple s'enchaîne lui même. Elle trouve que cela a un côté édifiant pour son peuple de participer activement à sa punition. Et sa Majesté n'est pas attaché aux symboles. Elle est très pragmatique. Qu'importe qui fait, le principal est d'obtenir le résultat désiré, c'est à dire, en l'espèce un peuple nu et sans défense, "offert" à son Royal courroux.

Le peuple donc n'a pas d'autre choix que de se passer les fers aux poignets. D'abord une seule main avant de se diriger vers la branche désignée pour finir de s'immobiliser lui-même pour le compte de sa Majesté. Il s'apprête donc à s'immobiliser la seconde main en position requise. Quand la Reine l'arrête :

- Attends elle est où la clé des menottes ?

- C'est vous qui l'avez, Majesté...

- Justement non. Je pensais que c'est toi qui l'avait...

La mine déconfite du peuple doit être plaisante à voir mains en fait navrante, les dites menottes attachées à son poignet gauche. Il croit à une mauvaise blague de sa Reine, mais que nenni : il apparait que la clé est bien disparue. Un drôle de sanglier humain se met à remuer les feuilles sur le trajet fait à la recherche de la foutue clé : en vain ! Autant retrouver une aiguille dans une meule de foin... Le peuple maintenant très embêté regarde s'il peut détacher d'une manière ou d'une autre la menotte verrouillée, mais il n'obtient que de la serrer encore plus. Là il panique vraiment. Il s'intèresse à un moment à l'autre menotte encore libre (heureusement !) essayant de comprendre son mécanisme, mais le stress l'empêche d'y voir clair. La Reine propose divers objets pour déverrouiller le cliquet, mais rien ne marche : il faut cette foutue clé perdue ! Là le peuple ne rit plus du tout, ne sachant que faire. Ni la Reine d'ailleurs. Ils décident finalement de revenir vers le carosse en désespoir de cause et le peuple craint que le retour soit long très ,long même. Et il n'a aucune idée de où peut-être l'autre clé, ni la Reine d'ailleurs.

C'est cela le problème dans les Royautés, qu'à jouer à des jeux dangereux, on finit pas se faire prendre et échouer lamentablement au fond d'une forêt en idiots. L'air est glacial, les bruits menaçants : il est temps de revenir à la civilisation et d'effacer ce cauchemard. Moroses, la Reine et son peuple se décident à bouger...

La Reine trouve miraculeusment la clé, brillante sous le soleil couchant, ayant sauté à 1 mètre de là !

 

GLOIRE A LA REINE !


Le soulagement fait immédiatement place à l'inquiétude, quand le peuple comprends que les péripéties n'ont en rien changer à la Royale volonté qui en revient à son intention première.

- Allez en place, peuple, attaché à l'arbre !

Là la Reine agit elle-même pour être sûre de garder sous surveillance la précieuse clé (quand sa Majesté veut...). Le peuple est de nouveau baîllonné et laissé face à l'appréhension de la suite. C'est fou comme l'humeur du peuple peut changer en quelques instants.

Le crime est annoncé. Il est reproché au peuple "de bander mou" depuis quelques temps et de ne "point satisfaire convenablement sa Reine". Il est rajouté la responsabilité de la perte de la clé. Tout cela vaut une "raclée" applicable sur le champ.

La Reine, qui est maintenant une Reine très expérimentée et qui connait son sujet, laisse un moment à son peuple pour réfléchir à son inconséquence et donc à la justesse de la justice Royale. C'est un de ces moments où la limite entre jeu du Royaume et réalité devient très floue...

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 07:40

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e carosse de la Reine avance maintenant de bonne allure sur les routes de la contrée Françoise, aidé par l'allègement des pages resté au Comté de Grande Parentie. Sa Majesté est enjouée en cette chaude journée d'arrière saison. Elle vient d'imposer à son peuple la visite d'un chateau plein de diaboliques merveilles : tipi de strass pour un été indien, ambigüe image de drag queen vénérant le pied d'un homme, machine à cri primal. Et tant d'autres choses encore. La Reine y était si bien à échanger avec les servants de cet énigmatique château, pendant que son bas peuple errait de salle en salle, que les heures ont défilé.

Le soleil décline déjà. Les ombres des arbres de la forêt que traverse le carosse s'allongent indéfiniment au devant. Cela sera bientôt l'heure entre chiens et loups...

- Prends le chemin à droite, peuple.

Le peuple sort de ses rêveries de peuple pour se dépêcher d'obéir à la Royale volonté. Le chemin est étroit et s'enfonce en serpentant entre les arbres. D'intersection en intersection, l'attelage arrive finalement dans un cul de sac au bout d'un chemin tout juste carrosable. La Reine rabroue son peuple qui ne fait pas assez attention à la préservation de l'état de son carrosse avec les pierres du chemin, puis encore parce qu'il n'a pas " penser à camoufler " l'attelage derrière un gros buisson de houx. La Reine y tient particulièrement poir avoir la paix d'agir. L'ambiance est aussi sombre que les bois qui encerclent le bas peuple. La Reine a l'oeil pétillant de noire excitation quand elle jauge l'alentour.

- Humm, Parfait. Nous sommes bien. 

Le soleil déclinant qui éclaire encore la trouée, disparait vite sous le couvert des arbres. Les sons de la forêt sont plein d'inconnus et donc de menaces. Le peuple n'est pas du tout rassuré, d'autant moins quand la Reine manisfestement amusée de la situation, ordonne à son peuple de se dévêtir sur le champs d'un simple "Awalpe" aussi cinglant qu'un coup de canne.

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C'est donc un peuple qui se retrouve dans une mauvaise posture, nu et vulnérable dans la forêt, collier au cou et baîllon en bouche, dans un étrange état d'inquiètude et de veule excitation naissante. L'heure est à la Royauté absolue, absolument. La Reine pose une laisse pour guider son peuple et l'empêcher de se dérober à sa Royale oeuvre. Elle se dirige d'autorité vers le sous-bois tirant un peuple maintenant craintif.

Un Royal et urgent soulagement procure un dernier et bref répit au peuple mis en attente de la Royale disponibilité ...

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Il est temps maintenant de rentrer dans l'obscurité de la forêt et des esprits. La Reine plus Royale que jamais, y traîne, amusée, Son bas-peuple à Elle, d'arbre en arbre, de buisson en buisson, prenant un malin plaisir à lui faire franchir d'épineuses tortilles. Sa Royale Majesté prend le temps de choisir l'arbre, Son arbre. Elle le veut majestueux pour qu'il rende bien sur les tableaux. Elle le veut adapté aussi à l'usage qu'elle compte en faire, avec suffisament de place au-devant. Le peuple tiré derrière balise de plus en plus alors que sa Reine l'entrâine de plus en plus profondément dans l'obscurité des bois. Finalement un arbre sie au Royal désir. Il est parfait pour sa Majesté, après qu'elle en est retirée quelques branches mortes gênantes. Cela sera donc là où sa Royale justice s'accomplira, sans que le Peuple est encore conscience du crime qu'il doit payer...

 

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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