Saison 9

Dimanche 1 novembre 2015 7 01 /11 /Nov /2015 09:35

... à la mode Maîtresse N.

Assurez vous d'abord de bien l'assécher... d'une main ferme. Evidemment tout ce qui est sorti, doit être recyclé...

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Puis disciplinez-le... s'il aime cela pas de problème : il finira par ne plus aimer... après 50 coups si nécessaire...

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enfin il est temps de parachever votre oeuvre : clic-clac plus de zizi, la couche pour ne plus devoir vous en préoccuper, un grenouillère canarie pour le plaisir des yeux, et il peut être mis en réserve pour la nuit !

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Le lendemain vous le retrouverez bien soumis et obéissant. Un peu de nectar doré abrupt du matin pour le réveiller et c'est parti ! Quel bonheur de le faire trimer dans sa grenouillère en sueur... Mais vous devez rester attentive à ce qu'il ne sorte pas de votre emprise... Quelques coups de cravache bien placés, l'aident à rester en droite ligne. Vous pouvez aussi lui rappeler son statut, la "tête en boite".

Après tout est possible... lui faire accepter dans son urètre les tailles des sondes qu'il refusait... lui prendre son petit trou jusqu'à ce qu'il geint son plaisir... et jouir et jouir encore de sa langue, de ses doigts, de ces godes qu'il voit rentrer dans votre intimité alors qu'il reste le zizi désespérement coincé dans sa cage.

dyonisos (sur ordre de Madame)

Par dyonisos - Publié dans : Saison 9
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Dimanche 23 août 2015 7 23 /08 /Août /2015 18:51

Je suis ravi de l'incompréhension de N. ("tu es aussi souple qu'une planche à repasser, alors c'est pas possible...").

Moi je profite de ma liberté pour aller pisser en homme libre dans l'herbe. Je me sers habilement de mes mains menottées un digestif de récompense. Je suis aux anges... Madame finit par revenir aux affaires...

- Oui j'ai enfin compris, tu as fait glisser la barre...

Je crois surtout qu'elle a vu... 

Mais le bonheur a une fin : Maîtresse décide de reprendre la main. Me voilà ramené de force à l'interieur...

- C'est que je n'en pas fini avec toi...nous avions dis 17 coups plus 10 que tu as gagné pour t'être TOUCHER SANS PERMISSION ! Soit un total de 27 !

Je me sens si penaud maintenant. Heureusement elle ne rajoute rien pour mon escapade... Je me dis que cela va être le fouet, cela ne peut être que le fouet, le seul "instrument" apte à me faire rendre rapidement raison... cela va être dur à vivre...

Mais encore une fois, Maîtresse N. me surprend totalement.

- Je sais comment il faut traiter les petits garçons comme toi : tu vas venir sur mes genoux te prendre une bonne fessée !

Je la regarde incrédule. Mais elle tout à fait sérieuse. Elle a pris un paddle et déjà elle s'assoit dans MON fauteuil... Comment elle pourrait supporter le poids d'un éléphant ?

- Allez hop, en place !

J'hésite mais j'obéis. Je place mon poids au maximum sur les accoudoirs et mes fesses à sa hauteur. La position est accrobatique mais plus que tout, elle est très humiliante : être puni de cette manière à mon âge ! 

Sa bras m'entoure le haut du corps d'un geste dominant. Le paddle en cuir décuple la force de sa main, sans atteindre des sommets mais suffisamment que je ressente bien chaque coup et que cela me fasse bouger du popotin. Maîtresse compte les 27 coups un à un, qui rebondissent dans mon esprit comme autant d'humiliations.

Finalement elle me rejette, me fait remercier sa main avant de m'envoyer entre ses cuisses éteindre l'humidité née. Maîtresse est fatiguée. Elle n'arrive pas à partir. Je le suis aussi.

Et pourtant Maîtresse n'abandonne pas... en me servant un "final" apte à terrifier tout mari soumis, même par jeu.

- Je ne sais pas comment je vais te gèrer... Je pourrais te mettre dans ta grenouillère et te faire coucher dans MON lit. Mais je ne sais pas si tu le mérites... ou même si j'en ai envie... Au moins je pourrais contrôler que tu ne fasses pas des choses interdites derrière mon dos.

Aie !

- J'ai pensé à t'envoyer dormir sous l'escalier.

Dans le réduit sous l'escalier ?!?    

- Mais comment pourrais-je y dormir ? C'est trop petit !

- En chien de fusil évidemment !

Dans le froid toute une nuit ?  Mais le pire, c'est que Maîtresse a l'air toute à fait sérieuse. Elle l'envisage vraiment !

- Mais je crains que tu ne sois pas assez perséverant ou obéissant et que je retrouve le matin à dormir sur le canapé. Et va-t-en savoir si tu n'auras pas fait des cochonneries au coeur de la nuit !

C'est plus que probable (pour le canapé). Le reste je ne sais pas... 

- Alors il ne me reste qu'une solution : te renvoyer dans ton couloir favori, cette fois en passant la chaîne directement dans l'anneau de la barre et bien sûr en te menottant les mains de telle façon que tu ne puisses pas te toucher !

Maîtresse jubile ! Pour moi, c'est : Alerte Rouge !! Il faut que trouve vite une contreproposition pour sortir de ce mauvais pas !

- Et si... et si je donnais à la place une garantie ? Celle que je pourrais pas me masturber en portant ma cage ?

- Ah oui ? Je n'y avais pas pensé à celle-là... humm... pourquoi pas ?

Je cours chercher ma cage et l'enfile avant de me présenter devant ma Maîtresse... Mais j'ai comme un doute...

- Et si vous m'envoyez quand même passez la nuit dans le couloir ?

- C'est effectivement un risque...

Aie !

- Autre point : je ne suis pas du tout à porter la cage en ce moment. Vous n'allez pas m'y maintenir des semaines ? J'en ai pas vraiment envie...

- Ce n'est pas ton envie qui compte mais celle de ta Maîtresse. Allez assez parlé...

Et elle m'enferme le zizi dans la cage. Je la vois avec inquiétude rajouter la clé au trousseau de ses autres possessions, ce qu'elle fait quand elle veut me laisser enfermer des semaines...  Le trousseau disparait au fond de sa poche. Je crains à cet instant mettre fait avoir sur toute la ligne. 

- Allez au lit maintenant le dyonisos...

Elle laisse sa phrase en suspend un moment d'angoisse pour moi...

-... dans notre lit !

Ouf ! Maîtresse je vous adore !

- Je finis mon épisode et je te rejoins.

La nuit n'est pas facile en cage surtout à cause de coupures sans doute faîtes lors du rasage d'il y a quelques jours. Les érections aussi qui me font lever tôt. Oh que la vie d'encagé n'est pas facile...

Sauf que... sur la table du salon, la fameux trousseau a été laissé à mon intention ! Avec la clé !

Que grace soit rendu à ma N. !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 9
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Vendredi 21 août 2015 5 21 /08 /Août /2015 09:26

Il y a une constance dans cette soirée : je reste à 4 pattes et aveuglé, là dans le salon aux pieds de ma Maîtresse.

Point de gamelle du fauve, Maîtresse N. a décidé que nous allions jouer à un nouveau petit jeu...

- Cela s'appelle : devine ce que je donne à manger à MON dyonisos. A chaque mauvaise réponse, tu gagnes un coup et la chance d'en redonner une autre. Nous ne passerons à la dégustation suivante que quand tu auras trouvé la précédente... 

Le jeu est intéressant, mais aie ! J'ai peur de ne pas être du tout à la hauteur, voir même d'être eu et dégouté, tant il est vrai que Maîtresse a l'avantage de vivre avec ce qui lui sert pour le moment de chose, depuis des années, et donc de connaître ses goûts et dégoûts.

Ne rien voir est aussi un handicap déstabilisant qui me livre, désarmé, à ma Maîtresse. Il me faut donc une sacrée dose de courage pour me laisser aller et obéir docilement. Heureusement Maîtresse N. est très directive et me maintient étroitement sous sa coupe.

- Ouvre la bouche !

J'ouvre et je me vois mettre dans le palais un premier "machin"...

- Ferme la bouche !

Je referme sur la chose inconnue, peut être immonde, les papilles déjà en alerte...

- Mâche !

Le goût du premier machin m'est connu. Je sais... un radis !

- Beep, mauvaise réponse. 1 coup !

Comment cela, mauvaise réponse ?!? ...  oui que je suis con, c'est évidememnt une carotte !

- Oui. Mais tu aurais pu trouver tout de suite, allez au suivant...

Et des suivants, il y en a beaucoup. Je tremble à chaque nouvelle intromission toujours avec le même rituel. Je compense mon peu de connaissance gustative, par une attention aigüe au temps de préparation entre "mets", l'appel à ma mémoire de ce que N. a pu probablement acheter et l'analyse des maigres indices...

Mais je me trompe si souvent... Les réponses doivent être précises et complètes. Je me fais avoir sur le toast, passé du pain de mie au blinis. Je suis bon sur le tarama mais j'hésite longuement sur ce machin au wasabi. Ma bouche s'ouvre, ma bouche se ferme. Et mon compteur d'erreur s'aggrave : 17 au total quand j'ai fini la première partie de mon "repas"...

- Passons au plat de résistance...

Je suis autorisé à quitter ma position à 4 pattes pour être sur mes genoux, "tes fesses contre tes talons". Le bandeau m'est laissé. La position m'est inconfortable : je décide de désobéir un peu et pose finalement mon popotin sur le sol. Maîtresse N. me laisse faire et se moque de ma "souplesse perdue, si du moins elle a été un jour là..."

- Tiens.

Une gamelle m'est tendue que je prends avec méfiance...

- Bien sûr aucun couvert : avec tes doigts seulement ! Et sois content, cela aurait pu être que ta bouche... 

Pas sûr que cela me rassure : cela sent le piège infâme. Je pars à la découverte  de ma gamelle du bout des doigts... C'est froid, gluant et visqueux. Aie ! Je prends tout mon courage pour avaler un premier morceau, cela sent la marée et me révulse immédiatement avec des hauts de coeur qui me gagnent...

- Mais qu'est-ce qu'il peut être con ! Allez enlève ton bâillon et regarde...

Je me dépêche de le faire.

- Oui un innocent tartare de saumon fumé. Aucun problème, tu aimes...

   

Mais qu'est-ce-qu'on peut avoir peur de son ombre !

Maîtresse N. me regarde tranquillement finir ma gamelle avant de me servir un grand verre d'eau que je bois avec plaisir. Je suis bien en soumis nu à ses pieds. Je passerais bien la soirée ainsi...

Mais mon bonheur est de courte durée. Je suis saisi par la rudesse de la décision qui tombe...

- Tu ne crois quand même pas que tu vas rester ainsi. Tu es là pour en chier. A 4 pattes, dyonisos !

Je suis de nouveau aveuglé et tiré, plus qu'emmené, vers le couloir et "ma" barre. Je n'ai rien vu venir et je suis pris à froid. En un tour de main experte, je suis enchainé, cette fois les menottes prises sur mes deux poignets, le tout bien cadenassé pour ne laisser aucun espoir de s'échapper... Et en plus, Maîtresse rajoute une couche de torture psychologique avant de me quitter !

- Tu vas m'attendre là pendant que je regarde les derniers épisodes de ma série...

Aie ! Un épisode c'est 40 minutes, deux 1h20, trois ? Je ne suis pas sûr de pouvoir tenir... une vague de désespoir me submerge. Je me sens terriblement sous la coupe de ma Dame version dominante, sans peur et sans pitié.

La maison est désespérémment silencieuse. Je n'entends pas la télévision, je n'ai aucun repère du temps qui passe. Et déjà dès les premières minutes, je trouve l'attente trop longue. Oui dominé, complètement dominé.

Je tente le coup d'oeil hors du bandeau. Maîtresse a laissé la porte du couloir ouverte. Le jour est entre chien et loup. Je n'arrive pas à lire l'heure sur la pendule en travers. Je remets le bandeau avant de recommencer ce qu'il me semble être un moment suffisamment long plus tard : rien n'a changé ! Putain, cela va être comme une nuit d'insomnie... Longue et chiante.

J'ai déjà froid et le silence me pèse alors je commence à chanter et à danser sous ma barre. Au moins je fais quelque chose... Une chanson puis une autre et encore une autre. J'ai de nouveau chaud mais un nouveau problème arrive : une envie de pisser qui monte. Dans la vie normale, cela serait rien, mais là cela devient un BIG problème ! Et si je n'arrivais pas à tenir, jusqu'à son retour ? Et si je pissais là directement sur le carrelage ? Cela m'obnubile tant...

Alors je chante et danse, encore et encore. Pour oublier l'attente, pour oublier la vessie, pour oublier l'ennui... coincé dans mon couloir.

Et à un moment une chose inattendue se produit !

Un crac et mes mains qui descendent de quelques centimètres... J'arrête étonné de danser et de chanter... Que c'est-il passé ?

Et là je comprends : je viens de faire glisser la barre hors de ses supports à force d'avoir bougé dessous.

MIRACLE !!!!!

Me voilà libre pour échapper à mon réduit. Mais je garde mes mains menottées emportant ridiculement dans mes paumes une grande longueur de chaines maintenant inutiles. Je me dépêché d'aller taquiner ma Dame...

- Mais ??? Que ??? qu'est-ce que tu fais-là toi ???

Je regarde l'avancée de sa série. C'est la fin de l'épisode. Donc cela faisait quasiment une heure que j'étais enfermé...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Saison 9
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


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