Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 21:57

Je me réveille seul dans la chambre comme la veille. Ma laisse a été symboliquement nouée autour du montant du lit et j’ai été débarrassé du gode ceinture, posé maintenant sur la commode. J’attends donc l’arrivée de Maîtresse qui ne tarde pas. Elle est en peignoir blanc.

- Bonjour. Bien dormi ?

J’évite de mal répondre et de ne pas tout de suite embrayer comme hier.

- Oui, Madame.

- Je te remercie pour les bienfaits de « ta » queue, cette nuit. Elle était très bonne… Enfin dure et longue à souhait.

Elle me sourit en me taquinant ainsi. Et je ne peux m’empêcher de rougir de honte à l’évocation des piètres performances de mon « vrai » petit pénis… Je me sens aussi mal à l’aise vis-à-vis de Claire de ce que j’ai fait même par procuration.

- Regarde ce que Maman a préparé pour son bébé…

Elle dévoile ses mains qu’elle cachait dans son dos : une couche et mon « biberon » du matin. Maîtresse commence fort et je dois m’humilier à me faire langer immédiatement sur le lit, les jambes en l’air comme un bébé. Elle me tartine un temps les fesses avec leurs « vilaines » marques de crème « réparatrice ».

- Tu as été à la grosse commission depuis que nous sommes arrivés ici ?

Je suis glacé de l’indécence de la question ! Comme un autre être humain peut demander cela ? J’ai beaucoup de mal à répondre.

- Non, Ma…dame. Je suis con…constipé de ce côté-là…

- C’est bien ce que je pensais, mais heureusement Maman Emilie a la solution…

Sous la forme non d’un mais de 4 suppositoires à la glycérine qu’elle m’enfile avec amusement dans le trou du cul, d’un « attention la fusée va arriver et… pan dans la lune ! ». La couche est ensuite soigneusement refermée et elle m’installe la tête contre ses seins pour me donner mon biberon De nectar de Maîtresse du matin. Toujours aussi humiliant à souhait… Heureusement chaud.

- Tu sais Pierre que Claire a raison, cela ne va très bien entre François et moi. Oh rien de définitif mais quelque chose qui tend peu à peu notre relation. J’aimerais que nous soyons arrivés à être devenu un couple plus tranquille et mature, avec des relations sexuelles calmes et de temps en temps, juste ce qu’il faut pour le plaisir de se retrouver au lit et cimenter notre amour. Cela m’irait très bien…

Je bénis d’être occupé par la tétine et de ne pas avoir besoin de relancer. Mais je suis toute ouïe…

- … mais François ne fonctionne pas comme cela. Il est un excellent mari que j’adore, un bon père attentif pour les enfants, mais, malgré tout cela, il continue, même en approchant la quarantaine d’avoir des besoins sexuels importants. Oh, ce n’est pas pathologique tant le sexe n’est pas triste chez lui et avec lui. Mais le fait est là : il un besoin irrépressible de jouir plusieurs fois par jour. Et très honnêtement, Pierre, j’ai de plus en plus de mal à suivre…

Je laisse le silence qui s’en suit, s’installer, n’osant même plus téter. Je comprends ce qui peut clocher dans cette situation et aussi combien un homme qui se laisse dompter et enfermer docilement le serpent dans une cage, peut-être exotique et fascinant pour Emilie…

- Cela toujours été comme cela… Au point même que j’ai dû lui concéder d’aller avec lui dans les clubs échangistes pour qu’il assouvisse son trop plein d’énergie sexuel. Je crois que c’était cela ou il aurait baisé dans mon dos. Peut-être même qu’il l’a fait parfois, un peu honteux, et en ne m’en parlant pas pour me préserver. Cela ne m’étonnerait pas… Finalement je préfère nettement savoir quand et avec qui il trempe sa queue en dehors de notre couple...

Qui le fasse avec ma Claire est sous-entendu mais follement réel. Cela devrait follement m’inquiéter, craindre que la relation sexuelle entre François et Claire soit plus qu’une passade d’un week-end… Mais à ma grande surprise, pas trop… J’en suis étonné…

- … Les 16cm de François sont toujours aussi bons à se prendre. Il ne s’économise jamais à pourfendre chatte et cul. Claire doit apprécier. Mais des fois, je voudrais qu’il soit plus doux, moins mâle et plus patient à m’offrir du plaisir … un peu comme tu sais y faire… que le cunni n’en soit pas réduit à un préliminaire vite expédié avant de se dépêcher de passer au plat de résistance… qu’il me fasse du bien avec ces doigts en douceur et ne me ramone plus le vagin en force… et il n’y arrive pas, malgré mes demandes et ses efforts. Finalement il faudrait que François soit double : amant patient et attentif un jour et amant viril un autre jour…

Cela finit de m’éclairer sur l’exotisme que peut me trouver Emilie. Et quelque part, cela me remplit d’une certaine fierté… Mais je n’ai pas le temps de profiter longtemps de cet état de bienfait, car j’ai un sujet d’inquiétude immédiat plus terre à terre, avec les suppositoires qui doivent avoir fini de fondre et dont les effets causent une montée de pression brusque dans mon rectum, au point que je dois « dégazer » en urgence !

- Ah, ah ! Cela fait son effet… Tant mieux ! La voie est ouverte. Mais on va les laisser encore un peu agir. Finis ton biberon pendant ce temps…

Le contenu du biberon a refroidi et j’ai beaucoup plus de mal à téter ce liquide froid et amer. Il faut bien m’y résoudre… Les suppos continuent leur effet de sape et je pétouille à ma grande honte plusieurs fois… Et puis je comprends comment j’ai été stupide : le dépucelage anal promis et les suppos dans le cul : tout est lié ! Et je me rappelle subitement le kit de lavement acheté hier… Maîtresse veut vider la place, et si la place doit être vidée, c’est que ce qui va m’envahir va aller très profond ! Mon ventre se noue instantanément alors que je finis le biberon.

Oui je l’avoue, j’ai toujours voulu que Claire me prenne au gode ceinture dès que j’ai su que je prenais plaisir d’avoir quelque chose dans le cul, mais elle ne l’a jamais accepté. Le gode ceinture est une chose pour moi que tout soumis à l’autorité féminine doit devoir avoir subi. Une sorte de « Must Have Made ». Mais la perspective est trop réelle maintenant à mon goût et me fait sortir brutalement de ma rêverie D/S.

Il y a quoi après ?

C’est ce qui m’inquiète, plus que savoir si je vais avoir mal. Et si j’y prenais trop goût ? Et si c’était un tournant dans ma sexualité ? Adieu au sexe actif et bienvenu au sexe passif ? Je me méfie de moi-même et de mes penchants. Au point que j’ai toujours fait attention de ne rien faire de définitif, qui ne soit pas réversible. Et pourtant, j’ai déjà concédé des choses « définitives » comme le rasage de ma douce toison d’adolescent qui me condamne maintenant à défricher régulièrement mon sexe. Et là, n’est-ce pas l’évolution qui me pend au nez pour avoir laissé Claire badiner avec un ex mieux membré ? Le concept du loup que j’aurais laissé rentrer dans la bergerie…

Mes entrailles travaillent maintenant à mort. Je ne me vois pas « faire » en couche, je préviens Maîtresse.

- Génial ! C’est que le traitement a été efficace ! Direction la salle de bain…

Tenu en laisse malheureusement, et encore plus quand Maîtresse m’installe sur les WC, la couche aux chevilles, et reste à mon grand désarroi ! Je comprends qu’elle n’entend pas partir, alors que je m’apprête à… Je me sens complétement nu et vulnérable, pitoyable même. J’hésite mais son regard me dit de ne surtout pas lui résister… Alors je m’humilie à contrecœur. J’apprends à mes dépends que la soumission n’est pas seulement ce qu’il fait fantasmer, mais tout ce qui humilie. Cela m’ouvre cependant une case dans laquelle mon image de moi peut aller couardement se planquer. D’autant que la suite s’annonce encore plus humiliante. Une fois que j’ai fini d’œuvrer, Maîtresse me torche les fesses !

- Cela ne me dérange pas. Je le fais aux vieux et aux vieilles à l’hôpital, comme les lavements aussi… Mais jamais dans cette position de petit garçon ou de petite fille… quoi que parfois ils le mériteraient.

Une fois « torché » à fond, Maîtresse m’installe immédiatement courbé sur le sol, joue collée contre le carrelage et les bras sagement croisés devant ma tête. La position laisse mon cul en l’air sans défense. Je frisonne bientôt dans la salle de bain alors que je l’attends préparer « mon » lavement. Je n’en ai jamais subi, ni pendant mon enfance, ni lors d’un séjour à l’hôpital. 

Je sursaute tant quand Maîtresse pose sa main en possession dans le creux de mes reins. Je sens dans le même mouvement la canule froide pointer sur mon anneau. Je crispe désespérément les fesses, mais d’un large mouvement circulaire, ma résistance anale est balayée et je « prends » la canule. L’eau chaude qui s’écoule de suite en moi me surprend : c’est une sensation qui serait presque agréable, si ce n’était pas si honteux à vivre. 

Mon soulagement est trompeur. Il y a d’abord cette phase où l’eau s’enfonce plus et plus, avec cette sensation maintenant désagréable de se remplir au-delà du raisonnable. Puis celle aigue où la pression interne augmente brutalement et bulle en moi bruyamment. Les spasmes apparaissent, deviennent vite crampes intenables le temps que quelque chose cède en moi. La pression se réduit un bref instant où j’ai un bref répit avant le cycle suivant. Et puis cela recommence ! J’en ai les larmes aux yeux, tellement j’en ai mal au ventre, tant le combat avec mon corps m’épuise. Et il me faut en plus lutter contre la sourde envie d’expulser sur le champ ce trop-plein. Je sais instinctivement que Maîtresse ne me le permettra pas.

J’attends impatiemment la « délivrance » mais Maîtresse me la refuse en regardant sa montre, assise sur la lunette des WC.

- Il faut le garder au moins 1/4 d’heure, c’est le protocole médical classique ou il faudra que je te le refasse…

1/4 d’heure c’est une éternité ! Je m’agite sur le sol, au point que Maîtresse doive coincer mon visage sous son pied nu pour que je me tienne tranquille. Son pied est l’autorité exprimée : j’accepte mon sort en gémissant doucement et je suis bientôt récompensé par une baisse d’intensité des crampes. Plus de douleurs extrêmes : ne reste plus l’impression très désagréable d’avoir le cul trop rempli et l’alarme qui monte dans un coin de ma tête qu’il serait plus que temps d’expulser aux toilettes.

Mais pour l’instant j’en suis dans l’incapacité, la tête toujours scotchée au sol par le pied nu de Maîtresse…

- Ok, le temps est écoulé. Je vais dégonfler la canule. C’est la phase délicate. Pense à contracter tes fesses en même temps : JE NE VEUX AUCUN DEGAT ! 

Maîtresse me fait peur. Je sers comme un fou alors que la canule se dégonfle au point qu’elle doit tirer pour me l’enlever dans un petit ploc que je scelle vite, le plus étanche possible. Elle me fait mettre debout. C’est une horreur alors que le poids du liquide pèse sur l’anneau. Il devient vital et urgent d’être libéré. Je n’attends pas lorsqu’elle m’invite à m’installer sur les WC, la faisant rire au passage de ma démarche de « canard coincé du cul ». J’atterris sur la lunette comme je peux, mais je n’ai pas encore l’autorisation d’ouvrir les vannes.

- Je vais sortir de la salle de bain. Tu pourras y aller une fois la porte refermée et tu resteras à ton poste de vidange jusqu’à mon retour. Interdiction de bouger.

Je crois que Maîtresse prend un malin plaisir à fermer la porte tout doucement. J’ai les yeux rivés sur le battant et il est fort possible que j’anticipe de 2 à 3 secondes la fermeture complète. Ma délivrance a quelque chose d’étrangement primitif, une espèce de bonheur de sentir s’échapper toute cette pression trop longtemps contenue. Je crois même que j’en souris béatement…

Alors que je crois en avoir fini, une nouvelle « vague » arrive. Plusieurs fois de suite. Je ne suis pas sûr de vouloir sortir de ce siège tant que je ne me suis pas complétement vidé. Je tire à 2 reprises la chasse d’eau pour évacuer mes « œuvres » tout en restant sagement assis. Les tourbillons d’eau fraîche qui viennent me lécher les fesses, me font me sentir plus propre.

Maîtresse ne revient pas alors que plus rien ne sort maintenant. Je déteste attendre : je m’intéresse à la pièce pour passer le temps. Et c’est là que je vois sur le carrelage une « trace » brunâtre issue de mon cul. J’en ai immédiatement honte, tant Maîtresse a dit qu’elle ne voulait pas de dégât… Je ne réfléchis pas, prend un morceau de papier WC, le coince entre mes orteils pour essayer d’essuyer cette trace. Mais ma jambe est trop courte et je dois me lever pour l’atteindre…

Bien sûr comme dans toute histoire de désobéissance, le délinquant n’a pas de chance et se fait prendre sur le fait ! C’est en tout cas dans cette position accusatrice que Maîtresse me découvre, ayant quitté mon siège et essayant de mon pied de cacher honteusement une « perte ».

- Eh bien, c’est du propre Pierre ! Du moins « propre » si l’on peut dire… C’est comme cela que tu obéis à ta Maîtresse ?

Maîtresse jubile autant que je suis atterré. Je baisse les yeux en petit garçon fautif, craignant la punition immédiate… qui ne vient pas. Elle m’envoie à la douche à la place… Ouf !

- … et tu me savonnes tout de partout. Pas question que je choppe une saloperie avec tes cochonneries ! Après tu te sèches soigneusement et tu viens me rejoindre dans la chambre pour te faire dépuceler… 

Elle a insisté sur le mot « dépuceler ». Et je soupçonne que ce n’est pas gratuit, mais destiné à me mettre sous pression. Et le pire, c’est que cela marche : je tremble alors que je me savonne. J’ai les jambes qui flageolent alors que je me sèche et j’arrive à reculons dans la chambre…

Et là la vision que j’y découvre est un choc : Maîtresse est en bas et sous-vêtement rouges avec un pénis entre les jambes. J’en frémis en même temps que je m’en excite. Pas une seconde, la queue factice me parait incongrue chez Maîtresse… Je n’en serre pas moins les fesses.

Mais pour l’instant, j’ai une autre urgence : Maîtresse a sa cravache en main ! Et pas la peine de réfléchir beaucoup à la double faute que j’ai pu faire…

- En position, soumis, mains à plat sur la commode.

J’obéis mais je préférerais être ailleurs… Je n’ai pas le courage de prendre les 20 coups (10 par fesses) sans crier. La cravache me semble la prolongation de la désapprobation de Maîtresse. Pas une seconde, je ne crois que cela soit une façon de finir de me mettre sous pression avant le dépucelage. Et pourtant une petite voix dans ma tête me le murmure…

La punition se termine et Maîtresse me tend un tube de lubrifiant.

- Prépare-toi et prépare-toi bien, car cela sera ta seule occasion si tu ne veux pas être dépucelé à sec… Moi, je ne m’en occupe pas ! Tu as une minute…

C’est le genre de déclarations qui finissent de me faire paniquer. Je m’enduis l’anus en urgence de gel lubrifiant. A ce stade, je me fous d’être ridicule à me tordre pour faire pénétrer le gel de mon index à l’intérieur…

- Stop ! Ta minute est terminée…

J’ai l’air con avec mes doigts pleins de gel. Maîtresse en rigole avant de sournoisement me dire : « tu n’as qu’à te les essuyer dans les cheveux… ». Puis son verdict tombe…

- En place sur le lit, que je baise à fond la petite femme perso de Claire… que je cocufie Claire aussi, à son tour, de mon gros sexe…

Emilie me pousse sur le lit. Je m’effondre sur le ventre et aussitôt elle me saute dessus et me bloque sous son poids. « Sa » longue queue se bloque contre mon sillon et elle vient m’embrasser dans le cou.

- Tu la sens comme tu lui fais envie… Ton trou d’amour en mouille déjà tant pour elle ! Oui tu vas l’avoir… oui tu vas crier quand elle te saillira jusqu’aux couilles… oui tu vas la vénérer, l’adorer… MA queue !

Emilie se relève brusquement pour me chevaucher les fesses en amazone. Sa queue presse encore plus contre mes fesses. Elle me griffe le dos tout en me susurrant comment dans quelques instants je serais à elle, « car c’est moi l’Homme avec la grosse queue. Ma petite pucelle n’a qu’un clitoris en cage ! ». Et pour être sûr que je comprenne bien, elle vient serrer de sa main derrière son dos, mon paquet de couilles ! 

- Reconnais-le ! Tes parents se sont trompés à confondre un clitoris avec un zizi de garçon… Un zizi de garçon c’est gros, fort, bon et cela n’accepterait jamais d’être enfermé dans une cage. Non aucun doute, tu es une fille et une fille finit par se faire décapsuler en toute beauté. C’est la loi de la Nature !

Je dirais ce qu’elle voudrait pour qu’elle arrête de me serrer les couilles.

- Aie ! Oui, je le reconnais. Je ne suis pas un homme…

- Et tu es une petite pucelle qui est venue découvrir le grand méchant loup… Alors réclame-le !

- S’il vous plait, je voudrais votre queue…

- Plus fort ! Et pas voudrais, tu veux… Soit grossier !

La douleur dans la couille est intolérable, je cède tout :

- BAISEZ-MOI ! BAISEZ-MOI ! JE VEUX VOTRE QUEUE BIEN PROFOND… QU’ELLE ME RESSORTE PAR LES AMYDALES !

- Et bien tu vois, quand ma petite femelle veut… allez en place.

Je me mets en tremblant à 4 pattes, mais « mon amant » ne me laisse pas finir de me mettre en position et me fait basculer sur le dos.

- Tu me prends pour un chien ? Les donzelles que je baise, je les baise les yeux dans les yeux, pour les contempler leur O de surprise sur leurs lèvres quand ma grosse bite s’enfonce en elle !

Emilie a voulu imiter une voix grave d’homme pour sortir cette tirade et c’est raté, risible même. Cela me fait un peu remonter à la surface et elle s’en aperçoit. Elle se reprend immédiatement en sortant maintenant de sa vraie voix féminine :

- Non, oublions cette dernière réplique foireuse. Mais il y a quelque chose de vrai dans ce que je t’ai dit : je ne veux pas voir ton dos mais tes yeux quand je te donnerai du plaisir par ton cul…

C’est un aveu déstabilisant. Je comprends qu’Emilie ne va pas me prendre au gode ceinture, mais tout simplement me faire l’amour dans les conditions bizarres que je lui impose. D’ailleurs que pourrait-elle faire d’autre avec un zizi aussi émotif que le mien ?

Je me retrouve le cul soulevé par une pile d’oreiller, les jambes relevées et tenues dans mes mains. Et dans un état émotionnel que je n’ai pas connu depuis des années, Emilie me flatte le sexe qui n’en peut plus dans ses barreaux…

- C’est quand même mignon un petit zizi enfermé. Et le tien me plait beaucoup tant il est doux au toucher et même en bouche… Cela aura été la découverte de ce week-end et le reste aussi…

Elle continue de la caresser jusqu’à ce que je soupire que je n’en puisse plus. Elle doit me trouver à point car elle me « consomme » immédiatement. La tête est ajustée de sa main sur ma rondelle crispée. Elle me parait trop grosse. Cela ne va pas entrer. Mais si ! Entrainée en avant par le poids de mon amante, le gode entrouvre mes chairs avant de les écarter pour se frayer un passage, jusqu’au fond de mes entrailles, jusqu’à ce que je sente les fausses couilles butter contre ma raie !

C’est extrêmement douloureux. Je crie tout le long de la progression et pense même hurler à un moment. Mais pas un instant ma réaction fait douter le gode dans progression jusqu’au fond. Je ne comprends pas : elle qui il y a un instant était si bienveillante, comment peut-elle me faire si mal ?

Emilie reste un instant droite, plantée dans mon cul. Avant de doucement basculer sur ces avant-bras et se coucher sur moi. Le gode bouge et vient se caler contre la muqueuse à l’intérieur.

- Aie !

Emilie me caresse les lèvres, les joues, les cheveux. Cela apaise les douleurs anales. Elle me murmure « si je ne lui en veux pas… » ; qu’elle a « hésité à y aller en force », mais ne voulait « pas me voler ce moment » que j’ai dû tant « fantasmer ». Elle m’avoue qu’elle a mis un second gode dans sa chatte et qu’elle est totalement inondée. Elle m’embrasse enfin, comme une femme ne m’a rarement embrassé, tandis qu’elle ondule doucement du bassin. Je me détends de toute part et aussi du cul. Je prends un plaisir étrange et troublement puissant, à la sentir en moi pendant que je sens que mon zizi est devenu mou et ne cesse de mouiller.

Nous sommes bien ainsi. Au bout de longues minutes, elle quitte mes lèvres pour se remettre sur ses avant-bras, et elle commence à me faire l’amour très tendrement. Le plaisir du cul est complètement nouveau pour moi et j’adore ! Je m’ouvre en salope vicieuse et avide de cette queue, sa queue, qui me fait tant de bien. Nous montons langoureusement ensemble. Je suis heureux de la voir partir sur les hautes plaines de l’orgasme promis pendant qu’elle me fouraille délicieusement les entrailles, au point de m’y amener moi aussi. C’est étrange cette sensation de rester en fusion avec mon amante sur le plateau de plaisir sans risquer la chute à tout moment. Je gémis sans honte mon plaisir total, à chacun de ses coups de butoir. Mon petit clito flasque coule de bonheur. Elle me fait l’amour longtemps, avant que la fatigue nous gagne et que nous mettons fin à notre étrange étreinte.

Je suis bien. Je ne me suis jamais senti aussi apaisé pendant et après l’amour, débarrassé de cette nécessité de devoir partir en éjaculant…

La fin du week-end est plus triste. Nous devons rendre les logements pour 14h. 

Après une courte sieste réparatrice, nous remballons nos affaires et mes nouveaux joujoux, en silence gêné de ce qui s’est passé. Emilie m’enlève le collier rose que j’ai aimé finalement fièrement porter. Je me sens nu sans. Je garde la cage, car il est convenu que ma clé en soit rendue à Claire après l’escapade du week-end.

François et Claire sont partis de leur côté. Nous devons nous retrouver à une aire d’autoroute pour prendre un sandwich. Nous les attendons mais ils n’arrivent pas. Ils se sont manifestement arrêtés pour un dernier coït dans la nature… C’est ce que nous comprenons au court SMS de Claire. Nous restons à 2 et décidons de prendre un café.

- Merci Pierre pour ce week-end. C’était fabuleux et tu es un homme fascinant à connaître intimement.

- Non, c’est toi qui a tout fait, tout préparé. Et c’était parfait aussi bien en Maîtresse qu’en… femme.

J’ai hésité de rajouter cela, mais Emilie mérite de savoir que je l’ai aussi apprécié ainsi.

- Dis, on recommencera Pierre ?

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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