Lundi 12 juin 2017 1 12 /06 /Juin /2017 08:41

- Si tu tiens tant à comparer, on va le faire. Enlève ta tenue de soubrette et mets-toi nu…

Voilà on y est ! La pièce bascule autour de moi alors que, dans un état second, j’enlève ma tenue. En écho, la fille se déshabille aussi dans la vidéo devant son mâle… Je n’ai bientôt plus que mon collier et je me sens fragile et vulnérable.

- Viens te comparer…

Il est clair que François, manifestement amusé par la tournure de la soirée, ne va pas bouger du canapé. Claire veut la photo de ma défaite et me place jusqu’à ce que mon sexe ne soit plus qu’à quelques centimètres du phallus dressé de son Amant. Je dois me tenir d’une main au dossier pour ne pas basculer. Et elle prend la photo à l’aide de la tablette…

- A genoux, à mes pieds !

J’en tremble en obéissant. L’écran est mis devant mes yeux, impossible d’y échapper. Mon sexe encagé parait si petit à côté de la belle bite en érection de l’Amant. La comparaison est sans appel !

- Alors qu’en penses-tu Pierre ? Qui est l’Homme avec H majuscule et qui est le petit garçon ?

- Je… je suis le petit garçon…

- Oui, tu dois avoir raison, ou sinon je ne vois pas comment un zizi d’homme pourrait rentrer dans une si petite cage… je ne te fais pas un dessin, sur ce que préfèrent les femmes ?

- Non.

- Bon, c’est que tu es un petit garçon décidément intelligent. Et on en fait quoi des petits garçons ?

- Je… je ne sais pas…

Et honnêtement je n’ai absolument aucune idée où veut m’emmener Claire dans cette cuisante humiliation.

- Va me chercher le paquet dans le buffet de la salle à manger. Porte de droite.

Il y a effectivement un sac de craft au-dessus des assiettes. Il est assez volumineux et fermé par des agrafes.  Rien de bon pour moi, me dit immédiatement mon petit doigt… Je reviens avec le paquet. J’ai les muscles noués et le pouls qui a augmenté. Je pressens que je vais en prendre grave en honte !

Claire me fait m’assoir sur le tapis avant.

- Regarde ce que Maman a fait faire pour son petit garçon adoré !

Elle a pris une voix mielleuse inhabituelle, une de celle que l’on utilise quand on parle à des très petits enfants ! Cela me fait craindre le pire. Je ne comprends pas tout de suite ce que contient le sac. Indéniablement un vêtement en éponge rose bonbon. Rien que la couleur me dit qu’il n’y a rien de bon à trouver dedans ! Je me bats à essayer de comprendre quelle humiliation, elle a imaginée pour son mari cocu en dépliant le tissus. Et là je comprends enfin en prenant une dose d’abaissement infinie : une grenouillère pour bébé mais à ma taille ! Rose bonbon avec un petit cerf enfantin style bambi de Walt Disney sur le devant, avec les bois pour me rappeler mon statut de cocu dans ma maison ! Je suis atterré…

- Qu’est-ce que tu penses de ma création ? Et en plus fait à la main par une connaissance couturière qui a bien ri quand je lui ai expliqué pourquoi je voulais offrir cela à mon mari ? Elle aussi est fervente des amours libres…

Elle a tout dit à une connaissance ?! Je ne suis pas tombé sur le sol ; j’ai basculé au fond du gouffre ! Je ne vois pas comment je vais pouvoir en sortir… Et que François semble découvrir en même temps que moi, la « grosse » surprise amère de Claire, ne m’est d’aucun réconfort. Sauf qu’il me surprend à prendre ma défense…

- Si tu le considères comme un petit garçon, toi tu une chipie de petite fille espiègle à lui imposer cela ! Je ne suis pas forcément d’accord…

Sa voix est légèrement énervée. Claire se désintéresse immédiatement de ma personne, pour se tourner vers son Amant.

- Attends avant de t’irriter. Ce n’est d’abord pas moi qui ai commencé ce genre de jeu avec lui, mais ta femme Emilie… Avant d’en entendre parler, je n’avais aucune idée qu’il aimerait se faire infantiliser ainsi. Cela a été un petit choc pour moi, comme si je ne connaissais pas finalement l’homme que j’ai épousé. Donc je ne fais qu’amplifier une excitation déjà existante… Oui c’est humiliant. Oui c’est dégradant… mais c’est ce qu’il attend et que je ne sais pas su ou eu le courage de lui donner. Regarde comme il est gonflé dans sa cage maintenant !

C’est la stricte vérité. Je suis excité au diable dans ma cage depuis que j’ai découvert la grenouillère. Ce n’est pas ma faute ; c’est mon esprit tordu qui veut cela. J’ai évidemment honte que François voit cela ; mais une honte si définitivement excitante !

- Ok, vous êtes aussi fous l’un que l’autre ! Tu aurais pu m’en parler avant …  Je vais rester mais, crois-moi, cela Claire tu vas me le payer !

- Et je suppose que c’est vain que je te demande de le langer ?

- Oui !

Claire lui fait son plus beau sourire, le même qu’elle sait me faire pour m’apaiser. Je n’aime pas qu’elle le fasse à un autre, mais ce sourire a le mérite de désarmer toute velléité de continuer d’avantage. Il se renfrogne, prend la télécommande et enlève le film pour passer sur une chaîne d’information continue.

- A nous donc… Il va se laisser gentiment langer le petit garçon. Maman revient vite…

Elle retourne avec un drap (« pour ne pas tâcher le tapis ») et un paquet de ses infâmante couches pour adulte. Je m’étonne qu’elle en ait osé acheter cela au supermarché. Elle rapporte aussi un tube de crème tout neuf que je ne reconnais pas d’abord. La couche est dépliée et je dois m’installer dessus. Mes jambes sont ensuite maintenues en l’air par une main, pendant que l’autre me tartine le derrière de crème. Et là je me rappelle : la foutue crème à l’odeur de poisson qu’elle nous faisait utiliser sur les fesses des gamins quand ils portaient des couches !

- Tu te souviens, comment tu n’aimais pas son odeur ? C’est un réel plaisir de l’imposer à mon grand garçon…

Vaincu, je préfère détourner la tête pour cacher mon dégoût. Si bien que je ne vois pas arriver le plug, avant de le sentir à l’entrée de mon anus. Je serre instantanément les fesses, mais un brin trop tard pour empêcher la tête de se frayer un chemin. La brèche faite, Claire n’a plus qu’à continuer et je prends le plug dans son entier. Techniquement même, je l’avale.

Mes jambes sont relâchées pour refermer la couche. Je me sens ailleurs dans un état d’humiliation profonde à observer ma femme se débrider et enfin oser. J’ai parfaitement conscience aussi que la présence de François accentue nettement mon ressenti. Je me laisse docilement habiller d’un body blanc pour être sûr que je ne « perde pas la couche » qui se ferme à l’entrejambe par des boutons pressions, avant que Claire entreprenne de me mettre la grenouillère. Je découvre vite que le vêtement a été machiavéliquement conçu. Il est « intégral » en ce sens qu’il me prend les pieds et les mains, et il se ferme par une fermeture éclair dans le dos manifestement bloquée par un cadenas ? Cette grenouillère en plus d’être humiliante se révèle une véritable contrainte : l’agilité des mains est complètement réduite par des moufles épais et l’entrejambe est rempli d’une épaisseur qui empêche de serrer les cuisses et condamne à marcher de la démarche chancelante d’un petit enfant en couche.

- C’est bon, Claire, tu as enfin fini de jouer à papa-maman avec ton mari ?

- Oui, je n’ai plus qu’à lui mettre la laisse…

- Bon, direction le lit ma cocotte que je te fasse couiner un peu !

Ma chambre habituelle prend ce soir une autre réalité : je ne me sens pas à ma place dedans ! Claire s’est mise en levrette sur le lit débarrassé de sa couette, tête à l’opposé des oreillers. Je frémis en cage de la voir sa descente de rein aussi désirable même si elle m’a encore répété que ce n’est pas pour moi. J’ai été mis à observer et apprendre les « choses de la vie », à genoux et au pied du lit, tenu par la laisse enroulé dans la main de Claire. L’Amant se présente débout son énorme bite luisante au vent devant ses lèvres, à 20 cm de mon visage. Elle le taquine d’abord à refuser d’ouvrir le passage, ce qui lui faut d’être giflée de coups de queues sur les joues, puis elle cède. Le gland écarte ses lèvres et la colonne s’enfonce sans fin dans sa bouche, jusqu’elle les poils pubiens de l’homme lui chatouillent les narines ! Il lui bloque alors toute possibilité de retrait de sa main.

Claire lève les yeux de surprise vers son Amant. Elle ne s’attendait manifestement pas qu’il s’enfonce aussi loin, elle qui a toujours pris soin que je n’enfonce pas au-delà de ses lèvres malgré mes envies d’être pris plus au chaud. Je la vois hoqueter et lutter contre son corps pour accepter l’envahissement.

- Tu fais moins la fière là ?  Je t’ai dit que tu payerais pour le coup de pute que tu as fait à ton Pierre. Et bien t’y voilà ! Je vais simplement de baiser la bouche comme une salope de bas étage !

Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi dominant et je suis abasourdi que Claire ne se révolte pas. Au contraire, elle fixe son Amant dans les yeux. Je vois la surprise se transformer peu à peu en une acceptation très soumise, même si je lis sur son visage blanc, empalé indécemment sur la racine de bite, comment cela peut être dur de lutter contre son corps, contre la nausée.

François satisfait, retire enfin son sexe à moitié. J’entends distinctement le souffle de l’air qui est aspiré en urgence. Comment peut-elle accepter ce traitement ? 

Pas un mot n’est échangé pendant cette étrange étreinte. L’Amant garde sa main sur la tête et commence à coulisser dans la bouche qui maintient parfaitement immobile. Il lui baise en fait le gosier de petits coups de reins comme une pute de bas étage.  Et elle le laisse faire ?! C’est comme cela qu’il la baise à chaque fois ? En dominant ?

A le voir faire, je comprends que tout ce que j’ai eu dans ma vie jusqu’à présent, ce n’est que du suçotage de gland et j’en suis profondément humilié. Il n’y a pas que le plaisir que changent les vraies queues de mâles mais ce que les femmes sont prêtes à y sacrifier ! 

Je n’arrive pas à quitter des yeux l’épais mandrin qui coulisse entre les lèvres, déforme les joues et s’impose en apnée dans la gorge. Il faudrait pourtant pour ma santé mentale que je détourne le regard, mais je n’y arrive pas, hypnotisé par l’incroyable coït. Je me sens si faible. Je sue à grosses gouttes. Mon sexe me fait mal à se cabrer dans son enclos. Je n’ai jamais ressenti une émotion comme cela…

Dans une curiosité malsaine, je veux voir ce phallus gicler, profaner cette bouche. Comme pour répondre à mes sombres envies, les mouvements s’accélèrent. Le mandrin reste maintenant tout le temps en fond, les couilles en but contre la lèvre, le nez à respirer à travers la forêt de poils. C’est absolument fou ! Le dénouement est proche. L’homme brame maintenant le plaisir du rut. Dans une dernière poussée la main se crispe et l’épanchement a lieu, puissant jusqu’à refouler par les commissures des lèvres. Claire est à l’agonie, cherche à hoqueter alors que son corps tremble de toute part. Mais pas une seconde la main de l’homme ne relâche sa pression. Elle ne le fait finalement que quand le corps se calme enfin. Le pénis profanateur se retire doucement accompagné de filets de baves qui restent suspendus…

Claire reprend difficilement son souffle, une coulée échappée du sperme de son amant sur le menton.

- Ouvre la bouche !

L’ordre est sans appel. Claire ouvre docilement en grand.

- C’est bien tu es devenue une bonne avaleuse. Comme quoi, ce n’est pas si impossible que cela…

Il semble me redécouvrir dans ma grenouillère agenouillé à ses pieds.

- Je crois qu’il est temps d’aller coucher ton « petit garçon ». Il est déjà vu plus qu’il aurait dû voir…

Claire se remet difficilement et se lève lentement, ma laisse en main. Je veux faire de même mais la main de l’Amant sur l’épaule me bloque au sol. « Non cela me marche pas encore les bébés. Reste à 4 pattes… »

Je la suis dans un état second. Claire m’emmène dans le couloir, mais pas vers la chambre d’amis, directement dans la chambre en face, celle de notre gamin. Je n’ai pas besoin de lui demander pourquoi … Les petits garçons dorment dans des chambres de petits garçons.

Le petit lit m’attend avec 4 bracelets attachés aux montants ! J’en suis surpris mais je n’ai pas d’autre choix que de m’y laisser immobiliser. Pas un mot n’est échangé. Elle me fait un chaste baiser sur le front avant de me laisser.

Je reste un moment hébété dans le noir de l’échange sexuel que je viens de voir. Je crains qu’installé dans cette chambre là, je ne puisse faire autrement que de les entendre au loin baiser encore et encore. Mais c’est encore pire que ce que je pouvais anticiper. Un grésillement me surprend dans le demi-silence de la pièce et je les entends distinctement comme s’ils étaient à côté du lit. Comment est-ce possible ? La réponse vient d’outre-tombe…

- Bon j’ai mis le babyphone en route, je suis toute à toi…

- Tu fais quand même une belle salope pour ton petit mari ! Mais la prochaine fois tu me parles de toutes tes idées avant…

- Ok, Monsieur… Je passe donc à table… le plug que je lui ai mis dans le cul : il vibre ! Juste à appuyer sur ce bouton…

A cet instant, je sens mes entrailles commencer à être agitées par le plug. Putain que la soirée va être longue !

- Ouais, ouais. Tu as tout bien préparé pour lui comme une petite chipie de femme. Mais je te rappelle que tu m’as promis quelque chose, pour avoir accepté cette visite domestique à 3…

- Oui, mais je pensais que l’on le ferait dans l’hôtel un autre jour… 

La voix de Claire est passée d’enjouée à inquiète.

- Non, les bons comptes font les bons amis. Même au lit… Allez en place sur mes genoux ! Et non tu ne coupes pas le micro du babyphone ! Je veux que ton mari entende… et que tu prennes ta honte.

 Je suis stupéfait mais les aie, ouille, s’il te plait ne laissent aucune ambiguïté : Claire se prend une grosse fessée sur les genoux de son amant. Et quelque part, je me sens un peu dédommagé du bouleversement de mon refuge domestique. La fessée me semble particulièrement longue et appuyée, loin de ce que j’aurais pu croire au début une fessée érotique. Claire crie et geint, mais subit jusqu’au bout ! Et au bout justement, il y a ce : « en chienne sur le lit, que j’encule directement ma femelle. Et pas la peine de plaider que je passer en chatte avant pour t’ouvrir. C’est fini ça aussi : un trou cela doit pouvoir se baiser sans préliminaire ! ».

Je n’en crois pas mes oreilles, tellement il peut être grossier ! Dans la chambre, les hostilités ont commencé immédiatement et c’est une merveille que d’entendre les «non, c’est trop gros », « non je ne suis pas assez ouverte », « tu me fais mal », « s‘il te plait doucement », « non ! », « aie, aie ! »… 

Clair pleure et couine en même temps sous les assauts du baobab de l’Amant. Un « hard painful anal fucking » comme ceux que je regarde dans les vidéos des sites X du net, en m’astiquant la queue. Du moins tant que je n’avais pas la cage. La situation me pousse dans un état d’excitation extrême. Je veux jouir de n’importe quelle manière. Je cherche à me branler du plus dans le cul en me tortillant dans mes liens sur le lit, pendant que j’entends les oh, les ah de ma femme en train de se faire sodomiser en règle. Je suis si heureux, de sentir à nouveau cette tension dans le bas ventre, surtout quand je me cabre dans une position où le plug vibre sur un endroit précis, sans doute ma prostate. Et cela commence à marcher : je me sens couler dans la cage, dans une sorte de demi-satisfaction mais qui est tant au milieu de rien…

La sodomie dans la chambre doit être finie. J’ai entendu une nouvelle François bramer d’une voix rauque son plaisir au moment fatidique. Cela doit être sa marque de fabrique… Je prie égoïstement que cela ne soit pas fini pour Claire, car je veux rester à couler.

« Ton trou à caca est toujours aussi bon à prendre ! Cela te choque je dise cela ? Eh bien moi j’aime bien appeler un chat, un chat… Et toi aussi tu adores que je te baise par là … Tu vois bien que ce n’était pas la peine de faire tant la délicate à l’adolescence…  Tu as perdu des années à ne pas connaître le bonheur de la sodomie… Oui l’Amour cela peut-être crade, mais avoue comment c’est tellement bon de se faire défoncer le fion !... Il faut que tu apprennes à être encore plus salope, à te lâcher complètement, sans avoir bu pour de te désinhiber avant comme au club l’autre samedi… Tiens, je vais t’aider… ma bite qui sort de ton cul, tu vas me la nettoyer de ta bouche… et oui je te promets je le la fourre en chatte dès qu’elle aura reprit forme !... c’est bien ma cocotte, suce bien la sucre d’orge… »

Si j’en faisais ou en disais un 10ème de ce que François fait et dit avec Claire : elle me tournerait le cul des semaines durant… Mais elle consent tout pour son Mâle Alpha… Cela m’affole encore plus les sens. « Allez c’est assez propre ! » Bruits de grincement des ressorts du sommier, et les voilà qui changent de position … j’entends les coups du butoir… avec les « oh oui, oui, ouiiiiiiiiii » qui les accompagnent… les vannes de sa jouissance s’ouvrent comme elle ne semble jamais y être arrivée avec moi… ou que je n’ai jamais su provoquer. Claire ne cesse maintenant de hurler en cadence du pilonnage qui lui apporte tant de bien, une fois, plusieurs fois, jusque dans un dernier envol, ils s’envoient en l’air ensemble en duo !

Ils tombent quasi instantanément dans les bras de Morphée - François ronfle même - me laissant seul vivant dans la maison. Je suis dans un état d’épuisement, le body et la grenouillère largement trempés par la sueur, la bite en feu dans sa cage qui n’arrive pas à obtenir son apaisement final. L’enthousiasme disparait vite dans la noirceur de la nuit. J’ai de nouveau le cœur serré d’être mis à l’écart, de savoir ma femme dans mon lit avec un autre. Ce début de la nuit est long. Je tremble de froid dans ma grenouillère. J’ai mal aux couilles de ce sexe qui ne veut pas dégonfler. J’ai le cul échauffé par le gode, que je n’arrive pas à expulser de mon rectum. Qu’il ait arrêté de vibrer, ne m’est que de peu de réconfort…

Je tourne longtemps en rond dans les liens pour arriver à m’endormir moi aussi. Je dois être en forme demain pour aller récupérer les enfants. Ah oui les enfants ? Ils sont bien loin de ce que nous faisons ce soir… Il me tarde de retrouver la quiétude de la cellule familiale… Mais pour l’instant le temps ne passe pas vite dans ce début de nuit d’insomnie. Je finis par m’endormir doucement en me concentrant honteusement sur les ronflements réguliers de l’amant de ma femme, en guise de berceuse…

Je suis réveillé au matin par les bruits de froissement des draps de ce qui me semble être une nouvelle baise dans le lit, plus légère et romantique. Tout en se donnant du plaisir, ils se chuchotent à voix basse. Je tends l’oreille pour saisir leurs échanges…

- Que ta queue est définitivement bonne…

- Tu sais je n’y suis pour rien. Je suis né avec ! ça va je n’y suis pas allé trop fort, hier ?

- Si, mais c’est pour cela qu’elle était si bonne… Il faut croire que j’aime être bousculée par un vrai mâle, qui ne s’encombre pas de précaution…

- C’est comme cela que je baise Emilie. Elle aime bien, enfin pas tout le temps. Je crois que maintenant, elle voudrait que parfois je sois plus tendre, mais j’ai du mal à me contenir…

- Moi, cela me va pour l’instant très bien. Cela me change de Pierre, qui ne sait pas être mâle comme toi… Ce n’est pas qu’une question de taille de queue… Je sais bien que ce n’est pas sa faute… Et je le savais quand j’ai décidé de lui faire demander ma main… Mais il y a autre chose… Combien de fois j’ai espéré que quand je lui disais non, il dépasserait ce non, pour m’imposer son plaisir… Mais il n’ose pas, craignant de paraître trop grossier… n’arrive pas à dépasser sa bonne éducation au lit… c’est dommage…

- Cela fait quoi de le savoir relégué dans la chambre d’à côté, alors que je suis là dans son lit avec toi ?

- C’est puissant comme sensation, plus que j’aurais imaginé ou anticipé. Te sentir en moi, alors que mon mari est attaché sagement dans sa grenouillère. Tu sais combien je peux l’aimer ? J’ai le sentiment de quelque part lui faire du bien, quand je le traite ainsi. Et puis il a Emilie, comme toi je t’ai. Et toi cela te fait quoi de le savoir à côté pendant que tu baises sa femme ?

- C’est étrange comme situation. En tout cas, pas quelque chose que j’aurais naturellement fantasmé. Mais bon, je vis aussi la même chose quand il est seul avec ma femme. Le dernier mercredi pendant que je le savais dans ma chambre, j’ai eu du mal à me concentrer sur mon boulot. Je suis finalement assez traditionnel comme homme, sans l’imagination sexuelle que ton Pierre peut avoir et que je découvre chez mon Emilie. Quelque part, je l’envie un peu, dans sa capacité à tout sexualiser. Mais je ne crois pas que je serais capable d’aimer me faire enculer par une femme ou de me faire priver de mon sexe comme lui… Tu sais d’ailleurs que j’ai eu besoin de vérifier hier pendant que tu étais en train de te préparer ?

- Non, tu es allé vérifier que son zizi était dans sa cage! Toi François ? Cela t’a fait quoi ?

- Bizarre comme ressenti. Je n’ai pu m’empêcher d’être satisfait que son sexe soit enfermé et ta chatte, ta bouche et ton cul me soient réservés. Il faut croire qu’il doit rester un instinct de meute chez les hommes,  et j’adore me sentir à la place du mâle dominant.

- Oui, te sentir comme le mâle Alpha te va bien. Mais ne te sens pas trop propriétaire de mes trous. Cela va à tout le monde en ce moment. Ok, mais cela ne veut pas dire que j’ai renoncé à avoir la petite queue de mon mari en chatte…

- Je ne risque pas de l’oublier : tu me le rappelles tout le temps… Mais clairement, j’ai grimacé de voir le sexe d’un homme ainsi contenu. Je m’imaginais à sa place. Comment peut-il supporter cela ? Cela fait combien de temps que vous lui avez interdit d’éjaculer ?

- Une cinquantaine de jour. Emilie a prévu d’enfin le faire gicler, le prochain jeudi. Et crois-moi, je vois bien qu’il attend cela avec impatience et que c’est bien long pour lui maintenant. Et pour répondre à ta question sur la cage, elle flirte forcément avec le tabou de la castration chez les garçons. Et crois-moi il faut à Pierre une belle dose de courage pour se laisser enfermer hors de portée son sexe. Je crois que finalement il préfère ne pas pouvoir jouir, pour rester excité en permanence… Et aussi qu’il n’a jamais retiré de nos baises, le plaisir infini à partir en chatte ou en cul, comme tu peux le ressentir… le sexe, c’est définitivement quelque chose de beaucoup plus intellectuel pour lui que chez nous… sauf peut-être Emilie qui se révèle finalement plus complexe que nous aurions pu le penser tous les 2. Elle est devenue une admirable source d’inspiration en me montrant ce qu’il faut faire avec mon Pierre et que je n’arrivais pas à faire…

- Oui, elle complètement étonnante. J’en suis sur le cul, et quelque part un peu jaloux de ne pas être capable d’en profiter comme s’est si bien le faire Pierre. Bon, j’ai rendez-vous avec des clients à 8h30… Je te finis là ou sous la douche ?

- Tu sais bien que j’adore les douches crapuleuses avec toi !

Ils disparaissent de mon ouïe et bientôt j’entends la radio dans la salle de bain attenante à notre chambre. Je suis quelque par frustré de ne pas entendre Claire jouir à nouveau sous les assauts de la queue de son Amant. Mais quelles confessions ! A me demander même s’ils avaient conscience que la babyphone était resté en marche ?

Que dire ? C’est le genre de propos qui valent toutes les déclarations d’Amour. Ma femme m’aime toujours ! Et elle apparaît comme jamais pleinement consciente de ce que je suis et ne suis pas. Pierre n’est finalement pas le malotru au lit que je croyais qu’il pouvait être après la baise de hier soir. Je me sens ce matin, le cœur plus léger en regrettant seulement que mes couilles ne le soient pas plus. Qu’est-ce que je donnerais pour pouvoir lui faire l’amour, même après l’Amant ! Mais je sais que ma clé n’est pas là… Je m’en sens immédiatement frustré.

Au sortir de la douche, pendant que François s’habille, il pose la question s’ils se voient aujourd’hui…

- Non, je vais accompagner Pierre récupérer les enfants. Ils me manquant et je crains que sa nuit n’ait pas été très bonne. Je ne voudrais pas qu’il risque un accident…

Et ils disparaissent prendre leur petit déjeuner en bas. Plus un bruit : le temps est long. J’attends impatient ma délivrance… qui arrive finalement une heure plus tard. Je suis particulièrement heureux de la retrouver.

- Bonjour mon chéri. J’espère que tu n’as pas trop mal dormi…

Elle se penche pour m’embrasser à plaine bouche. Je ne peux m’empêcher d’avoir un moment d’hésitation.

- Mais non gros béta, il m’arrive aussi ne pas le sucer quand il me quitte…

Le baiser est rafraîchissant et me fait reprendre contact avec ma femme. Elle me détache ensuite mains et pieds. Pas malheureux de pouvoir enfin me relever.

- Tu sais, je vous ai entendu ce matin.

- Oui, j’ai vu au sortir de la douche que j’avais oublié de couper le babyphone après notre dernière baise avant de dormir. Mais ce n’est pas grave, tu sais ce que je pense réellement de toi… Pas sûr que j’aurais su te le dire en face…

Là c’est moi, qui l’embrasse fougueusement, jusqu’à ce qu’elle m’enlève ses lèvres. 

- Ouah ! Impressionnant comment ta couche est pleine ! Bébé a fait un gros pipi dans sa couche…

El elle part d’un fou rire pendant que je me renfrogne un peu. Le ton est donné : l’Amant est parti mais je reste en période de domination. Elle me prend par la main pour m’emmener en bas au salon. Bien sûr moi qui avait du mal à marcher les jambes serrées avec l’épaisseur rajoutée dans l’entrejambe de la grenouillère, avec la couche pleine, c’est pire et totalement risible…

- J’ai demandé à Emilie qui a découvert le truc, comment je devais te donner ton biberon matinal. Changé ou pas changé ? Elle m’a répondu que cela dépend de ce que je veux faire de toi ensuite… Je te donnerai ton bain, dès que tu auras fini ton biberon, donc pas besoin de te changer…

Moi j’aurai préféré me débarrasser de cette humidité. Sur la table basse, m’attend le biberon jaunâtre bien trop rempli.

- Tu regardes la quantité ? C’est que nous nous sommes mis à 2 pour le récolter ! Tu aurais la tête de François, quand je lui dis pourquoi je voulais qu’il pisse dans un biberon ! Un vrai bonheur !

Elle me fait installer sur le canapé et me prend la tête contre ses seins nus pour me le donner. Comme souvent, je suis ailleurs à me contempler dans mon humiliation. La première tétée est une surprise, le liquide est froid ce qui renforce son amertume. Je grimace intérieurement mais je préfère ne pas parler du problème. Je ne sais pas si c’est parce que c’est Claire qui me le donne, ou parce que le biberon est froid, ou encore parce que je sais qu’il y a du François dedans, mais je tête sans l’amusement enfantin qu’il y avait avec Emilie. Je ressens cela comme une pure épreuve de soumission, en  essayant de cacher mon trouble à Claire.

Finir ce foutu biberon est un petit calvaire. Marre de boire ce liquide infâme, et pourtant pas besoin de m’y forcer, je me l’impose tout seul, étant sans doute mon premier Dominant… Claire tient le biberon mais se désintéresse rapidement à ce que je fais, vu le temps que j’y mets. Elle regarde une série à la télévision pendant ce temps, au point qu’elle rate que j’ai fini avant la fin de son épisode. 

- Fini ? Alors dans la salle de bain des enfants pour le bain de mon grand garçon !

Craignant les « fuites », elle me fait me déshabiller directement dans la baignoire. D’abord la grenouillère puis le body adulte sur lequel la couche a débordé. Enfin elle ne veut pas toucher à la couche pleine et me demande de la descendre moi-même, de l’essorer dans la baignoire avant de la jeter dans le sac de plastique qu’elle a préparé. « Il faudra faire disparaitre cela, avant le retour des enfants. Tu l’as mettra directement dans le bac à poubelle, sous le sac que tu as jeté hier. Et il faudra aussi que tu enlèves les bracelets du lit d’Arthur avant qu’on parte les chercher pour tout ranger dans notre caisse à malice en haut de l’armoire. Là où je les ai trouvés hier… ».

Pour le plug, Claire me demande de le « pondre en poule » en fond de baignoire. Une activité des plus humiliantes sous ses yeux. Je dois le rincer et le savonner avant de lui rendre. Il ne reste plus que mon collier qu’elle finit par enlever avec la clé du cadenas. Je me retrouve totalement nu dans la baignoire, enfin pas totalement nu vu que j’ai encore la cage bien accroché au sexe et que d’être à proximité e la femme qui m’aime et que j’aime, je serais plutôt boursouflé dedans…

La suite est un ravissement de mari soumis. Ma femme me shampouine, me savonne et me bichonne dans la baignoire. Je lui fais hommage d’une belle érection contrée en cage, au point même, qu’elle doive passer le tout à l’eau froide pour pouvoir savonner au dehors et au dedans mon sexe en cage. J’adore sentir ses doigts sur mon intimité ! Comme elle sait très bien me prendre au chaud dans sa main, quand nous nous endormons le soir…

Elle me sèche d’une serviette et finit d’affoler mes sens. Nous sommes un couple D/S en osmose parfaite ce matin ! Mais malheureusement la vie familiale reprend sa place, et nous redevenons un papa/maman vanilles pour aller rechercher notre progéniture chez mes parents…

dyonisos


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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Commentaires

sublime ! Merci Dyonisos
commentaire n° :1 posté par : paradoxe37 le: 16/06/2017 à 22h39

Attendu plutôt ou aurais-je réussi à te surprendre ?

(bon il faut que je m'y remette à publier ici, j'en suis déjà aub32ème chapitre et il y a beaucoup à vous faire rattraper...)

dyonisos

réponse de : dyonisos le: 19/06/2017 à 21h18
32 chapitres !
Fichtre c'est énorme !
Rudy
commentaire n° :2 posté par : Soumis 665 le: 21/06/2017 à 16h06

Et oui ! 

réponse de : dyonisos le: 09/07/2017 à 20h12

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


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