Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 05:47

5ème rencontre avec Madame

Lors de notre dernière rencontre, Madame n’y est pas allée de main morte. J’avais encore mal au cul quand je me suis assis dans ma voiture pour revenir et surtout le sentiment d’humiliation aigüe d’avoir prise une fessée sur les genoux de Madame comme le premier gamin désobéissant.

La première chose que je fais dans l’urgence, c’est de m’arrêter dans une librairie en ville pour acheter une monographie sur Glen Murcutt. J’ai été surpris de l’entendre citer le nom de ce grand architecte et cela change ma vision de Madame, connaissant beaucoup l’architecture que je ne l’aurais initialement cru. 

Dès ma sortie du magasin, j’enlève le film de cellophane et j’étudie avec la plus grande attention le travail de l’architecte. Madame a raison sur 2 points : cet architecte est d’un tel détail que j’en reste baba – j’étais passé à côté de sa nature pendant mes études – et la fessée que je viens de me prendre et qui se rappelle encore à moi, change fondamentalement l’attention que je porte à son projet…

Je passe les 2 jours suivants à chercher une solution, en me lançant dans tant de croquis, d’hypothèses différentes que j’ai beaucoup de mal à savoir où j’en suis. Pas question de me prendre un nouvel avertissement la prochaine fois… Je dors peu travaillant quasi continuellement, pour finir par comprendre que je n’ai aucune idée de la direction à prendre…

La journée suivante, je surfe sur le web du matin au soir, pour essayer d’acquérir en express tous les us et coutumes du BDSM réel, pas celui que j’ai fantasmé et maté ces dernières années. J’apprends beaucoup de choses mais les pratiques et les goûts sont si variés suivant chacun, que je suis complètement perdu. Comment vais-je pouvoir m’en sortir ? Le désespoir me guette…

Je décide de faire un break et d’aller en soirée au cinéma voir un des derniers blockbusters américains. Mais pendant toute la séance, je ne regarde le film que d’un œil désintéressé, l’esprit pris par mon problème qui me semble insoluble…

J’ai l’intuition sur le chemin de retour à la maison : il m’est impossible de satisfaire Madame si je ne sais pas ce qu’elle désire vraiment ! Dès que je suis rentré, je me précipite sur la liasse de documents qu’elle m’a laissée quand elle m’a engagé. La maison « convenable » est bien détaillée et analysée, mais pas la maison « cachée ». Il m’est impossible de comprendre ou de deviner ce qu’elle y veut, vu les informations disperses et peu précises qu’elle m’a laissées. Comment ai-je pu passer à côté ? Je comprends que c’est un test, ou un piège dans lequel je suis tombé les fesses en premier !

Je n’ai pas encore envoyé de photo de mon sexe encagé aujourd’hui. J’en prends une et l’insère dans à un mail à sa destination comme tous les soirs. Sauf que là, je rajoute une question que je pèse longtemps… Finalement c’est : « Qu’aimez faire dans votre chambre, Madame ? ». Et j’envoie.

Je dors enfin bien cette nuit là. La cage me réveille inhabituellement tard, quasiment à 7h30 : je me précipite sur mon ordinateur. J’ai une réponse de Madame :

J’aime lire dans ma chambre et contempler la nature depuis la fenêtre…

J’aime traîner le matin dans mon lit…

Puis j’adore me glisser dans la baignoire…

J’aime prendre le petit trou de mon mari au gode le soir…

Et le caner au petit-matin dans ma chambre.

Le soir suivant, j’ose demander : « et qu’est-ce que vous y aimeriez y faire qui n’est pas possible dans votre maison actuelle ? ». Deux heures plus tard, nouveau message :

Je voudrais le contempler tous les soirs

 dépité et bouleversé dans sa cage à chat

au pied de mon lit…

C’est cela la clé : écouter Madame, ma cliente. Au fil de mes questions et de ses réponses, je deviens plus intime avec sa façon de dominer. C’est assez impudique mais elle se livre en toute confiance, même des choses que son mari soumis ignore encore. Au fil des demandes, j’ai un peu pitié pour lui. Sa Maîtresse de femme lui prépare consciencieusement un futur plus difficile. Madame me l’avoue au fil d’une réponse : « Que veux-tu, il trouve que je ne suis pas assez dure avec lui, le petit Amour chéri… ».

En tout cas, j’ai enfin de la matière à travailler et mettre en forme. J’atteins une sorte de zénitude avec mon pénis enfermé, qui se fait oublier. Je ne bande presque plus en journée : c’est dire ! Et les idées me viennent et me libère : tout prend forme.

Finalement  j’envoie le message à Madame que je suis prêt. Elle accepte de venir me voir à mon bureau demain matin.

Je suis fébrile en l’attendant. Et si je n’avais pas compris ? Et si elle n’aimait pas ? Et si elle me punissait encore ? J’ai anticipé : je l’attends déjà nu et mon initiative est saluée à son arrivée par la désormais rituelle pose de mon collier rose.

Cette fois, j’ai le droit aux ressources de mon ordinateur. Je montre ce que j’ai préparé à genoux aux pieds de Madame, le cœur battant.

- J’ai laissé votre chambre à l’étage mais en lui joignant elle aussi une partie «  cachée » à l’arrière à laquelle on accède par un placard du dressing qui s’escamote dans le mur. Cela me semble plus pratique ainsi en compactant les parties cachées, l’une au dessous de l’autre. J’ai ajouté un large escalier à colimaçon pour passer rapidement d’un niveau à l’autre…

Madame semble intéressée mais reste silencieuse m’invitant à continuer.

- L’étage cachée du haut arbitre une terrasse cachée entre les murs de rocher qui me semble pourvoir vous plaire. Regardez, on ne peut pas la voir ni la deviner depuis aucun endroit… Elle est invisible à tout non initié !

J’ai prévu une petite animation pour le démontrer que Madame étudie attentivement.

- Oui tu as raison, j’aime bien l’idée de la terrasse hors du monde. Mais je crois qu’il lui manque une ou deux choses. Comme une cage pour mon toutou d’époux creusée dans la roche et quelques anneaux pour le laisser dorer au soleil… ou m’occuper un peu de lui…

Je m’empresse de noter professionnellement la demande sur le calepin que j’ai préparé.

- L’autre avantage de la terrasse c’est qu’elle agit un comme un claustra zénithal qui permet d’éclairer d’une lumière douce la salle de jeu en-dessous qui filtre entre les planches de bois. Regardez, Madame, je vous ais préparé quelques simulations.

Elle les regarde un moment, assez convaincue à ce qu’il me semble.

- Et cela n’enverra pas trop de lumière à l’extérieur la nuit ?

- En fait non. J’ai étudié attentivement ce point : les lames de la terrasse cassent toute lumière directe et le fait qu’elle soit en devers par rapport au rocher ou à l’avant de la maison, garde la lumière dans l’espace. Impossible de voir quoi que ce soit depuis les autres points…

- Bien, très bien même ! Je reviens à l’étage : là c’est mon espace de détente ?

- Oui comme vous le  désirez. Une grande baignoire ouvrant sur l’extérieur de la terrasse, par de larges baies…

- Oui c’est bon ça : prendre mon bain tout’ en contemplant mon pauvre mari enfermé nu dans sa cage ! Cela me parle déjà à la foufounette ! Et en arrière tu as mis le hamman ?

- Oui le hamman vers la chambre et votre « boudoir » dans la continuité…

Le « boudoir » fait partie de ses demandes mais elle a refusé de m’en dire plus «  c’est trop tôt Gaspard pour tes oreilles encore trop chastes… ».

- Oui le boudoir devrait pouvoir le faire en taille… mais on vérifiera cela plus tard en détail. Passons à l’organisation du bas.

- La grande pièce n’a guère changée si ce n’est l’escalier qui mène directement à l’étage. J’ai installé sur le côté les espaces que vous m’avez demandés. Le dressing coffre-fort de Monsieur d’abord. Je ne les fais pas très grand, supposant qu’il n’y aurait que ses tenues d’extérieur à y stocker et que vous le préféreriez nu en permanence dans la maison ?

- Hé, hé… tu as très bien fait. C’est mon intention. Alors finies les fuites au Golf de Monsieur Delamaye que je n’aurais pas autorisées. Tu sais, nous sommes déjà un vieux couple D/S ayant déjà fait pas mal de chemin. Les premières années, je lui ai appris l’obéissance. Puis à rester chaste pour moi : fini les Maîtresses derrière mon dos. Mais un couple D/S c’est vivant, cela une dynamique qui pousse vers encore plus de contrôle. D’ailleurs c’est ce qu’il me demande, même s’il soufre à passer chaque nouvelle étape de perte de liberté. Je l’ai déjà sous ma coupe à la maison. Je contrôle strictement sa sexualité. Mais il redevient le puissant Monsieur Delamaye à l’extérieur. Alors depuis un an, nous travaillons à le déposséder de son Pouvoir…

- Comment faîtes-vous cela ?

- Au très simple : je l’ai forcé à prendre un adjoint il y a 9 mois que j’ai personnellement choisi.  J’ai aussi maintenant tous les pouvoirs de signature pour ses entreprises. L’empire de mon ami, si je peux dire ainsi, n’est pas un groupe intégré mais plutôt un archipel d’entreprises indépendantes, que mon mari dirige toutes en passant sans cesse de l’une à l’autre. Alors personne ne s’étonnera pas de ne plus le voir passer aussi souvent… Mais il fallait que les affaires continuent à tourner, d’où Marc le nouveau adjoint que je lui ai choisi, pour qu’il ait plus de temps pour me satisfaire ! En bref, je le dépossède de son pouvoir qu’il transfère peu à peu à son « adjoint »…

- Et il le vit bien ?

- Je pense que c’est ce qu’il veut de moi au fond de lui, mais cela ne se passe pas tous les jours sans heurs. J’ai du recommencé à le punir plus que d’habitude. Quoi que je comprends : ses entreprises c’est l’œuvre de sa vie ! Mais il va les sacrifier pour avoir le bonheur de vivre sa nature profonde à mes côtés. C’est un peu un changement d’équilibre pour lui : sa soumission à la maison ne sera plus contrebalancée par l’énergie qui déploie à l’extérieur. Et j’ai conscience pour qu’il ne se perde pas, de devoir m’appliquer à monter d’un cran ma domination… D’où cette nouvelle maison au calme, à l’écart du bruit de la ville. Ah tu as mis sa cellule là ?

Elle parle du « cachot » d’exactement 1 m 80 par 1m90 qui fait dorénavant partie du cahier des charges de Madame.

- Oui : vous le vouliez au centre de la maison, facilement contrôlable et accessible. J’ai pensé que la majeure partie du temps, la bibliothèque du salon serait ouverte en l’absence de visiteur. Là il est à côté du salon et de la cuisine.

- Oui je crois qu’il est parfait là. Je veux un cachot gai où il puisse rester longtemps, pas une oubliette loin de moi. Je veux pouvoir aller rapidement le voir ou discuter. Car je pense qu’il devrait y être enfermé pas mal de temps… Et donc après le Mister’s Corner demandé. Nickel tout cela.

Le « Mister’s Corner » est tout aussi obscur pour moi que le « boudoir ». La fonction de ces espaces me reste inconnue et il va me falloir attendre pour la savoir. « Pas encore le moment… »

- Bon raconte-moi ma chambre ?

- Une pièce donnant sur le lac. J’ai prévu une longue banquette pour vos lectures et il possible de le faire aussi sous la varangue extérieure. Un King Size bed comme demandé. J’ai mis la cage de votre mari au pied du lit, cachée au besoin par une colonne de boiserie qui remonte dans le plafond pour libérer sur un mètre l’accès et la vue sur la cage…

- Très astucieux cela ! Cela sera plus pratique que le fond du placard que nous utilisons habituellement. Et tu as pensé à mes « instruments » que je veux avoir sous la main.

- Oui cachés derrière une boiserie à droite du lit…

- Tu m’as bien écouté : ma future chambre est parfaite. C’est que c’est devenu une pièce centrale dans l’évolution actuelle de mon mari. Si j’ai voulu choisir avec beaucoup de soin, son adjoint Marc, c’est avec une idée précise derrière la tête. Le puissant Monsieur Delamaye, frustré à l’année dans sa petite cage de zizi, a perdu l’exclusivité de sa femme ! Marc est devenu mon amant comme prévu et sa belle queue partage mon lit. Vous ne savez pas, vous les hommes à petites queues, comment quelques centimètres de plus changent la sensation pour les Dames. Souvent nous le reléguons dans la chambre d’amis et tu verrais sa tête de chien battu quand on l’y envoie ! L’idée d’être cocu lui tournicote tant l’esprit, mais je ne suis pas dupe : sa petite limace est toute tendue dans ses barreaux et bave…

Moi aussi je deviens tendu dans ma cage et excité à ces confessions d’une femme Dominante.

- Parfois je l’autorise à nous rejoindre dans la chambre pendant les ébats ou après. Mais je suis toujours un peu cruelle avec lui. Il peut assister au début. Parfois préparer chatte et queue de sa bouche l’humiliation au visage. Et je le renvoie avant l’action. Ou je l’appelle une fois que c’est terminé, pendant que Marc se rhabille pour nettoyer ma chatte du sperme de l’autre avec sa langue. Ou je le laisse entendre mais ne pas voir, cagoule de cuir sur la tête et nez contre le mur dans un coin de la chambre. Mais dans tous les cas : c’est son rôle de changer les draps du lit AVANT et APRES. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, les belles queues et les asticots en cage.

Ouah !

- Je crois qu’il devient accro à son cocufiage à la maison. Et je lui fais bien sûr gérer notre planning de rencontre entre Marc et moi. Savoir que l’adjoint qui le suit à la trace à son boulot a baissé sa femme le matin même, lui donne un sentiment d’humiliation qu’il n’oublie pas de la journée…

C’est trop bon : je vais exploser en cage. Madame s’en amuse.

- Mais c’est que tu serais toi aussi ce genre d’homme… mon petit Gaspard qui bandouille et en bave dans sa petite cage à l’évocation des récits de sa Maîtresse, mais là c’est une Maîtresse version pas le droit, pas celle de la fête du slip au lit ! Ah, ah, ah !

Je suis quand même saisi par cette domination de Maîtresse, mot prononcé pour la première fois par Madame. Mais comment pourrait-on appeler différemment, une femme qui vous tient le zizi en cage ? Pensée finalement très humiliante… et excitante en même temps.

- Oh que les jeunes soumis sont mignons… dans leur découverte de ce monde. Allez je vais te donner de quoi encore plus fantasmer le soir dans ton petit lit…

Madame m’a pris au menton pour capter mon regard.

- J’ai encore corsé les choses depuis 3 mois pour mon petit mari soumis, en transmettant à Marc, certaines fouettées ou cannées de discipline. Les punitions restent cependant mon domaine. Marc a très bien intégré, le pouvoir de la chose et souvent il passe le chercher le matin avec sa voiture. Priver mon mari de la liberté de la sienne est déjà une très bonne idée, mais pas aussi efficace que de l’emmener le cul fraichement rossé juste avant de partir. J’adore sa tête quand Marc lui demande de baisser son pantalon de costume et la culotte de dentelle que je lui fais porter depuis des années… Et son tortillement du cul est un ravissement…

L’escarpin de Madame vient me chatouiller les couilles. Je n’en peux plus dans ma cage…

- Mais il y a encore mieux pour amener le puissant Monsieur Delamaye à la place que je, nous voulons qu’il prenne dorénavant dans l’entreprise et à la maison. Et ça il ne l’a pas vu venir : Marc est bi et aime lui fourrer son cul de soumis ! Et crois-moi, partir au travail le cul empli du sperme chaud de son adjoint, cela te remet les choses dans la bonne perspective !

Je suis époustouflé : c’est bien mieux que tous les récits inventés que j’ai pu lire sur internet. Madame est un génie cruel de la Domination ! Je me laisse aller en soupirant à la caresse de son escarpin n’osant rien dire pour que cela ne s’arrête jamais…

- Mais bon, trêve de Monsieur Delamaye : occupons nous de notre petit Gaspard en attente. Je suis content de ton travail aujourd’hui : tu vois qu’une bonne fessée au cul remet l’esprit en place ! Cela devrait être enseigné à toutes les jeunes filles au Collège… Si je ne me trompe pas, nous en sommes à 15 jours de zizi enfermé. Il est temps, je crois, que je récompense un peu mon petit Gaspard. Allez à 4 pattes !

J’obéis, l’espoir d’une libération, ici et maintenant, au zizi.

- Tu vas me montrer ta chambre, mais avant détour par la cuisine.

Je suis intrigué. Dans la cuisine Madame choisi une assiette plate propre (une des rares qu’elle ait pu trouver à ma grande honte et à ses commentaires désobligeant !). Je dois porter l’assiette entre mes dents jusqu’à ma chambre… une vraie honte avec des vêtements sales partout et le lit défait.

- Ah ces chambres de garçons : toujours un dépotoir ! Dépêche-toi de me dégager le lit avant que je renonce à te récompenser…

Je fais valser la couette qui tombe contre le mur.

- Allez à 4 pattes sur le lit, Gaspard !

Je me dépêche d’obéir. Madame s’assoit au bord derrière mes fesses et pose l’assiette entre mes jambes. Elle sort un tube de son sac et commence à me préparer l’anus d’un doigt qui me lubrifie.

- Humm pas très propre ce petit trou. Tiens tu vas voir… Ouvre la bouche…

Je suce avec réticence le doigt qu’elle me présente. Cela le goût artificiel de lubrifiant mais je ne peux rater en arrière goût, celui acre de mon cul pas propre ! La honte !

Madame sort enfin un énigmatique gode ou plus je ne sais, d’une forme bizarre tout arrondie. Et bien sûr il finit dans mon rectum. Je grimace à l’intromission et mets quelques temps à m’adapter à l’intrus qui bientôt vibre. C’est un plaisir honteux et bizarre, mais c’est si bon après 2 semaines de frustration. Il y a quelque chose qui s’épanouit au fond de moi, qui me fait tant de bien. Je jette un coup d’œil incrédule à mon sexe : il est tout petit dans sa coque, alors que je suis si excité… Je me laisse aller langoureusement au plaisir que m’offre Madame jusqu’à ce qui m’apparait être son apogée. Ma bite est soudain mouillée : je sens incrédule mon sperme sortir par longs jets continus sans le plaisir habituel de l’éjaculation. Quatre fois, je recommence à couler jusqu’à me tarisse… Finalement Madame retire doucement l’instrument de mon rectum et me gratifie d’une tapette sur les fesses.

- C’est bien, mon petit Gaspard : il a bien coulé pour sa Maîtresse aujourd’hui. Bon j’ai travaillé, c’est ton tour maintenant.

Je la regarde sans comprendre…

- Et bien lèche toute ta cochonnerie d’homme…

J’ai craint quelque chose comme cela. Je n’ai jamais aimé le goût de mon sperme, mais par respect pour Madame, je me force à lécher l’assiette dans une grimace de dégoût.

- Et bien tu m’as mis dans un de ces états dans l’entrejambe. Je crois que Monsieur Delamaye av avoir du boulot pour éteindre l’incendie… ou mieux je vais appeler Marc pour qu’il me ramène du gros matériel.

Sans aucune gêne, elle l’appelle sur le champ et ils se mettent d’accord pour « dans une demi-heure à la maison ».

- Bon je te laisse, mon Gaspard. Nous nous reverrons dans 6 jours sur le terrain. Pendant ce temps, tu as encore du travail pour avancer dans MON projet. Et puis tiens aussi : tu en profiteras pour nettoyer ta maison. Comme veux-tu pouvoir ramener une fille dans une telle décharge ? 20 coups de fouet que je te promets si la prochaine fois que je viens, ta maison n’est pas impeccablement rangée et propre !

blarchi5bis
 
- à suivre -

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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