9 avril
Ce matin, j’ai eu le droit de prendre une douche avec Monsieur Jean. Et je ne sais pas ce qui est le meilleur : sentir l’eau chaude sur mon corps pour la première fois depuis 7 jours ou sa queue venue s’enfiler naturellement dans mon boyau sous la pluie de gouttelettes. Et qu’importe si j’ai le petit trou douloureux à force de l’avoir eu trop forcé, c’était follement érotique d’être pris dans cette situation, la tête écrasée contre le carrelage avec la frustration de ne pouvoir rien faire pour mon sexe coincé dans sa cage de verre. Trop bon ! Après j’ai même droit à un vrai petit déjeuner. Le café ne m’a jamais semblé aussi bon…
Monsieur Jean a prévu d’aller voir ses petits-enfants à Bordeaux ce week-end et il est encore très tôt quand il me ramène à l’étang. Maîtresse Emilie dort encore. Il me dirige donc pour m’enfermer au chenil…
- Au revoir, mon petit bâtard. C’est là qu’on se quitte… Ton petit cul vierge était vraiment très bon…
Je m’étais habitué à lui et à sa queue. J’ai des yeux de chien triste, quand il remet en place mon harnais de taurillon. J’essaye de l’amadouer et j’y réussis !
- Tu es vraiment insatiable comme petit bâtard !
Mais pour moi ce qu’il compte c’est qu’il défait se ceinture et que son pantalon tombe à ses chevilles. Je viens me frotter immédiatement contre sa bite dans son caleçon et renifler. Un peu trop propre à mon goût : je la préfère plus odorante et gouteuse. Mais tant pis !
J’obtiens vite de la rendre dure à point. Je m’amuse à la faire sortir du caleçon en tirant sur les tissus avec les dents, en bon chien lubrique. Sa queue rebondit contre ma joue à sa libération et immédiatement je me mets à la pomper avec une terrible envie…
Plus tard, je reste seul, attaché à la chaîne dans le chenil. Je porte mon harnais avec le mors entre les dents. Mais j’ai surtout le goût de son jus de Maître qui me reste en bouche et j’adore être marqué comme cela ! Je me sens moins libre et plus soumis.
Maîtresse Emilie vient me chercher 2 heures plus tard. Je savais qu’elle était levée mais Maîtresse tient à son calme du matin, sans esclave à contrôler. L’entrée est parfaite : je me retrouve immédiatement mis à recueillir précautionneusement à la source son nectar doré goûtu du matin. Je pense que la soumission, c’est d’abord l’affaire de ressentir dans son corps l’emprise du Dominant. Et là je suis aux anges !
Quel chemin en soumission j’ai fait en si peu de jours ! J’en reste tout bouleversé en corps et en esprit. Je ne sais pas si c’est ma nature profonde, ou plutôt l’essentiel de mon fonctionnement d’être humain. Mais je ne peux nier que le besoin de me soumettre à un autre humain, fait partie de mon ADN. Claire, en cela, a été clairvoyante ! Ah oui, Claire… Pour la première fois, j’ai peur de ne pas être à la hauteur. Je l’aime. Elle me manque à ce moment, mais je ne sais pas si j’aurai la force de vivre la soumission dépouillée, très cistercienne qu’elle me destine. Ici c’est facile, comme un grand Disneyland de la D/S, avec plein d’activités toutes plus physiques ou émotionnelles que les précédentes. C’est comme un méga grand huit : on y monte ; on appréhende intensément pendant toute la montée en se demandant si c’était une bonne idée et puis on bascule. Dès lors, il n’y a pas d’autre possibilité que de se laisser emmener jusqu’à la fin, malgré les peurs et le mal être en évitant surtout de penser au virage suivant.
C’est comme cela que cela marche ici. Je suis monté sur le manège et tout n’a été qu’une longue descente pleine de ressentis et d’émotions primales. Maîtresse Emilie est parfaite, Monsieur Jean : formidable. J’en prends plein les sens pour les années à venir !
Mais je crois au fond de moi-même que cela ne peut être qu’une parenthèse. Une vie ainsi très proche de l’absolu des fantasmes du soumis en manque, n’est pas possible au jour le jour. Cela ne pourrait plus être aussi dense et machiavélique. Je me rends compte à la fin de cette semaine combien de temps Maîtresse Emilie a du passer à préparer tout cela. Quasiment aucun temps mort pendant des journées ! Ouah ! Non ce n’est pas possible de continuer ainsi, même si sur ce moment, je ne souhaite que cela puisse continuer à l’infini. Déjà parce qu’il y a les contingences de la vie. Ce huis-clos D/S nie les familles. Il n’y pas de devoirs à faire faire, pas de famille à visiter, pas tout simplement de courses à faire. C’est déjà un miracle si cela a pu durer, hors du temps, pendant 7 jours…
Et même si Maîtresse Emilie me ramenait en esclave chez elle, que se passerait-il ? Elle a un boulot, un enfant, peut-être 2 bientôt, un mari. Elle n’aurait pas plus de temps pour s’occuper à me martyriser ! Je crois que finalement Claire est dans le vrai. La voie de la D/S conjugale en devenant sont petit mari bien dressé est la seule capable de marcher. Si au moins, elle voulait y mettre de temps en temps quelques confiseries douces-amères…
Je repense au papier d’appartenance que Maîtresse Emilie m’a fait signer. Je n’ai pas eu beaucoup de temps depuis hier soir, vu la nuit de folie au pays des Hommes que j’ai passée. Il me rend mal-à-l’aise maintenant. Non que je regrette de l’avoir écrit… Regretter serait possible si j’avais eu le choix. Mais là je ne l’ai pas eu : la progression de l’action de Maîtresse a été-telle qu’elle pouvait obtenir tout ce qu’elle voulait tellement j’étais coincé dans un tel état de crainte véritable. Ce n’était plus un jeu d’attitude auquel je consentais sans avoir l’impression de consentir, mais un quasi « viol » de ma personne en force. Je crois que c’était quelque chose de mûrement réfléchi de sa part, mais je ne vois pas quelle pourrait être son utilité… Je ne crois pas, une seconde, qu’elle va me kidnapper et me ramener chez elle. Cela donc à voir avec ma Claire, que je ne vois pas accepter du tout, quand elle le saura.
C’est d’une telle agressivité entre femmes ! Non seulement Emilie lui fait accepter, je ne sais pas comment, qu’elle la cocufie et de la plus violente manière qu’il soit, avec un potentiel bébé qui rappellera en permanence à l’Une ce que l’Autre lui a fait. Mais voilà en plus, qu’elle la prive de son « jouet » soumis, en tirant la première. Non, je ne vois pas comment Claire pourrait bien le prendre… leur retrouvailles va être orageuse et j’espère ne pas en faire les frais…
Maîtresse me coupe dans mes pensées en m’amenant aux « besoins ». J’ai déjà pissé ce matin chez Monsieur Jean et je n’ai pas l’empressement habituel d’y aller. Mais chemin faisant, alors que mon cul dandoline avec ma marche canine, je découvre que la dose de sperme que j’ai reçu sous la douche a fait son travail de sape habituel et que je vais devoir une nouvelle fois m’humilier, devant les yeux de Maîtresse, à faire, ce qui habituellement se fait dans l’intimité…
- Claire arrive ce soir nous rejoindre. Cela sera bientôt la fin d’ici. FAIS LE CHIEN !
Pourquoi a-t-elle dit cela à ce moment précis ? Cela me le rend encore plus difficile…
Elle m’attelle ensuite à tirer un dernier œuf. Il faut croire que je n’ai plus aucun proche car il me faut tirer dangereusement sur l’attache de mes couilles pour en trouver un ! Je suis heureux de la ramener à celle qui restera à jamais la Maîtresse exceptionnelle de cette semaine dans mes souvenirs.
L’œuf trouvé est soigneusement mis de côté. Et Maîtresse Emilie m’intime l’ordre de détruire les preuves…Pour cela et pour la première fois, je suis libéré de mon quatre pattes, pour découvrir avec un râteau, les 10 œufs restant qui finissent par disparaître dans le barbecue qu’elle me fait allumer, emportant à jamais la perversité que chacun contenait, sans aucun doute.
Et je reviens, en chien soumis, au pied de Maîtresse qui ouvre le dernier œuf de complicité entre nous. Je la regarde faire. Le contenu n’a pas l’air de l’enthousiasmer… Pour la première fois, elle me tend le papier plié dans l’œuf. Je blêmis à sa lecture.
- Je suis vraiment désolée, Pierre. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris de le mettre dans les possibilités. A ce que je me souvienne, c’était celle de la liste qui t’attirait le moins. Je ne sais pas, peut-être ai-je mis cela dans la liste pour la symbolique, en me disant qu’il y avait zéro chance qu’elle sorte… On peut ne pas la faire, si tu veux…
Je regarde de nouveau le papier. Je suis très attaché à la symbolique D/S, mais là c’est plus que limite… et pas sans danger. Pourtant j’ai accepté cette part du hasard. Emilie la souhaitait. Elle ne nous plaît pas. Et alors ? C’est le risque de ce type de jeu… Je réponds donc.
- Maîtresse, je crois qu’il faut totalement respecter les règles du jeu que vous avez fixées et que j’ai acceptées. Cette épreuve est sortie, je l’ai ramené entre mes dents et je n’ai aucun droit d’essayer de l’éviter, même si elle me terrifie et qu’elle est dangereuse par nature.
- Pour la première fois, la Maîtresse, comme tu m’appelles, ne sait pas où elle en est. Je ne me reconnais pas pour avoir retenu cela. A ma décharge, j’étais tellement excitée à parcourir ta liste… Mais pourquoi ai-je retenu cela spécifiquement ?
- C’est à vous Maîtresse, qui avait gagné par contrat signé et à mes yeux un total pouvoir sur moi, de décider. Je m’y plierai si vous décidez de me l’imposer…Cela me coûte beaucoup de vous laisser libre choix. Mais comme je le pense, je considère la D/S comme une chose qu’il faut respecter. Le soumis subit, la Maîtresse décide.
J’attends que Maîtresse Emilie se décide. Si elle y renonçait, cela serait génial. Mais si elle décide de persévérer dans sa folle envie que je crois inconsciente, je m’y soumettrai…
- Je ne sais réellement pas quoi décider. Je suis stupéfaite d’avoir laissé cela passer. Mais tu montres la voie : je l’ai écrit, il faut donc que j’assume. Je le ferai donc, quoi qu’il m’en coute. Comment puis-je t’aider ?
- Mettez-moi au rebut au chenil en attendant Maîtresse. J’ai besoin de m’y sentir contraint. Et surtout personne ne devra jamais savoir c’est trop noir…
- Je suis d’accord avec toi, ni Claire, ni Hervé. Cela restera un lourd secret entre nous…Donc au chenil, esclave !
Je suis donc enfermé dans le chenil, pleinement conscient de ce que je vais subir. Cela me terrifie. Mais j’ai une sourde excitation à ce que Maîtresse me l’impose. J’attends depuis peut être une heure quand Maîtresse revient…
- C’est l’heure, esclave…
Je la remercie du « esclave » qui me facilite l’acceptation de ce qui va se passer, en totale soumission. Je la suis vers la maison, comme un condamné monte à l’échafaud…
Je suis remis au chenil une heure plus tard. Ce qui devait se faire, a été fait, en folie D/S. J’y ai survécu. Nous avons survécu. C’est notre terrible secret DS/ entre nous, que nous n’évoquerons plus jamais même si je crois que cela nous a marqué à vie tous les 2 et qui pour l’instant, encore, me rend terriblement mal à l’aise.
Je reste toute la journée au chenil. Maîtresse Emilie m’évite au maximum, et ne revient que pour m’amener ma gamelle de pâtes froides à midi, avant de s’éclipser immédiatement. Elle part finalement manger à l’extérieur.
Je reste enfermé l’après-midi dans le chenil où l’ennui me prend. Oh que je n’aime pas devoir attendre sans rien pouvoir y faire. Mais au moins là, contrairement à la niche qui m’attend à la maison, j’ai au moins la nature autour, qui arrive quand même à me distraire un peu.
En fin d’après-midi, j’entends enfin la voiture de Maîtresse se rapprocher. Coincé dans le chenil, je n’arrive pas à la voir. Une portière qui claque et puis plus rien. J’attends impatient que Maîtresse vienne me récupérer.
Mais au lieu de Maîtresse, c’est la femme de ma vie, Claire, qui me découvre dans le chenil ! Et elle s’arrête d’un coup à mi-chemin, terriblement choquée par ce qu’elle voit ! Elle a envoyé en « prêt » un petit mari convenablement mis et voilà qu’elle retrouve une larve totalement dépoilée, enchainée au sol et au corps lourdement marqué par les instruments. Son arrivée me fait l’effet d’une douche glaciale, dissipant d’un coup brutal, tout le romantisme de la soumission et j’ai terriblement honte en cet instant. D’autant que le regard de ma Claire se teinte de colère !
Claire se rapproche de ma cage furibarde. Je ne suis pas bâillonné. Je veux parler, expliquer, nuancer mais je reçois en retour qu’un très sec : « Oh toi, gros cochon pervers ! Ferme-là ! Je te ramène à la maison immédiatement et nous aviserons… ». Je baisse la tête en humiliation finale !
Elle s’énerve à ouvrir la porte du chenil en vain ! Un cadenas l’empêche ! Je suis étonné car si Maîtresse a relevé au début que le verrou est cadenassable, elle ne l’a jamais fait. La chaîne à laquelle mon collier est attaché suffit à ce que je ne puisse pas l’atteindre…
- ELLE EST OU LA CLE ?
Sa voix est en colère !
- Je… je ne sais pas… y’a pas de cadenas… d’habitude.
Elle réagit à mon dernier mot qui sous-entend tant de chose et me transperce de son regard courroucé, au point que je recule prudemment en fond de chenil.
- PUTAIN ! PUTAIN ! PUTAIN !
Claire ne dit habituellement aucun gros mot. Qu’est-ce qui se passe ? J’en tremble de tous mes membres complètement perdu et coupable. Je n’aurais jamais dû venir là… quelle connerie, j’ai fait ! La plus grosse de ma vie…
Claire tourne en rond devant la cage frustrée de ne pas pouvoir m’atteindre. Puis elle se décide manifestement d’aller à la recherche de la clé…Recherche vaine car la maison doit être elle aussi fermée. Elle revient finalement et tape de fureur dans la grille du chenil. Je ne l’ai jamais vue aussi énervée ! Elle fait si peur !
C’est ce moment que choisit la voiture d’Emilie pour revenir… Claire part en flèche l’affronter ! La rencontre des 2 femmes se fait à l’angle de la maison, sous mes yeux, mais un peu trop loin pour que je puisse entendre toute leur dispute sauf le « TU N’AVAIS PAS LE DROIT ! PAS COMME ARTHUR ! » que Claire crie. C’est véhément ! Cela hurle sa bile des 2 côtés ! Je me sens terriblement gêné d’être l’enjeu manifeste et le centre de leur dispute du siècle. Cela ne devrait pas finir ainsi… pas de cette manière…
Les gestes finissent par arriver sous la forme d’une première gifle que décroche Emilie sur la joue de Claire. Elle en est outrée et en réponse se rue sur sa rivale ! Elles tombent au sol et se battent en chiffonnières. Tout cela pour moi ? Ou pour autre chose ? Elles deviennent complètement hystériques !
Je me sens au bord de la nausée à les voir batailler sur l’herbe. Les rondeurs naturelles d’Emilie lui confèrent peu à peu l’avantage. Elle arrive à la bloquer au sol sous son poids pour la gifler sévèrement de nouveau, plusieurs fois. Claire au début se débat, s’échappe même avant d’être reprise et encore giflée. J’en souffre pour ma Claire, alors qu’il devient net que ses forces l’abandonnent et qu’Emilie prend le dessus… L’une domine l’autre et semble lui faire une longue morale à voix basse. L’autre répond par des courts propos. Oh que j’aimerais savoir ce qu’elles se disent ! Qu’est-ce qu’il y a entre elles ?
Je suis estomaqué de voir Emilie arracher les vêtements de ma Claire, qui se débat mollement pour l’éviter, comme si déjà elle savait qu’elle avait perdu. La robe finit en lambeaux, le soutien-gorge est arraché ainsi que la culotte de coton blanc : Claire finit à poil intégralement ! Mon esprit a peut-être pitié pour elle, mais il laisse perversement mon sexe libre bander durement à la vision du corps nu de ma femme, qui, il y a une semaine encore, m’interdisait de la voir ainsi !
Les longs cheveux de Claire sont défaits de la bataille et servent de prises à Maîtresse Emilie pour l’amener hors de ma vue. La dernière image que j’ai avant qu’elles disparaissent, est celle du mignon petit cul de ma femme, suivant en urgence la main qui tire les cheveux…
Je n’en peux plus. Je suis émotionnellement épuisé et reprends à la hâte ma respiration. Mon pénis bandé m’apparait comme totalement indécent, face à ce qui s’est passé en live sous mes yeux. Mais je m’en fous et ma main trouve perversement le chemin de la caresse de délivrance. Pour la première fois depuis ma mise en cage à Saint Sylvestre, je me branle honteusement, mais la honte est chez moi un profond aphrodisiaque qui m’envoie très loin dans les méandres du plaisir trouble, au point que j’obtiens de ma queue dans une jouissance d’éjaculation stupéfiante !
Je suis encore seul à attendre le bon vouloir de ces Dames dans ma cage, inquiet et curieux à la fois, de ce que se déroule en même temps dans la maison. Je tends l’oreille mais ne saisit rien d’autre que ce je crois être des cris étouffés. Mais peut-être est-ce mon esprit qui se les imagine ?
J’attends longtemps alors que je vois le soleil descendre peu à peu rejoindre la ligne des arbres, au-delà de l’étang. C’est mon seul repère de la quantité de temps qui passe…
Finalement elles reviennent dans le plus incroyable attelage que je n’aurais jamais osé fantasmer : Maîtresse Emilie tient ma Claire nue en chienne à ses pieds avec laisse et collier de paillettes ! Ses fesses sont rougies de frais ! Et elle est bâillonnée d’un bâillon boule autour duquel luit la preuve que sa bouche vient d’être longuement utilisée !
Je ne peux que rebander à une vision si étrange. Cette fois, Maîtresse Emilie a la clé de la porte du chenil. Elle y introduit Claire, dont les yeux au maquillage défait me montrent combien elle a dû prendre. Elle a le rouge aux joues de l’humiliation totale…
- Je ramène sa chienne à mon chien… Tu m’encules cette chienne mal dressée, là sous mes yeux ! …Je lui ai déjà lubrifié le trou…
J’hésite grandement tant Claire semble défaite…
- Schnell !
Je me rapproche de « ma » chienne. Elle tremble de tout son corps quand je pose ma patte sur ses reins mais ne cherche pas à fuir, résignée. Je n’en peux plus de tension sexuelle. La nature ayant ses propres lois, je ne résiste pas à introduire ma bite qui en veux tant, à l’entrée de son anus. Claire me laisse la pénétrer ainsi de temps en temps, à condition que je sois attentionné et que j’y aille doucement pour la laisser s’ouvrir à l’intrus. Elle m’impose aussi la capote pour ne pas me recevoir dans ses entrailles. Mais là Maîtresse intervient et me pousse de son pied à rentrer immédiatement à fond, pendant que Claire hurle à l’intrusion dans son bâillon. Cette perversité m’excite totalement et je me mets sans gêne à lui labourer le cul en puissance, fort de l’expérience apprise de Monsieur Jean, au point que mon enculée ne sait plus où donner du cri d’outrage.
Maîtresse s’est accroupit et lui tient la tête pendant que je travaille le cul en profondeur. Elle tient manifestement à contempler les yeux de Claire pendant que je la profane. Une claque part même : Claire a dû baisser son regard.
- … cela fait du bien là où cela passe ?... vous allez bien ensemble avec ton Pierre… il suffit de vous bousculer un peu pour que vous révéliez votre nature… non, Claire, le sexe dans la vie cela doit être primitif et brutal… un corps à corps enflammé… tu sens comment la bite de ton homme te ramone en profondeur ? … arrête d’être une mijaurée… comme cela fait du bien et du mal à la fois ?... et quand il va t’envoyer son sale sperme au plus profond de ton cul… c’est toi qui doit être dingue à vouloir faire des collections de capotes remplies… si tu ne veux pas du sien, offre-toi celui d’un autre ! C’est dans l’ordre des choses et c’est simple… mais là tu vas recevoir celui de ton petit mâle… tu verras comme c’est un sentiment de possession agréable… allez du rythme, le chien, défonce-là qu’elle ne puisse plus s’assoir pendant une semaine…
Je redouble d’ardeur sous les encouragements de Maîtresse. Ma chienne geint de douleur en douleur, de surprise en surprise, de plaisir en plaisir, le tout mêlé. Je sens la pression de lancement qui monte dans mon bas ventre. Le canon s’arme et part dans une terrible jouissance de queue marquer le cul de ma chienne outragé qui hurle néanmoins à l’orgasme total !
- Tu as indéniablement joui ! Tu vois comment tu peux être une bonne petite salope… Comment cela peut être bon de se la voir forcer, même la petite queue de ton mari… alors imagine la grosse d’un amant exigeant…
Claire détourne la tête humiliée et Maîtresse la laisse faire cette fois. Elle nous quitte et nous enferme dans le chenil. Alors que je redescends peu à peu, je me sens gêné de ce qui vient de se passer. Elle doit l’être encore plus que moi, mais elle me surprend à venir lotir son corps meurtri contre le mien. C’est très primitif et animal. Claire se met à doucement pleurer. Je la caresse pour l’apaiser. Elle continue à baver autour de son bâillon qui lui prend la bouche. Je cherche à lui enlever, mais je ne peux pas : il est cadenassé.
Qu’en est-t-il d’ailleurs de sa relation particulière avec Emilie ? La mienne me parait au premier abord plus nette. C’est Emilie qui m’a débourré en soumission, sans n’avoir jamais vraiment eu besoin de s’imposer, en surfant simplement sur la vague de mes désirs enfouis et de mes riches émotions d’homme. Elle est clairement devenue ma Maîtresse alors que Claire reste ma femme. Et dans cette réalité, l’appartenance qu’elle m’a fait signer hier soir est la conséquence logique. Dans ma folie soumise, je tiens au symbole et elle m’a fait signer devant témoins : elle est donc véritablement la Maitresse qui me possède en soumission !
Mais au-delà du monde fermé de la D/S, c’est quoi une Maîtresse ? La Vie est en train de me jouer un de sales petits tours dont elle raffole, en me forçant à accorder la qualité de Maîtresse à une personne différente de mon épouse, alors qu’il aurait plus simple pour tout le monde, et moi le premier, que cela soit réuni dans la même femme. Et je ne pense pas qu’il soit humainement possible de revenir en arrière, sur cet état.
Je constate le lien D/S très intime, peut-être même plus intime qu’être en couple, où le partenaire peut garder une part de secret. Là je n’ai plus le droit d’en avoir. Le moteur est indéniablement sexuel mais la sexualité est vécue différemment. Elle vise dans le couple au renforcement du lien amoureux par la fusion des corps, jusqu’à l’eldorado de la jouissance commune. Elle agit différemment en D/S. Elle motive les actions et ressentis, mais se vit un peu égoïstement chacun de son côté. La fusion est remplacée par la complicité d’agir et subir ensemble. La nature du lien qui unit est aussi différente. J’aime Claire. J’adore Maîtresse, au sens de l’adoration d’une Déesse.
Me voilà dans des beaux draps ! Mais il me manque une clé pour comprendre : Emilie et Claire. C’est quoi la nature de leur lien entre elles ? Je suis perdu… Ces images de corps dénudés à la webcam au tout début de la période, la main d’Emilie dans la culotte de Claire me reviennent en boomerang. Elles sont de vieilles amantes manifestement. Quand Claire est allée la retrouver 2 jours en décembre, pour clarifier son envie de domination, elles ont de nouveau baisé sur le lit. Mais c’est qui que Claire est allée voir : l’amie ? l’amante ? sa propre Dominante ? La Dominante ou peut-être, sans aller aussi loin, l’emprise qu’elle pourrait avoir naturellement sur elle, expliquerait beaucoup de choses, comme ma « livraison » une semaine aux mains de l’autre, ou le droit de cuissage que s’est accordé Emilie sur ma personne. Mais cela ne cadre pas avec la fureur qu’a montrée Claire quand elle m’a découvert soumis d’une Autre dans le chenil… En tout cas pas une seconde Maîtresse, ne m’a laissé douter que je ne vais pas finir soumis en couple à ma Claire, l’encourageant même maintenant à prendre un amant bien membré pour me remplacer !
Je reste à mes interrogations alors que nous restons enlacés longtemps à l’écart du monde. Bien sûr à être au contact avec mon Amour, peau contre peau, je finis rebander de désir pour elle. J’en suis gêné. Claire s’en aperçoit, se dégage lentement en me fixant d’un regard très triste, avant de pousser doucement à m’allonger sur le sol, sur les fesses. Pourquoi fait-elle cela ? Cela ne lui ressemble pas. Je veux la repousser mais elle me le refuse. Elle me monte alors pour une des plus étranges baises que nous n’avons jamais fait, un soumis et je ne sais quoi – une soumise ? – qui se prennent et se donnent du plaisir, enfermés au fond d’un chenil au bord d’un étang de Sologne. Cela soulage mes doutes et me laisse aller doucement dans la trouble jouissance… J’ai quand même l’impression d’être un profiteur de sa détresse actuelle… ou peut-être que finalement je me trompe encore.
Maîtresse est venue nous libérer à la toute fin de journée, alors que Claire s’était endormie en sécurité entre mes bras. Elle n’a pas eu à beaucoup la forcer pour l’envoyer se laver dans l’étang de ses « saletés »…
Nous la regardons se laver nue les pieds dans l’eau au bord de la rive. Claire n’a jamais été très à l’aise à nager là où elle n’a plus pied. Emilie l’attend avec une serviette.
- Elle est quand même belle, notre Claire…
Je note le « nous » et ses implications. Il y a après tout, aussi du « nous » maintenant entre Maîtresse et moi…
- Oui, elle a toujours été magnifique, Maîtresse. Et dès la première fois que je l’ai vu à la fac. Je me souviens encore de l’autre première fois où elle s’est mise nue devant moi quelques semaines plus tard. J’étais si intimidé…
- Vous formez un beau couple qui se révèle avec le temps, plus compliqué que la sage image qu’il renvoie… Moi j’ai connu Claire au collège et nous nous sommes suivies au lycée. Aussi loin que je me souvienne, nous avons été toujours amies. Mais la nature a été injuste. Quand nous sommes sorties de nos chrysalides à l’adolescence, Claire s’est métamorphosée est une fille aux formes magnifiques, qui attirait tant de garçons, tandis que je suis restée avec des formes plus disgracieuses, un « demi-boudin » comme m’a qualifiée une fois un garçon de ma classe… C’est la loterie de la Vie : l’équivalent chez vous les garçons d’en avoir une « grosse » ou une petite… qui travaille autant les filles que cela peut travailler les garçons…
- Mais vous êtes belle, Maîtresse !
- A tes yeux, je le suis devenue. Mais rappelle-toi comme, il y a peu de temps, tu regardais encore avec un peu dédain les formes de la bonne copine de ta femme… Tu ne faisais que reproduire l’éducation immémoriale des petits mâles qui ne jaugent qu’au canon supposé de beauté, avant qu’ils deviennent plus sages et trouvent de la beauté là où ils n’en voyaient pas. Mais il leur faut tellement de temps pour cela… comme s’ils restaient enfants bien plus longtemps que nous…
Sa voix a quelque chose de mélancolique triste.
- Alors s’il t’a fallu autant de temps pour « voir » ma beauté une fois adulte, pense comment cela devait être difficile à vivre pendant mon adolescence, d’autant qu’étant tout le temps avec Claire, la comparaison était immédiate aux yeux des garçons. Ils me trouvaient sympa, mais belle jamais et cela me faisait mal. J’étais finalement considérée comme une faire valoir de Claire autour de laquelle les garçons tournaient sans cesse…..
Je ne sais pas vraiment que dire ayant été surpris, moi aussi, les mains dans le pot de confiture.
- Et je crois que Claire, sous ses atours amicaux, considérait cela comme dans l’ordre des choses. Alors j’ai fait ce que les filles, dans mon cas, ont toujours fait : ce que la nature n’avait pas voulu me donner, je l’ai compensé par l’ardeur. Je suis devenue une salope, mais pas avec les garçons de mon âge, définitivement disqualifiés à mes yeux, mais des gars plus mûrs donc plus âgés. La règle était qui voudrait de moi, me prendrait ! Mon premier s’est appelé Thomas et il était interne à l’hôpital où j’étais pour une radio. J’avais 15 ans et demi et je l’ai allumé grave, au point que je suis reparti avec son numéro de téléphone. 3 jours plus tard, il m’a dépucelée en un seul mercredi après-midi de la bouche, de la chatte et, à ma demande expresse, du cul. Cela m’a remplie, si j’ose dire, d’une confiance nouvelle. Bien sûr, je me suis débrouillée pour que cela se sache. Je suis devenue immédiatement beaucoup plus populaire ! Ah les jeunes mâles en rut… Mes rapports avec Claire se sont inversés à partir ce moment : c’était maintenant moi qui menait la danse et elle qui me suivait partout… jusqu’à ce que je lui fasse perversement rencontrer mes amants qui allaient me baiser à fond dans l’heure qui suivait, pendant qu’elle restait toujours et encore pucelle ! Tu sais comme on peut être vache à cet âge… Elle était si mignonne en petite Barbie encore vierge à rougir à ne plus finir quand j’évoquais l’action des queues de mes amants. Cela m’a donné une envie… Appelle cela comme tu veux, un caprice de filles si tu veux, mais j’ai eu alors la folle idée d’être la première de Claire. L’ancienne « demi-boudin » s’est dépucelée avec plaisir la petite Barbie brune!
- Comment cela dépuceler ?
- Tu ne t’es pas demandé pourquoi le gode ceinture ne faisait pas partie de mon attirail de Maîtresse ? Parce que c’est un moyen que j’ai réservé très tôt entre filles… J’ai demandé à Thomas de m’en acheter un en sex-shop en échange d’une baise dans son pieu un mercredi après-midi. Il a été très sympa de nous prêter son studio pendant une de ses gardes. J’y ai emmené Claire un peu surprise... Elle n’a d’abord pas cru puis pas voulu … mais je suis arrivé finalement techniquement à mes fins. Et pas qu’une fois avant de nous quitter après le bac !
Je sais bien qu’il y a toujours des secrets dans un couple. Mais là je tombe des nues : Claire dépucelée au gode ceinture par sa copine Emilie !!! Elle ne m’en a jamais parlé…
- Bref je ne te fais pas un dessin. Je te laisse imaginer tout ce qui peut être fait entre filles… Claire était parfaite : une jolie poupée disant toujours non, avant de se laisser persuader et me donner, le rouge au front, sa langue, sa chatte et bientôt son petit trou. Elle a pris quelques fessées aussi… Elle n’a jamais été dans l’amour entre filles, mais avec moi, elle s’humiliait à me laisser faire… pour son plus grand plaisir très trouble. C’est en cela que vous vous ressemblez beaucoup. J’ai fini par me fâcher avec Thomas : plus de studio… Alors je lui ai imposé de faire cela chez elle, sur son petit lit d’adolescente, à côté de la chambre de ses parents et de celle de son petit frère. Papa et Maman étaient ravis qu’elle ne coure pas le garçon. S’il avait su ce que je lui faisais dans la chambre…
Je m’en doutais, vu tout ce qu’elle m’a fait depuis une semaine : Emilie est une dominante née qui adore voir certains autres à sa chatte ! Le genre de femme qu’il faudrait normalement éviter avec soin mais qui là m’excite. S’il devrait avoir quelque chose de choquant d’imaginer Claire en train de se faire forcer à être baiser par une fille, à quelques mètres de mes très convenables beaux-parents, moi au contraire cela, m’émeut le zizi qui se met à bander. Je devrais la plaindre à la place. Je dois être irrécupérable…
- Bien sûr, passés les premiers mois, Claire a essayé de s’émanciper de mon influence. C’était un garçon d’une autre classe, appelé Arthur, particulièrement mignon. Je voyais bien qu’il était amoureux et elle n’y était pas insensible, le faisant « patienter » comme toutes les filles bien élevées. J’ai été peau de vache et je lui ai piqué. L’avantage des puceaux de cet âge, c’est que, sous leurs meilleures intentions, se cache le besoin de se faire enfin dépuceler, comme les « autres ». Il n’a pas été difficile à convaincre de me rejoindre sur le lit. Et après, je l’ai imposé à Claire pour nos sorties du mercredi en ville, main dans la main et bisous, comme un rappel permanent de ma mainmise sur sa sexualité… C’était disons agréable de se faire sucer par ta Claire après avoir été baisé par Arthur dans le même après-midi. Je pense que sa fascination / répulsion pour le jus d’homme vient de là…
Ce prénom Arthur me saisit. C’est celui qu’a crié Claire à la face d’Emilie au début de leur dispute ! Et je commence à comprendre la clé qui me manquait : en quelque sorte, Emilie vient de récidiver en me « volant » aux ambitions dominatrice de Claire. D’où sa colère. Jusqu’à quel point, je ne sais pas encore...
Claire a fini ses ablutions et nous rejoint toute mouillée.
- Vient que je te sèche comme au vieux temps… dans la salle de bain de tes parents.
Le souvenir fait remonter le trouble honteux au visage de Claire. C’est vrai qu’elle peut être charmante rougissante. Je me demande si je ne l’ai jamais vu ainsi ? Sans doute pas, encore un aspect de sa personnalité qu’elle m’a dissimulé tout le long de ces années…
- Nous étions en train de parler de ta découverte de l’amour adolescent…
Claire se renfrogne et baisse les yeux en fixant le sol…
Plus tard, nous avons mangé. En fait, drôle de moment : moi comme à mon habitude de la semaine, à avaler ma gamelle de pâtes froides sur le sol en chien. Mais Claire si elle reste nue avec son collier à paillettes dîne à table en face de Maîtresse habillée. Elles parlent de copains et copines de leur jeunesse que je ne connais pas. Tout serait quasi naturel, si Emilie ne rougissait pas délicieusement sous les yeux d’Emilie… et les miens par ricochet…
Le repas terminé et la table rangée, Maîtresse s’aperçoit que je suis resté queue libre de toute la journée et me renferme sous clé. Et bizarrement elle me remet mon harnais de bouche pour me condamner à la seule écoute.
- Et si nous disions à Pierre ce qu’il sait réellement passé à l’hôtel en décembre ?
Cela semble tenir plus de l’ordre que de l’invitation. D’ailleurs…
- En position sur le canapé… et toi couché sur le sol à écouter en chien sage…
Je vois Claire s’agenouiller avec réticence sur le canapé, mains sur la nuque, exposant son corps des seins à la chatte. C’est une position nettement soumise et cela réveille mon zizi en cage.
- Tu connais maintenant le prologue, Pierre. La trouble sexualité de Claire jusqu’à ses 18 ans. Et son envie de te dominer réellement qui est apparue l’été dernier. Chose étonnante pour une femme si bien élevée et convenable, qui a dû t’intriguer… Maintenant avec le background de son adolescence secrète, les pièces doivent se rassembler pour toi... Mais le plus simple c’est de lui demander directement puisqu’elle est là…
Et là je vois, incrédule, Maîtresse se saisir des tétons exposés de Claire.
- Aie ! Oui je vais tout dire, mais arrête !
- Pourquoi, j’arrêterais puisqu’au fond de toi cela t’excite ?
Deux doigts descendent dans sa chatte et en reviennent luisant de l’excitation qui y règne. Claire baisse la tête d’humiliation…
- Oui c’est cela. Je suis venu pour essayer de retrouver la mimi d’avant !
- Et pourquoi voulais-tu cela ?
Maîtresse lui pince plus fort les tétons.
- Parce que… aie !... parce que cela m’excitait la chatte de te retrouver... de cette manière !
- Pourquoi ? Ton Pierre a le droit de savoir…
- Aie !! Parce que sous mes airs bien comme il faut, je ne suis en fait qu’une grognasse lubrique qui adore se faire baiser par une fille !
Je suis abasourdi d’entendre sortir de la bouche de ma Claire, des propos aussi grossièrement sexuels ! Cela me fait l’effet d’assister au résultat d’un dressage d’animal de cirque…
- Et tu as été bien baisée ?
Claire a du mal à répondre à l’indécence de la question. Elle devient écarlate et baisse les yeux instinctivement. Elle dit d’une voix faiblarde.
- Oui…
- Humm cela devient intéressant… Regarde comment cela se fait se dresser le petit zizi de ton mari ! Je pense qu’il meure d’envie que tu lui racontes ce qu’il s’est réellement passé pendant ton séjour avec ta Mimi…
- Je… je suis arrivé au train. Tu m’attendais… heureusement…
- Tu avais peur que je ne vienne pas ?
- Oui…
- Cela aurait dommage de rater la descente du train d’une adolescente rougissante de 38 ans en manque, avec des yeux frit d’excitation ! Continue…
- Tu m’as surprise en m’emmenant directement dans le nouveau Beate Hilse, sur la place de la gare. C’est un sex-shop moderne où j’aurais dû me sentir à l’aise mais je ne l’étais pas… je balisais !
- Ah bon ? Pourquoi ? Pierre brûle du zizi de le savoir…
- Parce que… que… tu m’avais demandé de… te choisir un gode-ceinture pour … parce que tu me tenais la main… sans ambiguïté… parce que la vendeuse m’a fait un large sourire sous-entendu…
- Tu aurais vu Pierrot comment elle a failli défaillir quand cette charmante Dame lui a demandé… qui porterait le gode ceinture ? Bref elle a fini par se choisir un modèle pour que je lui lime les trous… les trous car je lui ai annoncé que je lui prendrais aussi le petit trou, comme au « bon vieux temps »… Mais ce n’est pas tout, ta Claire a voulu « autre » chose… Tu lui dis ?
Je vois Claire devenir écarlate comme jamais depuis que je la connais !
- j’ai demandé… à Mimi… de prendre aussi… un collier et une laisse… et un martinet… Elle me l’a fait répéter 3 fois devant la vendeuse de plus en plus fort ! La honte !
Comment cela, Claire a demandé volontairement à Mimi de la soumettre alors qu’au même moment elle envisageait de devenir ma Maîtresse ?! Je ne comprends plus rien…. Comment Claire peut avoir 2 volontés qui m’apparaissent si contraires en même temps ? Elle qui est d’habitude si décidée….
- Je vois que ton petit mari soumis est perdu là et a besoin de tes explications….
- Je ne sais pas trop comment le dire… L’été et l’automne dernier, j’ai pas mal lu sur la D/S. J’avais au départ envie de devenir pour mon mari, la petite Maîtresse de ses rêves. Mais à force de lire, j’ai dû me résoudre que cela m’excitait pas mal la chattoune… Et pas que les comptes rendus de la domination domestique des épouses sur leur mari, j’ai découvert aussi la D/S entre filles… J’ai enfin fini par mettre des noms sur ce qui s’est passé au lycée : domination et soumission. Et la nostalgie de ces moments m’ont fait mouiller, là aussi, peut-être même plus que la perspective de devenir une petite salope sadique pour mon mari !
- Tout s‘est arrêté avec Claire au bac quand on est parti faire nos études dans des villes différentes… Nous n’en avions jamais reparlé ensemble ; je veux dire intimement, de ce qui était enfoui dans notre passé commun. J’ai donc été très surprise de le voir ressurgir dans un long mail de confession, qui évitait soigneusement d’appeler un chat, un chat. Mais j’ai toujours su lire entre les lignes… d’où ma proposition de nous retrouver entre filles et seulement. Allez racontes la suite….
- J’étais à la fois heureuse et gênée de me balader main dans la main avec mimi. En fait surtout gênée quand elle a demandé à l’hôtel une chambre avec un « grand lit » ! Je regardais le sol…
- Attends, je vois que tu t’excites encore. Tu as pris notre martinet ?
Claire baisse les yeux…
- Oui… il est dans la voiture…
- Alors va le chercher !
Claire revient avec le martinet de cuir rouge qu’Emilie utilise immédiatement pour lui fustiger les seins, ce qui retire quelques cris et grimaces de petites douleurs. Elle se tortille sous les lanières et « Maîtresse » attend patiemment qu’elle reprenne sa position. Pourtant les coups me semblent légers... L’explication vient encore une fois de Maîtresse.
- Ta Claire est très douillette. Beaucoup plus que toi qui recherche le plaisir masochiste et épicé d’une raclée en bonne et due forme. Tu me sembles d’en avoir jamais assez et il faut pousser très loin pour te mâter. Claire est différente tout simplement parce qu’elle n’aime pas avoir mal au sens propre. Mais elle aime le symbole que je lui impose ce baiser exigeant sur sa peau. C’est pour cela, qu’elle appréhende l’instant où elle devra passer par la « raclée » véritable pour apprendre à t’en donner une de même niveau de ressenti… Bon n’évoquons plus des perspectives douloureuses, et revenons à notre rencontre en décembre. Claire, Pierre doit avoir hâte de connaitre la suite…
- Tu m’as mise immédiatement nue avec le collier. J’adoré ce contraste, moi nue et fragile et toi qui est restée habillée en passant simplement le gode ceinture au-dessus du pantalon. Et là, oh mon Dieu ! Le gode était divin tellement j’étais chaude. Je n’ai pas arrêtée de jouir d’abord de la chatte puis du cul qui s’est tellement ouvert, un vrai gouffre à gode ! Cela ne me fait jamais cela avec toi…
Cela me fait surtout sur le moment une dureté extrême, douloureuse, dans la cage à imaginer les 2 femmes baiser ensemble !!
- … tu peux être d’une telle nature jouisseuse ma chérie… une vraie petite salope en manque perpétuel… que j’ai dû utiliser le martinet pour te calmer un peu, au moins pour que tu redescendes quelque peu… pour que nous puissions discuter entre filles. Cela a été réellement cela Pierre, des discussions entrecoupées de baises sur nous et sur ton cas…
Je regarde Maîtresse avec intérêt : je vais enfin savoir de qui je tiens mon sort actuel. Et puis le nous qui ne m’inclut pas est une perspective nouvelle et troublante pour un petit mâle face à ses 2 femmes…
- Je crois que le moment est arrivé de tout te révéler… Ecarte les cuisses ma chérie… je sais que tu as besoin d’une motivation particulière pour te livrer corps et âme… à ta mimi. Nous avons vu en décembre combien il peut être long de te faire livrer tes basses pensées intimes… Pierre t’écoute attentivement.
Les lanières du martinet viennent cingler en une ferme douceur la fragile peau de son sexe entraînant de nouveaux grimaces douloureuses, tortillements et à ma grande surprise : quelques premiers râles de plaisir !
- Première question qui passionne ton Pierre encore déboussolé : qu’est ce qui s’est passé l’été dernier chez tes parents pour que tout à coup, tu te décides à le dominer réellement comme il te le demandait depuis des années ? Plus en jeu pour lui faire plaisir…
Les lanières se font plus pressantes pour rappeler que le mensonge n’est pas autorisé dans le jeu de la vérité !
- Je… je suis tombé dans la poche de sa valise sur le roman porno qui avait apporté… je ne savais pas qu’il avait cela.
Là, c’est moi qui rougis à mon tour. Le roman s’appelle « Madame et son chien » et il suit depuis plusieurs années mes branlettes de mon côté !
- J’ai d’abord été choquée qu’il ait eu besoin d’emporter cela, alors que j’étais sexuellement disponible en vacances… Je l’ai lu avec un sentiment de jalousie au ventre, me doutant bien ce qu’il pouvait faire avec la main sur la queue… Et en plus pendant nos vacances ! Alors qu’il ne s’occupait pas assez de moi à mon goût… Pour moi cela ne pouvait qu’être qu’un ramassis infâme de fantasmes d’hommes. Et J’étais prête à te le renvoyer à la face !
- Et donc…
- La lecture m’a rapidement troublé la chatte à mon grand étonnement. Le pouvoir de cette femme… la docilité contrainte de l’homme… Je l’ai lu moi aussi la main sur mon bouton. J’aimais moins les séances grandiloquentes, mais j’ai adoré le récit de leur vie quotidienne, comme elle le dresse à être toujours plus parfait, comment elle le manipule. Et surtout, pour la première fois, j’ai compris la logique de la discipline conjugale aux instruments ! L’auteur explique très bien cela… En fin d’après-midi quand Pierre m’a retrouvé dans la chambre, j’étais dans un état de tension inavouable et je lui ai sauté dessus !
Je me souviens de ce retour maintenant. Claire m’a taillé une pipe d’enfer avant de m’amener à la prendre directe au petit trou ! Un vrai feu follet… C’était donc cela !
- Qu’a tu fais ensuite ?
- J’ai d’abord lu le livre 3 fois à la suite, puis encore les passages qui me faisaient tant mouiller. Pui la curiosité féminine a été là : j’ai voulu en savoir plus et je suis allé voir des centaines de pages sur internet. Des récits de vie réels cette fois. Et j’ai bien eu du courage, vu la lenteur de l’ADSL chez mes parents. Ma décision avançait : j’ai envie de plus en plus de tenter ce genre d’aventure de vie avec mon mari ! Et en plus, puisqu’il en rêvait…
- C’était quand, rappelle moi ?
- Chez mes parents cet été…
- Attends Pierre ne comprend pas : tu as « collectionné » sa production de sperme bien avant…
- Oh cela ? Tu sais que nous utilisons des préservatifs puisque je ne peux plus prendre la pilule. Pierre laisse toujours traîner la capote usagée sur sa table de chevet à la vue des enfants. C’est toujours moi qui m’en occupe. Un jour, j’en ai eu marre et au lieu de la jeter je l’ai mise dans une boîte au congélateur avec l’idée de la lui rendre un jour pendant un de nos jeux comme tu m’avais rendu le sperme d’Arthur… Mais à l’époque, il n’y avait pas de collection. Juste une boîte… Je l’ai créé ensuite avec les numéros.
- Question n°2… Pourquoi ce désir annoncé d’épurer la domination en lui enlevant toutes ses fantaisies ?
Question saluée par un coup sec qui lui arrache un cri !
- parce… parce qu’il s’excite trop de cela ! Cela ne lui coûterait rien !
Je la regarde sans comprendre. Claire soutient mon regard et me parle directement…
- Tu es devenu un bac+10 en D/S. Je suis sûr que tu as essayé tout seul de ton côté des tas de choses en t’excitant. Quelle place cela me laisserait ? Celui de la Maîtresse inconnue qui te ferait cela comme tu le désires tant ! Pas celui de TA Maîtresse ! Si tu avais été vierge d’esprit en pratique BDSM, alors oui j’aurais pris du plaisir à les découvrir avec toi. Mais pas dans ces conditions, où je ne serai jamais sûre vers où se tourneront tes pensées, pendant que je ferai. Si nous construisons cette nouvelle relation ensemble, il te faut aussi puceau que je peux l’être… Et puis ce n’est pas tout : mon idéal c’est l’homme aimable et servant, pas l’esclave à mes pieds qu’il faudra toujours gaver de perversités nouvelles, sinon, si j’en suis les expériences lues, cela sera un échec assuré ! La mise en place de cette relation doit te coûter autant que moi… et pour cela il est indispensable que tu me sacrifies toutes tes excitations passées. Tu comprends ?
Oui je comprends qu’il ne peut en être autrement, mais la perspective d’être transformé en moine cistercien à réprimander mes désirs ne m’enchante pas… et même me fait peur. Emilie réagit alors étonnement, par une longue séance de martinet sur la chatte en lui faisant la morale…
- Tu recommences encore à vouloir aller dans l’extrême… avec son tempérament, cela ne marchera pas. Un homme a besoin d’espace de soupapes de temps en temps… Et tu te prives de moments de complicité forts avec ton homme, même soumis. Je t’ai déjà dit qu’il sera 100 plus efficace d’apprendre à les gérer que de chercher à les supprimer. Et tu restes toujours aussi têtue ! Nous règlerons cela plus tard… Ce qui m’amène à la 3ème question : toi et moi… Peux-tu éclairer Pierre qui se doute maintenant de pas mal de choses mais ne sait pas tout ?
- Je vous suis soumise.
Je note le vous D/S qui arrive dans la discussion.
- Explique ton cheminement à Pierre comme tu me l’as expliqué en décembre…
- C’est compliqué. Deux choses sont montées en moi depuis l’été : la volonté de te soumettre Pierre et le besoin de me redonner à une Autre. Je sais que cela peut paraître fou, mais c’est comme cela. J’ai besoin de me sentir appartenir à celle qui m’imposait une relation D/S sexuelle au lycée sans que je le comprenne…
- Je ne la concevais pas comme cela à l’époque, c’était surtout très naturel. Mais tu as raison, c’était techniquement cela comme tu me l’as si bien rappelé…
- Je t’aime toujours follement Pierre ! Mais j’en aimais une autre avant et je n’ai pas cessé de l’aimer finalement quand j’y ai repensé. C’est un amour différent. Je ne suis pas du tout attirée par l’amour en filles, mais j’adore quand Emilie m’impose d’avoir ce type de relation. Je me sens si bien à me laisser aller et ne plus devoir raisonner… La logique est finalement cela : je veux devenir ta Maîtresse exigeante et concrétiser en même le fait qu’Emilie soit la mienne dans les faits depuis ma découverte de l’amour. Je me suis aperçu, alors que j’avais refoulé cela au fond de mon esprit, combien il est symbolique d’avoir été dépucelée par Emilie ! Je regrette finalement de l’avoir perdue de vue pendant toutes ces années…
- Je n’ai pas été surprise de voir revenir Claire en amante. Aux échanges que nous avons eus avant, je me doutais bien de pourquoi elle venait me voir et j’étais heureuse à la perspective de la retrouver au lit. Mais par contre, je n’imaginais pas que Claire ait le besoin d’intellectualiser notre relation de cette manière, pour clore le chapitre de notre adolescence. Le collier et le martinet m’ont prise au dépourvu au départ. J’ai cru à une fantaisie érotique et j’ai joué à la méchante Maîtresse avec plaisir. Mais quand Claire, à la fin de nos 2 jours, m’a offert quelque chose qui lui couterai beaucoup, j’ai dû regarder sa demande d’une manière totalement différente. J’ai pris quelques semaines de réflexion avant d’accepter Elle et son don. C’est pour cela que nous sommes venus vous voir à la fin de l’année… Le reste, il faut que tu l’entendes de sa bouche…
- Tu sais Pierre, que je crois que dans la soumission réelle, il faut nécessaire commencer par un sacrifice à l’autre, quelque chose qui compte terriblement pour soi et que l’on rend à l’Autre. C’est ce que je te demande pour tes fantaisies sexuelles et moi j’ai offert à ma Maîtresse désirée, quelque chose de symboliquement très fort : le droit d’avoir un enfant du sperme de mon mari avec mon assentiment ! Ce n’est pas son idée, c’est la mienne totalement assumée !
La révélation est un tel choc ! Je soupçonnais une relation D/S entre elles mais de là à imaginer que tout cela est une idée de ma prude et jalouse Claire et non d’Emilie !!!
- Pierre, nous sommes allées voir un notaire le 30 décembre. Je voulais aller jusque-là. J’ai signé mon appartenance définitive à Emilie et mon accord que mon mari lui fasse un enfant. Le pauvre homme ne savait pas où se mettre, mais nous voyions bien qu’il bandait à mort dans son pantalon. Ma nouvelle Maîtresse Emilie m’a ordonné à voix haute à la fin, de le sucer séance tenante ! Je n’ai jamais été aussi humilié de ma vie quand je me suis agenouillée devant sa braguette. Il était aussi rouge que moi. Il a d’abord essayé de me repousser mais cela ne l’a pas empêché de jouir finalement sans gêne dans ma bouche …
Je m’agite à la folie de ces révélations. Un notaire ! Toute la ville doit le savoir maintenant ! Au point que Maîtresse a besoin d’user de son martinet sur mes fesses et mon dos pour me calmer…
- C’était effectivement un moment follement excitant. L’idée m’est venue comme cela… Après j’ai emmené ma soumise fêter sa mise en soumission dans une chambre d’hôtel à proximité pendant que vous nous pensiez aux courses. D’ailleurs j’ai une folle envie de la langue de ma soumise maintenant, dépêchons nous de finir de tout raconter à Pierre… ce qu’il a vu aujourd’hui. Pourquoi ma soumise a eu tort de se mettre en colère ?
A ce rappel, Claire baisse les yeux en soumission.
- Nous t’écoutons…
- J’étais jalouse ! Bien sûr je savais que vous alliez faire l’amour pour concevoir l’enfant. Bien sûr que je me doutais qu’il y aurait des échanges SM. Tout cela je l’ai accepté à l’avance, mais retrouvé mon mari en chien sans aucun poil et heureux de son état, cela a été trop !
- Et qu’est-ce que je t’ai dit ?
- Que je vous ai reconnu le titre d’être ma Maîtresse. Qu’en conséquence plus rien ne m’appartient plus et en particulier mon mari. Que vous aviez donc le droit de disposer de lui comme vous vouliez… Je n’aurais pas dû me mettre en colère. C’était une faute…
- Et une faute qui te vaudra une punition demain. Mais en fait si j’ai fait tout cela, c’est pour te donner une leçon. Tu as imaginé dans ton esprit une hiérarchisation purement intellectuelle : moi tout en haut, puis toi et enfin ton mari au plus bas, sans demander mon avis. Plutôt risqué comme décision pour la soumise qui se veut si obéissante, que tu me dis être. Je t’ai aussi demandé de revenir sur ta position très sèche en ressentis de la domination envisagée sur ton mari. Tu n’as pas tenu compte de ma demande qui est portant compréhensible et juste pour Pierre. J’ai donc aussi pris le pouvoir sur l’esprit de Pierre.
- Mais vous m’aviez promis que vous ne le feriez jamais !
- Voilà que tu recommences… Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Tu ne mens jamais toi ? Tiens qu’est-ce que tu as dit à tes parents et beaux-parents pour justifier que vous ne veniez pas et qu’ils doivent se refiler les enfants le week-end prochain ?
- Que…que nous avions un mariage d’amis…
- Alors que tu voulais la paix à la maison pour dresser ton mari… Tu vois que tu es pleine de paradoxes. Allez ça suffit pour ce soir, j’ai envie d’abuser sexuellement de ma soumise maintenant… Montons.
Dans la chambre, je me retrouve attaché à la chaîne de mon panier. Claire est gênée par ma présence.
- On ne pourrait pas le mettre pour la nuit au chenil, pour laisser les Dames tranquilles ?
Je la regarde véritablement effrayé par mon sort nocturne, mais Emilie vient immédiatement à mon secours.
- Claire, en cette saison, c’est impossible de lui faire passer la nuit dans le chenil. Et tu as conscience pourquoi tu veux cela ? Réfléchis-y bien…
Claire se tait un moment avant de conclure elle-même.
- Parce que j’ai la chatte en feu pour Vous et que j’ai honte de le montrer à mon mari…
- Et c’est donc pour cela que nous allons le laisser tout voir…
Maîtresse Emilie dirige alors la tête de sa soumise entre les lèvres de son sexe… Commence alors la plus folle nuit de ma vie de zizi voyeur coincé dans sa cage.
dyonisos
-> Les autres petits contes D/S
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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La suite arrive immédiatement.
Merci de ton commentaire
dyonisos
Maîtresse Emilie a LES destins en main, elle contribue ainsi à l'épanouissement de Claire et Pierre.
Excellent cette tournure du récit !
Bravo
Rudy
Si cela peut encore te plaire... alors tout va bien, Rudy !
dyonisos
a bientot yaya
Tu avais combien de retard l'ami ?
amitié Yanode
Me connaissant, tu n'avais vraiment pas vu venir la chose ?
amitié, dyonisos
Avant mon départ en vacance je m'interrogeais sur ce que allait devenir Pierre, comment Claire allait revenir dans cette histoire, en maîtresse, en soumise? Aura t'elle finalement prise un amant?
Finalement il y a tout ça dans ce chapitre mais pas de la minière que je pensais :-)
L'idée qu'Emilie est la "Maîtresse" de Claire c'est bien trouvé, maintenant le paradoxe pour un soumis (Pierre) d'avoir vu sa Maîtresse en soumise ne va pas être simple à gérer, quoi que je ne doute pas de tes talents pour nous surprendre encore une fois...
Merci à toi et bientôt.
Mister.Cocu
La voie de facilité n'est jamais la mienne, vu comme tu me connais maintenant...
Bon je vais te faire plaisir, je mets la suite, l'ami.
dyonisos
et oui il t arrive de me surprendre meme si j ai une bonne idée de ton esprit 'tordu' lol car la l on depasse le cadre du D/S simpliste qu el on trouve partout qui a envahi tout tel une fessée et la chate mouille pour jouir a la premiere chose qui la penetre... ce qui est loin tres loin de la réalité car ce genre de plaisir est tres complexe et revoit au plus profond de soit loin des chemins explorés .
amitié Yanode
J'ai depuis longtemps renoncé à la réalité même si j'essaye de garder le réalisme. Car la réalité d/s si elle peut être enthousiasmante à certains moments, peut être si decevante à d'autres. Tu le sais et je le sais. C'est pour cela que la forme du conte est si intéressante...
Amitié, dyonisos
amitié Yanode
De plus vraisembable certes, mais toujours un plus loin que ce qui est possible dans la vraie vie sauf à spécialiser son existence à la relation D/S (mais alors pas d'enfants).
Finalement les 2 périodes favorables pour la D/S semblent être avant le mariage et surtout après le départ des enfants (je n'y suis et tu n'y es pas..)
dyonisos