14 mars
Qu’elle est dure à supporter cette première mise à la niche !
Je pensais qu’il me suffirait de dormir et d’attendre sagement que Claire vienne me rechercher le lendemain matin. Mais je ne crois pas avoir réussi à m’endormir, ou si je l’ai fait pas suffisamment longtemps.
La niche est une capsule en dehors du temps. Je n’ai plus de montre. Je ne peux pas savoir si le jour est levé ou non. La niche semble toujours baignée du même faible éclairage invariable. J’ai perdu la notion du temps qui passe ou ne passe pas pour la première fois de ma vie et je me sens complètement abandonné. Le silence aussi, permanent, terrible à écouter. La seule chose qui me rappelle qu’au dehors, le temps s’écoule est qu’à un moment je commence à avoir faim. Etait-ce il y a 5 minutes ? Etait-ce il y a 2 heures ? Aucune certitude : je n’en sais fichtre rien… J’ai si soif aussi.
Mon « Royaume » se limite à un espace de 1m80 de long et disons 1m40 de large, avec 80cm au niveau du sol et 60cm pour la banquette. Je ne peux pas me relever. La grille réglée à mis niveau m’en empêche.
Les murs sont invariablement là où je me mette. Je ne peux ignorer que j’ai mis par Claire à l’enfermement. Et comme il n’y a rien à faire entre mes 4 planches, je m’ennuie terriblement. Il ne me reste plus que mes pensées pour remplir le vide de la niche.
Je réfléchis, pense, me remémore, cauchemarde un peu aussi. Il ne reste que cela pour garder mon humanité et invariablement tout cela me ramène intensément vers la personne de Claire, la seule qui ait le pouvoir de m’extirper de là ! Sa présence en moi n’a jamais été aussi là. Je la vois comme un phare qui me guide et à qui j’ai l’infini besoin de plaire…
Je n’en suis qu’au premier enfermement dans la niche et déjà elle m’obnubile. J’ai à un moment la clarté d’esprit de constater combien est bouleversant, donc efficace à l’attachement, cet oubli à la niche. Avant de me perdre à nouveau dans les méandres d’adoration et de vénération, vers celle qui devient plus que jamais MA Maîtresse.
Le sperme reçu me travaille les entrailles. C’était sans doute prévu comme cela par Claire. J’ai un dernier réflexe de dignité, ne voulant pas être d’avantage avili. Je lutte un moment à ne pas le faire, à éviter. Mais la figure de Claire se rappelle dans mon esprit en majesté. Elle attend que je m’y plie : qui suis-je pour me refuser ? Je finis par lâcher et me mets au dessus du pot. « C’est bien mon toutou, c’est bien… ». Le couvercle est refermé mais le fumet musqué reste…
Je suis surpris d’entendre de nouveau du bruit du fond de ma niche. Je me mets à 4 pattes en attente prêt à faire la fête à la Maîtresse qui a tant peuplé le silence de ma niche. Mais je ne suis pas encore libéré. Point d’ouverture de la grande porte vers la libération, mais un panneau qui glisse au raz du sol pour être remplacé par une grille désespérante.
Maîtresse Claire m’apparait enfin follement attirante dans une robe noire, assise sur un fauteuil pliant de cinéma, à me contempler dans ma cage.
- Bonjour, mon nounours !
Sa voie est enjouée et tellement revigorante. J’ai la force de lui répondre ouaf, ouaf en chien fidèle et cela fait rire doucement…
- Cela va ?
- Plus ou moins. Ce n’est pas marrant d’être enfermé à la niche.
- C’est fait pour, mon chéri. Je n’ai pas très bien dormi aussi de mon côté. Je t’ai regardé sur la vidéo te retourner sans cesse dans ta niche, toute une partie de la nuit. Je voulais tant te parler, te rassurer… voire même venir te libérer de remord.
- Mais pourquoi ne pas l’avoir fait ?
- Parce que j’ai demandé à Michiel de paramétrer pour me l’interdire jusqu’à aujourd’hui 15h30… Je n’étais pas sûre d’avoir la force de ne pas intervenir dans le processus de ce premier enfermement.
- Mais c’est injuste !
- Non, nécessaire pour nous 2 pour que nous en ressentions pleinement tous les effets. Il fallait que ce premier séjour à la niche soit un peu brutal, pour que tu comprennes son utilité et que moi j’apprenne à l’accepter. Tu sais ta présence m’a beaucoup manqué dans le lit cette nuit… tes doigts, ta langue mais aussi ta chaleur…
Je préfère sagement évacuer toute imagerie associée pour la santé de mon zizi en cage.
- Donc impossible de me libérer avant 15h30 ?
- Malheureusement oui, mon nounours. Mais je pense que tu dois avoir faim : je t’ai amené de quoi tenir…
Qui se présente sous la forme d’une gamelle plate (!) qui est glissée par une fente en bas de la grille. Je déteste l’idée ! Et je fais la moue…
- Pas d’eau ?
Ma voix s’énerve un peu.
- Non, car tu en as déjà…
Je la regarde dans l’incompréhension…
- Tu n’as pas trouvé le distributeur d’eau au milieu du panneau ?
Je regarde attentivement là où elle m’indique. Il y a effectivement une tétine que je n’avais pas vue, mais qui me révolte : téter pour se désaltérer ?! Encore une façon de plus de m’humilier…
- Viens ici, mon nounours…
Elle passe sa main au travers de la grille pour me flatter. Je goûte la douceur de sa caresse primitive qui malheureusement fini par s’arrêter trop vite.
- Bon, il est 10h30 et je sors. Je vais à la séance du matin du cinéma avant de déjeuner au bord des quais. Je n’en peux plus d’attendre. Je vais rater le début de la séance, alors excuse-moi, je te laisse mon nounours…
Le panneau se referme sur ma niche et je me retrouve de nouveau si seul. J’en pleure presque tandis que je mange mécaniquement dans ma gamelle un mélange de lait et de corn-flakes… Je me sens de nouveau, seul et abandonné…
A 15h30 précises, Maîtresse Claire me libère de la niche et me laisse étirer mes muscles endoloris. Je lui en veux pas mal de m’avoir traité ainsi alors je garde ostensiblement le silence en représailles.
Mais Claire ne me laisse pas aller bien loin dans ma révolte. D’abord elle me remet la laisse dès que je me glisse à l’extérieur, avant de m’ordonner d’y retourner pour aller chercher mon pot resté dedans. Il se jette dans une cuvette dissimulée derrière une porte de placard que je n’avais pas encore vue. Il y a aussi un point d’eau et une balayette pour le nettoyer avant de le remettre à sa place.
Puis elle m’envoie à la douche, heureusement chaude, que je prends devant ses yeux toujours tenu en laisse ! La situation d’exhibition m’excite à l’insu de mon mécontentement initial et je commence à bandouiller dans ma cage, ce qu’elle ne manque pas de me faire remarquer…
Finalement je suis mis à sécher à 4 pattes à ses pieds. Elle a oublié de mettre une serviette à disposition à proximité de la niche… Elle en profite pour retirer sa culotte et me mettre sous mon nez sa merveilleuse petite chatte juteuse. Je n’ai pu la voir ou la sentir depuis 15 jours d’interdit. Je suis aux anges et ma queue fait la fête dans sa cage.
- C’est pour me faire pardonner d’avoir oublié la serviette, mais c’est exceptionnel. On reviendra après aux bonnes habitudes… Tu ne vois point. Tu ne sens point.
Je ne me fais pas prier pour y glisser mon visage, que Claire vient me maintenir de sa main, collé contre son intimité à ce moment terriblement poisseuse. Je crois qu’elle préfère me maintenir ainsi pendant qu’elle me parle.
- Je ne veux pas te mentir. Je voulais que tu saches à quoi tu acquiesces si tu te décides à tenter la période d’essai de 6 mois. Tu devras être enfermé dans ta niche, toutes tes nuits, tant que cela nécessaire… Je voulais te faire comprendre que la niche ce n’est pas un fantasme mais une contrainte réelle, nécessaire à créer le lien de dépendance. Tu sais donc à quoi tu t’exposes, si tu te décides d’accepter mon offre. Mais ce n’est pas encore pour tout de suite, tu as le temps de réfléchir… et pour l’instant, suce-moi bien. Fait jouir ta Maîtresse !
Plus tard après avoir bien faire jouir ma Maîtresse, nous redevenons un couple normal. Je récupère le droit de me promener librement dans la maison et d’y mener ma vie, bientôt occupée par le retour des enfants « enchantés » de leur week-end campagnard. La vie familiale d’un dimanche soir s’organise. Oui les enfants ont fait leur devoir comme promis. Les cartables sont prêts, les douches prises et à 21h tout notre petit monde est couché prêt à s’endormir de la fatigue du week-end…
Un dernier petit câlin du soir et je passe à la chambre mettre mon pyjama. Quand je redescends, Claire m’attend à la porte du placard de l’escalier avec mon collier de soumis. Il est temps d’aller faire mes devoirs du « soir » ! J’enlève donc mon pyjama…
- Ah au fait, il y a une lettre qui est arrivée pour toi. Je n’ai pas eu le temps de t’en parler… Je l’ai mise sur ta table d’écolier… C’est ton sujet du soir…
Je m’assois nu sur l’assise de paillasson de ma petite chaise devant ma petite table d’écolier et Claire, comme à notre habitude, m’enferme à clé…
L’enveloppe est plus grande qu’une lettre normale et assez épaisse, avec l’adresse écrite d’une belle plume très féminine. Je regarde le cachet de la Poste : la lettre a été enviyé il y a plus d’une semaine. Bizarre que je ne l’ai pas eu avant, à moins qu’elle soit arrivée et Maîtresse Claire l’ait caché, le temps de me faire vivre ma future niche.
Et surtout la lettre vient de la ville où habite Emilie ! Celle qui détient ma clé… J’en conçois un fol espoir qu’elle me soit renvoyée dans ce courrier. Je suis presque intimidé. Remettre la main sur ma clé serait miraculeux, mais j’aurais presque le regret de la récupérer ainsi banalement, alors que j’adore les rituels et les cérémonies BDSM. Non cela ne peut pas être aussi simple… Cela doit être plutôt le retour de la clé dans les mains de ma Maîtresse Claire sous un emballage scellé que je dois lui remettre. Un petit jeu cruel : je revois un instant physiquement la clé, pour mieux la perdre. L’idée perverse me fait bander…
Je ne cesse de tâter à la recherche d’une épaisseur plus dure. Ce n’est pas clair. Je me décide finalement d’ouvrir. Il y a dedans, un carton d’invitation et un billet de train… Rien d’autre. Pas de clé, nulle part. Mon espoir est douché et je débande un peu.
Que me veut donc Emilie ?
Le carton d’invitation est très explicite : elle me veut au sens premier !
L’Obéissance Stricte Exigée et la photo du cul sévèrement canné me font frémir mais il y a de quoi remplir l’esprit d’un petit mari pervers maso que je suis ! Je bande dur…
Ma libération est donc prévue pour le dimanche 3 avril. Ce qui veut dire au moins encore 3 semaines à rester enfermé et si je me décide à accepter l’offre de Claire, certainement juste le temps de dire « ouf » avant d’être de nouveau strictement enfermé pour 6 mois. Car je me doute que cela le cas.
J’aurais fait combien en cage depuis le 31 décembre ? Au moins 94 jours : plus de trois mois ! Avec une traite au bout de 55 jours. Cela pourrait coller… Sauf qu’il n’est pas marqué garantie de jouissance, juste « enlèvement de cage à zizi » associée au mot « vilainie ». Un petit tout dehors sans jouir, et hop on renferme le zizi pour la copine et ses 6 mois à suivre… Je n’ai aucune assurance sur ce qu’Emilie m’autorisera.
Je regarde les instructions au dos. Ce n’est pas que le dimanche qu’on me requiert mais toute une semaine, du dimanche au dimanche, pour laquelle je dois poser des « congés au travail » ! Je dois arriver sans téléphone, sans montre avec les seuls vêtements que je porterai ce jour là ! Et il n’y aucune autre instruction.
Je m’intéresse donc au billet SNCF. Départ à 8h32 du matin de la petite gare à côté de chez nous. J’ai au total 5 changements, donc un avec une attente en gare de 3h30, avant d’arriver à ma destination « Saizy le Mâle » à 18h52. Je ne connais pas ce nom de ville mais je le trouve très symbolique. Est-ce fait exprès ? En regardant mieux les différentes étapes, je me convaincs que cela doit être quelque part en Sologne.
Cela pourrait être inquiétant qu’il n’y ait pas de billet de retour, mais peut-être tout simplement Emilie me le donnera à la fin de mon « séjour », ou d’autres dispositions sont prises pour mon rapatriement.
Tout cela attise au final beaucoup ma curiosité et, dans mon cas désespéré, me fait donc baver sans cesse du zizi. J’aimerai en savoir plus. Je repasse en revue attentive les 2 documents. Rien de plus à tirer du billet SNCF, mais il me reste le carton d’invitation. Une semaine entière avec les « vilainies » promises et l’obéissance stricte exigée, me persuade que l’on doit être assez proche d’un stage de dressage de soumis. Je suis étonné qu’Emilie se lance dans cette aventure, même avec la bénédiction de ma Claire, mais après tout pourquoi pas : qui vivra, verra. Et puis en tant que débutante, elle ne doit pas être encore très méchante…
Sauf que… ce cul strié en illustration, je le reconnais ! Il ressemble au derrière d’Hervé. J’en suis quasi sûr. Ne me demandez pas pourquoi je suis capable de reconnaître le cul d’un copain… mais à 90% c’est lui. Donc la canne, c’est Emilie ? Non ? Cela ne peut-être que cela : aie, aie, aie… Il ne fallait pas que je vende la peau de l’ours avant de l’avoir tué. J’en frémis tant cela me fascine !
C’est dans cet état d’hypnotisation excitée et perverse, que Claire vient me chercher dans mon placard. Un seul coup d’œil à mon sexe comprimé dans sa cage, lui dit pus que mes mots combien j’ai été excité de recevoir ce courrier.
- Je sais que tu as plein d’interrogations et que tu voudrais avoir des réponses. A la base, c’est la purge que je t’ai promise, confiée à une autre… Je ne veux pas m’y compromettre, cela serait improductif pour notre suite, si suite tu décides. Tu comprends ce que je veux dire ?
- Je crois que oui…
- Nous allons jouer à un petit jeu. Si tu veux que je t’en lâche quelques brides que je sais, et je ne veux pas tout savoir, il va falloir que tu te montre bonne langue divinement suceuse. Une information par orgasme obtenu. Cette offre n’est valable que ce soir. Après tu devras attendre d’y être, pour savoir à quelle sauce tu seras mangé.
Nous nous retrouvons immédiatement sur notre lit. Claire me tend mon masque et mon pince nez. Elle « m’épargne » les boules quies. Je mets de l’entrain à la sucer avidement entre ses cuisses pour la faire partir en multiples orgasmes.
Le premier arrive vite, tant Claire était préalablement excitée. Et comme promis, elle parle un peu :
« Je suis évidemment complice de tout cela que nous avons décidé lors de notre party à l’hôtel début décembre. C’est un compromis délicat entre copines qui te concerne. Mimi est une dure négociatrice et j’ai du concédé plus que j’étais prête à le faire. Tu pourras la remercier…»
Elle me colle contre son intimité de son, maintenant, habituelle main sur ma tête. Et sans vergogne m’utilise comme sex-toy vivant à se frotter contre mon visage avec des basculements de reins. Pendant que son plaisir monte et monte, j’essaye de réfléchir. J’ai le sentiment bizarre que ma Claire n’est pas totalement satisfaite de l’accord trouvé avec sa Mimi. Je comprends maintenant les motivations de Claire écarté entre ses désirs profonds et son éducation. Mais je ne comprends pas l’intérêt d’Emilie dans tout cela. Elle est beaucoup plus nature que Claire et finalement avait-elle besoin de moi, pour mettre en cage son Hervé ? Qui est si facilement tombé au ski dans la bouche de la première venue… une vraie oie blanche. Il me manque une pièce au puzzle…
Le second orgasme de Claire est en train de s’épanouir à se frotter contre mon visage. Qu’elle travaille à ma place me va très bien, tant je veux qu’elle le prenne et qu’elle parle encore ! Il finit par éclater violemment et Claire prend son pied. Je l’ « accompagne » jusqu’à sa redescente avant de m’enlever de ses cuisses et laisser le vide de l’air sur sa chatte. Elle comprend et parle immédiatement.
- Mimi de part sa profession médicale n’a pas les réticences que je peux avoir. Les liens affectifs interdisent certains gestes, certaines choses. Allez continue à sucer ta Maîtresse, mon fidèle toutou. Elle n’a pas encore assez joui….
Cela ne m’étonne pas de Claire, encore prise dans ses paradoxes. Je veux en savoir plus. Je sors donc mon grand jeu : le full monty avec doigts dans la chatte et l’anus à jouer de l’épaisseur de la muqueuse entre vulve et rectum pendant que ma langue aspire le clitoris. Il me faut travailler durement pour amener ce 3ème orgasme de loin. Il met du temps à surgir et monter très lentement. Je n’abandonne pas et sans cesse revient à la charge, jusqu’à l’entendre crier sans ce soucier que les enfants entendent :
- Oh oui ! ouiiii ! Continue, mon Amour. Encore ! Encore ! J’y suis… ahhhhh… ahhhh… cela me coûte, mais j’ai du concéder à ton exploitation sexuelle totale. Mais je ne veux jamais en entendre parler de ta bouche…
Comment cela mon « exploitation sexuelle totale » ? Cela mérite d’y réfléchir au calme. Je veux entreprendre le 4ème orgasme, pour en savoir encore plus, mais Claire me rejette pour s’endormir quasi instantanément sous le bienfait des hormones de la jouissance. Je fais face à une nuit d’intenses réflexions…
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Un superbe chapitre comme toujours, finalement cette mise au cachot à été moins strict que ce que je m'y attendais.
Une chose m'a échappé, j'avais pas fait attention que Claire avait décidé de caché son corps à Pierre, je trouve ça très vicieux et très érotique car il fantasmera encore plus en l'absence de repert visuel.
Le prochain chapitre annonce une semaine de "vacances" comme au ski, certainement plein de surprise, j'ai hâte.
Au plaisir de te lire.
Mister Cocu
Je ne voulais pas le cachot trop strict (pour changer d'autres récits. )
Oui il a toujours beaucoup de choses que je mets et qui ne sont vu/lu qu'après. C'est pour cela quand j'en ai l'occasion, je les rappelle d'un chapitre à l'autre. Donc ne t'inquiète pas si tu en as laissé un...
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