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Mardi 29 octobre 2 29 /10 /Oct 06:30

Ma seconde nuit est agitée. Je me réveille en sursaut la queue coincée dans la cage au milieu d'un rêve humide d'un bateau en train de couler. Je crains le pire. Mais non la couche est sèche, pas pour longtemps car la vessie est pleine. Allez me voilà redevenu un pisseux en couche. Ce liquide chaud qui coule au travers de la cage et vient peu à peu alourdir la couche et réchauffer l'entrejambe. Etrange sensation de se laisser aller mais finalement pas désagréable.

Je me lève finalement à une heure de quasi grasse-matinée en ce dimanche de changement d'heure. N.  dort encore. Nouveau laissez aller dans la couche qui est maintenant bien lourde. Heureseument ce matin aucun besoin plus humiliant. J'attends en regardant bizarrement les chaînes enfantines. Allez comprendre l'insconscient ! Puis N dormant toujours je me décide à me changer encore une fois tout seul pour aller acheter du pain et faire des couches courses de compléments. Même impression d'être tenu au dehors par ma Maîtresse de femme. Je ne traîne pas à la supérette.

A mon retour, Maîtresse N. se réveille...

- Bonjour mon Amour. J'espère que tu ne m'as attendu pour changer ta couche ?

Toujours cette capacité de mettre une dose d'humiliation dans chaque phrase de Maîtresse. Mais je suis content qu'elle se rappelle dans quel état de contrainte je suis. 

Je me couche à ses côtés, elle vient se mettre sur son épaule favorite. Elle me caresse au dessus de la grenouillère. Mes tétons bandent nettement et il n'y a pas qu'eux. J'adore ce moment de complicité.

- Tu es si rigolo dans ta grenouillère ! Je t'aime.

Me voilà fixé. Elle rajoute au bout d'un moment.

- Allez soit un bon soumis et va me préparer le petit déjeuner de ta Maîtresse.

Je quitte le lit à contrecoeur et m'exécute. Elle apprécie son petit déjeuner avec les tartines amoureusement grillées. Je vois bien qu'elle est crevée, loin de sa meilleure forme. N. se demande à haute voix, ce que nous allons abandonner de notre programme de jeux de notre week-end. A son habitude, elle me laisse me pendre moi-même. A mon retour de la terrasse, me voilà déjà proposer que, vu son état, le plus simple est de continuer le jeu actuel de la grenouillère. Bien sûr l'idée lui va alors que je m'aperçois que j'aurais mieux fait de fermer ma gueule de dyonisos. Mais quel con, je suis ! Je tente de me défendre.

- Oui, mais je n'ai encore fait popo aujourd'hui. Cela va puer et tu n'aimes pas.

- Mais non, je suis sûre qur tu adores te salir ainsi...

Je prefère changer de sujet. 

- Et le cinéma ? Je ne crois pas que cela soit le moment d'y aller...

Je sais que j'abuse un peu mais être coincé pendant 3 heures à bander sans espoir dans sa cage...

- Mais non. Nous y allons jamais, alors nous serions bêtes de rater cette occasion. De toute façon, je ne verrai rien de ton état alors que tu sois en cage seule ou en cage plus la couche et la grenouillère ne change pas grand chose finalement... Allez va regarder les horaires des séances en fin d'après-midi.

Je vaque un moment à écrire le récit de mon aventure du week-end pour le blog. Vers midi, je la vois ressortir des toilettes, qui, pour elle, ne sont pas interdites.  Elle fait un stop par la porte-fenêtre de la terrasse et après obtenu son bisou, elle dit simplement.

- Allez mon émission se termine dans une demie heure et après je donne son bain à mon petit dyonisos.

N. me plante sur ces mots, malicieusement. Quel bain ? Je le saurai vite.

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Effectivement une demie heure plus tard, je suis requis dans  la salle de bain, où la baignoire remplie à moitié m'attend... Elle m'enlève grenouillère, couche et même cage et hop elle m'invite à me glisser dans "mon bain" avec le bateau préféré de notre gamin en guise d'amusement de Maîtresse et même une tututte trempée au whisky que je me dois de sucer ("ton apéro").

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L'histoire de notre couple retiendra que c'est dans ce bain que la validation des règlages de la nouvelle cage métal aura été faite. Le choix du modèle lui est déjà fait depuis vendredi soir. Maîtresse N. se fait expliquer sur la cage plastique démontée tous les réglages importants et décide définitivement en son âme et conscience, comment sera la nouvelle maison de son mari soumis.

- Allez fini de te prélasser, debout, mains derrière la nuque. On va rendre ton zizi beaucoup plus enfantin...

blbain2.jpgEffectivement elle entreprend de raser tous les poils présents sur le pubis, le sexe, les couilles, dans l'entrejambe et même dans la raie du cul, avec détermination et persévérance. Une fois contente de son résultat, elle me laisse terminer de me laver tout seul et va se reposer dans la chambre.

Je finis de me savonner, me sèche et repasse directement le grenouillère. Je vais me présenter dans la chambre.

- Mais alors la cage et la couche ? Pas bien cela... 

Maîtresse N. m'a saisi les couilles au travers du fin tissus et s'amuse à les presser un peu, pour affirmer son autorité sur son soumis. Je frémis.

- ... mais si tu le veux, après tout pourquoi pas ? Mais va me chercher le cadenas que je ferme bien la grenouillère et après tu iras préparer notre repas.

J'avoue que je suis bien content de me retrouver libre dans la grenouillère où ma bite dure se dresse au milieu en un mat de chapiteau. Bien sûr pas question de se masturber, les traces sur le jersey me trahirait immédiatement mais quelques caresses furtives mais pas trop poussées ne peuvent faire que du bien après, oui déjà, la 4ème semaine de chasteté.

Ce n'est que plus tard alors que je finis de mettre la table que je comprends oh combien je me suis fait, encore une fois, avoir, au moment où l'envie de vider ma vessie remonte. Pas de couche et enfermé dans la grenouillère, cela veut dire que j'ai aucune possibilité de me soulager et que je dois attendre le bon vouloir de ma Maîtresse ! Je me retrouve même à regretter l'absence de couche...

La couche je finirai par la retrouver mais pas avant la fin du repas. Aussitôt je soulage ma vessie et me souille volontairement. C'est l'heure de la sieste...

dyonisos

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Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 16:08

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Comme il se doit, nu au pied de ma Divine, mon collier de soumis autour du cou.

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 07:32

En l'absence des enfants, je me suis retrouvé enfermé en couche dans la grenouillère ce week-end.

Un jeu épicé entre adultes conscentants avec une pincée importante d'humiliation.
Une aventure intérieure de soumission. 

C'était une idée évoquée dans un moment de folie. La suite logique de l'achat de la grenouillère il y a un an. L'essai aussi d'un autre pan des jeux d'adultes. N. m'a annoncé dans la semaine qu'elle allait m'y maintenir suffisamment longtemps pour que je me mette à la détester cordialement (la grenouillère pas ma Maîtresse).

Les règles ont été annoncées : en autres, grenouillère cadenassée, utilisation de la couche obligatoire, Maîtresse décide seule si je dois en changer, sieste imposée et couché obligé à 21h. Avec en plus une liste de corvées à faire "pour m'occuper". Et ce pour "au moins" jusqu'à dimanche. Tout cela me trotte dans la tête le vendredi et je n'en mène vraiment pas large en rentrant à la maison. 

N. a prévu une sortie au restaurant. J'y gagne un répit salutaire, mais à notre retour à la maison : allez hop, dans la grenouillère ! Maîtresse N. a un sourire des grands jours. Elle m'avoue au combien la situation l'excite. Elle me fait me coucher sur le lit pour fixer l'épaisse couche qu'elle renforce par de la bande adhésive. Comme annoncé, je garde la cage bien accrochée à mon zizi. Sa volonté de me frustrer, elle, n'est pas remise en question. Maîtresse me fait ensuite passer la grenouillère jaune avant d'habilement m'y maintenir par un lien attaché sur le tirant de la fermeture éclair, qui passe autour de mon cou avant de finir verrouillé par un cadenas. Impossible de descendre la fermeture du dos ! Je suis pris et bien pris !

- Allez bonne nuit, mon Amour...

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Ma nuit est agitée. Oh pas de rêve particulier, mais de nombreux réveils. J'ai trop chaud au niveau des jambes et je caille en haut. Au petit matin, je finis par me lever toujours enchassé dans la grenouillère. Immédiatement je fais mon pipi du matin dans la couche pas plus gêné que cela. Cette partie là, je la connais déjà pour y avoir été enfermé des nuits en cage dedans l'hiver dernier. Je vaque à quelques occupations et je fais une ou deux des corvées que Maîtresse m'a assignées.

Sauf que je sens depuis mon réveil que j'aurais du mal à éviter l'humiliation venue de mes intestins. Je lutte lontemps, mais au final je perds peu avant 8 heures. Excusez moi  mais je passerai au silence ce moment de solitude, si humiliant pour un adulte avec en sus l'odeur infâme que l'on transporte après avec soi... C'est vrai que des fois, nos jeux nous entraînent bien loin. Avec des bonnes et mauvaises surprises, mais je crois que celle là n'en est pas vraiment une bonne.

Je m'apprête à rester dans ma m**** longtemps. Impossible de me changer et de toute façon je n'en ai pas le droit dans la règle du jeu. Mais N. se lève plus tôt que j'aurais imaginé et me salue au détour de la cuisine. Je ne dis rien sur l'état de la couche (pas le droit) et elle ne s'en aperçoit pas tout de suite. Avant de sentir finalement mon fumet.

- Humm, mais c'est que mon petit dyonisos aurait fait dans sa couche...

Je ne peux pas le nier.

- Bon alors comment on change la couche d'un adulte. Avec un bébé je sais, mais là ?

Elle ne compte quand même pas me changer elle-même ?  Il semble bien que si... Elle disparait à l'étage le temps d'aller chercher serviette, gant et couche neuve. Je reste interdit. Un détour par la cuisine pour prendre un sac poubelle et direction la salle de bain du bas. Je crains le pire.

- Bon tu as du papier, un sac poubelle, de quoi se nettoyer et une nouvelle couche. Allez hop au boulot ! Tu ne crois quand même pas que je vais le faire moi même. Bah, trop dégoutant.

Je suis roulé dans la farine, mais j'avoue que je préfère cela. Je mets très longtemps à me dém***** sous la douche. Putain c'est vraiment pas agréable, voire même dégueulasse. Au retour nouvelle couche et de nouveau enchassé dans la grenouillère.

Maîtresse N. décide alors de m'envoyer aux conteners de tri et faire quelques courses, la grenouillère simplement dissimulée sous un jean et un col roulé. Une fois qu'elle est sûre que rien dépasse, allez ouste dehors. Je marche d'une façon aussi empruntée qu'un cosmonaute russe dans Moscou. J'ai chaud aussi avec les différentes épaisseurs. Je me sens très nettement sous l'emprise de ma Maîtresse, un être différent de tous ces gens que je rencontre. Corps et esprit totalement pris. Mais je finis par faire mes devoirs pas rassuré du tout et aux aguets perpétuels.

Retour à la maison pour un nouveau moment de solitude  engluée sur le coup de midi. Et re-m**** ! J'en ai marre de cette foutue couche, chia**** à souhait. Je me rebelle un peu et décide de ne rien remettre.

- Tu as remis une nouvelle couche ?

- Non !

Maîtresse N. ne relève pas. Je m'attelle à faire le repas avant après d'aller faire la sieste. Non pas parce que c'était la règle de jeu mais parce que j'en ai besoin après bientôt 4 semaines de nuit écourtées par la cage. Deux heure et demie plus tard quand même, je me reveille nauséeux.

- Je t'ai laissé dormir, tu en as tant besoin mon Amour. Mais dépêche-toi tu vas rater ton cinéma...

Ce que je fais mais qu'après Maîtresse m'est remis avec le même enthousiasme de la veille en couche et grenouillère cadanassée toute propre sortant du sèche linge ("oui je l'ai lavé pendant ta sieste, elle sentait trop après ce matin").

- Comme ça quand tu en porteras quand tu seras bien vieux tu t'en souviendras...

Une fois de nouveau langé, Maîtresse me rappelle qu'elle sort ce soir et que je dois aller me coucher à 21h. "Bien qu'en pratique je ne saurai pas si tu as obéi". C'est pas faux.

Le film est enthousiasmant. J'oublie un moment mon état de servitude. Retour à la maison en voiture. J'ai bu au cinéma et l'envie se fait pressante. Alors je me laisse aller. Etrange sensation de le faire tout en roulant, quelque chose d'irréel et d'étonnant. En tout cas beaucoup plus agréable que ce qui m'est arrivé ce matin. Presque un plaisir interdit.

Maîntresse N. m'a laissé la clé, dans une enveloppe de secours. J'hésite mais je m'autorise à changer la couche déjà lourde du retour de voiture pour la nuit. Je ne pense pas en avoir le droit mais tant pis je le prends...  Aie déjà 21 heures. La journée est passée si vite même en l'absence des jeux "d'accompagnement" que nous avions pu imaginé autour d'un soumis en grenouillére et couche. Je ne sais d'ailleurs pas si Maîtresse N. n'en a eu pas simplement le temps ou l'envie, ou si c'était prévu à dessein pour frustrer son soumis à la maison. Donc 21 heures. Braucoup trop tôt. La chatte n'est pas là alors la souris danse. De quart d'heure de rab en quart d'heure de rab, je ne rejoins ma couche que peu avant 22 heures. Pour y lire encore un peu le roman de SF en cours. Pas très obéissant le dyonisos. Je verrai bien si c'est un si grand crime demain...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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