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Vendredi 18 octobre 5 18 /10 /Oct 06:54

La scène a quelque chose de définitivement troublant si on se pose pour y penser une minute. C'est une scène de vie conjugale que vivent sans doute au même moment de nombreux couples dans la salle de bain familiale le matin : Madame nue se pare après sa douche et Monsieur enlève son pyjama pour prendre la sienne, 

Sauf que là il y a un petit détail qui change la vision de l'ensemble. Une fois le pantalon tombé, N. ne peut manquer mon zizi enfermé dans sa cage transparente. D'ailleurs elle ne se gène pas pour le mater obstensiblement, le sourire aux lèvres, du style "c'est moi qui l'ai fait".

Pas de temps à perdre à enlever l'attirail, ce n'est pas un jour de grand nettoyage. En clair, je garde ma cage sous la douche et me débrouille pour me nettoyer. Et là cela prend la forme de cotons tiges humidifiés qui viennent parl'ouverture du haut de la cage, laver autant que se peut, l'espace entre le prépuce et le gland. Chacun se retire avec un peu de l'odeur fermenté. Je sens et m'arrête quand je considère que c'est redevenu acceptable. Le reste du zizi sera lavé à grands jets sous la douche.

Donc pendant que je suis attelé à cette tâche, Maîtresse parle de la cage et de la chasteté dans laquelle elle veut pour l'instant me maintenir pour son bon plaisir. 

- Je ne veux pas que tu la portes pour prendre l'avion. Trop dangeureux !

Je dois effectivement le prendre et je comprends ses réticences. J'ai d'ailleurs les mêmes, ce qui en veut pas dire que si j'en recevais l'ordre je m'y déroberais, comme je ne me suis pas dérobé quand elle a imaginé m'envoyer à la piscine en cage ou au taf avec mon collier de soumis cadenassé autour du cou.

- Je l'enlèverai donc. Mais quand je serais là-bas que se passera-t-il ?

- Disons, que tu auras droit à deux jours de liberté conditionnelle.

Je sens que la perspective ne l'emballe pas trop. Vouloir garder la main sur la sexualité de son soumis, et l'envoyer libre loin de ses yeux. Bof, bof...

- Je ne suis pas sûr d'arriver à ne pas en profiter...

- Ouais, c'est cela...

C'est vrai avec la bite libre au vent, loin des repères domestiques, un moment de faiblesse est vite arrivé. On commence des massages reflexes le soir au lit, et de but en blanc la pine devient si dure que l'on se dit après tout, pourquoi pas, ce n'est pas un grand crime... L'homme est fait ainsi qu'il devient faible dans sa volonté à ne pas se laisser aller. Au moins moi. Dans un vrai couple D/S, il y aurait des punitions désagréables que j'aurai apprises à redouter pour me motiver à ne pas franchir la ligne rouge. Mais dans le notre, plus ludique, les punitions sont d'opérette non dans leur force, mais dans leur jeu conscensuel et accepté. Pourtant il n'y a rien de plus beau à rester chaste pour sa moitié et je trouve que la jouissance d'après est décevante. Je sors de ma boucle mentale qui me maintenait en état d'éveil excité en permanence pour échanger cela contre une petite fin rapide et définitive, donc finalement très intellectuellement frustrante. C'est clair pour mois maintenant, encore une fois où je suis doucement dirigé dans la direction, où N. veut me faire aller. Me voilà à proposer spontanément une solution pour résoudre son dilemme...

- Et si je remettais la cage à la descente d'avion ?

- Humm, c'est une bonne idée que cela et tu m'enverras une photo quand tu l'auras remise.

Voilà comment un soumis est pris à son propre jeu...

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 16 octobre 3 16 /10 /Oct 06:13

Nous avons finalement obéi aux conseils de Domi et profité du cadeau que la nature nous a offert ce dimanche : une disparition inattendue de progéniture pendant quelques heures ouvrant la voie à l'intimité des parents. Et cette intimité, elle a une teinte D/S en ce moment, pour mieux s'accorder aux couleurs de l'automne ? Allez savoir...

La fin de semaine a été consacrée en partie à avancer sur le choix d'une cage conjuguale pour remplacer la brinquebalante CB6000S et ses multiples réparations et pièces de rechange. Cela fait longtemps qu'on aurait du le faire, mais je connais quelques problèmes avec mon anatomie, qui compliquent pas mal les choses. La seule avancée est que le spacer de 12mm fonctionne dans la durée sur la cage actuelle. Un problème de moins.

Nous voulons choisir la nouvelle cage ensemble en complicité amoureuse totale. Les deux modèles restant comportent encore pas mal d'inconnues sur leur adaptation sur mon service trois-pièces atypique. Je crains qu'au final il n'y ait pas d'autres solutions que de se lancer dans le grand bain, avec le risque d'échec. Payer pour voir...

blmesure.jpg En tout cas, notre dimanche a commencé tôt pour profiter de la fraîcheur matinale du dimanche, pour mesurer dehors mon sexe au repos absolu.

N'ayons pas peur des mots : j'ai un zizi de garçonnet sur un corps d'adulte qui devient un presque honnête phallus de 13cm dans ma meilleure forme. La seule satisfaction est que le diamètre lui reste convenable (4.8cm) et pour avoir été pris par des godes de cette taille dans mon cul, je ne peux dire que chapeau bas à Madame... Les mesures confirment aussi que j'ai un problème de diamètre de scrotum trop important qui rend risqué le choix de cage.

Bref "débarrassés" des enfants, nous en avons profité pour prendre du bon temps... en chambre entre adultes conscentants. Sans la cage depuis le matin, ma bannière se dressait fièrement. N. a voulu la mesurer dans sa plus belle forme, le pendant du matin et objet d'amusements complices.

blJumbo.jpg Il était temps de sortir le jumbo pour voir s'il cela changeait le point de vue. lol. Le jumbo c'est 25 cm x 6 cm. Je mets un temps certain à me débattre avec les lanières, mais finalement j'arrive à m'équiper, le zizi encore mollason dans la gaine intérieure.

Un tour de rabbit pour ouvrir l'appétit, et me voilà à l'entrée avec le jumbo. N. me dit appréhender la taille. Je meblJumbo3.jpg positionne d'abord en missionnaire et pénètre un peu. Madame grimace, mais elle finit par un peu avaler le méga gode. Mais impossible d'aller plus loin. Je rigole sur l'envie de grosses par les femmes en général. Maîtresse N. fait la moue et bascule sur le ventre. Echec aussi en levrette.

Bah, cela ne devait pas être le jour...

blJumbo2.jpg

Le reste a été plus classique avec rabbit de rattrapage puis la langue de soumis de dyonisos contre les muqueuses sensibles, jusqu'à un orgasme qui s'est échappé à la dernière minute, le coquin.

Puis Maîtresse s'est amusé avec son soumis avant de le remettre en cage. Mon cul délicieusement branlé au plug et de lents mouvements sur mon sexe et mes couilles, qui excitent sans jamais autoriser à partir, puisque sa main s'arrête au dernier moment. Et elle recommence quelques minutes plus tard, à faire monter délicieusement la sauce sans jamais autoriser la sortie. 3, 4 fois je me suis retrouvé frustré de ne pas pouvoir finir, jusqu'à ce que Maîtresse arrête. Allez ouste, retour dans cage le dyonisos pour ta troisième semaine !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 10 octobre 4 10 /10 /Oct 21:47

Le mercredi soir doit être notre soirée à nous, où nous allons au lit tôt pour prendre du bon temps de couple ensemble. C'est que nous sommes promis cet été après notre fol accouplement. Et puis la rentrée est arrivée avec toutes ses contraintes de mise en route, et nous avons un temps oublié cette promesse pour la ressortir ce week-end et choisir le mercredi.

Bien sûr notre nouveau rendez-vous d'intimité de couple commence sur une période D/S avec la cage pour moi de surcroit. J'ai donc oublié les fols accouplement, mais hier je suis resté excité dans ma prison à zizi, à la perspective de la soirée. Oh pas tout le temps ; j'ai eu quelques réunions délicates à gérer dont une où je me suis fait "enculer" par les parties opposées, bien plus que d'habitude.

Je me suis mis à imaginer tout ce qu'une Maîtresse pourrait faire à son soumis le soir en chambre. Et la liste est tellement longue, que je ne crois pas que tout soit possible en 52 mercredis par an.

Le soir venu, les enfants remarquablement endormis tôt, l'heure fatidique arrive. Là dans un vrai conte D/S, je recevrai l'ordre de me déshabiller, de passer mon collier et d'attendre ma Maîtresse le nez contre le mur dans un coin de la chambre. Mais dans la part D/S de notre vie réelle, il se passe rien à ce moment là.

Mais je suis totalement zen. Mon expérience de soumission même d'opérette m'a aprris à être patient et que le temps de Maîtresse n'est pas l'urgence du soumis. Je décide de ne rien dire ou quémander. A 10h30, je pars lire au lit sans remord. Et une demie-heure plus tard cela bouge au rez-de-chaussée, N. ne devrait pas tarder à arriver. 

" oh désolé mon chéri, j'ai oublié que c'est "notre" mercredi. "

Le tout dit sur un ton très énigmatique. La Femme de façn générale, et d'autant plus la Maîtresse Femme, adore parler en sphinxien, langue dont elle est sûre qus son homme ne maîtrise pas totalement. Là cela pourrait autant dire qu'elle a oublié ou qu'elle l'a fait exprès pour nous taquiner ou qu'elle l'a réellement oublié et qu'elle cache son oubli sous une intention qu'elle n'a pas eu. Je préfère ne pas relever. De toute façon, c'est un combat perdu d'avance...

N. prend néanmoins un livre, très obstensiblement. Là c'est un message muet : au boulot dyonisos ! J'y vais des mes doigts ("humm c'est bon") mais uniquement pour la détendre ("oh tu sais je suis trop fatiguée pour partir"). Le massage a un effet détendant. Le rideau de fer s'entrouve.

- Tu ne me  colles pas plus ? ... ah oui la cage...

Effectivement la cage. J'en profite pour me faire indiscret sur ses sentiments actuels n'avoir encagé son mari.

- Non, crois moi, je n'y pense pas la journée.

Alors que moi je n'oublie pas la cage de la journée. Habituel déséquilibre de l'homme encagé et de la femme encageuse. J'insiste et je reçois une nouveau message.

- J'adore te refermer la cage le matin, mais là je ne l'ai pas fait souvent...

Je sens comme un reproche. Il est vrai que certaines fois, ce n'est pas possible avec un enfant levé trop tôt ou une épouse trop tard. Mais Maîtresse N. oublie qu'elle m'avait reproché l'an dernier de sortir de la cage systématiquement pour me laver le matin. Depuis je suis au régime plus sec, pas plus de 2/3 sortie pour lavage par semaine.

- J'aime aussi sentir ton corps me quitter quand tu te lèves le matin à cause de la cage ...

Là, comme dirait notre ami yaya, à la sagesse paysanne légendaire, j'en suis tombé sur mon cul. Il y a tant d'aveux dans cette phrase. Aveu qu'elle sait oh combien mes nuits sont agitées. Aveu aussi qu'elle aime me l'avoir imposé et constater ces effets. Un aveu complètement nouveau... Tout cela me rend subitement la cage beaucoup plus étroite. J'ose une autre question.

- Et je ne vais pas être libéré de sitôt ?

- Et non tu as parfaitement compris mes intentions. Mes envies sont en baisse en ce moment, il est normal que tu partages ce manque.

- Les vacances ?

- En cage !

- Je dois néanmoins prendre l'avion la semaine prochaine...

- oui, il n'est pas question que tu voyages en cage, trop risqué avec les fouilles corporelles. Alors tu seras libre 2 jours...

Je sens que sa dernière réponse l'embête. Elle a dit cela presque à regret. 

- ... c'est vrai que tu pourrais en profiter pour te masturber tout seul.

Aie ! Il faut que je lui trouve une solution de Maîtresse pour me gérer, le pendu qui doit fabriquer sa propre corde.

- Et si je la remettais à la descente d'avion ?

Maîtresse ne me répond pas. Sa chatte est complétement humide sans que je sache si c'est l'effet de mes doigts, la perspective de continuer à me contraindre ou l'effet conjugué des deux.

- Continue. Non ce que tu me faisais juste avant... oui ça !

Mes doigts rentrent et sortent dans un mouvement de bascule dans sa vulve. Je sens sa respiration s'emballer pendant que je suis très étroit en cage. Son corps commence la danse de la jouissance. J'ai du mal à maintenir les doigts en place. Elle râle et finalement rate SON orgasme. Elle m'en veut. Je me défend en disant qu'il est difficile de maintenir un certain mouvement quand elle bouge trop.

- Occupe-toi alors de mon bouton ! Là je ne bouge pas !

Elle a dit la dernière partie avec une certaine froideur. Je n'ai pas intérêt àmfoirer. Je m'exécute et caresse après caresse, l'orgasme désiré par Madame monte et explose finalement. Je n'en peux plus dans la cage. J'aurais envie de plaisir moi-aussi, pourquoi pas avec le cul qui palpite d'envie à ce moment ? Mais l'homme soumis redevient un petit garçon timide, et n'ose demander. Alors je me tais en me maudissant un peu.

Maîtresse bascule sur mon corps et se détend finalement la main en bonne prise sur les couilles dépassant sous la cage.

- Tu sais, mon chéri, que j'adore tes couilles de taureau !

Mais elle ne me les massacrera pas car déjà N. s'endort sur mon épaule, pendant que peu à peu je regagne une peu d'espace dans ma studette à zizi.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


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