En l'absence des enfants, je me suis retrouvé enfermé en couche dans la grenouillère ce week-end.
Un jeu épicé entre adultes conscentants avec une pincée importante d'humiliation.
Une aventure intérieure de soumission.
C'était une idée évoquée dans un moment de folie. La suite logique de l'achat de la grenouillère il y a un an. L'essai aussi d'un autre pan des jeux d'adultes. N. m'a annoncé dans la semaine qu'elle allait m'y maintenir suffisamment longtemps pour que je me mette à la détester cordialement (la grenouillère pas ma Maîtresse).
Les règles ont été annoncées : en autres, grenouillère cadenassée, utilisation de la couche obligatoire, Maîtresse décide seule si je dois en changer, sieste imposée et couché obligé à 21h. Avec en plus une liste de corvées à faire "pour m'occuper". Et ce pour "au moins" jusqu'à dimanche. Tout cela me trotte dans la tête le vendredi et je n'en mène vraiment pas large en rentrant à la maison.
N. a prévu une sortie au restaurant. J'y gagne un répit salutaire, mais à notre retour à la maison : allez hop, dans la grenouillère ! Maîtresse N. a un sourire des grands jours. Elle m'avoue au combien la situation l'excite. Elle me fait me coucher sur le lit pour fixer l'épaisse couche qu'elle renforce par de la bande adhésive. Comme annoncé, je garde la cage bien accrochée à mon zizi. Sa volonté de me frustrer, elle, n'est pas remise en question. Maîtresse me fait ensuite passer la grenouillère jaune avant d'habilement m'y maintenir par un lien attaché sur le tirant de la fermeture éclair, qui passe autour de mon cou avant de finir verrouillé par un cadenas. Impossible de descendre la fermeture du dos ! Je suis pris et bien pris !
- Allez bonne nuit, mon Amour...
Ma nuit est agitée. Oh pas de rêve particulier, mais de nombreux réveils. J'ai trop chaud au niveau des jambes et je caille en haut. Au petit matin, je finis par me lever toujours enchassé dans la grenouillère. Immédiatement je fais mon pipi du matin dans la couche pas plus gêné que cela. Cette partie là, je la connais déjà pour y avoir été enfermé des nuits en cage dedans l'hiver dernier. Je vaque à quelques occupations et je fais une ou deux des corvées que Maîtresse m'a assignées.
Sauf que je sens depuis mon réveil que j'aurais du mal à éviter l'humiliation venue de mes intestins. Je lutte lontemps, mais au final je perds peu avant 8 heures. Excusez moi mais je passerai au silence ce moment de solitude, si humiliant pour un adulte avec en sus l'odeur infâme que l'on transporte après avec soi... C'est vrai que des fois, nos jeux nous entraînent bien loin. Avec des bonnes et mauvaises surprises, mais je crois que celle là n'en est pas vraiment une bonne.
Je m'apprête à rester dans ma m**** longtemps. Impossible de me changer et de toute façon je n'en ai pas le droit dans la règle du jeu. Mais N. se lève plus tôt que j'aurais imaginé et me salue au détour de la cuisine. Je ne dis rien sur l'état de la couche (pas le droit) et elle ne s'en aperçoit pas tout de suite. Avant de sentir finalement mon fumet.
- Humm, mais c'est que mon petit dyonisos aurait fait dans sa couche...
Je ne peux pas le nier.
- Bon alors comment on change la couche d'un adulte. Avec un bébé je sais, mais là ?
Elle ne compte quand même pas me changer elle-même ? Il semble bien que si... Elle disparait à l'étage le temps d'aller chercher serviette, gant et couche neuve. Je reste interdit. Un détour par la cuisine pour prendre un sac poubelle et direction la salle de bain du bas. Je crains le pire.
- Bon tu as du papier, un sac poubelle, de quoi se nettoyer et une nouvelle couche. Allez hop au boulot ! Tu ne crois quand même pas que je vais le faire moi même. Bah, trop dégoutant.
Je suis roulé dans la farine, mais j'avoue que je préfère cela. Je mets très longtemps à me dém***** sous la douche. Putain c'est vraiment pas agréable, voire même dégueulasse. Au retour nouvelle couche et de nouveau enchassé dans la grenouillère.
Maîtresse N. décide alors de m'envoyer aux conteners de tri et faire quelques courses, la grenouillère simplement dissimulée sous un jean et un col roulé. Une fois qu'elle est sûre que rien dépasse, allez ouste dehors. Je marche d'une façon aussi empruntée qu'un cosmonaute russe dans Moscou. J'ai chaud aussi avec les différentes épaisseurs. Je me sens très nettement sous l'emprise de ma Maîtresse, un être différent de tous ces gens que je rencontre. Corps et esprit totalement pris. Mais je finis par faire mes devoirs pas rassuré du tout et aux aguets perpétuels.
Retour à la maison pour un nouveau moment de solitude engluée sur le coup de midi. Et re-m**** ! J'en ai marre de cette foutue couche, chia**** à souhait. Je me rebelle un peu et décide de ne rien remettre.
- Tu as remis une nouvelle couche ?
- Non !
Maîtresse N. ne relève pas. Je m'attelle à faire le repas avant après d'aller faire la sieste. Non pas parce que c'était la règle de jeu mais parce que j'en ai besoin après bientôt 4 semaines de nuit écourtées par la cage. Deux heure et demie plus tard quand même, je me reveille nauséeux.
- Je t'ai laissé dormir, tu en as tant besoin mon Amour. Mais dépêche-toi tu vas rater ton cinéma...
Ce que je fais mais qu'après Maîtresse m'est remis avec le même enthousiasme de la veille en couche et grenouillère cadanassée toute propre sortant du sèche linge ("oui je l'ai lavé pendant ta sieste, elle sentait trop après ce matin").
- Comme ça quand tu en porteras quand tu seras bien vieux tu t'en souviendras...
Une fois de nouveau langé, Maîtresse me rappelle qu'elle sort ce soir et que je dois aller me coucher à 21h. "Bien qu'en pratique je ne saurai pas si tu as obéi". C'est pas faux.
Le film est enthousiasmant. J'oublie un moment mon état de servitude. Retour à la maison en voiture. J'ai bu au cinéma et l'envie se fait pressante. Alors je me laisse aller. Etrange sensation de le faire tout en roulant, quelque chose d'irréel et d'étonnant. En tout cas beaucoup plus agréable que ce qui m'est arrivé ce matin. Presque un plaisir interdit.
Maîntresse N. m'a laissé la clé, dans une enveloppe de secours. J'hésite mais je m'autorise à changer la couche déjà lourde du retour de voiture pour la nuit. Je ne pense pas en avoir le droit mais tant pis je le prends... Aie déjà 21 heures. La journée est passée si vite même en l'absence des jeux "d'accompagnement" que nous avions pu imaginé autour d'un soumis en grenouillére et couche. Je ne sais d'ailleurs pas si Maîtresse N. n'en a eu pas simplement le temps ou l'envie, ou si c'était prévu à dessein pour frustrer son soumis à la maison. Donc 21 heures. Braucoup trop tôt. La chatte n'est pas là alors la souris danse. De quart d'heure de rab en quart d'heure de rab, je ne rejoins ma couche que peu avant 22 heures. Pour y lire encore un peu le roman de SF en cours. Pas très obéissant le dyonisos. Je verrai bien si c'est un si grand crime demain...
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
Page officielle du Ruban Bleu |
Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
Cabinet de dessins
Index
Liste de nos pratiques - Index thématique
Carnet de punitions et discipline
Centre de ressources BDSM
Calendrier de l'Avent
Projets SM
Projet #0 : le Tribunal de la Reine (logiciels de punition,...) | |
Projet #1 : la Trayeuse de Soumis | |
Projet #2 : la Box | |
Projet #3 : la Cage de Dressage du Toutou | |
|
Projet #4 : le Grainetier |
Coups de coeur HI-TECH
DL2000 - Système de dressage de soumis
Fond Of Writing - logiciel de dressage
Histoires SM persos
Les 40 ans de David
Le domaine 11000ème visite
Petits contes D/S
et l'Humour SM perso
1 visiteur(s) en ligne
et comme le dit ta maitresse je crois que tu vas la maudire cette grenouilaire
amitié yanode
je pense bien a toi lol
Effectivement j'ai joué avec le feu et je me suis brûlé les ailes. Quand je t'ai écrit samedi matin, je ne pensais pas que cela irait au délà de dimanche matin... Mais Maîtresse N. a finalement décidé de m'y maintenir tout le week-end pour son bon plaisir. Sois-disant que je l'a fait trop rire dans la grenouillère. Donc c'est toujours enchassé dedans que je te réponds ce matin. Je ne travaille pas aujourd'hui et Maîtresse dort toujours après la tempête. Au moins j'ai pu me changer tout seul après le popo dans la couche de ce matin, Maîtresse N. ayant un peu assoupli cette partie de règle. Et tu ne peux pas savoir comment j'apprécie avoir une couche propre au cul, comme quoi l'homme contraint trouve du réconfort où il peut.
Quand à l'acte d'être obligé de faire dans sa couche, oui je te confirme, c'est une des choses les plus humiliantes et décérébrantes que j'ai du à faire dans nos jeux de soumission. Et une fois, cela va, mais quand cela se repête...
Merci de tes encouragements même moqueurs et amitié, dyonisos.
amitié yanode
Je crois que c'était un peu le principe quand N. l'a choisi.
amitié, dyonisos
Cet après midi là, je reviens à la maison un peu tôt, tiens, la voiture de mon mari Karim (lailatvx sur le net) est là. Bizarre, j’entre comme d’habitude par le garage pour pénétrer dans la cuisine, des bruits étouffés semblent parvenir du salon.
Je prends une véritable gifle quand je vois assis, entièrement nu sur le canapé, un noir immense et ça ne s’arrête pas là, mon mari entre ses cuisses, nu lui aussi, lui suce la queue, c’est du moins ce que j’en déduis ! Que pourrait-il faire d’autre, sa tête monte et descend lentement, guidée par les grosses paluches du black.
Mon premier réflexe est de fuir mais, partagée par le dégoût et la curiosité, la curiosité l’emporte. L’homme vient de croiser mon regard, je lui fais signe de ne pas bouger. Pour toute réponse, il me sourit, dans la position qu’ils ont, je ne vois pas cette queue qui doit être monstrueusement longue car la distance qui sépare la bouche du bas ventre est quand même énorme.
Soudain, mon homme rugit, tousse et se relève, j’ai juste le temps de m’effacer.
- Dis donc, tu as failli m’étouffer avec ton foutre, tu me baises maintenant, Patrice ?
L’autre regarde dans ma direction et marmonne un ‘ si tu veux ‘
Mon mari Karim est déjà accroupi sur le canapé, la tête posée sur l’accoudoir et se tient les fesses écartées.
- Tu peux y aller, je me suis lubrifié le conduit.
Dans cette position, je vois tout de profil, entre les mains du noir une matraque hors normes, la prune grosse comme un œuf avance et se frotte entre les fesses offertes, mon mari grogne de douleur ? Ou de plaisir ? Toujours est-il que le zob disparaît peu a peu hors de ma vue, bientôt les deux corps sont collés l’un a l’autre, une image irréelle : comment peut-il absorber une telle queue….
- Attends un peu que je m’habitue avant de bouger ….
Gêné, l’homme me regarde toujours, je lui souris en levant un pouce, rassuré il se met à ressortir jusqu'à la rondelle pour repartir plus fort en avant, mon mec feule comme un tigre ! L’homme ne me quitte plus des yeux, je viens de me rendre compte que je me touche la moule par-dessus mon jogging ! Écœurée, excitée, j’en ai assez vu, je quitte
la maison en catimini …
Des centaines de questions se bousculent, ce Patrice black je le reconnais, c’est un ouvrier de la boite où mon mari bosse ! Est-ce la première fois qu’il se fait mettre ? Non sûrement pas, ils ont l’air proches ! Comment en est-il arrivé là ? Je ne lui suffis plus ? Mais quand même, cette queue énorme dans le cul de mon mari ……Ma chatte fourmille de mille picotements, quel effet ça doit faire dans une gaine vaginale étroite ? Et si ……..
- Bonsoir chéri ! Bonne journée ?
- Oui ! Oui et toi ?
- Excellente, je reviens de la gym, je suis en pleine forme, ha tiens au fait, j’ai croisé un de tes ouvriers, un grand black, tu vois qui je veux dire ?
- Heuuuu non ….. Ha peut être Patrice ……je ne vois que lui. Hélas le pauvre bougre, j’ai préparé une demande de mutation pour lui, il n’est pas assez efficace, bien sûr il perdra un peu d’argent là où il va aller mais c’est la crise.
- Une demande de mutation ? Ça veut dire qu’il est muté d’office ou bien c’est la porte s’il refuse ?
- On peut voir ça comme ça …..Bon, je vais me doucher
Dés qu’il a tourné le dos, je fouille dans sa poche, son portable est là, je sais ça ne se fait pas, mais là, c’est pour la bonne cause …s’ils sont amants depuis quelques temps, il doit avoir son numéro …Voilà : Patrice …. Je note, et ce mouchoir en papier qui traîne dans le fond du canapé ? Pouah ! Il est littéralement imbibé de sperme, tiens il va me servir …..
- Tu es sûr que c’est la bonne solution pour se débarrasser d’un homme dont on a plus l’utilité ? Il a peut-être son mot à dire … c’est quoi ce papier sur le canapé ?
Je fais mine de vouloir m’en emparer, il se précipite pour le saisir avant moi
- Bah, c’est rien
- Muuuunmmm, il sent une drôle d’odeur ton papier, fais voir ?
- Mais non c’est rien je te dis, fous-moi la paix à la fin !
- Houlà ! Bon, si j’étais toi, je réfléchirais avant de balancer cet homme, de plus il pourrait venir faire les bricoles que tu dois toujours entreprendre et que tu ne fais pas
Il accuse le coup, a-t-il compris que j’avais tout découvert ?
- Je vais voir ce que je peux faire …..Mais je ne veux pas le voir à la maison, s’il vient je sortirais le temps qu’il sera là
- C’est tout à fait ce que je désire …..
Dès le lendemain, j’appelle Patrice :
- Allo Patrice …..Bonjour, je suis madame Nadia, l’épouse de Karim, nous nous sommes aperçus hier
- Hooooh madame, c’est pour hier ? Je vous demande pardon, votre mari m’a un peu forcé la main, je ne le ferai plus, juré !
- J’aimerais vous parler, mais ce n’est pas de vous deux que je veux vous entretenir. Je vous attends au café R… venez c’est important…..
- J’y serais madame.
Volontairement, je me suis habillée très court, mes seins pointent sous le corsage léger.
- Bonjour Patrice, asseyez-vous près de moi
- Bonjour madame, vous êtes très jolie
-- Merci, bon voilà, samedi vous allez venir à la maison, officiellement vous venez travailler mais … voilà le travail qui vous attend :
Lentement, je relève ma jupe déjà très découverte et j’écarte les genoux, mon string apparaît.
- Madame, qu’est-ce que vous voulez dire ?
- Touche …
Je lui prends la main pour la poser entre mes cuisses, la mienne se pose sur la bosse énorme qui vient de se former à l’ instant sur son pantalon
- Tu vas travailler là, entre mes jambes avec cet outil là ……depuis que je l’ai vu, j’ai envie de ta bite dans ma chatte
- Madame, ça me gêne …….
- Mon mari est à deux doigts de te faire muter, je peux empêcher ça et même sans doute te faire avoir de l’avancement, alors ?
- C’est oui !!!!
- Chéri, Patrice vient bricoler cet après midi
- Ha, ça tombe bien, je dois aller en rendez vous, je ne serais pas là de bonne heure, n’aie pas peur de faire bosser ce fainéant !
- Compte sur moi …..
Fébrile, j’attends son arrivée en petite sortie de lit en dentelle, à quoi bon perdre un temps inutile à se découvrir, ha, le voilà en combinaison de travail !
- Hooooh madame, vous me gênez …..
Sa gêne se transforme illico en toile de tente à hauteur de son bas ventre
- Libère ta gêne Patrice et appelle-moi Nadia, à moins que tu n’aimes pas les femmes ?
- Je les adore Nadia mais elles ont peur de ma …….
Je saisis la fermeture éclair du vêtement et la baisse jusqu’en bas, la queue bandée respire à l’air libre, je passe une main dessous et avec l’autre, je caresse cette poupée qui tressaute.
- Elle ne me fait pas peur ta …….
L’homme s’enhardit a dénouer la ceinture qui tient les deux pans de mon léger vêtement
- Ote-moi cet horrible vêtement de travail !
Je m’agenouille nue, en extase devant ce monument dont l’œuf perle d’une grosse goutte translucide que je me dépêche de lécher avant qu’elle ne s’écrase au sol.
La mâchoire écartelée, je peux juste avaler le gland, est-ce que mon mari avalait plus ?
- Hooooh Nadia ….. C’est boooooonnn, vous sucez mieux que votre mari
Voilà qui fait plaisir, ma salive coule aux commissures de mes lèvres, d’une main qui ne fait pas le tour, je fais coulisser à toute vitesse la peau de cette trique, de l’autre je palpe les énormes couilles imberbes
- Attention, je vais décharger …….
- MUUUUUUMMMMM …..
Le premier jus percute mon palais, les autres se succèdent a une telle vitesse que je ne peux avaler le foutre épais qui coule entre mes seins jusqu'à mon entre cuisses
- Nadia, j’aimerais vous manger la chatte
- Elle est à toi, porte-moi jusqu'à la chambre !
Minuscule entre ses bras, mes fesses reposent sur la base de son membre qui ne débande pas. Dans le couloir, il enfonce sa langue lippue dans ma bouche, la mienne est repliée, tellement la sienne prend de place.
Délicatement, il me dépose au milieu du lit, immédiatement je prends une pose qui ferait bander un eunuque, les bras passés sous mes genoux, ma vulve est exposée devant ses yeux exorbités
- Elle est toute minuscule votre fente, je ne vais jamais pouvoir pénétrer !
- Détends là, elle va s’assouplir, nous avons tout le temps, mets un doigt pour voir !
- C’est bien ce que je disais, mon doigt a de la peine à entrer dans cette petite chatte, c’est vrai qu’il a une petite bite votre mari …..
- Essaie avec ta langue …. Bouffe-moi le cul viiiiite ! …. Haaaaa OUIII !! Muuuuuuuum !! C’est booooonnnnnn !
Sa langue rose virevolte autour de mes lèvres, fait des tentatives pour m’enfiler, petit à petit mon con s’assouplit, un doigt s’enfile dans ma motte, puis deux ….sa salive et ma mouille coulent entre mes fesses,
- Gratte bien mon point G avec tes doigts c’est juste en haut a l’entrée... Oui lààààà !
- Elle s’ouvre comme une fleur votre chatte…..
J’ai envie de sentir la queue qui a baisé mon mec m’écarteler à mon tour
- Patrice …baise-moi …..
- Vous le voulez vraiment ?
- Bon dieu, baise-moi je te dis !
- Bien …….
Ses énormes genoux prennent position entre mes cuisses, son membre mena�
Très bonne histoire.
Je m'appelle Karim (lailatvx sur le net) et ma femme s’appelle Nadia.
Voila quelque temps que nous rencontrons des problèmes financiers. Un soir alors que je regarde la télé, il me vient une idée : laisser des hommes coucher avec ma femme contre de l'argent. Le soir même, au moment de me coucher, je commence à aborder le sujet avec ma femme, je lui dis :
- ça te dirait pas de faire des heures supplémentaires pour nous sortir de cette crise ?
- Comment veux-tu dans mon métier ? Tu sais bien que c'est impossible, me répond-elle
- Je ne pensais pas à ton métier, je me suis dit que tu aurais pu, comment dire, faire plaisir à certains hommes contre de l'argent.
Choquée par ma proposition, Nadia me regarde et me dit :
- tu me prends pour une pute !
- Non pas du tout, mais avoue que c'est le plus simple et le plus rapide pour nous sortir de là.
Ma femme ne savait pas quoi répondre, je lui dis alors que si elle m'aime vraiment, elle doit me faire confiance et que, de toute façon, si elle refuse, je remettrai notre couple en question.
- Et tu vas faire quoi, passer une annonce dans les journaux peut-être? Me demanda-t-elle.
Je lui réponds que j'ai déjà des noms en tête. En effet, je sais que deux gars que je connais depuis quelques années rêvaient de coucher avec elle, je me dis que la probabilité qu'ils refusent de payer pour s’offrir ce plaisir est faible.
Ne sachant plus quoi répondre, ma chérie me dit :
- si c'est pour ne pas te perdre, je ferais tout ce que tu veux !
Le lendemain, je décide donc de prendre contact avec Jérémy et Tony, leur expliquant la situation. Leur réponse ne se fit pas attendre.
- Nous serons là dès ce soir, on ne va pas manquer une telle occasion. Me dit Jérémy.
Le soir venu, Laura rentre à la maison, stressée de ce qui l'attend. Elle se dirige vers la chambre, Jérémy et Tony sont déjà là, assis dans le salon, impatients de commencer leur soirée. Je rejoins mon épouse dans la chambre pour lui dire de passer sa nuisette rouge qui lui va si bien. Avant de ressortir de la chambre, je lui dis :
- Surtout ne gâche pas tout, tu fais tout ce qu'ils te demandent.
Ne sachant pas quoi dire, elle me fait un signe de la tête pour dire qu’elle a bien compris.
Au bout de cinq minutes, Nadia est arrivée à l'entrée du salon, avec sa nuisette et ses talons aiguilles blancs. Jérémy et Tony se retournent vers elle, la regardent de la tête aux pieds et Jérémy dit à Tony :
- On va bien s'amuser, regarde-moi cette salope!
Tony se lève, avance vers Nadia et lui dit :
- je t'avais bien dit que je te baiserai un jour!
Nadia, honteuse, baisse la tête, Jérémy lui dit :
- Fais-nous voir tes seins !
Mon épouse enlève alors les deux bretelles de sa nuisette, ce qui laisse apparaître ses magnifiques seins. Jérémy s'avance vers elle, commence à lui caresser les seins et lui dit :
- Fous-toi à genoux !
Elle exécute l'ordre et se retrouve à genoux devant les deux hommes, seins à l'air. Jérémy et Tony baissent leurs pantalons et Tony dit à Laura :
- Suce-moi salope et fais de ton homme un mari cocu !
Nadia, hésitante, prend le sexe de Tony dans sa bouche et commence les vas et viens, c'est alors que Jérémy prend sa main, la posa sur sa bite et lui dit :
- Vas-y, grosse chienne, branle-moi pendant que tu suces mon pote.
Elle se retrouve en train de sucer un gars tout en branlant son pote, je dois avouer que la situation est terriblement excitante pour moi qui regarde tout ça, depuis le canapé.
Au bout de cinq minutes, les deux hommes changèrent de position, c'est au tour de Jérémy de se faire sucer et de Tony de goutter à la branlette de ma chérie. Après avoir bien profité de sa bouche, Jérémy lui dit :
- Mets-toi à quatre pattes !
Ma femme comprit que, de toute façon, elle n'a pas vraiment le choix. Elle se met donc à quatre pattes devant les deux hommes, c'est alors que Tony demande à Jérémy :
- Comment on fait pour savoir qui lui prend le cul et qui lui prend la chatte ?
- On n’a qu'à tirer à pile ou face. Réponds Jérémy.
- Ok ça me va, pile je l'encule, face c'est toi.
Ma femme entend ça, comprit que les deux hommes allaient la prendre en même temps, elle était totalement affolée. Jérémy lance alors la pièce en l'air et crie :
- Face ! Je vais pouvoir te démonter le cul, pétasse !
À ce moment la, Tony s'allonge et dit à Laura :
- Viens te mettre sur moi salope pour que mon pote puisse t'enculer pendant que je te démonte la chatte!
Nadia monte alors sur Tony, les larmes commencent à couler sur ses joues. Tony la pénètre d'un coup brusque :
- Aaaaahhhh, crie Nadia, tellement Tony est rentré brusquement.
Jérémy se place derrière elle pendant que Tony commence les va et viens dans la chatte de ma femme et, sans plus de respect, il rentre dans son anus d'un seul coup. Nadia hurle de douleur, c'est alors que Tony me regarde et me dit :
- Viens cocu lui mettre ta bite dans la bouche pour la faire taire, elle me casse la tête !
Il ne ment fallait pas plus pour me motiver. Je me lève du canapé et, sans hésitation, j'enlève mon pantalon, me mets devant mon épouse et lui enfonce ma bite dans la bouche. Elle était là devant moi en train de se faire enculer par Jérémy pendant que Tony continue de lui enfoncer la chatte. J’étais tellement excité qu'au bout de deux minutes à peine, je jouis une quantité incroyable de sperme dans la bouche de ma chérie. Tony lui dit :
- Avale tout salope !
La voyant avaler mon sperme sans hésitation, Jérémy ne peut retenir plus longtemps son excitation et jouit à son tour dans le cul de ma chérie qui cria de douleur. Tony lui, en me voyant jouir dans la bouche de ma femme, eut envie de faire pareil, il s’enlève alors de sa chatte, l’attrape par les cheveux, la met à genoux et lui dit :
- Ouvre la bouche sale pute, je veux te voir boire mon sperme !
Mon épouse ouvrit la bouche et Tony commence à se branler devant elle. A peine trente secondes après, il lâche un long fil de sperme dans la bouche de ma chérie.
- Avale ! Lui dit-il.
Ma pauvre femme avale tout le sperme de Tony. Les deux hommes la regardent dans les yeux :
- Tu es vraiment une trop bonne salope !
Ils se rhabillent en lui caressant une dernière fois les seins et me disent :
- Si jamais tu as encore des problème d'argent, pense à nous, on peut toujours amener quelques potes de plus !
Là j'aime moins cette histoire.
bises à ta tolière
Il en a été question à un moment, mais je crois qu'il vallait mieux ne pas le faire vu que nous étions quasi les seuls.
amitié, dyonisos
Ta belle s'en donne à cœur joie. Tout ceci est bien sympa et il apparaît clairement que, pour les pipis, la couche est super. Ouais, pour l'autre truc, un peu moins, hi hi...
Donc la cage + la couche + la grenouillère, ben dis donc, t'es protégé ! D'autant plus que la grenouillère est cadenassée. L'épisode des courses avec la grenouillère sous les habits est plaisant.
Bisous !
Non pas que d'articles, mais juste l'actualité qui se pressait un peu. C'est vrai que j'aurais pu en éviter un facilement, mais bon il m'a bien fait marrer Bon pour la couche, merci de ne pas trop insister maintenant que j'en suis sorti. Et oui j'ai un peu eu ce week-end le concept des poupées russes.
bisous, dyonisos