Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 18:00

24 janvier

Bon désolé, j’ai été très long hier. Mais il s’est passé tellement de choses en une après-midi que je ne savais pas comment plus résumer.

Une fois la porte de notre maison refermée, Claire est devenue une autre, une version très motivée à ne pas se faire voler son « dépucelage ». Elle m’a demandé – ordonné – plutôt de me « dessaper » totalement, et d’aller l’attendre dans notre chambre ! Je mentirais si je disais que cela ne m’a pas excité dans ma cage.

Claire a mis du temps pour me rejoindre dans la chambre. Je ne savais pas quelle position prendre. J’ai choisi d’attendre à 4 pattes sur le lit, légèrement honteux et très conscient de ce que j’attendais… Je crois que je m’étais fait finalement à l’idée, ce que prouvait le filet qui coulait maintenant de la cage et trahissait mon excitation.

Quand ma femme est enfin arrivée : quel choc ! Son corps aux formes sublimes, nu à part son soutien gorge rouge qu’elle avait gardé à mon grand plaisir et surtout ce gode ceinture attaché à sa taille. C’est comme dans les meilleures vidéos du web sauf que là c’est à la maison ! Je me suis senti d’autant plus définitivement amoureux de ma belle. 

J’étais prêt mentalement et physiquement à me faire « sodomiser » par Claire. J’avais même hâte de franchir enfin cette étape pour en être fier. Je reconnais que pour cela comme d’autre chose, j’avais besoin d’un bon coup de pied au derrière pour avancer… Et c’est celui là que Claire me donnait depuis 3 semaines.

Mais un changement, un détail, peut faire perdre toute l’assurance acquise en quelques secondes…

- Non pas comme cela mon amour. Je ne veux pas te baiser mais te faire l’amour comme pour une première fois. Couches-toi sur le dos avec une pile de coussins sous les fesses…

Je n’ai rien compris au départ du pourquoi de cette demande bizarre. J’ai obéi comme un pantin, prenant la position demandée avant de comprendre ce que Claire avait en tête. Cela m’a fait rougir immédiatement de la tête au pied, tellement je trouvais cela impudique !

Claire voulait effectivement me faire l’amour en amazone, et me dépuceler, corps contre corps et yeux dans les yeux.

Je n’avais jamais imaginé cette possibilité. C’est là de la fierté mal placée d’un homme fut-il en voie de soumission par sa femme. La prise au gode ceinture, c’est forcément en levrette, la Maîtresse « travaillant » derrière, comme sur toutes ces vidéos d’internet, pas comme cela !

Je suis devenu nerveux en découvrant la vanité de mon attente. Si les Maîtresse SM font cela à leur soumis c’est pour justement garder une distance par rapport à l’intimité de l’acte. Là c’est le contraire que voulait Claire : abolir toute distance entre nous. Cela me mettait mal à l’aise.

Finalement ma femme est montée sur le lit. J’ai frissonné à sentir le matelas réagir sous son poids.

- Bascule tes pieds vers tes épaules, mon chéri, et tiens tes chevilles…

Encore une fois j’ai obéi dans le trouble. C’était une position d’offrande dérangeante et encore plus quand le rosebud a été retiré. Je me sentais fragile, un peu intimidé aussi, l’anus offert. C’est une sensation troublante de se sentir graisser le conduit, jusqu’à ces doigts qui rentrent profonds en moi… Finalement remplacé par la tête du gode qui appuie sur la rondelle… 

A ma totale stupeur, Claire n’a pris aucune précaution et a écartelé les chairs en puissance et sans arrêt d’adaptation, jusqu’à que je prenne la totalité de la longueur en moi. C’était atroce cette ouverture en deux. J’ai hurlé sous le viol de l’engin, mais Claire était déjà partie ailleurs, l’œil révulsé de plaisir. 

Elle a commencé par me « ramoner » à grands coups de godes. Putain qu’est-ce que cela faisait mal ! Je serrais les dents mais n’évitais pas les grognes à chaque va et vient. Claire était déchaînée et criait son plaisir montant. Le gode ressortissait maintenant totalement à chaque fois et re-perforait l’anus en puissance. Je beuglais ma souffrance, mais Claire semblait boire à ma douleur. 

Son plaisir orgasme arrivait complètement décalé avec mon ressenti douloureux. Je la voyais incrédule exploser sous mes yeux, sous une dernière pénétration profonde. Un orgasme bruyant, puissant, crispé que je ne pense jamais avoir réussi à lui donner ! J’étais défait sur tant de points !

Finalement elle s’effondra contre moi, peau contre peau. Le gode se braqua jusqu’à trouver une position inconfortable contre les muqueuses du rectum.

J’étais saisi. Je sentais son odeur, si forte en amour. Je l’écoutais redescendre peu à peu et reprendre son souffle. C’était Elle, mon amour. Je me foutais si mon anus palpitait encore de douleur, si c’est cela qu’elle voulait. Claire reprit finalement ses esprits…

- Oh c’était fabuleux mon chéri. Merci à toi. Je t’aime…

Elle vint me prendre les lèvres. Qu’importe ce qu’elle m’avait fait, tant j’étais fier de lui avoir « donner » quelque part ce plaisir ultime…

- Je suis désolé si je t’ai fait mal… je n’aurais pas du mettre ce second gode dans ma chatte… j’étais déjà si excitée quand je me suis présentée…

En fait si, elle m’avait fait très mal. J’en ressentais encore la douleur dans l’anus et les muqueuses. Mais je préférais de loin cela, passer par la case tourment, qui me facilitait l’acceptation de la sensation de ce gode en moi.

- Ainsi, tu es enfin devenu ma petite tapette d’Amour.

Et elle continua à m’embrasser fougueusement pour mon plus grand plaisir. Je coulais de bonheur contre elle. Elle recommença à bouger doucement le gode en moi tout en m’embrassant. J’avais moins mal. Les sensations de l’intrus qui coulissait en moi restaient dérangeantes pour l’esprit, mais devenaient pas déplaisantes pour le corps. Claire jouait de l’angle de son gode, m’écartant les muqueuses à droite ou à gauche. Je ne détestais pas cela. Je commençais à apprécier même. C’était si étrange.

Elle me prit les jambes sur ses épaules pour une chevauchée plus virile, avec de grands allers-retours de gode. Je ne sentais plus aucune nouvelle douleur, juste un plaisir du cul si différent que je découvrais, avec le goût doux-amer de l’humiliation de la manière dont elle me l’offrait. C’est troublant d’esprit d’être touché par là, mais finalement ce n’était pas désagréable ! Elle se joua de mes empêchements, sa main à titiller mon pénis encagé. J’en bavais d’impuissance, mais finalement si bon, comme une longue excitation qui restait sur le plateau sans avoir jamais de fin… Elle jouit de nouveau…

Je regrettais presque quand Claire se retira finalement…

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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