e soir venu, le peuple est introduit dans les appartements privés de la Reine. Elle le reçoit en tenue décontractée non au coin du feu mais au coin d'une étrange lucarne. Elle a quitté son habit de couronnement. Le peuple grimace en découvrant le ratelier sur le mur. Que la soirée va être difficile pour le bas peuple malgrè la vénération qu'il porte à Sa Majesté.
Le peuple est aveuglé (oui le peuple est habituellement aveugle dans l'Histoire). Le peuple est attaché (non à sa Reine - quoique - mais à une poutre de l'appartement de la Reine, cela fait une différence). Le peuple est laissé libre de. s'époumoner. Et le peuple est martyrisé une première fois.
El pueblo unido jamás será vencido ?
Le peuple voudrait bien mais il est un si faible peuple et il est du mauvais côté de la main de la Reine qui vient de le saisir par les orphelines de l'entrejambe après avoir enlevé les barreaux de la cage. Ceci est une haute spécialité de la Reine de Dyonisie qui aime bien guider son peuple d'une main ferme pendant que l'autre lui donne du bâton. Cela permet que le peuple reste bien en place sous la tannée ou sinon : scrouitch !
La Reine ayant envie de s'amuser fait jouer son peuple à "Devine qui vient te frapper". Une sorte de paddle répond le peuple aveuglé tant qu'il peut encore penser. Bien trouvé. La Reine le travaille au long paddle sec depuis les cuisses jusqu'aux épaules, tout en le guidant fermement de Sa Majestueuse main Royale. Le peuple subit donc le peuple gémit, longtemps sous cette première série.
Il s'en suit la rituelle humiliation du peuple sur la bave qu'il ne cesse de faire couler et qu'un Saint papier absorbant vient bientôt recueillir à la source. Puis la Reine passe sur l'arrière garde du peuple et continue à travailler son peuple d'un nouvel instrument de torture exigeant que le peuple sent durement mais ne sait reconnaitre (le peuple apprendra plus tard qu'il s'agit d'une tapette de cuir clouté qui lui laissera pendant quelques jours d'étranges douleurs dans le milieu du dos).
Bats ton peuple tous les soirs, si la Reine ne sait pas pourquoi, lui le sait.
Puis la Reine est absorbée par la lueur de la lucarne et laisse son peuple réflechir à ses fautes et à la façon de mieux satisfaire la Reine.
La Reine revient finalement s'occuper de son peuple un moment plus tard, à la lourde canne donnée à un caneton désobéissant. Le peuple souffre. Le peuple crie à chaque fois que le bois le touche. La Reine semble si contente de son Royal travail qu'elle change avec un entrain excité d'instrument. Le peuple reconnait les lanières d'un martinet qui tombe de partout tout en s'interrogeant sur l'étrange changement dans le maniement Royal de cet instrument. D'un simple accessoire d'échauffement, il est devenu ces derniers temps, une arme de ciblage massif qui tombe séchement sur la partie visée et fait grimacer le bon peuple sous son joug. Une petite pause et la Reine reprend ses cinglées. De martinet ? Non ! La Reine vient de duper son peuple. Point de martinet mais un petit bouquet d'orties fraîches qui immédiatement vient piquer et dévoiler sa perfidie aux endroits où il frappe.
Nouvel arrêt : la Reine veut s'amuser maintenant de son peuple. Elle le fait mettre en équilibre sur une jambe lui promettant des brassées d'orties supplémentaires s'il s'écroule. La première tentative est un échec risible. Le peuple pense vite et doit s'adapter s'il veut survivre. Il utilise la corde lui attachant les mains au plafond comme point d'appui pour se contrebalancer et cela marche pas mal, mieux sur la jambe droite que sur la jambe gauche. Il ne sait pas si la Reine a vu son stratagème mais arrive à tenir beaucoup plus longtemps. 3 fois finalement, il échoue et met pied à terre.
La Reine tient donc sa Royale promesse. 3 fouettées d'orties lui sont donc donnés coup sur coup avec le grand bouquet, deux en bas des fesses et la troisième en haut du dos. C'est une douleur intense que le bas-peuple n'a jamais connu, sans doute lié à la jeunesse des orties. Il crie alors que la douleur s'imiscie sous sa peau. Puis hâlète. La Reine le contemple souffrir pour Elle et le laisse mariner alors que la douleur se développe en de larges zones. Le peuple se consumant atrocement dans le dos anticipe moralement très difficilement le moment où la Reine s'occupera de son devant. Pourquoi lui aurait-elle enlevé la protection de son zizi sinon pour... ? Celui-ci se recroqueville au plus profond mais ses soeurs, elles, restent bloquées par l'anneau, trop exposées. Le peuple se sent si vulnérable et aimerait que cela s'arrête au dos.
La Reine revient au devant. Le peuple se tend apeuré. Il ne voit rien et ne sait pas ce qu'a la Reine entre ses mains. Il sent le souffle de l'air qui arrive au devant de son entrejambe. Il panique un peu. L'air se fait coup vicieux sur les couilles exposées. Le peuple recule et plie sous l'assaut. Mais pas d'autres douleurs. Point de venins d'orties. Mais n'est-ce qu'un répit ?
Non la Reine libère finalement le peuple de son poste de torture et lui annonce sa Royale clémence pour le devant "vu la réaction extrème du derrière". Le peuple est plein de remerciements pour sa Reine, exigeante mais juste, et tombe à terre de gratitude.
La Reine donne un bol d'eau à son peuple assoiffé à même le sol. Puis le peuple (n'ayant pas encore mangé malgré l'heure tardive) est nourri sous les yeux rigolards de la Reine qui exige cependant que tout ce qui est tombé en dehors du bol soit nettoyé et avalé.
Finalement une fois la salle de torture rangé et les gamelles lavées, le peuple est envoyé au lit de la façon habituelle dans le royaume Dyonisien en couche "et en petit canari jaune", tenue du peuple Dyonisien que la Reine dit tant aimer. Bien sûr le tout cadenassé, il ne faudrait pas que le peuple échappe à son sort. La Reine lui a d'ailleurs remis son fer entier à castrer et il garde son collier de chien pour la nuit.
Entre la douleur dans son dos et aux fesses, la pression du collier autour du coup, la tensions des anneaux du fer à castrer, le peuple met longtemps à trouver son sommeil...
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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