Voici le deuxième article, lié à notre actualité, sur l'utilisation de la canne de rotin. Il est issu du merveilleux site collardncuff qui est une mine d'information. Pour moi, c'est clairement
le site le plus fouillé en matière de pratique SM très orientée femdom.
Je porte à votre attention sur une partie du guide le plus complet que j'ai lu sur le sexe oral, comprenant même une trentaine d'excercice pour entraîner la langue. L'article que j'ai choisi a
quelque images qui parlent d'elles même. Et pour le reste, je vais continuer à lire pour être
meilleur suceur quoique que Maîtresse apprécie déjà mes service...
La traduction n'a pas été facile vu qu'il y avait pleins d'expressions anglosaxones au sens multiple. J'espère que le texte traduit reflète bien le texte original. Mais j'ai quand même sabré
quelques passages qui n'apportaient pas grand chose. Au final, j'y ai quand même passé 7h.
Bonne lecture !
dyonisos
La canne est souvent utilisée dans le jeu SM avec une grande réputation issue de l’imagerie des écoles anglaises. Pour la plupart des soumis, la canne signifie une sanction sévère, à la recherche
de sensations S/M basiques et dures. Avec un peu de soin et de patience, la canne peut être utilisée d'une manière beaucoup plus subtile et sensuelle. La rigidité d'une canne qui donne toute leur
intensité aux coups appuyés, permet aussi à la Maîtresse d’infliger facilement des coups légers avec un contrôle parfait, contrairement à un fouet souple qui rate son effet à faible puissance en
s’affaissant sur lui-même.
ENTRETIEN
Pour garder la canne en bon état, il est conseillé une fois par an de décaper le vernis au bout, de la laisser pendant une nuit tremper dans l’eau, avant de revernir l’embout.
SELECTION D'UNE CANNE
• Elle doit pouvoir se plier fortement avant de reprendre sa position. Les meilleures cannes sont semble-t-il en rotin.
• La forme rectiligne est importante pour la précision des coups
• La canne doit avoir trois ou plusieurs couches de vernis. Elle peut être aussi protégée dans un gangue de latex transparent comme la mienne.
• Diamètre de petite taille = douleur aiguë. grand diamètre = bruit sourd.
CONSEILS
• Expérimentation de deux sensations à chaque coup (les nerfs sont d’abord comprimés, avant d’être étirés). Ainsi, les coups ne doivent pas aller trop vite.
• Assurez-vous de la chambre n'est pas trop froide.
• Il est important de détendre les muscles du fessier pour éviter plus tard l’accumulation d'acide lactique et provoquer une crampe.
• Il est difficile, voire impossible de tuer les agents pathogènes (hépatite) sur les cannes (d’où l’intérêt pour l’hygiène d’une cane revêtue de latex)
• Évitez de frapper le coccyx et le derrière du genou.
• Le devant des cuisses peuvent être soumis à la bastonnade.
• Le pli entre les fesses et les cuisses que l'on appelle le «sillon» peut être devenir très douloureux lorsqu'il est frappé.
• Une massage circulaire de la peau peut être efficace avant de passer à des frappes « d’échauffement »
• les frappes données en revers font souvent plus mal au contact de la peau
• Frapper et maintenir la canne en place retarde la deuxième étape de la douleur.
La canne est l'un des plus importants et – des plus intrinsèquement sévère - de tous les instruments de punition pour donner une punition.
Les cannes sont faites à partir d'une grande variété de matériaux, mais le rotin est le plus populaire, grâce à sa combinaison unique de légèreté et d’extrême flexibilité. Elles peuvent également
être fabriqués à partir de Malacca et de bambou, matériau plus dangereux car le Malacca est très « noueux » et le bambou est passible d'éclater en échardes dangereuses. C’est ce qui nous est
arrivé avec Maîtresse N. heureusement sans gravité. Et bien sûr, des baguettes de noisetier, de saule ou de frêne peuvent être utilisées, mais seul le dernier a une durée de vie qui va au-delà
d’une utilisation. J’ai mis de côté des branches du saule pleureur du jardin, on verra bien quand on aura le temps de tester.
La canne la plus courante est fabriquée à partir de rotin, et a généralement une extrémité recourbée en forme de poignée traditionnelle (mais pas la nôtre, qui est toute droite). La longueur est
variable entre 60 cm (destinée à être utilisée quand le soumis est mis en travers les genoux de sa Maîtresse) et 1m20. Celle que nous avons acheté fait 85 cm.
Le poids d'une canne est la chose importante ici et les apparences peuvent être trompeuses. Le rotin est un matériau très léger et la Maîtresse inexpérimentée va avoir tendance à retenir une
canne mince la trouvant moins cruelle pour sa chose. En fait, c’est l'inverse qui est vrai : cette mince baguette fait beaucoup plus mal et est beaucoup plus susceptible de couper la peau. Au
contraire les cannes plus épaisses combine mieux les qualités de pénétration et de "propagation", et sont moins susceptibles de créer des coupure.
EMPLOI de la CANNE
Il s’agit d’un instrument potentiellement sévère, et si polyvalent qu'il peut être utilisé pour punir les mains et les culs nu ou non. Utilisées à mauvais escient, il peut devenir un instrument
cruel.
L’application de la canne sur le cul nu permet d'observer les progrès et l’effet de la cannée (comme la fouettée je dirais, lol) et l'effet de la peine, et d’ajuster ses actions en fonction de
l’objectif recherché. Certains hommes ont la peau plus sensibles que d'autres, mais même une bastonnade légères de quelques coups laissera, en plus de la rougeur habituelle de la peau, la marque
temporaire de la tige sous forme de zébrures visibles. Si les coups sont administrés à un rythme lent, un toutes les dix secondes, le Maîtresse a le temps d'observer ces marques qui commencent à
se développer, et comme un artilleur peut corriger ses tirs en conséquence. Tous les coups doivent être dirigés dans la partie la plus grasse et la mieux rembourrée du postérieur.
Administrer toute sorte de bastonnade est une question de gestes précis, dont la réalisation est généralement une question de pratique.
TECHNIQUES
La canne est un instrument très pénétrant à haute sévérité potentielle, et il faut prendre garde quand on l’administre – c’est évident -. Elle est également plus légère que ça en a l'air. Mais le
point important est son extrême flexibilité. Durant le quart de seconde de vol, l'instrument prend une forme presque en demi-cercle. Bien que le rotin puisse sembler tout droit et même raide
(jusqu'à ce qu'il soit déplacé), dans la pratique il tient plus du fouet.
Le mouvement du bras et du poignet est donc complexe. Au début de la course, la main conduit l’extrémité de la canne, et continue à la mener tout au long de la descente, mais seulement au dernier
moment, après le court vol en l’air, et l'arrête du poignet en modifiant la direction légèrement de sorte que le partie active de la canne frappe exactement avec le bon angle le postérieur. (j’ai
essayé de traduire au mieux mais cela n’est pas encore totalement clair pour moi - cela le deviendra surement pour Maîtresse N quand elle le fera un de ces jours). L’exécution d'une bonne frappe
à la canne est donc affaire d’application et de pratique constante Une autre précaution est de prendre son position légèrement à gauche de la cible, presque un demi-pas. Cela garantit que le bout
de la canne, qui se déplace plus vite que le reste de l'instrument au cours de la dernière partie du vol, frappe la fesse la plus éloignée exactement à l'instant même, et avec la même force, que
le reste de la canne qui est en contact avec la fesse la plus proche. (la aussi ce n’est pas encore très clair, Maîtresse verra après test) Le résultat devrait être une bande parfaite sur la plus
grande partie du fessier. Cette marque apparaîtra immédiatement en blanc alors que vous finissez la course, puis elle disparaîtra ; avant de réapparaître (si elle a été une frappe d’ampleur) en
moins d'une minute, comme un ourlet mince.
J'ai parlé tout à l'heure de limites à l'utilisation de la canne. Les faibles coups heurtent à peine la peau. Les coups « sauvage » peuvent le couper. Les deux sont à déplorer. Le résultat d'une
bastonnade sonore doit être un derrière strié, évidemment si le cul n'est pas marqué vivement la punition a été trop douce et est trop vite oubliée, mais pas une scarification. La canne
doit bourdonner ou siffler dans sa course et tomber sur la cible avec un bruit sec. Il doit y avoir une pause entre deux coups, un minimum de dix secondes.
Méfiez-vous des cannes qui sont trop longues. Si une longue canne très fouetteuse est satisfaisante, elle est plus difficile à contrôler, et les 1m80 mal contrôlés à la fin peuvent se terminer en
ce qu’une fesse soit plus suffisamment puni que l’autre. Se tenir à gauche de la cible est une précaution, mais dans l'ensemble, il est préférable d'utiliser une arme un peu plus courte, et de
frapper un peu plus fort.
Quand un coupable est dos fléchi dans la position classique, ne faites pas l'erreur de donner vos coups de haut en bas. Vous avez toutes les chances de frapper la base de la colonne vertébrale,
ou que la canne tombe avec un angle rasant ou maladroit, ou de punir la moitié supérieure des fesses et laisser la partie inférieure, plus sensibles, indemne. Prenez un axe horizontal ou même
légèrement vers le haut, ramenez la canne lentement de l’autre côté de la cible, puis donnez une impulsion de l'avant-bras et du poignet et lancez la canne d'un côté à l'autre, tout en gardant
les yeux sur l'endroit exact que vous visez. Ne quittez pas des yeux cet endroit jusqu'à ce que vous avez terminé la course.(mordieu c’est aussi compliqué que le golf. lol) Si les fesses ont été
mises à nu, observez la marque et comparer la à votre intention. Réglez la course suivante en conséquence.
Une façon classique de limiter la force appliquée est de mettre une Bible sous le bras qui frappe et de le conserver tout au long de la bastonnade. (c’est bien une idée américaine ça !) Un peu
d'expérimentation montrera qu'il est impossible d'utiliser les muscles des épaules et des bras sans laisser tomber le livre. Vous devez vous contenter du poignet et de l'avant-bras, ce qui est
exactement ce qu’il faut faire. Une erreur encore plus grande est de trop appuyer ses coups. La différence entre le plus léger coup qui peut raisonnablement être pris, et le plus sévère, n'est
pas grande, et si une plus grande sévérité est nécessaire, il est plus sûr d'augmenter le nombre de coups, ou d'appliquer certaines mesures supplémentaires, telles que la mise à nu du derrière.
Une canne unique peut offrir une symphonie entière de sensations différentes. Un coup accrocheur qui est un peu retenu juste avant l'impact créera une sensation de piqure à la surface. Le même
genre de coup maintenu jusqu’au moment de l'impact, aura beaucoup plus de bruit sourd et de pénétration.
La plus grande intensité est délivrée par le dernier tiers de la canne. C'est la partie qui laisse des marques, dans un coup dur. Dans un coup léger, cette partie de la canne aura un effet plus
parcimoniuex. Prise plus haut en main, la canne se déplace beaucoup plus lentement, et la sensation sera plus étouffée ou même plus comme un massage, etc. Cela permet de maintenir le rythme et
l'atmosphère tout en donnant du relief à un soumis qui montre des signes d’épuisement.
La pointe de la canne peut être utilisée sur de nombreuses cibles qu'un coup utilisant toute la longueur de la canne pourrait blessée, ou être incapable d’avoir le même effet. De petits coups
permettent de travailler le sillon fessier, la plante des pieds, les muscles entre la colonne vertébrale et les omoplates. Un coup de canne traditionnelle dans un de ces domaines devait traverser
les zones osseuses, causant des contusions osseuses et la douleur qui n'est pas du tout érotique. Un coup durement porté sur ses régions peut féler les os ou écraser les nerfs, et causer des
dommages réellement graves. NE PAS frapper avec toute la force que lorsque vous êtes absolument sûr de votre objectif ! Des petits coups légers sont beaucoup plus sûrs, et sont ressentis
comme un massage « à percussion ».
POSITION DU SOUMIS
Il est préférable d’allonger sa cible. Quand une personne entre aussi profondément dans l'espace de soumission comme une Maîtresse espère l’y envoyer, le simple fait de garder son équilibre est
une distraction de la punition. Quand le bénéficiaire se penche sur une chaise, sa peau tendue est beaucoup plus sensible. D'autre part, le coccyx arrive en danger quand on se penche, Vérifiez
toujours par sécurité, en passant votre doigt dans le dos, jusqu’où descend le coccyx.
Il est plus facile de l’attacher sur une table présentant ces fesse pour ces longues séances. Les tables de massage sont idéales, et des tables de type cafétéria sont solides et à la bonne
hauteur. Si la table n’a pas rembourrage, il est possible d’utiliser une couverture de lit et de la mousse en rouleau.
Le deuxième choix est sur le sol, sur un matelas en futon ou ou coussin de mousse. Le soumis est entravé couché et la Dominante vient s'asseoir ou s'agenouiller à côté de lui. Sur la table ou au
sol, il est bon d'avoir 1 m de chaque côté du puni, de sorte que vous pouvez changer de côté. Puisque le bout de la canne frappe toujours le plus dur, changer de côtés aide à maintenir la
symétrie de la bastonnade. En outre, cela permet à la seconde main de la Maîtresse de se balader sur une partie différente du corps du soumis. D'un côté, vous pouvez frapper, faire un massage,
caresser, et voir l’effet sur les pieds, les jambes et les fesses, et jouer avec son entrejambe si c'est ce genre de scène. De l'autre, vous pouvez caresser le visage, masser le dos, lui saisir
les cheveux ou l'arrière de leur cou, jouer à des jeux de confiance avec votre doigt entre les dents pendant que votre canne ...
Une bastonnade peut être une chose difficile à fournir lorsque le soumis est debout , surtout si la Dominante est plus grande. Il y a une forte tendance à frapper trop haut, sur la moitié
supérieure osseuse du cul. En outre, le centre de la cible est difficile à atteindre à partir de cette position. Poser un genou à terre peut vous aider.
TECHNIQUE D’ECHAUFFEMENT
La meilleure attitude pour le soumis est d’être détendu, confiant, ne pas anticiper le prochain coup, mais plutôt d'accepter. En frappant trop dur ou trop vite, leur abandon sous les coups se
stoppent et le cerveau établit une déconnection entre le bas et le haut. Le bon soumis veut que la séance se passe bien, et travaille alors pour contrôler la panique et la nervosité. Pour ce
style particulier de la scène, la Dominante doit gérer l'intensité si bien que le soumis est emmené sans aucun heurs plutot qu’à se retrouver confronter à des efforts pour rester bien en
place et volontaire à accepter. La dominante augmente l'intensité très progressivement. Cela les aide à se détendre. Vous devez tenir ce rythme. Un coup trop marqué à ce moment-là le laissera
longtemps tendu. Je commence souvent par un massage ordinaire. Explorez les muscles du dos, les fesses et les jambes, cherchant les points de tensions et prenez le temps nécessaire pour le
détendre et établir une attente du plaisir de vos touchers. Le massage n’est pas menaçant.
Lorsque le soumis est nouveau pour cette technique, la surprise de plaisir donné par le massage le détend, établit une grande confiance dès le début. Après la relaxation de tous les points de
tension, faites des percussions avec vos doigts sur les zones musclées de son corps (comme un pianiste). Massez le entre vos doigts. Travaillez le haut du dos, de chaque côté de la colonne
vertébrale, de cette façon pendant un certain temps. Faites de même pour la partie inférieure des fesses, et vers le bas le dos des jambes. Ce genre de sensation est un pont parfait entre le
massage et la flagellation, il est particulièrement bon pour l'introduction de débutants.
Commencez maintenant avec la canne, en tapant très légèrement sur les zones qui ont été échauffées par le massage. Ne tapez pas sur les zones osseuses, ce qui est un bon moment pour développer
l'habitude de les éviter. Utilisez l’extrémité de la canne pour atteindre les zones qui ont près d'un os. Les coups doivent avoir moins de force que vos doigts. La canne est dur et sèche, et
l'idée est d'introduire la canne sans se perdre l’ambiance détendue et confiante de votre échauffement. Avec les coups ordinaires légers, donnez quelques coups qui sont encore plus légers, comme
une plume. Avec la pratique vous pourrez en offrir des aussi légers que l'atterrissage d'un groupe de papillons. Il s'agit d'un merveilleux contraste avec les coups plus durs. Donnez des simples
coups, des doubles coups, des balayages légers de diverses intensités. Votre but ici est double. Vous essayez d'enseigner à votre soumis qu'il ne peut pas prévoir vos coups, mais que cela n'a pas
d'importance parce que cela ne lui nuit pas. Il s'agit d'un exercice non verbal de confiance .. Fait avec soin, vous pouvez obtenir de lui cette merveilleuse acceptation en confiance quoi
qu'il arrive, la clé de son espace de soumission.
Une autre clé de l'espace de soumission est bonne respiration. Une profonde respiration empêche la panique, ce qui est vital quand l'intensité augmente. La panique est vraiment la partie
désagréable de la douleur. Enlevez la panique et il ne reste que des sensations fortes. Toutes sortes de choses merveilleuses peuvent être atteintes avec des sensations fortes ...
Si votre soumis n'a jamais pratiqué le yoga, la méditation, la formation naturelle de l'accouchement (!), ou quelque chose comme ça, rappelez lui qu’une respiration lente et profonde est
important ici, aussi. Si il n'a jamais eu une telle formation, accompagnez-le et guidez le. Si sa respiration devient courte et saccadée, venez lui en aide et rappelez-lui de se détendre et de
respirer profondément. Si votre autre main reste en contact permanent et prodigue des caresses et des massages, non seulement il va se détendre et être de nouveau plus confortable, mais vous
serez en mesure de détecter les secousses, la tension ou la détente. Surtout avec des soumis qui ne sont pas très expressifs, c'est le meilleur feedback que vous pouvez avoir.
Si votre soumis crie, attention à une plainte aigue dans sa tonalité. Il met en garde contre une tension qui monte - si vous continuez à l'entendre, quelque chose ne fonctionne pas, l'espace du
soumis est en érosion. Les muscles sous votre main doivent être de plus en plus détendus alors que la bastonnade avance, sinon, c'est aussi un signe que votre montée en puissance ne va pas
réussir. Ce signe est évident, même dans un fond de silence.
Comme vous augmentez progressivement l'intensité, une astuce utile est de faire suivre un coup dur avec une pluie de coups rapides et légers, sur la même zone. Cela va distraire le soumis de
toute surcharge (dans des limites raisonnables) et le ramener dans l'espace de soumission dont un nouveau cap vient juste d’être franchi. Cependant, le coup le plus dur aura fait son travail de
déplacer toute la séance à un niveau légèrement supérieur.
AUTRE TECHNIQUE
Si votre échauffement a ouvert la voie à des coups plus puissants, il faut faire attention. La canne peut paraître rigide, mais un coup puissant peut la plier à quatre-vingt dix degrés et plus,
et la canne finit sa course en enveloppant les fesses, ce qui peut être carrément dangereux. Les enveloppements sont plus fréquents quand la Dominante va à pleine puissance, après une série bien
contrôlé de coups légers destinés à échauffer le corps. Le problème est dans la dynamique du corps de la dominante : le mouvement du bras augmente de façon exponentielle quand la vitesse de la
canne augmente, de sorte que le corps entier est tiré vers l'avant quand elle délivrée la frappe puissante. La course à pleine puissance tombe automatiquement plusieurs centimètres plus loin que
la course des coups légers où est maîtrisée la distance d’impact. C'est de la physique et vous ne pouvez pas l'empêcher de se produire. Ce que vous ne pouvez pas vous permettre. Entraînez-vous à
compenser le mouvement. Prenez votre temps pour viser de sorte que la canne arrive au milieu des fesses et pas plus loin. Si vous ne souhaitez donner des coups puissants,
entraînez-vous ! Apprenez à porter une attention particulière sur l'endroit où votre canne va atterrir, pour apprendre à corriger votre mouvement. Maîtresse Nan conseille de pratiquer beaucoup
sur un coussin. Il y a un certain type de rembourrage (velours épais) qui montre l’impact, mais chaque coup ébranle la surface et efface la trace du coup précédent. Lorsque vous êtes prêt à
essayer coups puissants sur vote partenaire, placez un coussin ou une couverture roulée à proximité de la fesse opposée. Cela arrêtera un coup de canne enveloppant sans danger. Assurez-vous de
limiter coups dur sur les fesses entre dessous du coccyx et la moitié supérieure des cuisses.
Autres plaisirs
Peut-être un quart des femmes, et un très peu d'hommes, peut réellement obtenir des orgasmes de la canne. Il y aura d'autres qui n’atteignent pas réellement le climax, mais deviennent très
excités, ce qui peut offrir une réponse agréable à la question du «que faisons-nous maintenant ? »
Les ondes de choc créées par une canne sont directionnels - ils ont tendance à continuer à travers la cible dans la direction générale où la canne se déplaçait quand elle a frappé. En fait, si
vous faites glisser une main sous la cuisse de votre partenaire ou le ventre, vous pouvez sentir le choc d'un coup de canne moyen se propager à travers. La partie grasse de fesses, de chaque côté
du sillon, est une bonne cible pour cette raison. Les coups envoyent des ondes vers un ensemble complexe de muscles, de nerfs et de tissus engorgés qui sont directement impliqués dans
l'excitation sexuelle. Beaucoup de soumis adorent le rythme régulier de coups légers ou moyens sur cette partie - surtout si elles sont inclinées pour envoyer leurs ondes de choc et vers le haut.
Au moins une dame que je connais a comparé l'effet de la canne à un « vibro en rotin ». Un bon signe de ce bien être sexuel est que les hanches commencent à monter et à descendre à un rythme
régulier. Vous pouvez essayer de vous synchroniser à ce rythme, avec des coups légers ou moyens. Ou utiliser votre autre main pour masser les points névralgiques autour du bassin et des fossettes
de chaque côté des derniers centimètres de la colonne vertébrale.