Air du temps SM

Jeudi 13 janvier 4 13 /01 /Jan 23:21

Quelqu'un peut'il me dire pourquoi dans le monde habituellement si restreint du SM, il y autant de fabriquants de bancs à fessées ?

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 22:30

Ce n'est pas vraiment du SM, mais il faut saluer l'initiative. C'est en France à Paris et cette initiative est vraiment sympa même si retourner en enfance ne me fascine pas (je préfère être le toutou à ma Maîtresse). En tout cas chapeau à cette dame pour se lancer dans une telle aventure.

La nurserie :

http://www.abcocooning.com/index.php 

L'interview de la créatrice :

http://www.abkingdom.com/blog/article/?id=387

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Vendredi 31 décembre 5 31 /12 /Déc 00:30

Pauvre garçon, c'est l'expression de Donatien et cela m'a rappelé ce conte trouvé sur chastity belt stories, dont les histoires sont tout sauf banales. C'est une traduction libre de ma part.

Bonne année à vous tous 

dyonisos

 


 
J'avais dix-huit ans lorsque ma relation avec  Melissa a commencé. Elle était la sœur aînée d'un de mes amis de lycée. A cette époque, elle avait vingt-quatre ans. Melissa était et est toujours très belle. Elle est très grande pour une femme 1m75. Ses cheveux sont longs,  ondulés et blonds. Ses jambes sont longues et musclées, avec un cul en forme de coeur à leur sommet. Elle a une taille fine avec une belle poitrine pour la couronne. Dernier point mais non des moindre est son visage d'ange. Regardez le tout et vous avez une déesse.

Vous ne pouvez pas croire à quel point j'ai été flatté quand elle fit attention à moi. À l'époque je ne faisais que 1m55 de haut et pesait environ 60 kg. J'étais passé à la maison de mon ami mais il n'était pas chez lui. Elle a répondu à la porte et m'a invité à attendre. Elle était là pour faire sa lessive et me dit que je pouvais l’aider, alors que j'attendais. Il était évident pour elle par ma manière timide que j'étais attiré par elle, surtout pendant qu’elle me faisait trier ses culottes, soutien-gorge et autre pièce de lingerie. J’étais devenu tout dur, alors qu'elle me les faisait laver à la main dans l'évier. Melissa me taquinait sur la bosse dans mon short et a commencé à me parler de sexe. Elle m'a demandé si  j'étais vierge, et j'ai menti  et lui ai dit que non. J'étais tellement embarrassée par sa présence devant moi, et le short que je portais cachait peu mon érection. Elle a vu à travers mon mensonge et après une minute ou deux, elle m'avait fait avouer mon ignorance. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais tellement gêné par cela. Il s'est avéré être exactement ce qu'elle voulait entendre. Elle marchait nonchalamment vers moi, et d’un coup sec a fait descendre mon short et sous-vêtement avant de saisir mon pénis. Je fondais littéralement dans ses mains. Elle m'a manipulé jusqu'à ce que je me sentis vulnérable prêt à me laisser aller, mais elle a refusé de me permettre l'orgasme. J'étais comme un cerf dans les phares d’une voiture,  je suis resté là , le visage rouge alors qu'elle jouait avec moi.

Elle m'a invité à venir à son appartement cette nuit-là pour continuer notre petit jeu et la discussion. Je ne pouvais pas croire à ma chance et j’ai facilement accepté son invitation. Quand je suis arrivé, elle m'a déshabillé et a joué avec mon pénis jusqu'à ce que je sois en permanence dur animé d’un désir sauvage. Elle m’a laissé nu alors qu'elle est restée tout habillé pendant je servais les boissons. J'étais terriblement gêné et Melissa a giflé ma main qui essayait de couvrir mon érection. Elle a guidé la conversation vers le sexe et mon manque d'expérience.
Melissa m'a dit carrément qu'elle n’aurait pas de rapports sexuels avec moi, surtout parce que j’étais vierge, mais elle me permettait d'adorer son corps, si j'acceptais ses conditions. Elle a dit que je serais son petit ami, mais que je ne pourrais en parler à personne. Bien sûr, j'ai accédé à toutes ses demandes sans hésiter. Etre autorisé à embrasser et vénérer le culte du corps d'une femme aussi belle était un rêve devenu réalité pour un jeune garçon comme moi. Je me sentais tellement privilégiée juste à être dans la même pièce qu’elle.

Les règles étaient simples. Je devais me déshabiller à chaque fois en sa présence. J'étais autorisé à bander, mais interdit d’éjaculer sans sa permission expresse. Tous mes orgasmes devaient être supervisés par elle. Si elle découvrait que je me masturbais, elle m'a dit qu'elle refuserait de me revoir. Je n’avais pas le droit de voir d’autres filles, mais Melissa était libre de rencontrer d'autres hommes à sa guise. Ma principale fonction d’amant serait de vénérer et lécher sa chatte, son anus, ses aisselles, ses pieds et ses jambes à tout moment et aussi longtemps qu’elle me l’ordonnerait. La seule chose qui me laissait perplexe, c'est qu'elle m'a dit que devais avoir nettement au-dessus de la moyenne à l’école si je voulais continuer à la voir. Je n'avais jamais goûté une chatte de femme avant, mais je mourais d'envie de sucer la sienne. Il semblait un peu difficile d'avoir à lécher ses aisselles, et je me demandais ce que ce serait comme d’introduire ma langue dans son anus. Tout cela valait la peine pour être avec elle, mais il y avait d’autres conditions.

Pour être autorisé d’accéder à son corps, Je devrais également obéir aux ordres qu’elle lme donnerait. Elle m'a dit tout de suite que je serais censé faire tout son ménage, ainsi que la cuisine chaque fois que j'étais à son appartement au moment des repas. Je devais garder sa voiture propre, lavée et cirée. Ma soumission a commencé de cette façon et elle n'arrêtait pas de me rendre fou de désir en permanence. Elle ne me permettait  un orgasme en moyenne qu’ environ une fois tous les deux à trois semaines. Je sais maintenant qu'elle a eu une excitation particulière en frustrant un garçon puceau et en le forçant à lui donner  orgasme après l'orgasme en lui léchant le cul et la chatte. Elle avait des rapports sexuels avec d'autres hommes qu'elle rencontrait et souvent elle m'enfermait dans le placard, tandis qu'un autre homme la baisait. Elle me exigeait toujours que je lèche leur sperme dans sa chatte à la fin de leur baise. J'étais complètement humilié et avili par cette exigence, mais l'idée de refuser ne m’a jamais traversé l’esprit.

Au fil du temps, elle est devenue de plus en plus dominante. Je suis devenu complètement accro à ses charmes et faisait tout ce qu'elle demandait pour être autorisé à poser ma langue sur son anus. Il y avait des fois où j’ai pleuré et la priait de me laisser avoir des rapports sexuels avec elle, ou tout simplement de me laisser jouir. Elle riait et me disait qu'il n'y avait pas de pénurie de jeunes hommes vierges plus que prêts à exécuter ses ordres. Au plus profond de mon âme, je savais qu'elle avait raison. Elle avait tous les atouts dans sa manche, et en plus de ce elle savait comment en jouer.

Au cours de l’année suivante, nous avons continué à voir les uns les autres et sa domination a progressé à un rythme régulier. Mon dix-neuvième anniversaire est arrivé, mais personne encore ne savait que nous étions amants. Elle m'avait toujours dit que je devais rester bon élève et le moment venu, elle m'a dit de s'inscrire à l'université locale, afin que je puisse continuer à la servir. Elle m'a forcée à porter une cage de chasteté quand je suis arrivé à l’université pour s'assurer que je reste vierge et fidèle à elle. Melissa  a commencé à me dresser à cette époque au service en tant que toilette et a pris grand plaisir à me faire boire son urine. Non qu’elle dut me forcer. En fait, la première fois que j'ai bu son urine, je l’a supplia de me pisser dans la bouche à nouveau pendant plusieurs semaines.

J'étais devenu habitué à recevoir fessées et coups de fouet. Si j’étais resté un bon soumis, j’étais fessé tous les jeudi soir. Mais si mon comportement avait déplu à Melissa, j’étais fouetté à la place. La différence étant l’impact sur mon cul. Les fessées étaient données au paddle ou à la brosse à chevaux; la fouettée était administréé avec une badine ou une canne.  La différence est énorme. La fessée, lorsqu'elles est donnée par une belle femme comme Melissa peut être très agréable pour un homme soumis. Mais le fouet est un véritable enfer, même pour un masochiste, ce que  je ne suis pas.

Quand elle était vraiment en colère contre moi, elle me faisait tenir nu devant elle avec mes jambes écartées. Elle me prenait les épaules dans ses mains et m’ordonnait de fermer les yeux. Melissa alors me réprimandait pour ma faiblesse, et puis elle envoyait son genou dans mon entrejambe, m’infligeant une telle douleur. Je m’effondrais à ses pieds, recroquevillé par la douleur.

A cette époque, elle avait également commencé à me prendre au gode ceinture. Elle utilisait un grand gode noir. Il faisait 25 cm de long et était presque aussi épais que mon poignet. Au début, mon anus était si sévèrement défoncé et cela m’apportait tant de soufrance que je détestais ça quand elle me prenait ainsi. Mais comme tout ce que nous avons fait, c’est devenu  une habitude et dès lors je la suppliais de me prendre ainsi, surtout quand j’étais privé d’éjaculation  pendant plusieurs semaines d'affilée.

Melissa a décidé que je devrais aller à l'école de droit pour terminer mes études. Je suis allé à une école à 50 km de son domicile ce qui me permettait de rester à son service. Lorsque j'ai obtenu mon diplôme de droit et ai ouvert mon cabinet, Melissa m'a demandé de l'épouser. Je ne pouvais pas croire en ma bonne fortune. Je n'ai jamais pensé qu’une femme si belle envisagerait de m’épouser. J'avais vingt-six ans et Melissa en avait trente-quatre. Quand je me suis mis à genoux et a répondu oui, je pensais que j'allais enfin perdre ma virginité. Melissa m'a dit qu'il y aurait certaines conditions que  j'aurais à accepter si nous devions nous marier. D'abord, elle serait toujours libre d’aller voir d'autres hommes et d’avoir des rapports sexuels à sa guise avec eux. Deuxièmement, tous nos actifs  et biens à venir seraient placés en son nom seulement, y compris mon cabinet de droit. Enfin et surtout, nos relations sexuelles resteraient les mêmes ou même plus sévères pour moi. Il faudrait que je continue à porter ma cage de chasteté à vie et que je concoive que je resterai vierge définitivement, même après notre mariage. Mes voeux de mariage serait amour, honneur, et obéissance. J'étais nu, et en train de pleurer à genoux lorsque j'ai accepté sa proposition.

J’ai maintenant 36 ans. Et Melissa en a quarante-deux. Elle est la femme la plus belle du monde et le point focal de ma vie d’esclave et de mari. Je lui ai demandé si, pour notre dixième anniversaire, on pourrait-on consommer notre mariage. Elle comprend que j'aimerais savoir ce que c'est que de mettre mon pénis dans la chatte d’une femme, mais une grande partie de l’intérêt qu’elle me porte, est le fait que je reste son mari soumis, frustré  et vierge. Elle aime baiser d'autres hommes tout en sachant qu'elle a un homme vierge à la maison qui lui nettoiera ensuite sa chatte.  Cette domination de la queue est l’explication pourquoi elle jouit si violemment lorsque ma langue travaille dans son cul ou dans son vagin. Elle m'a expliqué qu'une partie d’elle-même aimerait me baiser, mais une fois que mon pénis aurait pénétré l'intérieur du vagin d'une femme, je ne pourrais jamais redevenir vierge à nouveau. Il semble que ce ne serait pas assez pour elle d'avoir un mari qui serait seulement son esclave. Celui qui lui sucerait son anus et boirait avec envie son urine. Celui qui ne dirait rien à ses ses affaires régulières avec de nombreux hommes. Si celui-ci ne restait pas également une salope vierge dressé à ses besoins.

Bien qu'elle m'aime, elle aime aussi ce qu'elle a fait de moi. Elle aime le fait que j’ai s'est gardé ma virginité pour elle, et que je vais mourir vierge. Elle aime le fait que mon amour pour elle soit si grand que je reste vierge alors qu'elle  baise beaucoup d'hommes à sa guise, à plusieurs reprises alors que je reste sagement à la maison. Elle aime le fait que, bien que mon pénis n'ait jamais été utilisé pour le sexe, ma bouche soit utilisé non seulement pour son plaisir, mais pour sa toilette aussi.

Melissa aime le fait que je travaille dix à douze heures par jour pour lui assurer un mode de vie confortable. Elle possède tous nos biens, plus mon entreprise et tous les comptes bancaires et ses stocks. Elle joue au golf, tennis, et courre les magasins avec ses copines pendant la journée. Parfois, elle aura un amant à la maison pour une séance de baise pendant que je suis au travail. Elle me donne toujours les détails de ses affaires extra-conjugales et aime à voir la jalousie et l'humiliation sur mon visage comme elle le décrit la bite de son amant, et combien elle aime l'avoir dans sa chatte et la bouche. Ce sont des plaisirs que je n'ai jamais gouté, et ne les goutterais jamais. Le soir, je fais le ménage, cuisine, et de répond à ses besoins personnels. Melissa vit la vie d'une déesse, et à juste titre.

Plutôt que de consommer notre mariage de la façon habituelle Melissa planifie de m’emmener dans un salon de tatouage. Elle a pris rendez-vous pour me faire marquer au fer  dans la chair de mon cul. Cela sera : le mari vierge de Melissa. Elle a commandé le fer et il sera disponible pour la semaine de notre anniversaire de mariage. Je vais aussi avoir les deux tétons percés. Ainsi que le gland et le sac à couilles pour l'utilisation d'une laisse. Elle utilisera également les piercings pour bloquer le gland à l'anneau derrière mes boules pour une chasteté permanente.

Maintenant qu'elle m'a expliqué, tout ce que ma virginité est important pour elle, j'ai décidé de rester vierge pour elle pour le reste de ma vie. Nous avons tous deux le sentiment qu'il y a trop de risque pour notre vie et notre mode de vie, si je devais perdre ma virginité. Cela peut sembler comme un grand prix à payer, mais je n'oserais pas risquer de la perdre même un petit moment de plaisir personnel ou pour toutes les baises du monde.

 

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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