Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 06:49

Je me réveille de ma sieste plus tard encore que la veille. Il est presque six heures. N. discute au loin au téléphone avec la famille. Je mets longtemps à émerger de mon lourd sommeil. J'ai envie de soulager ma vessie pleine et je me dirige machinalement vers les toilettes. Puis je me rappelle de mon état de contrainte actuel et sans doute un peu le rouge aux joues et l'âme noire, je fais dans ma couche à petits jets précautionneux qui coulent de la cage.

N. me retrouve.

- Ah tu es réveillé. Je t'ai encore laissé dormir. Avec le mauvais temps, j'ai renoncé à aller au cinéma. Comment est ta couche ?

Avant que j'ai le temps de répondre, elle met sa main à mon entrejambe. "Humm, allez en position sur le lit que je change..." Ce qui est fait et bien fait mais reste si humiliant. Me voilà de nouveau au sec, envoyé pour préparer notre repas du soir dans ma ridicule grenouillère jaune.

Le repas terminé, Maîtresse a envie de jouer des peurs de son soumis et de ses propres appréhensions à lui faire mal aussi. C'est l'heure de la cire. Je la crains. C'était donc pour cela que Maîtresse m'avait rasé ce matin... Notre toute première directement sur le sexe !

blcire1.jpg Je suis immobilisé les jambes maintenues écartées sur le sol, l'entrejambe sans défense. Maîtresse s'est assise sur un tabouret en dessus de la zone ciblée. La première bougie est allumée. J'ai peur, je ferme les yeux. Les premières gouttes tombent. Les brulures sont vives mais ne durent pas alors que déjà la cire refroidie. Je tortille les jambes dans tous les sens pour essayer d'échapper aux brulures en rafale. Maîtresse en rigole, mais n'apprécie pas que mains laissées libres viennent interférer. Elle me les menotte au collier et recommence. Je supplie qu'elle relève la bougie pour laisser le temps à la cire de refroidir un peu.

- Non car sinon la cire ne tombe pas où je veux qu'elle tombe...

Elle change de bougie et recommence avec une autre couleur. Mon supplice est entrecoupé de répit avant de subir blcire4.jpg une nouvelle et longue rafale de piqures de brulures, heureusement sans conséquence mais que je crains à mort. Je ne cesse de me tortiller sous l'arrivée de la cire. Maîtrsse N. n'est plus du tout dans l'appréhension de me faire mal, mais dans la concentration de bien faire son travail et d'arriver à me recouvrir le sexe de cire. Et elle n'est pas contente, cela ne va pas assez vite à son goût. Elle travaille maintenant avec 2 bougies en même temps, faisant fi de mes protestations.

- Bleu, blanc, rouge ! Sympa les couleurs, mais cela n'avance pas assez vite. Il faudrait des plus grosses bougies...

Je n'ose imaginer l'effet... Au final quand Maîtresse arrête finalement au bout d'une demi-heure, elle n'est pas contente de l'effet et un peu déçue. Elle a manifestement dépassé son appréhension de me faire mal. Moi j'ai confirmé que je crains plus que tout la cire. La suite sans doute au prochain numéro...

blcire3-copie-1.jpg

blcire2.jpg

Le temps de passer à la douche pour enlever les tâches de cire durcie et il déjà temps de repasser une couche neuve pour la nuit. Comme j'ai été un "bon petit soumis", j'ai le droit de dormir sans la cage pour la première fois depuis 4 semaines. Je soupçonne N. de m'offrir ainsi une nuit de récupération. Mais Maîtresse N. crée avant en précaution un carcan de bandes adhésives devant le zizi rendant tout plaisir interdit impossible. Elle me fait aussi mettre mon T-Shirt à manches longues habituel de nuit au-dessus de la grenouillère pour ne pas avoir froid en haut.

Je reviens dans cette tenue dans le salon au-moment du début de la soirée télévisée J'ai repéré un film, Madame un autre.

- De toute façon, tu as perdu. Je choisi mon film et toi je te rappelle qu'à 21h le dyonisos au dodo !

Finalement je reste pour regarder avec elle son film finalement très bien et tâche de me faire oublier un peu. Maîtresse n'est pas dupe mais choisit de ne pas me reprendre. Au générique de fin :

- Allez petit dyonisos, il est grand temps je crois que tu ailles te coucher...

J'obéis.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mardi 29 octobre 2 29 /10 /Oct 06:30

Ma seconde nuit est agitée. Je me réveille en sursaut la queue coincée dans la cage au milieu d'un rêve humide d'un bateau en train de couler. Je crains le pire. Mais non la couche est sèche, pas pour longtemps car la vessie est pleine. Allez me voilà redevenu un pisseux en couche. Ce liquide chaud qui coule au travers de la cage et vient peu à peu alourdir la couche et réchauffer l'entrejambe. Etrange sensation de se laisser aller mais finalement pas désagréable.

Je me lève finalement à une heure de quasi grasse-matinée en ce dimanche de changement d'heure. N.  dort encore. Nouveau laissez aller dans la couche qui est maintenant bien lourde. Heureseument ce matin aucun besoin plus humiliant. J'attends en regardant bizarrement les chaînes enfantines. Allez comprendre l'insconscient ! Puis N dormant toujours je me décide à me changer encore une fois tout seul pour aller acheter du pain et faire des couches courses de compléments. Même impression d'être tenu au dehors par ma Maîtresse de femme. Je ne traîne pas à la supérette.

A mon retour, Maîtresse N. se réveille...

- Bonjour mon Amour. J'espère que tu ne m'as attendu pour changer ta couche ?

Toujours cette capacité de mettre une dose d'humiliation dans chaque phrase de Maîtresse. Mais je suis content qu'elle se rappelle dans quel état de contrainte je suis. 

Je me couche à ses côtés, elle vient se mettre sur son épaule favorite. Elle me caresse au dessus de la grenouillère. Mes tétons bandent nettement et il n'y a pas qu'eux. J'adore ce moment de complicité.

- Tu es si rigolo dans ta grenouillère ! Je t'aime.

Me voilà fixé. Elle rajoute au bout d'un moment.

- Allez soit un bon soumis et va me préparer le petit déjeuner de ta Maîtresse.

Je quitte le lit à contrecoeur et m'exécute. Elle apprécie son petit déjeuner avec les tartines amoureusement grillées. Je vois bien qu'elle est crevée, loin de sa meilleure forme. N. se demande à haute voix, ce que nous allons abandonner de notre programme de jeux de notre week-end. A son habitude, elle me laisse me pendre moi-même. A mon retour de la terrasse, me voilà déjà proposer que, vu son état, le plus simple est de continuer le jeu actuel de la grenouillère. Bien sûr l'idée lui va alors que je m'aperçois que j'aurais mieux fait de fermer ma gueule de dyonisos. Mais quel con, je suis ! Je tente de me défendre.

- Oui, mais je n'ai encore fait popo aujourd'hui. Cela va puer et tu n'aimes pas.

- Mais non, je suis sûre qur tu adores te salir ainsi...

Je prefère changer de sujet. 

- Et le cinéma ? Je ne crois pas que cela soit le moment d'y aller...

Je sais que j'abuse un peu mais être coincé pendant 3 heures à bander sans espoir dans sa cage...

- Mais non. Nous y allons jamais, alors nous serions bêtes de rater cette occasion. De toute façon, je ne verrai rien de ton état alors que tu sois en cage seule ou en cage plus la couche et la grenouillère ne change pas grand chose finalement... Allez va regarder les horaires des séances en fin d'après-midi.

Je vaque un moment à écrire le récit de mon aventure du week-end pour le blog. Vers midi, je la vois ressortir des toilettes, qui, pour elle, ne sont pas interdites.  Elle fait un stop par la porte-fenêtre de la terrasse et après obtenu son bisou, elle dit simplement.

- Allez mon émission se termine dans une demie heure et après je donne son bain à mon petit dyonisos.

N. me plante sur ces mots, malicieusement. Quel bain ? Je le saurai vite.

blbain1.jpg

Effectivement une demie heure plus tard, je suis requis dans  la salle de bain, où la baignoire remplie à moitié m'attend... Elle m'enlève grenouillère, couche et même cage et hop elle m'invite à me glisser dans "mon bain" avec le bateau préféré de notre gamin en guise d'amusement de Maîtresse et même une tututte trempée au whisky que je me dois de sucer ("ton apéro").

blbain.jpg

L'histoire de notre couple retiendra que c'est dans ce bain que la validation des règlages de la nouvelle cage métal aura été faite. Le choix du modèle lui est déjà fait depuis vendredi soir. Maîtresse N. se fait expliquer sur la cage plastique démontée tous les réglages importants et décide définitivement en son âme et conscience, comment sera la nouvelle maison de son mari soumis.

- Allez fini de te prélasser, debout, mains derrière la nuque. On va rendre ton zizi beaucoup plus enfantin...

blbain2.jpgEffectivement elle entreprend de raser tous les poils présents sur le pubis, le sexe, les couilles, dans l'entrejambe et même dans la raie du cul, avec détermination et persévérance. Une fois contente de son résultat, elle me laisse terminer de me laver tout seul et va se reposer dans la chambre.

Je finis de me savonner, me sèche et repasse directement le grenouillère. Je vais me présenter dans la chambre.

- Mais alors la cage et la couche ? Pas bien cela... 

Maîtresse N. m'a saisi les couilles au travers du fin tissus et s'amuse à les presser un peu, pour affirmer son autorité sur son soumis. Je frémis.

- ... mais si tu le veux, après tout pourquoi pas ? Mais va me chercher le cadenas que je ferme bien la grenouillère et après tu iras préparer notre repas.

J'avoue que je suis bien content de me retrouver libre dans la grenouillère où ma bite dure se dresse au milieu en un mat de chapiteau. Bien sûr pas question de se masturber, les traces sur le jersey me trahirait immédiatement mais quelques caresses furtives mais pas trop poussées ne peuvent faire que du bien après, oui déjà, la 4ème semaine de chasteté.

Ce n'est que plus tard alors que je finis de mettre la table que je comprends oh combien je me suis fait, encore une fois, avoir, au moment où l'envie de vider ma vessie remonte. Pas de couche et enfermé dans la grenouillère, cela veut dire que j'ai aucune possibilité de me soulager et que je dois attendre le bon vouloir de ma Maîtresse ! Je me retrouve même à regretter l'absence de couche...

La couche je finirai par la retrouver mais pas avant la fin du repas. Aussitôt je soulage ma vessie et me souille volontairement. C'est l'heure de la sieste...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires
Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 17:44

J'espère que pour le pov' encagé ce n'était pas la seule clé du cadenas.

bltumblr1.jpg

Allez pour le plaisir voilà son frère...

bltumblr2.jpg

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 16:08

blautorisationcage.jpg

 

Comme il se doit, nu au pied de ma Divine, mon collier de soumis autour du cou.

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Sondage

Archives

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne

 

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés