Mercredi 7 mai 3 07 /05 /Mai 06:20

blenluC.jpg e matin là, je prépare la pérégrination en contrée Françoise en convoi de la Reine et des jeunes pages, le fer à castrer bien accroché, en craignant l'inconnue de l'érection de la bête, la nuit à venir, ainsi empalée. J'aurais voulu pouvoir tester l'appareil à vide, ou plutôt a plein, avant de m'y retrouver confiné, mais la Reine dans un souci de me faire abdiquer rapidement face au nouveau régime, a décidé - et en monarchie absolue c'est sans appel - de m'anneler au plus tôt et de me surprendre ainsi de la rapidité de cette ordonnance.

Je n'ai aucun refuge sauf à essayer d'inhiber toutes les réactions de mon corps à force de boissons maltées, aussi répandu en Dyonisie qu'elles le sont en Yanodie, chez le bas peuple, que je fais aussi discrétement que possible hors de la vue de la Reine. L'avantage est que cela fonctionne assez bien et que je n'aurai point de dureté trop exigeante cette première nuit dans le fer à castrer. L'inconvénient est que la Reine découvre finalement mon astuce ce qui me vaut une engueulade carabinée et une promesse de punition redresseuse de tort "dès que les conditions seront réunies". A cela se rajoute que le lendemain, c'est la tempête en Dyonisie, que je laisse la Reine dormir et m'occupe par ailleurs de mes affaires, sans m'occuper de celles du Chateau, ce qui me veut une seconde remontrance sèche et courroucée au réveil tardif de la Reine, qui me fait m'activer immédiatement la couenne honteuse.

Finalement nous prenons chemin en fin de journée. La Reine m'installe à la conduite de la carriole mécanique non sans me donner conseil de surtout bien m'installer et prendre mes aises vis à vis du fer qu'elle me fait porter. Sur le chemin je ressens dans l'entrejambe chaque ornière du terrain. La bête prise dans le pal bouge encore en coulissant lentement le long de la tige, avec l'étrange impression de la boule qui pénètre si profond à l'intérieur de mon corps au point que je n'ose y penser et l'agacement de la tige qui frotte sur le méat.

La communauté arrive finalement à une auberge où elle s'installe pour la nuit. Après un frugal repas, nous allons nous coucher. Nous occupons, la Reine, les pages et moi, une unique chambre de l'auberge, pas très grande. Je ne suis pas rassuré mais heureusement j'ai prévu un bas de culotte pour masquer ma jambe de fer de la vue des pages, ce que remarque malicieusement à voix haute la Reine. Il est temps à la communauté de s'endormir et moi le premier, physiquement fatigué du port du fer à castrer...

Les Démons Baiseurs viennent me rendre visite tôt dans la nuit. Je me demande si la Reine ne les a pas commandés à escient. Le fer à castrer devient instrument de torture et l'équivalent dans le royaume Dyonisien de ce qu'est la veuve de Nuremberg en Yanodie, celle d'un accessoire apte à briser toute vélléité de résistance chez l'homme qui se le voit imposé. Les Démons me baisent longuement la bite et la pénètrent durement, au moins à 4 reprises, et m'envoient le reste du temps dans des délires cauchemardesques. Je me sens désespérement coincé dans mon carcan de fer, à endurer les assauts des Démons Baiseurs, ramené à l'état d'une pauvre donzelle à 3 trous qui se fait violer le même trou en continu toute la nuit par une bande de Démons avides et dépravés. Je donnerais à ce moment mon âme pour qu'ils s'intéressent à un autre trou que celui qui transperce mon sexe.

La nuit est très longue et le matin arrive si lentement... Je me lève très tôt, bien avant la communauté et vais reprendre mes esprits à l'air froid du matin, l'entrejambe brulante qui met à longtemps à désenfler. Je sors exténué de la nuit. Quel présomptueux j'ai été de croire que je pouvais échapper à l'action retors du fer à castrer.

Oui je promets : je serai un soumis bien sage dans sa cage...

dyonisos
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Lundi 5 mai 1 05 /05 /Mai 12:00

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vec l'arrivée de la douceur et le soleil qui réchauffe, l'esprit vagabonde et se dévergonde. Les envies montent et le bas-peuple d'ici tend peu à peu vers le côté noir de la force. Faut-dire aussi que les nouvelles de la Yanodie et de son exigeante Reine Flo 1ère, donne l'eau à la bouche à ce bas-peuple.

Alors comme à chaque fois le peuple se demande : ne faudrait-il pas rechercher la renaissance du royaume Dyonisien, voisin de la Yanodie ?

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Bien sûr pour cela il faut remettre une Reine sur le trône du Royaume d'ici, qui n'en a plu connu depuis longtemps. Alors le peuple - toujours le dindon de l'Histoire - va chercher l'ancienne souveraine pour lui faire une offre de retour sur le trône. 

La future Reine pressentie fait malicieusement traîner sa réponse ou en donne une normande (peut-être ben...). Puis finalement, elle accepte de se laisser couronner à nouveau par son bon peuple.

Tout est prêt. N'y a plus qu'à profiter d'un temps de pérégrination dans la contrée des Francois pour faire monter la pression avant de mettre les chères têtes blondes dans le Poudlard Express et permettre au peuple de servir la Reine en bon serf mais forcément martyrisé. Il est vrai qu'il n'est pas facile à chaque fois de passer d'une république parlementaire à une royauté absolue. Question de perte de repère ou d'habitude tout simplement. Le peuple renonce difficilement à sa liberté chérie. Il est difficile à ma Dame amoureuse et égalitaire de redevenir Reine injuste et perverse. 

Cela nécessite un coup d'état pour changer le régime politique de la Dyonisie. A l'arrivée du moment, le peuple, une dernière fois, communie dans une dernière secousse de liberté avant de renoncer par écrit à ses droits consitutionnels de citoyen libre ouvrant le champ libre au changement de régime à un moment ou au autre. L'histoire de notre Royaume, nous a appris qu'il ne faut surtout pas perdre de temps au moment de la migration Grandparentesque des têtes blondes. Le peuple s'attend donc à ce que le coup d'état se réalise rapidement. Et pourquoi pas dès le départ du Poudlard Express : "enfants partis, toi tu mets IMMEDIATEMENT ta cage !". Un retour encagé au chateau serait très symbolique et annonciateur d'une servitude heureuse. 

Mais nous en sommes pas encore à ce moment. Pour l'instant il est temps de pérégriner un peu pendant quelques jours dans la contrée des François. Et avant de s'occuper des activités des pages. Et c'est au retour de la dernière tournée de charrette, quelques heures après le renoncement écrit, que le peuple reçoit le premier édit de la future Reine.

Mise en cage ce soir. Avant obligation de rasage.

Aie ! Le problème avec les coups d'état est que c'est toujours le bon peuple qui trinque... Le peuple est envoyé directement se morfondre en prison, la souveraine taquine faisant fi des inconvénients d'être encagé pendant la période de promiscuité à venir. 

A partir de ce moment, le peuple se sent d'une âme noire. D'autant qu'il entend que la cage se comprend cette fois complète avec le zizi empalé sur le plug. Mais le peuple est excité et a le zizi humide à la perspective de changement de régime. Pov' peuple idiot... qui se fait toujours avoir dans l'Histoire.

Le soir arrive vite, trop vite. La Reine surveille d'un coin de l'oeil les allées et venues du peuple qu'elle interroge :

- Tu vas où là ?

- Je vais me doucher...

- Comment cela, tu ne t'es pas douché ce matin ?

- Non, mais...

Il semble que le peuple rougit un peu là. La jeune patrouille est par là. Il mime rapidement un geste d'un rasoir dans l'entrejambe et s'éclipse. Il lui faut une bonne demi-heure pour abattre la forêt qui a poussé. Le peuple se sent dans l'âme d'un condamné qui fait sa dernière toilette avant de monter sur la Veuve. Mais finalement le peuple y arrive avant de terminer par les dessous de bras. Il se rhabille et revient auprès de la nouvelle Reine.

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La future Reine est toujours assise sur son trône à s'occuper à règler les affaires de son Royaume. Faisant fi de la présence des Pages, elle vient porter son Auguste main sur l'entrejambe  et lève les yeux d'un étonnement reprochant. Le peuple rougit sans doute de nouveau, balbutie que "non je n'ai pas encore..." et s'enfuit la queue basse mettre la cage.

Le peuple récupère en fond d'amoire la boîte fermée des fers à castrer et se dirige vers la salle d'eau, quand il tombe sur la jeune patrouille du Royaume.

- qu'est-ce que tu vas faire ?

Le peuple a envie de lui répondre : essayer de passer la foutue cage que ta maman à décider de mettre sur le zizi de ton papa... Mais il se retient et essaye vite de trouver une réponse crédible et apte à désarmorcer la curiosite de la patrouille. Cela sera : "je vais tailler les poils de dessous les bras, maman trouve que je pue trop" Cela marche ! Hourra ! (et en plus ce n'est qu'un demi-mensonge, le peuple vient de le faire)

Le Royaume aime les prisons aux barreaux solides, mais qu'est-ce que c'est compliqué à mettre pour un serf peu doué. Le peuple arrive avec quelques peines à passer une à une les couilles dans l'anneau clos et vient alors la phase délicate de l'empalement complet avant de faire basculer légèrement la cage pour finir de l'accoster, le système de fermeture étant solide mais exigeant. Le peuple souffle. Le peuple souffre. Le barillet est finalement introduit. Le peuple est prêt à son destin, la clé encore attachée à la cage. Il se présente donc en audience auprès de la Reine qui, occupée à gérer les affaires de son Royaume, le fait attendre, languir dirais-je même de sa disponibilité. Nous ne serions pas au Royaume dyonisien et le peuple aurait droit à la parole, que le peuple dirait qu'elle le fait exprès pour me taquiner. Au final, la Reine daigne enfin consentir à s'occuper de la petite affaire de son sujet avec le dédain monarchique qu'il se doit. Clic-Clac, l'oiseau est dans le sac. Et la clé, jetée au fond d'une poche, hors de la vue du sujet.

Une chose étonnante quand même pour finir. La Reine fait une confidence dans un mumure, celle de l'excitation qu'elle prend à l'enfermement de ses sujets. En bons sujets, le peuple fait celui qui n'a rien entendu. Il a des confidences des puissants qu'il faut mieux oublier sinon...

dyonisos

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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 18:32

La semaine dernière, N. voyageait en train et dans la gare où elle attendait, voilà qu'une personne habillée de cuir lui attire son oeil dominant...

- C'était une Maîtresse...

- Comment peux-tu savoir cela du premier coup d'oeil ?

- Elle était habillée fetish cuir.

- Cela ne prouve rien, de nos jours le SM est à la mode et l'habit ne fait pas le moine...

- Si c'était une Maîtresse j'en suis sûre ! Elle avait enfilée une cravache dans ses hautes bottes.

- La... cravache ? Attend pourquoi elle ne l'avait pas mise dans son bagage ?

- Tout simplement parce qu'il était trop petit pour la contenir...

Et sur ce elle me laisse à mes pensées, sûre de son effet. Bien sûr, c'est évident, la Maîtresse a mis la cravache dans sa botte parce qu'elle ne rentrait pas dans son bagage... Drôle de pensée excitante, mais il faut de tout pour dominer un monde.

dyonisos

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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 21:01

La voiture glisse dans un doux bruit sur les lacets de routes de campagne. En ce milieu d’automne, les arbres sont flamboyants avant de se dévêtir pour l’hiver. La douce journée ensoleillée touche à sa fin. C’est si calme, si reposant. Et quelle nature magnifique ! Pas de doute, ils se plairont beaucoup dans leur nouvelle région. Seule la voix féminine du GPS dicte régulièrement sur le smartphone les embranchements à prendre. Le miracle de la technologie moderne. Sans lui, Arnaud n’aurait jamais trouvé son chemin au travers des hameaux. Audrey lui a dit d’être parfaitement à l’heure, pour ne pas faire mauvaise impression dès son premier jour.

Cette mutation dans une nouvelle unité est une vraie chance pour sa carrière. C’est l’opportunité qu’il a longtemps attendue et sa première journée dans son nouveau site s’est passée sans problème. Les gens d’ici sont si accueillants et vous mettent immédiatement à l’aise. Pourtant alors qu’il s’enfonce dans la campagne, sa sérénité disparait peu à peu et l’inquiétude reprend. Ce changement de lieu, une vraie chance pour lui, a été difficile à faire accepter à sa famille. Il s’y attendait. Audrey a toujours vécu dans sa ville de naissance et ses parents – les grands parents des enfants – y sont encore. Les convaincre de partir habiter ailleurs n’a pas été facile, fruit de plusieurs mois de négociation, avec une femme très réticente. Alors il a du faire des concessions. Oui, il partirait tout seul et la famille ne le rejoindrait qu’à l’issue de l’année scolaire. Oui il accepterait qu’Audrey arrête de travailler. Mais la plus grosse concession, c’est celle qui s’apprête à faire là, ce soir, loin de son foyer. Audrey a été très claire dessus :

«  Puisque cela va être très dur pour moi, les enfants et mes parents, je veux que cela soit aussi dur pour toi que pour nous ! Et ce n’est pas négociable ! »

Comme si passer sept mois, loin de sa femme adorée et de ces deux enfants, n’est déjà pas une épreuve ! 24h qu’il les a quitté et ils lui manquent déjà. Arnaud a toujours été raisonnable dans sa vie, se voulant bon mari et bon père. Et jusqu’à dernièrement, il pensait avoir épousé une femme qui le correspondait, certes un peu plus passionnés que lui, mais justement c’est cela qui lui manquait. Mais, oh grand jamais, il n’aurait cru qu’Audrey puisse être aussi décidée. Il en a même été complètement stupéfait de découvrir combien sa femme pouvait être différente de ce qu’il pensait. Bien sûr il a essayé de la raisonner, puis à défaut d’argumenter : en vain ! Cela a affecté les dernières semaines du couple et sauf à les perdre, elle et les enfants, Arnaud n’a pas d’autre choix que de suivre Audrey dans sa « folie ».

Le panneau de sa destination vient d’apparaître au dernier croisement. La voix du GPS confirme qu’il suit la bonne direction, un hameau de campagne isolé, réduit à une seule exploitation agricole avec grange, vieilles masures et annexes. Il a quelques minutes d’avance. Il arrête son véhicule au début du chemin, inquiet, pas sûr de ne pas faire la plus grosse connerie de sa vie. Il hésite et  décide finalement presque de rebrousser chemin quand une vieille 306 s’immobilise à ses côtés. La conductrice descend la fenêtre, une femme forte dans la cinquantaine, au visage travaillé par la terre, les cheveux en désordre et mal fagotée. Arnaud descend à son tour la fenêtre conducteur.

- Ah c’est toi le mari ? Bon t’es pile à l’heure. J’apprécie. Allez suis-moi jusqu’à la ferme, mon chou…

La femme lui indique de garer son véhicule sous un auvent, à côté d’un vieux tracteur rouillé. Arnaud récupère son sac et se présente devant la maison.

- Bon moi c’est Cathy, mais pour toi cela sera toujours Madame. Dans la ferme, il y aussi Jo mon second mari, que tu appelleras Monsieur. Nous irons le voir tout à l’heure, il a commencé la traite. Nous élevons des chèvres pour le fromage et des hommes mâles pour l’amusement avec une certaine réputation pour les deux. Allez suis-moi que je te montre ta paillasse…

Arnaud suit, hébété, la dorénavant Madame. Ses jambes sont flageolantes alors qu’il marche. Non ce n’est pas une bonne idée de venir ici ! Cette femme lui fait peur. Ils arrivent devant la porte d’un appentis fermé qui prolonge la maison sur le derrière. Madame insère une clé pour ouvrir la porte et le pousse assez rudement à l’intérieur, une petite pièce avec un tuyau d’arrosage dans un coin et un lavabo (« le tout à l’eau froide »). Une mallette aussi posée par terre. Son sac de voyage lui est pris des mains et posé par terre.

- Cet endroit sera le sas entre ta vie extérieure et ta vie ici. Tu t’y laves, tu mets des vêtements et tu as intérêt à ne pas traîner en route pour le boulot. Je ne veux pas te voir habillé dans la ferme. Chez nous les bêtes en élevage vivent à poil été comme hiver. Quand tu reviens à l’heure forcément, pas besoin de rentrer dedans. Tu te défroques et glisse tout dans la fente de la boîte du mur, là, qui communique avec l’intérieur. Capito ?

- Euh… oui je cr…

Arnaud n’a pas le temps de finir sa phrase. Le genou de Madame le frappe dans l’entrejambe, lui causant une terrible douleur au niveau des couilles écrasées qui le fait se plier en deux.

- Oui, MADAME !! Et rien de plus. Je me fous de ton blabla inintéressant. Tout ce qui m’intéresse c’est d’entendre crier les mâles quand ils perdent leur dignité. Ah oui, je ne t’ai pas dit, tu es le cinquième à rentrer dans notre cheptel perso. Le premier était notre commis de ferme, une brave bête. Tu auras bien le temps de nous faire entendre ta voix de petit garçon outragé -  crois-moi, je suis plutôt impulsive – mais là tu vas prendre ta première leçon de silence punitif…

La femme remonte sa jupe et se tortille pour enlever sa culotte, qu’elle présente devant la bouche de l’homme, dont elle obtient l’ouverture d’une main à écraser le paquet sous le pantalon. Le temps de proprement enfoncer à la culotte odorante dans le gosier. Le temps de faire rentrer ce qui dépasse et bientôt tout est maintenu bien en place par deux tours de scotch. Voilà un esclave dorénavant silencieux !

- Bon, à poil, le goret !

Madame détecte une réticence à obéir immédiatement. Elle lui envoie une baffe d’exaspération.

- Plus vite !

Depuis qu’Audrey lui a fait part de son intention de le transformer en mari soumis, et qu’il l’a accepté faute d’autre choix ou plutôt de courage, Arnaud a craint le moment où tout basculerait. Oh ce n’est plus une oie blanche, du moins depuis qu’il s’est renseigné sur les pratiques D/S et BDSM, grimaçant souvent devant certaines et troublé par d’autres. Mais il ne s’est jamais senti à l’aise avec sa nudité et encore moins devant une parfaite inconnue. Et pourtant le rouge aux joues et la bave au bâillon, il enlève sa veste, déboutonne sa chemise, fait tomber son pantalon avant, sous les yeux impatients de la femme, faire timidement descendre son slip.

- Tu as oublié les chaussettes, pauvre con ! Ta première punition gagnée…

Le tout accentué d’une tape bruyante sur la fesse dénudée de l’homme, qui le fait sursauter mais moins que les mains de la femme qui ne se gênent pas pour jauger sans pudeur sa peau, son sexe et même l’élasticité de son petit trou.

- Pas trop de muscles. Petit sexe. Vierge du cul. C’est assez courant au début chez les sous-mâles de ton espèce. Tu m’épileras tous ces poils. J’aime bien mes esclaves ainsi, cela les rend plus vulnérables.  Ton passage ici ne va rien coûter à ta femme, car tu nous rembourseras des soins que nous te porterons en travaillant dur le matin et le soir. D’ailleurs tu me donneras tous tes moyens de paiement. Confisqué ! Je sais que tu n’es pas très branché côté pratiques obscures, voire même puceau en beaucoup de choses, mais cela je m’en fous… ou plutôt même cela m’apporte une excitation supplémentaire de devoir t’y forcer. N’attends aucune pitié de moi, juste une exigence extrême et constante. J’aime bien que les sous-mâles m’obéissent au doigt et à la baguette. J’en suis à mon cinquième dressage de sous-merde et crois pour briser les fortes têtes, je m’y connais ! Tu as compris, machin ?

Les yeux effarés, l’homme bâillonné répond par un hochement de tête pressé.

- Il est maintenant temps de t’enferrer.

Madame prend la mallette et la pose sur le dessus du lavabo. Elle y récupère un mètre de couturière, prend des mesures sur l’homme nu et choisit avec attention les pièces à poser. Deux paires de bracelets métalliques  pour les chevilles et les poignets, et un mince collier acier pour le cou. Les anneaux sont clipsés à leur place assez serrés contre la peau de l’homme qui frissonne et regarde tout cela d’un œil inquiet.

- Tu te demandes comment on les enlève ? Eh bien, ils ne s’enlèvent pas, sauf à les couper un à un à la scie, ce que nous ne manquerons pas de faire quand tu nous quitteras définitivement, à moins que ta femme veuille les garder après. Ah, ah, ah ! Pour l’instant tu les as en permanence ! Tu manges avec, tu dors avec, tu chies avec. Si tu es autorisé à sortir, tu sors avec. Ta réputation sociale, moi je m’en fous !

Elle regarde un moment l’homme droit dans les yeux, pour être sûre d’y lire la peur de l’inconnu qui monte alors qu’il comprend que cela ne fait que commencer. Elle se concentre sur le pénis rabougri entre les jambes, soupèse un temps les couilles dans leur enveloppe, avant de les broyer méthodiquement à casser en deux de douleur Arnaud.

- Allez laisse-toi faire. La pose ne fait, elle, pas mal.

D’une main experte, elle fait passer les couilles une à une dans l’anneau de métal, qu’elle ajuste avant d’enfiler le pénis flasque dans sa cage d’acier. Déjà malgré son extrême petitesse actuelle, Arnaud sent déjà les limites froides de la prison. Il a découvert l’existence de ces accessoires de contrainte il y a quelques semaines, quand il essayait d’en savoir plus sur ce qui l’attendait. Il sait parfaitement à quoi s’attendre, les nuits infernales et tout le reste, mais en craint l’expérience réelle.

- Pas la peine, de te dire comment cet innocent accessoire plie la volonté des hommes. Ta femme m’a raconté que tu avais regardé cela sur l’ordinateur et beaucoup d’autres choses encore. Alors je vais juste te préciser, que le modèle que j’emploie contient des pointes intérieures, ce qui détériore beaucoup le confort du port, et que pour moi c’est 24/24 et 7/7, même pour la toilette, sans répit. Et surtout j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer. J’étais embêtée que tu doives rentrer vers ta femme et tes enfants le week-end. Cela ne facilite pas la continuité du dressage et j’aime bien que le dressage soit sans répit. Nous avons fait le compromis avec ta femme que tu ne rentrerais finalement que quand elle le demanderait et si je te l’autorise. Mais surtout elle m’a annoncé hier, qu’elle attend son troisième enfant pour mai et qu’elle ne t’avait rien dit avant ton départ.

L’homme releva les yeux de surprise et d’émotion.

- Et comme tu sais qu’à partir du 3ème mois, elle n’a plus envie de sexe, cela veut dire pour toi, que j’ai le champ libre pour gérer ta semence ou plutôt ton absence de semence comme je veux. Toi tu resteras bien sage en cage pendant un long moment. 

Arnaud fait nettement la gueule à la perspective.

Ils quittent alors pour aller voir l’endroit où dort l’esclave de la maison : « avec ces congénères, à la porcherie ! ». Madame lui a attaché les mains dans le dos et aussi les chevilles entre elles, l’obligeant à faire des tout petits pas ridicules pour avancer, sous les quolibets humiliants. Ils arrivent finalement devant une annexe de pierres, basse de toiture occupée aux deux tiers par les enclos à cochon. Le dernier tiers est réservé à la « bête humaine » de la ferme, un lourd verrou extérieur sur la porte (« tu y seras enfermé tous les nuits, comme toutes les autres bêtes de la ferme, pas d’exception »). L’espace à l’intérieur fait deux mètres par deux, avec une litière dans un coin pour dormir, un robinet d’eau et un seau sans doute d’aisance. Rien de plus ! Sauf une fenêtre grillagée équipée de vieux carreaux. Seuls détails incongrus, une caméra surveille ce qui se passe dans la pièce, un interphone est fixé à côté de la porte et un petit radiateur électrique tente de chauffer la pièce en hiver (« commandé depuis l’extérieur et arrêté si tu n’as pas été assez obéissant »).

- Les débuts du dressage sont toujours très durs pour les nouveaux qui ont du mal à suivre le rythme et à accepter la perte de leur liberté. La camera, c’est pour être sûrs que tu ne vas pas faire de conneries… Allez assez-vu, tu auras le temps de découvrir ton « chez-toi » en détail dès ce soir. On va rejoindre Monsieur qui doit être impatient de te connaître…

Ils vont donc dans la bergerie, bâtiment moderne de métal et y entrent par le laboratoire où le fromage de chèvre est fabriqué dans les « conditions de la foutue Europe ». Derrière, le bruit caractéristique de l’air régulièrement relâché s’entend : la traite est en plein cours. Tout ce matériel est nouveau pour Arnaud – il est un fils de la ville – et donc inquiétant. Mais avant de rejoindre Monsieur, Madame s’arrête devant une porte qu’elle ouvre pour ordonner à l’homme entravé de la suivre dedans, avec le encore laconique commentaire « j’ai envie de pissou ».

A l’intérieur la pièce est entièrement carrelée en blanc comme le reste du laboratoire. Dans un coin, un WC a été installé faisant ressembler l’ensemble à de grandes toilettes pour handicapés, petit lavabo compris, sauf pour un énigmatique cube en inox de cinquante centimètre de côté, trônant au milieu du quasi vide de la pièce. La femme défait l’attache des bracelets aux mains et aux jambes, lui enlève son bâillon puis elle ouvre le couvercle du cube, plutôt son emballage, qui bascule en deux parties dévoilant l’intérieur, une boîte légèrement plus petite comportant une lunette de WC et une ouverture circulaire sur le devant. Du coin de l’œil, elle surveille les réactions de son nouvel esclave dont les yeux, après un temps d’incompréhension, se dilatent complètement d’effroi. Oh qu’elle aime ce moment !

- Cela fait aussi partie de ton dressage de savoir rendre avec grâce ce genre de service très intime. Cela dégoute certains, nous pas. On aime bien y utiliser nos esclaves et si tu n’aimes pas, tant pis pour toi, nous t’y forcerons. Et puis cela fait une pause bien excitante pendant notre journée de travail. Allez couché le chien et la tête dans la boiboîte ! Cela presse…

L’homme voudrait résister qu’il ne pourrait pas. Madame le prend fermement par les couilles pour le tirer jusqu’au sol, puis le positionner la tête dans la boite. Elle termine en lui rattachant les chevilles et les mains aux mousquetons sur le côté de la boîte. Satisfaite, elle soulève le couvercle de la lunette pour contempler le visage déconfit d’un homme face à son destin.

- Tu as de la chance aujourd’hui, on ne va pas commencer notre échange intime par une grosse commission. Mais je vais quand même prendre mes précautions. Ouvre la bouche !

Mais Arnaud s’y refuse totalement, du moins tant qu’elle ne lui tord pas méchamment un téton entre ses ongles, suffisamment pour qu’elle puisse glisser un écarteur entre les dents qu’elle ouvre peu à peu en jouant des écrous de chaque côté. Elle n’a plus qu’à introduire un entonnoir qui s’enfonce pratiquement jusqu’en fond de gorge et s’assoir sur le siège.

L’obscurité qui tombe dans la boite, finit de mettre l’homme en panique totale. Le corps se convulse dans tous les sens, mais impossible de s’extraire de son sort. Les vannes s’ouvrent au-dessus et un liquide chaud et amer lui coule dans la gorge, l’étouffant. Madame lui ordonne de tout avaler et « qu’il n’en ait pas une goutte qui y échappe ». L’homme n’y arrive pas. Il a le réflexe de tousser pour rejeter le liquide. En vain, l’écarteur bloque toute possibilité et finalement il cède et avale une quantité d’urine chaude de Madame.

La femme se relève finalement, s’essuie la chatte et jette le tout dans l’autre WC, dont elle tire la chasse. Puis elle revient contempler le résultat.

- Humm pas mal pour un début, mais il y a quelques gouttes qui ont rejailli là et là. Ce qui est INACCEPTABLE ! Je veux un service de toilettes parfait. Crois-moi tu vas vite apprendre…

Arnaud est finalement libéré, mais Madame laisse le, maintenant, douloureux écartoir. Elle lui rattache aussi les mains dans le dos et ils finissent par arriver dans la salle de traite, une douzaine de postes de chaque côté d’une fosse centrale, occupés par autant de chèvres sauf un endroit vide, dont la forte odeur remplit l’air. Jo, Monsieur, dans une combinaison bleue salie et en bottes s’occupe à mettre et enlever les pots trayeurs, en cadence, qui se décrochent automatiquement à la fin de la traite de chaque animal. C’est un sec monsieur moustachu, au début de sa soixantaine, blond avec un regard bleu très pénétrant. Plein d’exigence aussi. Il fait immédiatement très peur à Arnaud. Il se retourne à leur arrivée.

- Ah c’est vous ? Alors il est comment le nouveau ? Viens donc te montrer à Monsieur…

Madame le pousse vers Monsieur, qui met Arnaud très mal à l’aise en le détaillant des pieds à la tête, comme on jaugerait de l’état d’une bête au marché des bestiaux avant de l’acheter.

- Tu l’as bien choisi, Mamour. Il me plait !

- Je viens de l’essayer dans la boîte. Ce n’est pas trop mal pour une première, mais il a quand même laissé échapper quelques gouttes…

- Bah, ils le font tous au début, surtout quand on passe aux choses plus sérieuses. Ils ont besoin de motivation… Ah, ah, ah ! Bon ok je lui tannerai la peau tout à l’heure pour lui apprendre à bien faire ce que l’on lui demande. Hein, il fera attention, le goret ?

Arnaud restait interdit au milieu, la peau frissonnante dans le froid de l’étable, les yeux dans le vide. Il ne répond pas.

- Au fait, Jo, tu as fini la modification du pot cette après-midi ?

- Ouais, y’a plus qu’un seul manchon. Et j’ai fait un circuit de collecte séparé comme on l’a imaginé. Là tu vois les tubes de PVC noirs. Je pense que cela va marcher. On lui montre ?

- On lui montre. Mais je te rappelle que ce n’est pas pour tout de suite, je veux d’abord bien l’assécher du zizi, qu’il soit à point. Donc pas avant six semaines.

- Ouais je sais, tu me l’as dit. Mais vu qu’il est maintenant sous cage, on pourrait même faire un essai tout de suite. Je n’allais quand même pas y mettre ma propre bite. C’est que c’est fragile ces choses-là…

- Ah, ah. Très bonne idée. Vas-y….

- Viens là, toi !

Arnaud est emmené devant le dernier poste libre. Il doit se contorsionner pour prendre sa place à quatre pattes, le cul tournée vers la fosse. Ses jambes sont maintenues en place attachée à des barres qui se déplient (« très bonne idée, chéri »). Et très rapidement, le vide du manchon posé lui avale entièrement la cage de métal. A sa grande stupeur, le zizi de l’esclave commence à réagir sous les cycles de pression/dépression. Il grossit tant qu’il peut jusqu’à s’enfoncer les pointes profondément dans la chair, causant une vive douleur qui le fait gémir de détresse dans l’écarteur de bouche. Le zizi dégonfle sous la peine, puis regonfle et cause de nouveau cris étouffés. Le cycle infernal se met en place.

- Ouah, je ne pensais pas que c’était possible, Jo. Bander et débander en cycle continu.

- Tu penses à ce que je pense ?

- Oui, le goret vient de gagner deux traites à sec tous les soirs et les matins !

- Yes !

- Il attendra son tour à la fin des chèvres.

- Yes !

Et ils échangent un baiser profond face à la perspective sadique. Mais la réalité se rappelle à eux. Les dernières chèvres béguètent dans l’attente de la traite…

- Ok tu peux finir la traite ? Il est temps je pense, que je découvre notre nouveau jouet…

- Vas-y … Je vais aller nous préparer des sandwichs pour la suite. Je crains que nous n’ayons pas le temps, ni l’envie de dîner à table ce soir…

Monsieur se rapproche d’Arnaud et d’une prise sur son collier le force à le suivre. Il est emmené jusqu’à un box à l’écart, vide à l’exclusion d’une espèce de cheval d’arçon recouvert de plastique.

- Tu te demandes ce que c’est ? Eh bien je vais satisfaire ta curiosité. C’est un banc pour recueillir le sperme des verrats, que j’ai acheté aux enchères après la faillite d’un centre d’élevage du coin. Je l’ai un peu modifié pour mes besoins. Tu vas voir…

D’une poussée sur les épaules, il le fait s’effondrer durement sur le banc. Les mains sont attachées sur les montants de devant, le corps sanglé par des lanières et les pieds maintenus écartés par des attaches fixées au sol. Le nouvel esclave ne comprend rien mais anticipe le pire. Il ne voit pas derrière lui, Monsieur qui fait tomber à ses chevilles slip et combinaison, la bite déjà en érection maximale. Il ne comprend qu’une fois que sa raie du cul est graissée (« avec de la graisse à traite ») et que la tête chercheuse du phallus de Monsieur appuie fortement sur sa rondelle. Il cherche à crier mais ses cris sont étouffés par l’écarteur, alors que le phallus le force et le perfore sans aucune pitié. Il endure longtemps les coups de boutoir de Monsieur qui prend son plaisir à lui baiser durement le cul. Malgré ses recherches, il n’a jamais pensé qu’un homme était capable d’infliger cela à un autre. Et pourtant c’est ce qui lui arrive, PD à son insu.  Monsieur le besogne longtemps dans la douleur extrême, jusqu’à ce qu’Arnaud entende et sente le plaisir de Monsieur venir et déferler dans ses entrailles. Monsieur se retire finalement son plaisir pris et lui parle.

- Eh bien tu sais,, tu as vraiment un bon petit cul de pucelle, bien serré, que j’adore. Et tu ne le sais pas encore, mais j’ai des besoins sexuels énormes… Alors il va falloir t’habituer à la saillie, une ou plusieurs fois par jour, à toute heure. Tu dois donc comprendre maintenant, pourquoi, j’ai acheté ce banc à traire les verrats… Et puis je vais te transformer en bonne bouche suceuse en tout endroit. Fais-toi dès à présent à l’idée, cela te vaudra moins de désagréments, crois-moi !

Et sur ce, il se rhabille puis libère le corps du banc, avant de le faire relever d’une prise sur le collier.

- D’ailleurs au niveau désagrément, il est temps pour toi d’en avoir un avant-goût amer…

Il le mène dans la grange à foin, attache ces bracelets des poignets au treuil avant de lever le tout dans une position à la limite de l’instable. Monsieur enlève finalement l’écarteur (« car j’aime bien entendre crier mes gorets quand je leur tanne la peau… »). Et commence effectivement à lui tanner la peau au long fouet, méthodiquement, sur toute la chair en laissant de larges balafres rougeâtres, certaines sanguinolentes. Arnaud hurle en continu mais Monsieur n’en tient pas compte ou plutôt utilise ses cris pour régler la force de ses coups. Tout y passe du mollet au haut des épaules, le derrière et le devant.  Madame qui revient avec des sandwichs, trouve Monsieur en train de sadiquement viser méthodiquement la raie du cul du bout de la lanière.

- Tu es vache, tu aurais quand même pu m’attendre !

- Désolé, mais j’étais trop excité par le dépucelage du goret…

- Pardonné, uniquement si tu me files le fouet pour que je m’amuse moi aussi. Et il serait bien que tu prennes le temps de manger un peu aussi.

Jo transmet le fouet à sa femme…

- Putain, tu n’y es pas allé de main morte : il est marqué de partout. Tu sais bien que j’aime bien voir mes marques… T’es qu’un égoïste. T’as pas fait l’entrejambe ?

- Non tu sais bien que je te le laisse toujours…

- Ok, je prends le fouet court et je m’en occupe…

L’entrejambe veut pour Madame dire porter des coups cinglants aux parties sexuelles.  Elle le travaille d’ailleurs longuement en cet endroit, jouant de ces peurs et des hurlements, sans aucune modération, jusqu’à le mettre en pleurs. A la fin le corps est effondré et ne tient plus que par les bras retenu par le treuil, strié du haut en bas.

- Bon je crois qu’on n’en tirera rien de plus… Tu as préparé les instruments ?

- Oui je m’en suis occupé pendant que tu t’occupais de le finir…

- Alors allons-y ! C’est le moment, il est mûr à point.

L’homme est traîné dans l’étable. D’un geste ancestral, Monsieur immobilise ensemble d’une corde les pieds et les mains. Arnaud est couché sur le côté et découvre avec horreur le fer à bétail qui chauffe sur le réchaud gaz. Madame en rigole…

- Ben oui, tu fais maintenant parti du cheptel de la ferme ! Faut qu’on te marque comme toutes les bêtes… pour dire que tu nous appartiens.

Et sur ce, Monsieur enfonce le fer incandescent dans la peau de la fesse gauche. L’air se remplit d’une vilaine odeur de chair brûlée, pendant que la « bête » marquée hurle de tous ces poumons ! Finalement le fer est enlevé laissant un Arnaud à bout de souffle. 

- On lui pose la marque d’identification maintenant ?

- Oui, il vaut mieux vu comment cela tourne avec sa femme.

Monsieur ne se la fait pas dire deux fois. Il prend le numéro en plastique et la pince. Et déjà il se précipite sur l’oreille de l’homme à terre qui est percée à vif avant de sertir au travers le numéro d’identification.

- Humm sympa. C’est un vrai numéro ?

- Oui, je l’ai déclaré comme verrat castré. Au moins, cela sera totalement vrai si tu décides de le castrer finalement. Bon il est temps de rentrer les bêtes pour la nuit. Tu t’occupes de lui et je m’occupe du reste. Après on se retrouve à la maison, car j’ai une folle envie de te sauter, après toute cette excitation… Ton petit trou me fait envie !

L’homme maintenant plutôt mort que vif est ramené dans son cachot pour sa première nuit, non sans devoir faire un arrêt dans les toilettes pour sa première « grosse commission » qu’il finit par intégralement avaler sous l’action terrifiante d’un bâton à décharges électriques. Une fois arrivé, Madame enchaîne le collier au mur, puis lui baise douloureusement le cul « pour son plaisir » au gode ceinture surdimensionné pendant qu’il vomit le « repas » du soir. Elle le laisse finalement sur une promesse de punition au matin pour avoir régurgité et l’enferme dans la pièce.

Arnaud est anéanti, la peau en lambeau, l’oreille en souffrance et le ventre au bord du gouffre. Il comprend qu’il lui sera impossible de continuer travailler dans cet état ni revoir les enfants avec une étiquette fixée à l’oreille. Pour la première fois de sa vie adulte, il se recroqueville en position du fœtus et se met à pleurer sur son sort à chaudes larmes, longtemps, très longtemps. 

Il est surprit par l’interphone qui grésille. Une voix féminine se fait entendre. Aucun doute, c’est la voix d’Audrey ! Sauvé ! Il se précipite à l’interphone et crie « Audrey sort moi de là c’est un enfer ! Ces gens sont des brutes sadiques ! ».  Mais la voix continue de parler, comme si elle ne l’a pas entendu. Il recommence encore plus fort. Aucune réaction ! Elle ne l'entend pas. Plusieurs tentatives : en vain !

- …quelle journée mémorable… j’ai enfin dit oui à Peter… tu sais mon chef américain… il a hâte de l’arrivée de son premier enfant que je porte… il ne veut plus attendre : nous nous marrions à New-York dans quinze jours… tu sais il a été nommé directeur au Etats Unis… les enfants l’ont vu aujourd’hui et ils l’adorent, surtout qu’il les as beaucoup gâtés... Paul a enfin eu la console dont il rêvait… Cathy m’as dit qu’il n’y aurait pas de problème pour les papiers du divorce… tu les signeras, contraint ou forcé… ah oui, j’oubliais de te dire : j’ai envoyé à ton boulot ta lettre de démission aujourd’hui comme convenu… Peter connait ton DRH… j’ai aussi envoyé à Cathy les formulaires d’adoption… cela sera mieux pour les enfants… bon je te laisse, Peter m’attend …  les enfants sont chez mes parents… il a tellement envie de moi ce soir… avant notre décollage demain pour New York avec Peter et les enfants. … tu verrais la belle bite qu'il a, surtout à côté de ton macaroni… je veux en profiter un max avant de ne plus pouvoir avec ma grossesse…  adieu donc… je suis sûre que tu seras heureux finalement à la ferme.

La voix s’éteint définitivement laissant un Arnaud en détresse totale.

dyonisos - 2014
Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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