Vacances de N. & dyonisos

Dimanche 10 juillet 2011 7 10 /07 /Juil /2011 13:00

blcombatrapprocheUne ouverture symphonique en 2 temps. Une envie commune de partager du bien ensemble quand le temps est enfin là. Mais sur le moment c'est plutôt un assaut de Madame sur le phallus de Monsieur. Allez ouste à la chambre ! Elle s'empale d'autorité en amazone avec un sourire de petite fille qui retrouve sa sucrerie favorite. Soupir de contentement une fois qu'elle l’a bien avalée et tout de suite l'impression de 2 mains puissantes qui me massent le machin au creux de sa matrice dégoulinante d'humidité. Séquence en eau profonde. Elle va vite et puissamment : elle veut jouir ! Pas plus de 2-3 minutes à être broyé dans les mâchoires infernales avant qu'elle éclate de plaisir dans un long cri strident retenu entre les dents. Toute seule. Moi sur le nirvana du plateau dans la merveilleuse attente d'attaquer l'ascension finale. Qui n'a pas eu lieu : elle est bien trop rapide pour moi aujourd'hui.

Allez hop on relance les dés et on recommence dans une autre position les yeux dans les yeux. La chance d'avoir un éjaculateur tardif rien que pour soi à la maison. L'antre de N. bien dégagé, ses jambes sur mes épaules, le bassin décalé pour atteindre le bout du bout. Jouer avec l'arrondi du col, le sonder et le sonder encore. L'entendre râler de jouissance trop longtemps non assouvie. En profiter pour cueillir des longs baisers engagés à ses lèvres, tout en continuant à travailler au cœur de la matrice. Madame ne veut pas de la force, mais de la finesse. Je m'y emploie sans cesse...

Allez hop on change tout encore une fois. Elle veut me sentir dans son cul. Nous tombons sur le côté, les corps encastrés, ma dureté contre sa rondelle, ma main titilleuse et pinceuse sur le bouton. Elle veut se l’introduire ! Sans aucun lubrifiant ?!? Oui, si elle le veut, elle force pour essayer de m'avaler... longtemps et en vain ! Elle n'est pas contente de ne pas y arriver. Alors elle change de nouveau. Couchée en chienne devant moi, elle m'offre son temple pour la communion et déjà je vois son petit trou qui palpite pressé d'être embouché. Je me glisse entre les lèvres pour retrouver sa douceur : premier soupir. Je pointe mon pouce au centre de son anneau plissé : deuxième soupir. Un peu de salive et la porte de l'enfer s'ouvre. Mon doigt s'amuse déjà à tâter la résistance de l'enveloppe. Je pressens mon bâton qui lime l'autre conduit. Je le cherche et le trouve. Me voilà en train de jouer avec la couronne à travers les muqueuses. Je me branle à l'intérieur de son corps. N. apprécie et roucoule de bonheur sur la route de l'orgasme. Je sens monté moi aussi la sève dans la tige, je veux partir. Mais elle me brûle encore la politesse dans une de ces explosions puissantes que j'arrive à lui apporter. Je continue un peu pour mon seul plaisir, mais rien à n'y faire. Cela ne veut pas finir. Trop crevé sans doute. Dommage.

Bilan : 2 orgasmes à 0 !

dyonisos

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Jeudi 30 juin 2011 4 30 /06 /Juin /2011 23:41
blVacation.jpgBon c'est fait. Fini le boulot et vive les vacances. Tout le monde à la maison est très excité : demain nous devrions être dans la piscine. Tous les membres de la famille sont cools ce soir heureux de partir. Et vous savez quoi, N. est en manque... je m'en lêche les babines. Finies les bouderies et vivent les vacances !

BONNES VACANCES A TOUS !
dyonisos
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Mercredi 15 juin 2011 3 15 /06 /Juin /2011 00:37

Aujoird'hui au grand plaisir de N. et des enfants, j'ai réservé les vacances début juillet. Et pour ceux qui ne nous connaissent pas, les vacances estivales c'est vanille à 100% (et plus si affinité).

Voici la rediffusion d'un des très rares articles à 4 mains du blog qui résume pas mal ce nous attendons des vacances... 

dyonisos


 

kikkou1ancien.JPGUn saucisson, m'avait promis mon petit soumis.

Ce qui fut fait, avec une dextérité insoupçonnée et une rapidité plus qu'étonnante compte-tenu des souvenirs laissés des expériences anciennes. Avant la naissance des enfants, nous pratiquions régulièrement le bondage. Secret de cette rapidité soudaine : l'étude très approfondie du fascicule "Osez le bondage"  que j'avais commandé chez Domina pour notre dernier anniversaire de mariage. Fallait-il y voir un désir inavoué ? C'est ce qu'en a conclu D., et ceci pour mon plus grand plaisir en cet après-midi d’été

Ces derniers jours, très prise par mes activités et exténuée le soir, je n'ai pas suivi son blog où il s’épanche sur notre vie intime. Mon cher D.  ne m'a dévoilé ses projets qu'au moment de préparer les bagages : "je prends nos petits jouets et aussi les cordes rouges. Cela fait longtemps que nous ne les avons pas utilisées..."

Je fus donc transformée manu militari en saucisson, un jésus tout dodu entouré de cordes rouges. Seules les mains étaient jointes par une fine cordelette blanche. Il parait que cette figure porte le nom charmant de "diamant kikkou".  Hormis la forme entourant le nombril, je n'y ai pas vu de diamant. Quant au « kikkou » qui me fait penser instantanément au continent africain, je ne sais où il se cache sinon dans mon derrière de Callipyge. Où vont donc se cacher l'imagination et le marketing éditorial ?

En plus, j'ai exigé de D. qu'il adapte le modèle qui ne mettait pas assez en valeur ma généreuse poitrine. Je voulais sentir mes seins tendus à l'extrême, qu'ils soient aussi tendus et gonflés qu'après la naissance d'un enfant, lorsqu'ils débordent de lait.

Son choix de figure m'apporta rapidement satisfaction. J'ai immédiatement apprécié le passage des cordes entre mes grandes lèvres. Leur tension était suffisante pour qu'à chacun de mes mouvements, je sente le frottement des cordes sur mon clito et sur l'entrée de mes ouvertures. Un mouvement léger, une tension subtile entrainèrent chez moi, en plus de l'excitation intellectuelle, une véritable fontaine.

Couchée sur le côté, dans le grand lit blanc avec le soleil puissant d'après-midi qui passait par les volets, je pris le vit de mon soumis/mari/dominant à pleine bouche. Une atmosphère torride et moite, lointaine réminiscence de lectures de Marguerite D. Un aller/retour doucereux, pimenté de quelques coups de dents, revigora l'instrument. Entravée, saucissonnée, excitée et toujours dominante, je prenais l'initiative  de la positikikou3ancienon : classique et efficace. Deux oreillers l'un sur l'autre pour le confort d'une levrette, où ma croupe se relevait naturellement, mes doigts serrés en prière comme appui, j'étais fin prête pour subir les assauts de mon amant. Il prit un malin plaisir à me faire patienter, prenant des photos sous plusieurs angles. Mon désir montait en vagues de plus en plus rapprochées. Mon ventre prenait le pouvoir, je bouillais intérieurement, je me consumais. Allait-il me laisser là avec mon désir de plus en plus violent ? Allait-il décevoir mon attente d'un orgasme salvateur après plusieurs semaines d'inassouvissement du à la fatigue et au stress ?

Ces quelques secondes, deux /trois minutes à peine sans doute, me parurent d'une longueur insupportable. Je mouillais de plus en plus et je commençais à sentir le liquide mielleux couler le long de mes lèvres.

Enfin, ce fut l'assaut brutal et profond, avec le bruit des couilles tapant sur mon cul. Un aboutissement, une complétude si longtemps désirés. Le rythme se ralentit, à ma demande, D. sortit doucement de mon con et y rentra lentement, profondément jusqu'à venir caresser le col de l'utérus. Il alterna avec subtilité, et toute à ma surprise, rythmes lents et saccadés. Je laissais échapper de petits cris aigus, manifestant ma jouissance le plus discrètement possible, compte-tenu de la promiscuité avec les appartements voisins. Il mouilla son pouce et vint titiller ma rondelle à mon plus grand plaisir. Les cordes frottaient mon clito, mon vagin accueillait dans sa moiteur son sexe et ma rondelle s'ouvrait sous les massages de son doigt. Une plénitude, une jouissance enfin ressenties. Mais rapidement, mon vagin n'y trouva plus son compte. Comme de nombreuses femmes, les grossesses ont œuvré et quand je jouis je m'écarte tellement que la grosseur de la bite de mon homme ne m'apporte plus assez de satisfaction.  Plus jeune, je craignais ce moment ultime où il prenait mon cul. Je me contractais, ma rondelle se fermait et les tentatives de pénétration se vouaient à l'échec ou bien se terminaient par des déchirures douloureuses. Avec l'âge ? l'expérience ? la confiance dans mon partenaire ? les caresses buccales ? les caresses intimes avec uniquement pénétration d'un doigt, puis de deux ? Je m'offre maintenant complètement et avec plaisir à mon homme. Aujourd'hui quelques gouttes de gel et l'insatisfaction croissante sont les promesses d'une enculade réussie...

N.



Et t'embrocher au plus profond du rectum, comme j'aime cela mon Amour. Tout pour moi, y compris le « farfouillage » de ton antre du bout de mon petit vit, n'est que préliminaires avant de passer au vrai objectif de l'offensive amoureuse : ton fabuleux œillet plissé qui s'ouvrait avec envie sous la pression de mon pouce éclaireur.


En cette merveilleuse après-midi avec le soleil filtrant des persiennes, tout allait à merveille. L'heure crapuleuse de la sieste est décidemment notre moment d'accouplement de prédilection.

Je
t'ai consciencieusement  ficelée pour te laisser reposer, frustrée, tendue dans l'attente. Je sais ce que les cordes t'apportent d'intensité aux niveaux physique et psychique. Je me souviens encore avec délectation de tes joues rouges et honteuses dans le magasin, quand je t'ai emmené notre premier été en acheter. Une envie d'essayer et un saut dans l'inconnu...

Je me rappelle ce studio de Port Camargue, où insouciants nous pratiquions nos jeux amoureux. L'heure était la même mais la chaleur beaucoup plus intense. Le chat regardait les passants sur le balcon aller vers la plage, éternelle source d'intérêt. Je t'ai ficelé maladroitement les seins, avant de te prendre puissamment, en passant à côté de l'intense bataille qui se déroulait dans ta tête. Ce plaisir tu me l'as avoué quelques semaines plus tard, comme s'il n'était pas convenable de s'être laissée surprendre ainsi.

Tu étais là en position de prière/offrande affalée sur les oreillers. Je te laissais mariner frustrée et impatiente pour t'entendre quémander. Tu dis que tu étais restée dominante juste parce que tu avais choisi le terrain de bataille. Que nenni. La Maîtresse était loin à ce moment là, et il n'y avait qu'une ardente épouse, magnifiquement parée de ses cordes rouges, qui appelait de tous ses vœux la saillie de son Mâle. Je te l'ai furtivement rappelé à ton dépourvu en te donnant un coup de paddle sur la fesse droite. Tu as hâtivement protesté.
Rétorsions semble ton mot favori en ce moment.

Je me suis positionné derrière ta croupe dégageant un peu les cordes pour libérer l'entrée. Ton dos était magnifique avec son quadrillage de lignes rouges. Je me suis présenté et d'un profond coup de rein, j'ai pris possession de ce qui est mien. Je te sokikkou4ancien.JPGupçonne de préférer cette position bestiale, non pour l'étroitesse de ton antre, mais pour l'abandon qu'elle t'emmène de femelle se faisant saillir par le Mâle. Tu étais la vache assumée, j'étais devenu le taureau.


J'ai commencé le pilonnage. Variant les angles d'attaques et les profondeurs des percées successives. La Maîtresse n'existait plus, mais la femelle était là, toute ardente de désir. Je te conduisais par tes cordes vers les espaces sauvages du plaisir. Ta symphonie était sublime avec des petits cris entrecoupés de oh, ah, oui. Et je me délectais de tenir la place sentant ton antre céder peu à peu sous les coups de buttoirs, jusqu'à laisser sans défense le col du fond. Tu étais maintenant complètement assaillie. La victoire était totale avec son sentiment de plénitude. Je fouillais tous les coins de mon domaine reconquis.

J'y étais tellement bien que je faillis me faire surprendre au détour du col et connaître le sort du vaincu. Je calmais un temps mon ardeur et commençais le préparatif de la conquête du vrai objectif. Tu l'appelais d'ailleurs de tes vœux, trahie comme toujours par la veule excitation qui avait complètement ravagée ton antre, où bientôt plus rien n'aurait de tenue. Tu as quémandé mon doigt pour entrouvrir la seconde porte. Un peu de salive et mon pouce est immédiatement aspiré. Je joue avec l'élasticité de l'anneau, il est souple déjà en train d'accepter le pilon qui va le perforer dans quelques instants.


Je me retire de la dévastation du bas, il n'y a rien de plus en espérer. J'enlève cette maudite capote, et me prépare à saillir à cru son cul. Je sais que cette dernière attaque va être sans retour pour N. Je m'ajuste sur l'œillet et j'ébranle les dernières défenses de ma prude amante...

D.



Un saucisson, m'avait promis mon petit soumis. Un saucisson que j'enculerai, avait-il aussitôt ajouté. Promesse tenue. Rapidement mon con trop large ne m'apportait plus aucune satisfaction. Mon désir de jouir jusqu'à plus soif reprenait le dessus. Avide, mon trou du cul palpitait d'impatience. Ma rondelle dilatée avec son pouce expert réclamait son du. J'entendis le bruit sec du préservatif retiré à la hâte qui se déchire. Promesse merveilleuse d'une suite encore plus bestiale.

Je crains toujours cette première intrusion dans mon fondement. La tension est extrême entre mon impatience et cette peur de souffrir, de sentir une fissure, même petite, une infime brûlure naître à l'entrée de mon anus. Douleur et plaisir sont cousines, et l'une renforce l'intensité de l'autre. Premier assaut. Je frémis, sursaute, encaisse le coup de buttoir. Douleur d'abord, le second assaut arrive aussitôt, puis le troisième, les suivants, pas le temps de compter, de réfléchir ; mon esprit perd le contrôle ; je ne suis plus qu'unkikou2ancien.jpg corps, une parcelle de corps exactement réduite à sa zone uro-génitale qui palpite à nouveau, se dilate jusqu'à absorber ce bâton jusqu'à sa garde. Une jouissance animale, primale s'empare de tout mon être ; je crie, je gémis, je pince les lèvres pour contrôler a minima, je n'y parviens pas, une vague me submerge, j'accompagne de coups de reins le mouvement, j'avale goulûment le bâton de chair. La jouissance est là, incontrôlable, je suis le jouet de mon homme, je subis et j'aime cette perte absolue de tout contrôle. Les cordes se tendent sous mes mouvements, le clito est à nouveau sollicité. Je mouille, je mouille de plus en plus, à tel point que mon con redevient avide et gourmand. Je quémande un gode pour obtenir l'acmé, la reddition absolue celle de la double pénétration. Avec au bout l'orgasme que je désire tant depuis des semaines.

Il ne l'a pas préparé. Il avait uniquement sorti le paddle, qu'il a essayé sur ma fesse droite sans que cela me fasse véritablement réagir, et lui promettre des rétorsions en retour. Je sens sa bite grossir en moi. Il éjacule bien au fond. Il adore partir en moi. La giclée de sperme cela est très esthétique à l'écran ou en photo, mais le plaisir est tellement moindre, pour l'un(e) et l'autre. J'aime sentir cette chaleur en moi s'écouler doucement entre mes fesses et mes cuisses. Risque minime, mais risque quand même d'une nouvelle grossesse qui m'est désormais interdite par la médecine.

Il est repus, épuisé de cet assaut violent et rapide. Je suis insatisfaite, il y a eu jouissance, plaisir(s), excitation, mais pas ce moment ultime de l'orgasme. Il a compris, il attrape le magnifique gode de black, avec des énormes couilles qu'il m'a offert. Un clin d'œil à ma vie de célibataire, quand j'étais très attirée par les hommes de couleur. Il le fait entrer dans mon con avec rapidité, il le bascule d'avant en arrière. Insuffisant, je lui demande d'inverser la position des couilles, en sens contraire des lois de la nature. Les couilles viennent buter contre mon clito. Il continue à faire pénétrer et sortir l'engin avec dextérité. Je gémis, je sens la lente progression du plaisir. Je suis pas à pas dans ma tête la courbe exponentielle du degré de plaisir. Enfin, je palpite, du con, du cul ; le palier, l'acmé et la descente rapide, enfin repue et comblée.

Il se lève pour se doucher et remonte amoureusement le drap sur mon corps épuisé. J'aime ce moment d'abandon total, de détente maximale qui suit l'acte sexuel abouti, et je plonge enfin dans un sommeil calme et réparateur.

N.


Et comme, mon Amour, tu es descendue de ton Olympe (dans tous les sens du terme, propre et figuré), je prend possession du mot de la fin. Je sais que ta nature dominante n'aime pas trop cela maintenant. Mais la femme que je vois défaite sur le lit n'a plus le statut d'une Maîtresse, mais celui d'une petite fille qui vient de subir la loi du Mâle. Tu te verrais. C'est un ravage : ton con baille complètement les muqueuses luisantes et la liqueur coulant  obscènement  maintenant au dehors de ta matrice. Et le vil affront que je viens de faire subir à ton cul vient compléter ta défaite. Tu as été prise comme un légionnaire prend une fille de joie. Et en plus tu as aimé intensément cela. Mon triomphe n'aurait pas été complet s'il n'avait pas été enluminé de ma semence de Mâle jaillissant profondément au fond de tes boyaux. Cela tient du rituel païen. Je me réjouis d'avance de la honte que tu éprouveras à aller sur les toilettes en urgence "rendre" l'offrande de ton Mâle qui aura fait son œuvre de lavement entretemps. Cette vision viendra rappeler mon triomphe.

Merci de ton offrande.

Je t'aime.

D.

 

Par dyonisos - Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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