Nous

Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 06:31

Le surlendemain de cette fameuse journée de recadrage, quand je rentre à la maison, je suis suspris d'y trouver déjà la voiture de ma Dame. Mais point de N. dans la maison jusqu'à qu'une déesse apparaisse comme par magie, effrontement nue sous un déshabillé poupre transparent, à réveiller les envies d'un dyonisos.

Cette déesse tient mon collier entre ses mains et je sais donc que je vais avoir affaire à une version inédite de Maîtresse N. qui déja m'ordonne d'enlever ma chemise pour poser le collier. Les chaussures suivent aussîtôt et elle fait tomber elle-même mon pantalon. Je ne garde que mon caleçon. Pour combien de temps ?

- A quatre pattes, dyonisos ! Direction la chambre d'ami.

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Il y a un décalage à revenir homme quasi libre du travail et passer immédiatement petit mari soumis. Le sol me parait si dur aujourd'hui et j'ai beaucoup de mal à avancer. 

bllend3.jpg Arrivé dans la chambre d'ami, je découvre que le ratelier est bien fourni et qu'une petite table a été installée dans le coin "à mon attention". Mais je n'ai pas le temps d'y penser trop car déjà je suis mis au travail, à rendre immédiatement l'hommage que l'excitation de la préparation semble avoir d'urgence nécessiter.

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Une première fois de ma langue profondémment enfouie de sa main qui me plaque contre son entrejambe et me cravache deses talons dans mes flans pour me motiver. Aie ! Et une seconde fois aidé d'un rosebud dans sa vulve. "Puisque tu es incapable de trouver MON rabbit. D'ailleurs tu m'en racheteras un : c'est un ordre de ta Maîtresse ! Assure-toi que tu m'excites suffisamment car après tu te le prendras immédiatement dans le cul sans aucun lubirifiant autre que celui que t'aura offert ta Maîtressse ! Alors si tu n'es pas assez convainquant, je te le mettrai à sec ! "

Aie ! C'est du vrai terrorisme psychologique cela et le doute me prend. Je travaille intensément à faire mouiller ma Maîtresse en lui donnant du plaisir tout en craignant que cela ne soit pas assez pour me perforer sans douleur. Une nouvelle jouissance pour ma Reine et me voilà déjà à lui tendre mes fesses : le rosebud rentre sans difficulté, heureusement.

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Ainsi équipé et pris, Maîtresse m'ordonne alors de me retourner et d'attendre debout au pied du lit. Mes yeux sontbllend5 empêchés d'un foulard noir avec son parfum. Je ne vois plus rien, mais sens beaucoup. Ses mains qui m'excitent le sexe, massent les couilles un temps. Puis ces tiges qui me penètrent, loin si loin, et me font tellement mouiller. L'impression d'une montée de sperme infinie figée. Une crainte et un délice. Maîtresse est enjouée et joue de mes réactions et de mon pénis qui ne bande pas mais coule et coule.

- L'oiseau est tout petit comme s'il a déviné qu'il va retourner dans sa cage...

Je suis surpris et grimace. Maîtresse N. laisse le temps à cette perspective de réencagement me travailler l'esprit. Les 2 derniers m'on laissé une vilaine blessure et je crains maintenant mon retour. Pendant ce temps du "gros" est sorti et me pénètre lui aussi sous la détermination sans faille de ma Dame. Je suis travaillé du sexe longtemps, puis finalement je suis désempalé.

- Branle-toi !

Je ne suis pas surpris par cet ordre. C'est même logique : Maîtresse me vide avant de m'enfermer. Toujours dans le noir je commence à me secouer la nouille mollement.

- Plus vite !

J'obéis mais je crains que cela soit ma dernière jouissance avant bien longtemps. Il m'est de plus très stabilisant de se masturber dans le noir sans savoir où cela va partir.

- Plus vite ! Je veux te voir cracher !

J'astique d'autant plus fort. N. ne dit rien : il n'y a juste que mes hâlètements naissants dans la pièce et dans un dernier, je me répands avec fort plaisir vocalisé. Déjà j'ai l'esprit tout penaud. Mon zizi se recroquille et devient si flasque. Il se rend prêt à être imprisonné. Maîtresse laisse le silence s'installer. Je ne sais que faire...

- Tu vois que c'est bien mieux quand tu te masturbes pour ta Maîtresse. A genoux maintenant et lèche ton sale sperme : tu m'en as mis partout !

J'ai toujours la vue empêchée et me faut chercher à tâton de ma "seule langue". Je trouve et je lèche : c'est amer et déjà froid, mais cela ne me rébute pas. D'une main ferme sur ma tête, Maîtresse N. me pousse à finir le travail sans son entrejambe pour le plaisir et les hormones.

- Debout maintenant !

Aie ! C'est le moment de mon encagement. Et non ! A ma grande surprise 

Maîtresse m'enlève le bandeau et me tire par le collier dans la douche. Je suis installé assis sur les talons dans un coin. Maîtresse N. s'accroupit au dessus de mon sexe et me marque de son urine chaude : c'est très primal et très dominant. Je me sens d'autant plus soumis.

Après, N. surveille non que je me rince, mais que je me lave entièrement pour enlever ma "puanteur". Je me sèche et retour dans la chambre avec un début d'érection. Le moment est passé : la pose de la cage ne va pas être facile.

- Mains à plat sur la commode !

J'ai juste le temps d'obéir que le premier coup de fouet arrive sur mon flan gauche, violent, extrêment douloureux. Je hurle, quitte ma position et fait 3 fois le tour de la pièce en criant ma douleur. Le fouet m'est intolérable aujourd'hui. Maîtresse attend avant de me remettre en place. Je crains la suite si elle est à ce niveau. De toute façon, Maîtresse a gagné : j'ai le zizi tout rikiki de peur. Mais la suite est plus légère et semble plus viser à bien me chauffer le bas des fesses. Le fouet a été abandonné : merci Maîtresse !

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- Allez en place...

Elle me désigne la petite table et la petite chaise d'écolier. 

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- Ouvre ton cahier de lignes et tu me copies 200 fois "je n'ai pas le droit de me masturber" en 4 couleurs et... après tu m'inviteras au restaurant.

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Point de zizi enfermé à la fin de cette journée ("encore trop tôt") mais ma chaîne de cheville est remise en place comme mise en garde.

Nous partons finalement au restaurant... le même que pour me première cage.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 05:56

- Je n'arrêterai mes bons traitements que quand tu m'auras promis de ne plus jamais te branler sans permission et encore moins d'éjaculer ton infâme sperme !

J'ai beau être assez résistant à la douleur, Maîtresse N. est très déterminée à me faire plier et abdiquer. Son malaxage est un calvaire : impossible d'avoir une pensée cohérente, la douleur au sens premier et la main de Maîtresse qui ne s'arrête pas.

Alors tout honte bue , j'arrête de faire le fiérot et je cède en me conformant et promettant.

 

- Je ne branlerai jamais plus sans Votre autorisation

Maîtresse N. est trés contente de m'avoir fait céder.

- Que voilà une bonne résolution prise... bon je te laisse réfléchir à sa portée sur le lit pendant que je vais me détendre dans le spa. On verra bien à mon retour, si ta contrition mérite que tu ne passes pas la nuit ainsi...

Un dyonisos puni à l'agonie et une Maîtresse qui se détend : tout un symbole. Je l'ai sans doute bien mérité ! Et j'ai eu du temps pour y penser...

Plus tard dans la soirée, Maîtresse N. revient finalement et après m'avoir fait réétiré ma promesse "daigne" me libérer. J'ai des cloques partout sur les fesses, le pubis, les couilles... les doigts à l'agonie... Rude journée. Et une leçon apprise ou non. "Je te connais : tu serais capable de recommencer pour que je te punisse encore..."

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dyonisos

PS : Maîtresse N. m'a avoué le lendemain, qu'elle avait prévu de me passer au fouet avant mais qu'elle avait "oublié" sur le moment. Heureusement !

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 06:26

- Il est temps que tu comprennes dyonisos que je veux ton obéissance absolue et quand je te dis pas touche, c'est pas touche ! Forbidden ! J'avais pensé te remettre en cage, mais je pense que ta blessure n'est pas encore totalement guérie. Dommage. Mais crois-moi je vais te faire passer un moment l'envie de te toucher égoïstement.

Maîtresse N. a disposé une couche d'orties dans la couche et m'ordonne de m'y installer "sur le champ".

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Vous pouvez me croire que je ne suis pas fier et regrette déjà amèrement. Aucune négociation possible... Je dois m'installer blcrepu5.jpg  contre mon gré, retardant le plus possible le moment où je devrais poser mon séant et le mettre en feu. Maîtresse N. s'en agace et me force à m'asseoir. Immédiatement mes fesses sont attaquées, violemment, de toute part. Je crie. Mais Maîtresse N. n'en a cure et m'immobilise solidement à mon lit de torture.

 

 

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- Bon occupons-nous de ta douille. Alors comme cela tu trouves que ta Maîtresse ne s'en occupe pas assez ? que le petit garçon doive aller s'astiquer en cachette sous la douche ? Mais non tu vas voir, je sais m'en occuper...

Maîtresse N. a passé ses gants ronciers. Leur contact est dur, impersonnel et cherche à me faire dresser. Un peu en vain j'ai trop peur de la suite qui arrive trop vite. L'intégralité de ma "douille délinquante" est passé méthodiquement aux orties. Les couilles, la couronne du gland, le méat : rien n'est oublié. Je crie sur les piqures mais cela arrête nullement les actions de ma Maîtresse en reproche. Il me semble être torturé infiniment ainsi...

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- Tu vas me promettre de reste sage à l'avenir crois-moi.

Maîtresse N. lâche mon sexe pour rabattre d'un coup la couche culotte sur mon sexe meurtri ravivant la douleur, sur les couilles et le pubis. Je hurle. Elles sont terribles les orties de printemps. Je me fais disputer pour ne pas avoir été capable d'acheter des couches à ma taille. Du chaterton répare ma faute et scelle ma couche de tourment.

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- Et bien te faisons rendre raison maintenant, mon dyonisos si désobéissant... dans la vie, tout finit par se payer.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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