- Il est temps que tu comprennes dyonisos que je veux ton obéissance absolue et quand je te dis pas touche, c'est pas touche ! Forbidden ! J'avais pensé te remettre en cage, mais je pense que ta blessure n'est pas encore totalement guérie. Dommage. Mais crois-moi je vais te faire passer un moment l'envie de te toucher égoïstement.
Maîtresse N. a disposé une couche d'orties dans la couche et m'ordonne de m'y installer "sur le champ".
Vous pouvez me croire que je ne suis pas fier et regrette déjà amèrement. Aucune négociation possible... Je dois m'installer
contre mon gré, retardant le plus possible le moment où je devrais poser mon séant et le
mettre en feu. Maîtresse N. s'en agace et me force à m'asseoir. Immédiatement mes fesses sont attaquées, violemment, de toute part. Je crie. Mais Maîtresse N. n'en a cure et m'immobilise
solidement à mon lit de torture.
- Bon occupons-nous de ta douille. Alors comme cela tu trouves que ta Maîtresse ne s'en occupe pas assez ? que le petit garçon doive aller s'astiquer en cachette sous la douche ? Mais non tu vas voir, je sais m'en occuper...
Maîtresse N. a passé ses gants ronciers. Leur contact est dur, impersonnel et cherche à me faire dresser. Un peu en vain j'ai trop peur de la suite qui arrive trop vite. L'intégralité de ma "douille délinquante" est passé méthodiquement aux orties. Les couilles, la couronne du gland, le méat : rien n'est oublié. Je crie sur les piqures mais cela arrête nullement les actions de ma Maîtresse en reproche. Il me semble être torturé infiniment ainsi...
- Tu vas me promettre de reste sage à l'avenir crois-moi.
Maîtresse N. lâche mon sexe pour rabattre d'un coup la couche culotte sur mon sexe meurtri ravivant la douleur, sur les couilles et le pubis. Je hurle. Elles sont terribles les orties de printemps. Je me fais disputer pour ne pas avoir été capable d'acheter des couches à ma taille. Du chaterton répare ma faute et scelle ma couche de tourment.
- Et bien te faisons rendre raison maintenant, mon dyonisos si désobéissant... dans la vie, tout finit par se payer.
dyonisos
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Echec et mat ???
Au moins pour quelques jours avant que le souvenir ne s'estompe et que la désobéissance redevienne envisageable.
J'espère que tu n'as pas fait trop mal aux oreilles de Maîtresse N avec tes cris. Elle au moins, a porté des gants pour ne pas se piquer. Je ne comprends pas que tu n'aies pas pris les mêmes précautions. Ah non, Elle te l'avait interdit
C'est toujours un régal de lire tes (més)aventures et de constater que Maîtresse N retient tes mauvaises idées.
Es-tu toujours prêt à Lui faire tant de suggestion ???
Oh non je ne faisais plus le fier d'autant que c'est le genre de punition que tu vois venir et te torture donc à petits feux avant. Etait-ce un échec et mat ? sur le coup certainement. Cela m'a bien calmé pour un temps, mais depuis (c'était il y a 3 semaines) j'ai repris du poil de la bête... quand même.
La suite arrive demain, alors je ne la dévoile pas et je t'en laisse la surprise. Et pour les idées, j'en ai tellement partagées dans le passé, que même si j'arrétais, Maîtresse pourrait me punir pour la nuit des temps.
amitié, dyonisos
Bon courage, l'ami... et bisous doux.
Oh si il y a pire dans le Domaine, comme rester attaché toute une nuit dans une position incomfortable... Là tu prends ton mal en impatience... De toute façon, tu ne peux rien faire d'autre que subir.
Bisous, dyonisos
cela est rare mais pour rien au monde je n'aurai voulu ta place mais surtout je croyais que maitresse N avait une sertaine tolérance pour tes tripotages .. ce qui semble bien loin et quel inflexibilité que je en suis presque admiratif et ce d autant plus que l on est en mode nada... .
J'espére pour toi que tu n as pas passé la nuit avec la couche ce qui me semble presque impossible a faire ou alors pas sans avoir le bas ventre dans un drole état au matin .
l on rencontre une maitresse N tres sure d'elle meme tout au long de la journée , mais le soir là elle est plus que cela , elle maitrise tout formidablement juqu'a réussir a obliger son soumis a obéir et ce malgré son évidente peur de ce qui l attend , pour ensuite rester sourde a son évidente douleur du grand art et ce malgré ce que pourrait laisser croire le contexte vu de loin une grande tres grande preuve d'amour .
bravo et toutes mes amitiés les plus sincéres yanode
Oui c'est une punition mémorable... jusqu'à la prochaine. Cela m'a au moins calmé quelques temps et comme le retour en cage à l'air de chauffer... je n'aurai plus à me poser la question.
Alors comme cela tu ne veux pas ma place ? Bizarre, bizarre. Aurais-tu atteint une limite ? En fait je ne suis pas si étonné que cela. Ma Dame aime beaucoup les orties et je savais que j'allais ne pas tarder à y repasser. Sans doute pas de cette manière... mais je ne suis pas sûr qu'il y ait une manière mieux que l'autres pour ces plantes piquantes. De toute façon, c'est aie, aie, aie. Et le pire c'est les doigts pendant 24h !
Et oh elle n'est pas restée sourde, elle a préféré... non tu liras tout demain. Comme je te disais une journée de folie, avec une Maîtresse en forme olympique et un dyonisos soumis très soumis.
amitié, dyonisos
amitié Yanode
Je l'aime beaucoup. C'était avant qu'elle s'attaque à mon service trois pièces, y compris jusqu'à essayer de m'enfiler des orties dans l'urêtre. Elle croyait m'avoir laissé un film en souvenir mais non...
Et quel amusement quand les petits points blancs envahissent le corps du soumis...
Et bien cela fait deux Maîtresses avec la mienne, fascinées par l'action urticante des orties !
Mes respects, Madame, dyonisos de Maîtresse N.