Conseils d'utilisation d'une cage pour le dressage

Librement traduit de http://dspace.dial.pipex.com/town/terrace/oo23/members/cagerest.htm
et adapté à une situation Maîtresse/Soumis.



Alors, pourquoi ai-je besoin d'une cage pour mon soumis ?

Eh bien vous avez besoin d'un lieu sûr et sécurisé pour garder votre animal quand sa Maîtresse n'est pas là. Souvent le toutou se sentira en sécurité, gardé et appartenant à sa Maîtresse dans sa niche en acier. Il sait que c'est le bon endroit pour lui.

C'est une bonne idée d'enferme le chiot dans une cage à un âge précoce de sorte qu'il soit plus à l'aise dans des espaces confinés.

Les cages peuvent varier dans la construction, par exemple 60 cms en largeur,  200cm en longueur et 130 cm de haut pour un seul chien. [la mienne fait 80 x 190 x 95]. Si le chien est enfermé pour longtemps, il vaut la peine d'un chien d'y ajaouter une ou un fond rembourré qui devrait garder l'esclave à l'aise sur ses mains et ses genoux pendant de longues périodes.

Quand les affaires amène le Maîtresse, la cage de chien est la maison parfaite pour un petit animal de compagnie car il assure qu'il n'y aura pas de désordre dans la maison. Les cages plus petites sont construites de manière à maintenir l'occupant agenouillé de sorte que le derrière est correctement présenté chaque fois que le propriétaire veut le prendre. Si votre chien est un peu raide quand vous lui permettez de sortie de sa cage, il est suggéré que d'appuyer l'animal était sur le dessus de la cage et d'appliquer un peu de stimulation pour lui redonner vie.

Il n'est pas recommandé, cependant, d'utiliser des cages plus petites pour animaux de compagnie pour le transport de votre animal sur de longs trajets en voiture.

La bonne cage pour votre toutou domestique

Peu d'entre nous ont beaucoup de place dans leur maison, et vous devez faire face à des cages cages qui, de fait, prennent beaucoup d'espace. Vous devez considérer comment il va s'intégrer dans l'espace disponible. S'il vous faut une porte au bout ou sur le côté, s'il est doit être pliable et où vous allez mettre. Si elle est là en permannece et que vous voulez également utiliser le dessus de la cage comme une table de bondage, alors quelle doit être la hauteur de la cage ? Le fond de la cage peut avoir un fond matelassé pour l'utilisation à long terme - idéalement l'esclave doit être en mesure de s'agenouiller lsans baisser la tête. Souvent, la cage est suffisamment haute, tant que matelas n'a pas été mis, de sorte que vous devez en tenir compte dans vos choix.

D'autre part, votre esclave a besoin d'être à la bonne hauteur pour pouvoir prendre en bouche le gode de se Maîtresse à travers les barreaux.

Toutefois, lorsqu'il est extrait de la cage, il est recommandé de le faire se pencher la cage comme s'il s'agissait d'un cheval d'arçon. Si la cage est trop élevée, cela devient un problème. L'esclave devra être penché sur elle avec ses pieds attachés de chaque côté de la cage, et les bras de la même sur les dessus. Le collier d'esclaves peuvent aussi être attaché saux barreaux.

Comme une lit, l'esclave peut se coucher dedans (besoin d'un peu de rembourrage à l'intérieur de la cage ?). Cela leur donne une belle banette - mais il est assez long ou est-ce OK pour qu'il allonge complétement ses jambes ?

De nombreux fournisseurs peuvent vous aider dans ce choix en vous donnant cependant un choix très limité.

Pour moi, est-ce que je veux pourvoir dormir à côté de la cage de temps en temps, de façon que je sois à côté de mon chien quand il dort, pour pouvoir le toucher pendant la nuit ? L'entendre, le sentie va-t-il me manquer ?

Si vous avez la taille suffisante pour qu'il puisse y dormir tranquillement, ou si vous êtes à court d'espace, voulez-vous des barres assez larges pour qu'il puisse passer ses pieds à travers ? Regardez comment la cage peuvent se glisser dans votre chambre - la cage peuvent être un outil de bondage, donc vous voudrez peu-être, si vous le souhaitez, avoir accès à toutes les côtés pour une meilleure utilisation.

Dernière question, vous pouvez obtenir des cages à barreaux creux, elles sont belles et légères, faciles à transporter, mais pour un esclave, même s'il est impossible de s'en sauver, ce n'est pas la même chose. Un esclave veut une lourde cage d'acier, où il n'y pas de possibilité de s'échapper.

Un dernier point, avez forte cage très solide, une Maîtresse que je connait avait son esclave qui déserrait les boulons avec ses doigts et sortait librement pour aller se faire un peu de café ... Pas tout à fait ce qui est attendu d'une cage.

Dressage en cage

Les exemples ci-dessous stimuleront votre imagination quant aux possibilités du dressage en cage...
Vous avez souvent besoin de garder votre chiot en position de punition ou à «quatre pattes» pour lui apprendre sa réelle place à vos pieds. En lui attachant à une laisse, il est également agréable de l'attirer contre les barreaux pour le prendre au gode ceinture à travers. Vous pouvez utilisez une cage plus réduite pour lui apprendre à manger la nourriture directement sur le sol qu'elle quelle soit, par exemple les restes du diner de sa Maîtresse ou pour apprendre à rester à sa place à 4 pattes.

La cage lui permet de toutes façons de rester très concentré sur la le leçon que vous lui donnez.

Alimentation dans la cage

La cage contribue à encourager des habitudes alimentaires correctes, et maintient l'éducation de votre toutou en ce domaine.

Vous pouvez également lui faire attraper la nourriture comme les singes ou le faire manger dans votre main.
Habituellemnt la cage est équipée d'une fente à l'avant de la cage pour pouvoir lui donner sa gamelle. Tout cela est parfait jusqu'à ce que vous découvrirez que le rembourrage du plancher de la cage empêche cela. Donc, prêter attention à ce point.

Enfermement à long terme

Enfermer votre esclave pendant une longue période de temps peut avoir un effet efficace sur lui, le choix entre une cage ou une boîte de confinement a chacun a ses propres avantages.

Il y a un fort impact sur l'esclave quand il est confronté à la l'immobilisation sous une forme ou une autre.

La leçon peut encore plus être efficace lorsque l'esclave est immoblisé en plus par un bondage. Cela a un impact psychologique très fort.

Un de mes favoris est une boîte en bois où le soimis ne pouvait que s'accroupir à quatre pattes, il y avait un trou de 5 cm pour regarder en dehors, et tout ce qu'il pouvait voir, c'étaient les barreaux de la cellules où il était. En bas, il y avaitt une fente pour lui glisser sa gamelle. Il a été laissé là pendant une période prolongée de temps (quelques jours), et il a dû faire face à son problème de toilette du mieux qu'il pouvait.


Ces 3 extraits sont une traduction que j'ai faite du blog américain femdom101.blogspot.com. Ils racontent en anglais le début d'une relation 24/7 chez un couple marrié depuis longtemps dont le monsieur a des tendances fortes de soumission aux femmes et qui avait fait l'erreur d'aller voir une DOM pro. Il est chassé de la maison avant que Madame le reprenne quelques mois plus tard pour un Female Led Marriage après avoir fait une visite chez la DOM pro.


Dans le donjon, il était courant d'utiliser une cage comme un chenil. C’était un outil très pratique pour gérer des hommes qui venaient et partaient. Parfois, un gars arrivait trop tôt à un rendez-vous, ou une maîtresse avait pris du retard dans ses rendez-vous. Quand cela arrivait il était courant de mettre l'homme dans la cage jusqu'à un moment plus opportun. Une femme, qui je n'ai jamais rencontré personnellement, avait à la fois un mari et un amant. Elle aurait parfois payé Tara, la Maîtresse du Donjon, pour enfermer dans la cage son mari pour la nuit, et sortir avec son amant. Elle serait alors rechercher le mari le lendemain matin. Elle expliquait que lorsqu'elle sortait avec son amant, il était tout simplement plus facile de verrouiller le mari pour la soirée. De cette façon, elle n'avait pas besoin d'être préoccupée par où il était, ni ce qu'il faisait. 

Pour ceux qui me critiquent, je n'ai jamais quitté la maison quand John a été enfermé dans la cage.

Une des choses qui rend la cage intéressante pour moi, est que c'était un instrument donnant plus de puissance à la maîtresse. Quand le mâle est dans la cage, les femmes ont tout le pouvoir. Les mouvements de l'homme sont physiquement limités à la taille de la cage. Quand il peut sortir, quand il peut manger, quand il peut boire, toutes ces décisions sont soumises aux caprices de la femelle. Elle devient très vite une figure d'autorité absolue de l'homme malheureux qui est enfermé dans la cage. Il s'agit d'un outil de formation qui a un pouvoir énorme.

Lorsque John est revenu à la maison, la cage l'attendait. Elle avait été achetée d'occasion chez le même artisan qui avait fabriqué celle du Donjon de Tara. La sienne était plus jolie, mais ma cage fait le même travail. L’artisan qui a fabriqué la cage avait un petit atelier de ferronnerie dans la partie ancienne de la ville. Quand je lui ai demandé combien de cages il vendait tout les ans, il a juste souri et dit que vous seriez surpris. Il a livré la cage à la maison, qu’il reviendrait chercher quelques semaines plus tard quand nos enfants rentrerait de l'université.

Bien que nous n'ayons utilisé la cage que pendant quelques semaines, elle a été un outil de formation important. Lorsque John s’est glissé dans la cage et a claqué la serrure derrière lui, il a compris qui avait le pouvoir. Oui, il a compris qui était celui qui devait obéir et qui était celui qui avait les commandes. Il a compris que sa femme était la nouvelle personne en charge de l'autorité dans sa vie. Il a également compris que la plupart de ses libertés personnelles deviendraient un souvenir du passé. Surtout, il a compris que  son engagement de soumission qu'il m’avait fait juste auparavant, devait être pris très au sérieux. Au début je me demandais s'il pouvait supporter le stress de devenir un mari esclave. Lorsque je l’ai laissé dans la cage cette première nuit, je suis allé à la chambre à coucher et j’ai pleuré. J’étais aussi stressé que lui..

La question m’a été posée de comment je pouvais laisser l'homme que j’aimer passer une nuit dans la cage. Ce n'était pas une chose facile à faire. D’un côté, je voulais punir John de son incartade passée. De l’autre, j’aurais voulu l’avoir dans mon lit avec moi. Il n'y avait qu'une chose que je savais avec certitude. Si nous devions continuer à vivre ensemble, il devait y avoir un changement dans la dynamique de notre relation. John avait besoin de comprendre que nous vivrions une style de vie maîtresse/esclave. C'est ce dont il avait besoin. C'est ce qu'il allait arriver. La cage a été un moyen d'obtenir son attention. Il a été un moyen d'établir mon autorité sur lui. Peut être pas le mieux, mais c'était ma façon. C'était un peu ce que certains pourraient appeler de l’amour vache. Un soir, après 2 semaines pour John à dormir dans la cage, j'ai décidé que nous avions marre, tous les deux, des nuits dans la cage. J’ai pris la clef, ouvert la porte, et a pris John dans le lit avec moi. Ce n'était pas la dernière fois que j'ai utilisé le chenil, mais c'était la dernière fois que John y a passé la nuit.

Au fil des jours, des semaines et des mois après le retour de John, nous avons eu des moments de disputes. Nous avons eu des moments de révolte. N'importe quelle parole de travers de la part de John aboutissait rapidement à l’ordre de retourner en cage. Une fois que la cage était partie de la maison, tout parole de travers était puni d’un claquement de doigts. Ce geste signifiait que John devait immédiatement se coucher par terre à mes pieds. Je ne vois pas pourquoi il s'agit d'un acte de soumission. À mon avis, tout mari qui vient voir sa femme avec une demande alors qu’elle est occupée à autre chose, devrait être entraîné à agir ainsi. Le claquement de doigt est un de ces outils de base, que toute femme peut utiliser pour la formation à l’obéissance. Il retient l'attention d'un homme fixé sur sa femme et ses besoins. Oui, pour ceux qui veulent le savoir, j’en suis venu à adorer ma vie de Maîtresse. Ceux d'entre vous qui ont lu le blog, savent que ce n'est pas simplement d'avoir un homme à vos ordres, il s'agit de l'intimité ou de la relation avec l'homme que vous aimez. Ceci, je pense que c'est un concept difficile pour les hommes à comprendre.

Depuis le début, j’ai fait comprendre à John que tout type de désobéissance volontaire et significative conduirait rapidement à la fin de notre relation. Dès que John a dit qu'il voulait être mon esclave, il a dû comprendre qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible. Ce n'était pas une relation sur laquelle il aurait un quelconque contrôle. Cela n'allait pas être une relation où il pouvait tourner au gré de ses humeurs passé du mode vanille au mode femdom. Nous avons parlé longuement et durement. John sait que j'ai compris qu'il avait une nature soumise, et avait besoin d'autorité féminine dans sa vie. Il avait besoin de comprendre que j'allais être que titulaire de cette autorité féminine. Au cours de ces premiers entretiens, je l'ai assuré de mon amour. C'est parce que je l'aimais tant, que je le traitais su durement. Sur un autre plan, je l'assurais que j'avais la force intérieure pour être sa maîtresse 24/24. Le premier jour, j'ai demandé à John s'il pouvait me respecter comme sa maîtresse, et avoir encore de l'amour pour sa femme. Il a répondu «oui». Comme il a répondu oui, sa tête reposait sur mes genoux. A ce moment, je lui ai donné une caresse sur son encolure, et je l’ai de nouveau assuré de mon amour. Ce n'était pas la question d'une maman. C’était la question d’une femme aimante mais directrice, qui savait ce que son homme avait besoin.

Ce type de discours ferme, venant de sa femme, peut avoir fait autant peur à John que la cage. Dès le début, il a compris que cela n'allait pas être une situation qu'il ne pouvait contrôler. Oui, John s’est offert intégralement à moi. Oui, j'ai accepté ce cadeau dans l'esprit de l'amour. Toutefois, comme bénéficiaire du don, John est à ma propriété. Dans presque tous les moyens, à l'exception légale, John a appris à vivre comme mon esclave. Quand je veux m’amuser, ou quand je suis en colère, je l’appelle parfois «esclave» au lieu d'utiliser son prénom. Il m'a fallu un certain temps pour comprendre à quel courage il a fallu à John pour me dire ce qu'il était et ce qu’il voulait vraiment dans la vie. Au fil des ans je me suis demandé combien d'hommes aimeraient vivre comme un mari soumis ou esclave à leur femme, mais n'auraient jamais le courage de vraiment le faire. John avait à la fois le courage et la volonté non seulement de me le dire, mais aussi de faire ce qui était nécessaire pour y arriver.

Au cours des sept dernières années, notre relation a évolué sur un chemin différent. Encore une fois il m'a fallu un certain temps pour comprendre combien de courage il avait fallu à John pour m’avouer qu’il voulait vivre comme mon esclave. Il ne pouvait pas être le mâle alpha, mais il est l'homme qui est là pour moi. À mon avis les hommes de type Alpha sont beaucoup surcoté. Il faut être un vrai homme pour accepter l'autorité des femmes dans sa vie. 

Love, Kathy

  


 

Bien! Je ne peux pas croire tous les commentaires déclenchée par le dernier article. Le verrouillage d'un homme dans une cage fait ressortir les émotions des gens. Pour toute femme qui veut, ou éprouve le besoin d'établir un vrai mariage femdom, la cage est un outil merveilleux. D'après mon expérience avec John, il y a d’autres choses qui peuvent fonctionner presque aussi bien, mais rien n'a tout à fait le même effet que la cage. 


A mon avis, la cage opère sur l'esprit des hommes de plusieurs manières différentes. Comme je le disais dans le dernier article, une fois à l'intérieur de la cage la femme a tous les pouvoirs. Un homme peut implorer pour sa libération, mais il ne l’obtient pas tant que sa maîtresse ne décide pas qu'il est temps. De cette façon, l'homme s'habitue à voir sa maîtresse  et femme comme la personne qui le pouvoir dans la relation. Il s'agit de la première étape pour amener une relation femdom au-delà du niveau du jeu. L'e mari sait que la femme peut le renvoyer dans la cage sur un simple ordre. Cela s’ajoute à l'idée que la femme est celle qui a le contrôle.
 Le mari apprend vite à respecter l'autorité que la femme a sur lui. 

Quand un homme est enfermé la première fois dans la cage, il s’agit d’une expérience excitante pour lui. C'est un peu comme la première fois où sa la femme lui donne une plus la fessée sur les genoux. Cependant, après quelques heures dans la cage, cela commence à devenir très ennuyeux. Et être amené à passer la nuit dans la cage est encore pire. La cage que j'ai utilisée pour John a été fabriquée sur le modèle de celle du Donjon de Tara. Elle était assez grande pour qu’un homme puisse s’allonger, ou s’asseoir. La porte d'entrée était très petite, ce qui contraint l'homme à se mettre à 4 pattes pour y renter. Quand John dormait dans la cage, il u avait deux bouteilles en plastique. Une pour l'eau, et une pour faire pipi. S’il avait été un bon garçon ce jour-là, il avait également droit à un mince matelas en mousse.

Après avoir passé une nuit dans la cage, John était toujours très heureux d'être libéré. Plus que toute autre chose, le fait de dormir dans la cage lui faisait bien ressentir qu’il était devenu un esclave à la maison. Nous avions un rituel. Après avoir été libéré, il se traînait à travers la petite ouverture où je me tenais debout. Il devait alors embrasser mes pieds et me remercier pour l’avoir laissé sortir. Je lui mettais une laisse à son collier, et l’emmenait à 4 pattes à la salle de bain. Ce fut une expérience très humiliante pour lui. Il devait, cependant, apprendre à être mon esclave. Il devait comprendre que les ordres que je lui ai donnés étaient bien réels. Il devait apprendre à comprendre que je voulais vraiment l'obéissance totale de sa part.

Dans le monde aujourd'hui, je suis sûr qu'il ya des groupes femdom qui discute de l’utilisation de la cage, ainsi que des autres instruments comme outils de discipline. L'utilisation de la cage est un choix que j'ai fait. Dans le même temps il ya des femmes qui vont utiliser un fouet ou une canne sur leur homme. Comme vous le savez peut-être la lecture du blog, c'est quelque chose que j'ai choisi de ne pas faire.

Le retour de John à la maison a été un moment heureux pour moi, mais il a aussi été un moment difficile. Si cela avait été possible d'appuyer sur un commutateur pour éteindre les enclins de John pour la domination féminine, je l'aurais fait. Quand j’ai trouvé les culottes dans le sac de sport, il n'était plus question dans mon esprit d’être heureuse en continuant notre mariage de la façon dont nous l’avions fait. Le problème, bien sûr, c'est que John était un homme très soumis. À mon avis, il n'était tout simplement pas un fétichiste, mais la nécessité de se soumettre était une partie importante de sa personnalité. La seule façon pour John d’être vraiment heureux dans la vie, était d’être sous la coupe d'une femme forte.

La cage a été une façon de faire savoir à John que j’étais aussi sure de moi comme sa femme et comme sa Maîtresse.

Quand John et moi avions parlé dans le café, je n’avais pas hésité à employer le mot esclave. En termes non équivoques, j’ai fait savoir à John que s’il revenait à la maison, il allait vivre comme mon esclave. Il n'aurait pas la liberté d'aller et venir, il n'aurait plus aucun contrôle sur l'argent, il vivrait dans un monde du « Puis-je ». Je lui ai également dit qu’en tant que sa femme maîtresse, j'étais prêt à l'aider à vivre la vie d'un mari esclave. Cela signifiait que j’allais lui apprendre la discipline, et le former à être le mari esclave que je voulais. Ce qu'il faut comprendre, c'est que cela n'allait pas être un jeu. À un certain niveau basique, j'ai pensé que cette relation maîtresse / esclave durerait un an ou deux, puis que lentement nous serions retourné vers le fonctionnement d’un couple plus normal. Toutefois, le contraire s'est produit. Le plus John s’est soumis à mon autorité, le plus naturel cela est devenu pour lui.

Il ne s'agit pas comme une critique, mais John a le cœur d'un esclave. Il aime servir, il aime me plaire, et il se sent plus à l'aise de recevoir des ordres que de les donner. Il répond aussi bien à la discipline. En très peu de temps il a développé un réel sentiment de peur de moi en tant que sa maîtresse. Il comprend que je peux et le punirais le cas échéant. Sauf à vouloir sauter la barrière de temps en temps, John n'a pas de désir de liberté.

D'autre part, comme John est devenu plus soumis dans la vie de tous les jours, il m’est plus facile pour moi d’approfondir mon rôle de maîtresse. En peu de temps il est devenu très naturel pour moi de donner des ordres à John, pour diriger toutes les phases de sa vie. Quand je suis de sortie avec des amis le soir, il me semble naturel de consigner John à la maison. J'ai appris à aimer l'idée, que le rôle principal de John dans sa vie, en dehors du travail, est de «servir» et de m’«attendre». Les hommes soumis comme John sont merveilleusement à l'écoute des femmes qui en sont propriétaires.

Pas tous les hommes soumis, n’ont besoin d’être un mari esclave. Toutefois, je pense qu'il serait bon pour la société si plus d'hommes apprenait à servir leurs épouses dans la vie quotidienne. Il serait bon pour la société si plus d'hommes apprenait à reconnaître leurs femmes comme chef de la maison. A mon avis, le mari respectueux est un mari aimant.

Il ya beaucoup de gens qui diront que la manière dont je traite John est cruelle. La vérité est que John est le plus heureux COMME mari esclave. Ce n’est peut-être pas vrai pour tous les hommes soumis, mais cela l’est pour le mien. 
 


Love, Kathy

Dans les premiers jours de notre relation  femdom, la rébellion a été un problème lancinant. La plupart du temps John était de son propre chef un amour d’obéissance. Cependant, il y avait d'autres jours où il voulait être plus indépendant. Il ya des moments où un homme est dans un état d'esprit de soumission, et des moments où il n'est pas. Ce sont ces dernières périodes qui créent des problèmes pour la femme. Comment une femme peut être effectivement la maîtresse de son mari s'il ya des fois où il fait simplement que ce qu'il veut. Il semble que le mâle typique veut que son épouse soit sa maîtresse à certains moments, puis à d'autres moments, il ne le veut pas. Cela rend si difficile à une femme de comprendre ce que son mari veut vraiment et ses besoins. 


Plus tôt dans le blog, j'ai parlé de la fois où John est parti joué au golf le samedi matin sans permission. Ce fut un acte manifeste de désobéissance. Il y avait d'autres fois où il a fait ce qu'il lui a été demandé, mais il a boudé toute la journée. Je suppose qu'on pourrait appeler cela un comportement passif mais agressif. Il fit ce que lui ai demandé, mais par son attitude m'a montré qu'il n'était pas heureux. D'après ce que j'entends, ce type de comportement masculin n'est pas rare. C'est le comportement type qui peut facilement détruire une relation femdom en herbe. Il est également un signe que le mâle n'a pas de véritable respect pour l'autorité naturelle que sa femme a sur lui.

Tant d'hommes m’écrivent pour me dire qu'ils veulent que leur femme soit plus dominante, mais qu'ils ne pourraient jamais être dans ce qu'ils appellent une relation 24 / 7. Eh bien, je voudrais leur poser une question. Comment la femme est censée savoir quand elle doit dominante, et quand elle ne devrait pas. Est-elle censée dire quelque chose comme, « Est-ce le bon moment pour te donner un ordre ? » Cela tend à faire que la relation entière ressemble à un jeu que le mari contrôle. Il ne veut pas vraiment que sa femme devienne une vraie maîtresse, il veut juste qu’elle joue le jeu à sa façon. 

Quand John a été autorisé à revenir dans la maison, c'était avec une solide compréhension que j'allais être le patron. Oui, j'allais être sa maîtresse. Oui, j'allais à contrôler presque tous les aspects de sa vie non professionnelle, non, qu'il n’aurait très peu, le cas échéant, de liberté personnelle. La cage a été une partie de cette expérience. Il a été un peu choqué de voir la cage dans la chambre d’ami. Il a été encore plus choqué quand il a appris qu'il devrait y dormir. Soumettre un homme à l'expérience de la cage, peut sembler un peu cruel pour certains d'entre vous. Cependant, chaque fois il a rampé dans la cage, et s’y verrouillé lui même, c’était un ferme rappel de qui avait le contrôle.

Dans les premières semaines de notre nouvelle relation,  la cage a agit comme une sorte d'outil de discipline. Peu de temps après, John a appris à haïr cette cage. Pas de télévision, ni radio. C'était juste l'expérience ennuyeuse de rester là dedans, heure après heure. Il ne savait jamais s'il serait là pour une heure ou pour tout l'après midi et le soir. Il savait que si son attitude n'était pas bonne, sa maîtresse l’y renverrait dedans. S'il faisait quelque chose pour déplaire à sa maîtresse, il savait qu'il serait mis dans la cage. Cela l'a aidé à comprendre que mon autorité sur lui était réelle. Cela l'a aidé à comprendre que notre nouvelle relation n'était pas un type de jeu qu'il ne pouvait arrêter ou reprendre selon son humeur.

Tout sur l'expérience de la cage est très humiliant pour un homme. Pour la première fois dans sa vie d'adulte, une femme a un véritable pouvoir physique sur lui. Elle détient la clé. Lorsque la porte est enfin ouverte, il doit ramper hors de la petite porte à quatre pattes. Pour l'homme qui est habitué à se balader partout dans son monde, c'est un vrai changement des règles du jeu. Il a même besoin de demander la permission d'uriner. Dans cet environnement John a rapidement appris à respecter et, à une certaine mesure, a avoir peur de l'autorité que j'avais sur lui. Au fil du temps ce sentiment de pouvoir et d'autorité est devenu très réel dans les yeux de John's. Il est devenu tellement habitué à faire ce que l’on disait, qu'il est devenu effectivement ce que la plupart des gens appellent un mari esclave.

Cela pourrait ne pas fonctionner pour toutes les femmes, mais pour moi la cage a été un outil très efficace de discipline.
 

Avec la cage et d'autres outils, John a commencé à avoir une crainte réelle de moi. Il détestait la mise au coin. Il avait peur que je puisse inviter sa sœur plus alors qu'il était enfermé dans la cage. Je ne pense pas qu'il aurait pu accepter ce type d'humiliation. Cependant, à la lecture du blog, vous savez que, à l'occasion, j'ai utilisé l'humiliation comme un outil pour atteindre le comportement que je voulais à John. Avec le temps j'ai appris ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. John a appris qu'il était à lui de me plaire, et non l'inverse. Cela peut sembler simple, mais c'est un concept très difficile pour l'esprit masculin à comprendre.

Ce que j'ai appris dans les premières années de notre nouvelle relation, c'est que n'importe quel type de rébellion; désobéissance, paroles déplacées, bouderie, mauvaise attitude, etc doivent être traitées avec fermeté et sans délai. Je n'ai plus la cage, mais j'ai le carrelage dur pour faire s’agenouiller John dessus. John sait que j'ai gardé un grand sers tête brillant jaune dans mon sac. John a compris que je n'ai pas peur d'utiliser ces outils si nécessaire. Il a compris que la maîtresse attendait de lui qui obéisse, et qu’il le fasse avec joie, quel que soit son humeur. 

Un lecteur occasionnel du blog se demanderait pourquoi un homme grand et fort accepterait ce type de traitement de sa femme.
 Une fois sorti de la cage, il pourrait faire ce qu'il voulait. Elle ne pourrait pas l'arrêter physiquement.Cela est vrai. Cependant, ce que ces gens ne comprennent pas, c'est que dans le cœur, dans son physique, il veut et a besoin du contrôle des femmes. Il sait que s'il se rebelle sérieusement contre sa maîtresse, les aspects femdom de son mariage seront terminés pour toujours. 

Nous menons maintenant à notre relation femdom depuis près de six ans. Je suppose que John est aussi bien entrainé que tout autre mari. La prise des consignes auprès moi est devenue une seconde nature pour lui. Il se sent maintenant très à l’aise pour marcher un pas en arrière de moi et de demander la permission pour tout. L'année dernière, une amie m'a complimenté sur le comportement obéissant et docile que John semble avoir. Il agit davantage comme un agneau, qu’n lion, mais c’est agneau très doux et affectueux. Oui, je suis fier de lui comme homme et mari.

Love, Maîtresse Kathy


La semaine dernière, j'ai parlé de Karen qui punnisait son mari avec le fouet. Au cours de la semaine, j'ai demandé à Karen comment elle se sentait quand elle maniait le fouet. Je lui ai demandé si elle se posait la question si son mari acceptait facilement le fouet. Ceux sont des punitions réelles, avec de la douleur réelle. Il aurait pu s'emparer du fouet de sa main. Après tout, il est plus grand et plus fort qu'elle. Karen m'a dit que l'expression de son visage lui a dit qu'il était disposé à accepter la fouetteée qu'elle était décidés à lui donner. Elle m'a dit que le regard était dur à décrire, mais il était un regard de peur. Son mari savait qu'il avait fait quelque chose de mal, et qu'il pouvait sentir le niveau de sa colère par son attitude. Dans ce cas, la colère de Karen contribue à lui donner une confiance supplémentaire nécessaire pour faire face aux débordements de son homme.

J'ai toujours aimé lire les commentaires par le Plaything Il a été marié à sa maîtresse pendant 23 ans. Il ressemble à un garçon très doux qui a été bien formé et discipliné au cours des années de son mariage. Ce que les femmes ne comprennent pas est que posséder des hommes doux et bien dressés comme Plaything est une joie. Il ne s'agit pas seulement de leur faire nettoyer la maison. Ces hommes sont là quand vous en avez besoin. Vous n'avez pas besoin de s'inquiéter qu'ils trichent avec vous, ou faissent quelque chose qu'ils ne devraient pas faire. J'aime entendre un homme dire comme il est fier lorsque l'une des amies de sa femme fait des commentaires élogieux sur de lui. Aprés vingt-trois ans de mariage, il aime sa femme comme au premier jour. Pour moi, c'est ce que font les mariages FemDom.

Une autre chose que les hommes ne comprennent pas toujours, c'est qu'il faut travailler dur pour dresser un homme. Oui, cela vaut la peine. Je suppose qu'en vingt trois ans de mariage, la femme de Plaything a mis beaucoup d'efforts dans sa formation. Il faut un degré élevé de discipline pour maintenir un homme sur la bonne voie depuis vingt trois ans. Quand on aime un homme, cela vaut le coup. Rappelez-vous l'annonce de l'été avant-hier intitulée Entrainement des Champions. Je suppose que Plaything est un de ces champions.

Après Plaything, j'ai été heureux de lire le commentaire par Forever Hers. Forever Hers et sa maîtresse ont entamé une relation que depuis deux mois seulement. Ce qui m'a impressionné, c'est que même dans un cadre vanille, il comprend que sa femme est celle qui porte la culotte. C'est ce que les gens ne semblent pas comprendre sur les relations femdom. Oui, la femme porte la culotte vingt-quatre heures par jour. Toutefois, cela ne signifie pas qu'elle ne cesse de faire travailler son homme. Oui, Forever comprend toujours que l'un des pires châtiments que sa maîtresse peut lui donner, est juste de le laisser ignoré. Le traitement par le silence le rendrait fou au bout d'un jour ou deux. Il s'agit d'un outil simple et une vraie punition que toute les femmes peuvent utiliser.

Eh bien, je vais parler davantage des punitions dans le prochain article.

Love, Kathy Maîtresse

 

 

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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