Après toute nos aventures avec Madame au Château de la Reine de la semaine sans les pages, je pensais pouvoir faire une révolution de palais et revenir en République Vanille.
Sauf que le lendemain, alors que je suis dans la salle de bain, N. est partie à la recherche à l'impromptu de la cage sous mon pantalon qui n'y est pas.
- Tu n'as pas remis ta cage ?
- Non après la dernière séance de hier, je ne l'ai pas remise car c'est terminé.
La Maîtresse qui transparaissait sous la femme n'ai rien dit rien de plus mais je devinais qu'elle n'en pensait pas moins. Mais il était déjà temps d'aller chercher les pages. Sur le chemin alors que nous sommes encore dans l'intimité du couple, j'ai essayé d'en savoir plus.
Elle m'a confirmé que je devais dire adieu à ma révolution pépère. Ma douce me voulait dur sous clé. J'ai aussi appris qu'elle s'était couchée tard la veille et qu'elle avait lu les récits sur le blog et sans doute aussi les chroniques de Yanodie (bien qu'elle le nie sur le moment mais elle semble être bien au courant de ce qui se passe là-bas).
Il se trouve "qu'elle aime bien me voir en cage", "que je suis beaucoup plus gentil avec, moins macho", "que j'ai commencé à perdre du poids mais qu'il me faut de la motivation". Et elle a rajouté que je restais interdit de boissons maltées jusqu'à nouvel ordre.
Bien sûr comme un con, je bandais à mort pendant qu'elle me parlait, ce qu'elle est venue vérifier pendant que je conduisais.
C'est comme cela, que je me suis retrouvé dès notre retour à la maison, de nouveau étroitement enfermé dans la cage - sans plug - qui finalement est assez confortable - même la nuit - et ne me blesse plus. L'alerte des premiers jours était sans doute liée aux circonstances de cage en pérégrination.
Me voilà donc parti pour un tour prolongé en Royauté domestique.
Il y a cependant une évolution que le peuple se doit de noter. La clé de la cage, qui depuis plusieurs années avait naturellement rejoint le trousseau des autres possessions Royales a cette fois complètement disparu de la vue du peuple une fois que la Reine s'est assurée que le peuple pouvait se laver dans le fer à castrer efficacement et y maintenir l'hygiène.
La Reine a simplement annoncé un matin, qu'elle l'emmenait pour la laisser dans son Domaine du Travhaille et effectivement elle avait disparu le soir au retour au Château de la vue du peuple qui a grimacé de frisson que la Reine ait osée la laisser réellement là. Le peuple a bien essayé de questionner discrètement, mais la Reine est restée silencieuse sur le sujet. A croire que la clé du fer est vraiment maintenant au Domaine du Travhaille...
La Reine est bonne pour son peuple. Il est difficile au peuple de rentrer et sortir du fer à castrer, surtout l'anneau sous les choses ? Eh bien peuple, qui m'adore, tu n'as qu'à plus devoir en sortir et tout sera plus simple pour toi. Le peuple veut soulager la pression du fer à castrer sur le corps ? Rien de plus simple... Plus d'échappatoire envisageable, cela stoppe toutes les tentations de liberté même momentanée que le peuple pourrait avoir.
Le peuple lui se sent pris et bien pris, alors que ses dernières limbes de liberté lui sont retirées et tout cela a une emprise forte sur l'esprit. Il a du rapidement apprendre à jouer de l'habililité de ses doigts (le petit en particulier) à travers les barreaux pour savonner dans sa prison la chose définitivement enfermée, à faire le tour sous la corolle et à décalotter le calot pour rincer le tout à grandes eaux.
Déjà deux semaines, que ce nouveau régime est appliqué.
Tout cela avant l'arrivée de la Calamité. La Reine emploie, depuis des années au service du Château, une gente Dame qui fait lavage, repassage et autre nettoyage du Royal logis. Cette dame s'étant blessée au village, le Palais se trouve maintenant dépourvu d'une partie importante de sa main d'oeuvre travailleuse.
- Que nenni, cher Peuple qui m'adore, je ne vais pas reprendre une autre Dame pour le service. C'est une relation de confiance que de laisser sa demeure au soin d'un domestique et je ne souhaite pas voir une étrangère errer dans les pièces.
En République vanille, ce genre de tuile pourrait être une catastrophe mais pas en Royauté de droit Gynarchique, où une solution immédiate existe...
-Marguerite reprendra intégralement le service abandonné. Il faut bien que vivre en Royauté me serve à quelque chose. Allez au boulot :
Marguerite, c'est le nom générique, que donne la Reine à son peuple travailleur qui, le destin jouant décidemment de vilains tours, se voit contraint à devenir sur le champ servante au Palais pendant 3 mois. Cela a été répété par la Reine le lendemain matin, pour être sûre que le bon peuple a compris la portée du Royal Edit.
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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