Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 06:46

52ème rencontre avec Madame

Ma journée commence tôt avec le « service de chambre ». A 7h du matin ma cage nocturne se déverrouille en même temps que le réveil sonne. Je me dépêche de me lever et de me doucher, en passant devant l’excitant corps nu de ma Johanna endormie. Au sortir de la salle de bain, j’ai la surprise de la découvrir réveillée.

- Oh viens-là mon Amour embrasser ta Maîtresse d’un baiser amoureux du matin !

Je l’embrasse fougueusement de la langue, fou d’amour pour ma femme. Je crois, j’espère, qu’elle va en vouloir plus et me faire descendre continuer mon baisé dans son entrejambe. Mais je suis déçu quand elle me congédie doucement.

- Allez ouste, tu as du travail aujourd’hui !

Je me retrouve tout penaud avec mon zizi en feu dans sa cage…

- Oh que c’est mignon ça : bander pour sa femme… Viens là mon chou : on ne va pas te laisser comme cela…

Johanne fouille dans ta table de chevet, me prend la cage en main, avant d’un petit levier faire sortir les pointes à l’intérieur ! Je ne peux retenir un cri quand je les sens s’enfoncer dans ma hampe et mon gland.

- Comme cela je suis sûr que tu seras bien concentré à suivre les ordres. Je t’ai préparé ta nouvelle tenue sur la chaise de ton bureau. Elle est arrivée hier, à ta taille. Séver trouvait que la dernière fois cela ne le faisait pas…

Je suis intrigué et je descends alors que Johanna se rendort déjà… 

Je trouve sur ma chaise une longue robe noire de servante, mais aussi un corset, des bas et une culotte de dentelle bouffante. Heureusement pas de perruque… Je lutte pour passer et serrer comme je peux le corset. Les bas me créent quelques difficultés et un grand trouble, mais finalement j’arrive légèrement honteux à ajuster la tenue complète. Le temps de prendre en café et je suis prêt. La paire de talons en évidence devant la porte ne me laissent aucun doute que Johanna veut que je les porte.

J’apprends pour la première fois de ma vie à essayer de garder mon équilibre sur des hauts talons. C’est une petite torture en soi et il me faut plus longtemps que d’habitude pour rejoindre la maison de Madame via le tunnel dans la roche. Arrivé dans le donjon, je fixe docilement mon collier de dressage de chienne autour du cou. Madame voulait avoir un moyen pour me quérir et a préféré cela à l’antique sonnette des domestiques.

Je traverse la pièce de jeu encore dans le noir. La cellule est vide : André doit être enfermé dans la cage de la chambre… Je commande à la bibliothèque de s’ouvrir avec les droits temporaires que Johanna m’a accordés pour les samedi et dimanche matin et je me dirige vers la cuisine.

Madame a des exigences très précises pour son petit-déjeuner. Sur la taille de ses toasts, leur beurrage, leur confiturage… Je les ai appris à mes dépends de sa cravache la dernière fois… Et je m’applique que tout soit parfait sur le plateau comme exigé.

Vers 8h30 j’entends du bruit  à l’étage et reste aux aguets. Et finalement mon collier m’envoie une petite décharge électrique : c’est l’heure. Je remplis les tasses de thé et de café au dernier moment et je monte le plateau en faisant bien attention de ne rien renverser ce qui est un vrai numéro d’équilibriste aujourd’hui avec les nouveaux talons.

Quand j’arrive dans la chambre, Monsieur est en train de sodomiser Madame en levrette sur le lit. Je suis gêné et ne sait pas que faire. Monsieur lui ne se gêne pas pour la traiter de « truie lubrique » et Madame pour vocaliser son plaisir doux et amer. Heureusement leur plaisir mutuel finit par exploser quelques minutes plus tard.

Monsieur se dégage et Madame retrouve ses esprits et me découvre.

- Très jolie cette tenue : j’avais bien raison de la vouloir pour le service de ma Gaspette.

Gaspette est mon nouveau surnom de service et je crois que je n’aime pas. Mais comme beaucoup de choses, pas d’autre choix que de subir en silence. Madame est d’humeur joyeuse et joueuse en ce matin.

- Gaspette, pose le plateau sur la commode et vient donc nettoyer Monsieur.

Plus exactement, le pénis de Monsieur qui se ramollit peu à peu. Je m’agenouille au pied du lit et ne peux retenir une grimace quand je découvre le sexe un peu souillé de son passage dans les profondeurs de Madame. Mais je suis un soumis bien dressé maintenant. Je me mets immédiatement au travail et transfère le goût de l’amertume dans ma bouche. Je sais que je mettrai longtemps à m’en défaire…

Finalement Monsieur me prend par le collier et m’emmène à la salle de bain. « Je te l’emprunte 2 minutes ma Chérie… ». Le temps de recueillir agenouillée sur le carrelage le fort premier pipi du matin de Monsieur…

Quand nous revenons, Madame a remonté le volet de la cage de son mari soumis. Je ne peux m’empêcher de constater que la soirée a dû être rude pour lui avec ces nouvelles balafres de fouet sur son corps. Il a même été condamné à dormir avec un bâillon tube fixé dans sa bouche…

Je sers à Madame et à Monsieur leur petit-déjeuner après avoir remis en place les oreillers du lit. Et comme il est exigé, j’attends agenouillé au pied du lit en prenant bien soin de disposer le plus convenablement possible les lobes de ma robe sur le plancher. 

- Et si nous déballions un peu notre Gaspette pour voir comment elle est jolie dans sa nouvelle tenue ?

Monsieur a parlé et Madame approuve. Je désert le lit d’abord avant que Madame m’ordonne d’enlever ma robe. Je me retrouve honteux en bas, corset et petite culotte.

- Gaspette, tu ne l’as pas assez serré. Viens là que je te sers bien le laçage!

Madame en experte me sert en force le lacet dans le dos au point d’en avoir le souffle coupé ! Cela me pèse terriblement contre la poitrine et je ne peux m’empêcher de laisser filer une larme. Une fois le corset bien mis en place, Madame me gratifie d’une tapette sur les fesses…

- Voilà c’est ainsi que le corset doit être porté. Il faudra que tu trouves un moyen d’y arriver tout seul le matin ou sinon je te promets 30  coups de cravache pour mauvaise tenue ! Allez en levrette sur le lit, Gaspette !

Aie ! J’obéis en tremblant un peu et je me sens si troublé à présenter mon cul dans cette tenue. Je ne sais si je vais avoir droit au gode ceinture comme la dernière fois ou à la queue de Monsieur… C’est Monsieur qui semble l’emporter aujourd’hui quand je sens son poids s’installer entre mes jambes qu’il me fait écarter. Madame elle, a prise position à ma tête et me tient les mains.

- Je mets du gel ?

- Non Gaspette est grande maintenant et doit pouvoir supporter à sec…

Je me souviens de la douleur que j’ai vécu le jour de mon mariage quand Monsieur m’a enculé dans la garçonnière, et je serre déjà les dents par anticipation. Monsieur se présente et je baisse instinctivement ma tête.

- Non Gaspette. Pas question de te cacher. Je veux voir ton regard se troubler et l’air sortir de ta bouche… ne cherche même pas à fuir mon regard ! Par contre tu peux crier à loisir… cela ne me gêne pas… voire même m’excite…

La première « monte » de Monsieur est délicate et douloureuse. Je crie effectivement et ne cesse de le faire sur ses coups de butoir dans mon rectum. A aucun moment, je n’arrive à trouver cette zone de confort où la bite au cul devient agréable et agréable. Là ce n’est que douleur et encore douleur !

Finalement avec mes yeux en pleurs, Monsieur se vide dans mon cul dans un long râle de domination et décule d’un coup m’arrachant un dernier hurlement. J’ai le petit trou en feu, bien plus que le jour du mariage et je crains qu’il en soit ainsi pendant plusieurs jours…

- Ouah, qu’est-ce que cela m’a excitée ! Marc va te laver la queue pour que je me la prenne devant… et toi Gaspette tu sors mon Dédé et tu l’emmènes aux besoins. Après enfermement dans sa cellule ! Et il est puni donc il garde son bâillon !

Je m’apprête à obéir mais une dernière instruction arrive :

- Et Gaspette interdiction d’aller aux toilettes aujourd’hui sans ma permission. Tu viendras me demander…

Je sors André et je le mène en laisse au rez-de-chaussée dans son « Coin à Monsieur ». Madame tient que dans ce moment, je ne laisse pas libre. Je croise un instant son regard un peu désespéré quand il s’installe sur sa litière sous mes yeux. Madame tient aussi qu’il « fasse » toujours tenu en laisse. Rien n’est excitant dans cette déchéance imposée. Il fait ce qu’il a à faire, ramasse après et jette dans la poubelle, avant de renouveler sa litière pour la prochaine fois. Je le lave à l’eau froide et au gant de crin avant de l’envoyer encore mouillé à 4 pattes dans sa cellule…

La journée passe finalement assez vite. Heureusement car avec les pointes dans la cage et le corset serré, elle est extrêmement éprouvante. A cela se rajoute cette très humiliante obligation de demander d’aller aux toilettes. Bien sûr Madame s’amuse à souvent me la refuser et je dois attendre une demi-heure avant d’avoir le droit de redemander.

Je sers Madame et Monsieur pour le déjeuner. Cela permet de corriger mes gestes et ma posture en prévision du dîner offert par Madame à ses invités ce soir. Monsieur s’absente au café. Je débarrasse tout et fait la vaisselle, avant que Madame m’appelle à la rejoindre dans son boudoir à l’heure de la sieste. J’y ai d’abord droit à 10 coups de cravache pour mes « fautes » du matin, la robe relevée à mon col, la culotte baissée et les mains en position disciplinaire sur ma nuque. Puis j’ai le devoir de détendre Madame pour sa sieste, ma bouche devant reste en permanence contre son entrejambe. Madame s’endort après un premier orgasme. J’ai rapidement mal dans le dos à rester agenouillé entre ses cuisses mais je n’ose bouger. Finalement elle se réveille trois quart d’heure plus tard et d’une tapette sur la tête m’intime l’ordre de recommencer à la sucer pour 2 nouveaux beaux orgasmes.

Monsieur rentre finalement pour 18 heures en ramenant le repas de chez le traiteur. Je finis de dresser la table et d’ouvrir les vins. J’accueille avec déférence les amis de Madame. Le notaire Alain qui est venu en couple à trois, avec sa femme Charlotte et sa maîtresse Rose. Les femmes ont l’air de s’entendre parfaitement. Le notaire ramène à Madame le contrat de soumission authentifié signé par André. Et il y aussi le Directeur des Services, Patrick, qui était déjà à notre mariage avec son amante, Laurence. Je ne crois pas que sa femme soit au courant de leur liaison, ou alors elle fait semblant de ne pas l’être.

Aucun ne semble perturbé de découvrir André mis en exposition dans sa cage roulante au pied de la table. Ils vont même le saluer comme si tout était normal. Madame lui a finalement enlevé son bâillon une heure auparavant et Madame tient à ce qu’il réponde aux questions de « ses » invités. Je ne suis pas arrivé à savoir ce qu’il a fait ou dit pour avoir mérité le bâillon finalement.

Johanna est la dernière à nous rejoindre. Je suis heureux de la retrouver, même si je me demande, un peu jaloux, ce qu’elle a bien pu faire en mon absence.

Les invités passent enfin à table et je sers l’entrée, en domestique bien droite et dressée, qui attend sagement 2 pas derrière Madame d’être requise. L’apéritif a déjà été bien arrosé et l’ambiance est guillerette autour de la table, et dérive rapidement sur le BDSM.

- Oh si Johanna, raconte nous l’histoire du veau et du soumis ! J’adore ces histoires de pauvres hommes dans les mains de méchantes Maîtresse…

C’est Rose qui le demande, à la suite d’une remarque de Madame. Johanna ne se fait pas prier.

- C’est une légende, une de celles que l’on sert aux soumis pas sage. Obéis ou je t’envoie chez Anita Schweiz ! Et pour plus de crédibilité, il y a cette vidéo diffusée sous le manteau où elle opère sur un « pauvre » soumis, qui fait toujours son effet à l’ego masculin. Mais oui, Anita Schweiz existe réellement.  Je sais qu’elle opère dans ses Grisons Suisses les mâles, et à vif si leur Maîtresse le souhaite. 

- Elle les castre réellement ?

- Oui, Alain. Tu sais que le BDSM ne peut avoir parfois pas de limite…

- Oui mais de là à castrer un homme….

- Tout est affaire de relativité. Regarde, tu n’as pas été choqué que j’ai fait marquer au fer mon Gaspou le jour du mariage…

- Tu as raison, non je n’ai pas été choqué. En fait, cela fait partie pour moi des possibilités de votre communauté BDSM. Et j’ai trouvé très symbolique que tu le fasses sur ton mari le jour du mariage, et qu’il l’accepte sans broncher ! Moi je ne crois pas que j’en serais capable…

- Oh mon chéri, j’aurais dû aussi te le faire le jour de notre mariage. Tu ne serais pas allé voir ailleurs… Mais bon d’un autre côté je ne serais pas devenue très copine avec Rose. C’est sympa de pouvoir se plaindre des défauts du même homme !

Un mouchage en règle qui déclenche l’hilarité autour de la table.

- Donc je reviens à Anita Schweiz. Pour ce qui ne souhaite pas en arriver à cette extrémité-là, Anita propose à la place un petit jeu cruel. Cela s’appelle le veau et le soumis.

- Raconte…

- Oh c’est très simple. Tu enchaînes le malheureux mâle soumis au mur d’une étable toute un week-end, bien sûr les mains hors d’atteinte du zizi. Et tu introduis dans la stalle fermée, un veau mâle lui libre de ses mouvements. Tu les laisses mariner un peu de temps. Le veau peureux au début va venir bientôt faire ami-ami avec l’homme, voir même carrément dormir à ses pieds pour la nuit. Le soumis a forcément de la sympathie pour cette bête enfermée avec lui…

- Oui je vois, dans l’adversité on se raccroche à tout.

- Et c’est là qu’Anita intervient. Le dernier matin, elle arrive en fanfare avec ses aides, sans un mot, et procède à la castration à vif du veau. Tu sais comme on fait ?

- Non…

- On ouvre le sac à bourses d’un coup de scalpel. On sort le premier testicule et on sectionne. Puis le second idem. Le tout ne prend pas plus de 30 secondes, avec un peu de sang et est d’un grand effet sur le mâle enchaîné. C’est là qu’Anita est une merveilleuse comédienne. Elle arrive toujours à persuader le pauvre homme que sa Maîtresse, ou son Maître, a demandé sa castration. Tu saurais les cris d’effroi que cela donne. Il supplie un moment puis la résignation le gagne et il se laisse mollement attacher étroitement sur une table à l’aide de sangles. Il parait que certains face à la menace d’une émasculation définitives, se pissent dessus de peur. Une fois immobilisé, Anita attaque la peau de leur sac à couilles au même scalpel que le veau, mais je vous rassure : il y a un truc. Elle a fait une anesthésie locale au soumis avant et le coupe légèrement avant qu’il ne sente plus rien. Mais pour le soumis, vu ce qu’il a vu arriver au veau, c’est clair : on vient de lui ouvrir le sac pour enlever ses couilles…

- Plutôt machiavélique comme procédé. Et ensuite ?

- Oh c’est une tromperie parfaite. Elle rejoue entre ses jambes, les gestes de la castrateuse. Le soumis attaché ne peut rien voir et peut donc tout croire. Enfin summum de la tromperie, elle lui présente dans un haricot en inox les vrais testicules d’un soumis qu’il croit être les siens. Souvent il tombe dans le pomme à ce moment-là ou sinon elle utilise du chloroforme. Quand il se réveille, son bas ventre est bandé avec des tâches évidentes de sang au niveau de l’entrejambe. Il ne sent toujours rien et se persuade qu’il a été vraiment castré… mais c’est pour de faux.

- Ouah ! Une superbe mise en scène… et terrible pour celui qui y croit.

Le repas continue dans la bonne humeur. J’attends sagement à deux pas de la table de servir et desservir, et arrive même à un peu manger quand je passe en cuisine. C’est l’expérience qui parle car la première fois, j’ai découvert qu’aucun moment n’était prévu pour rassasier la bonne et j’ai fini le ventre affamé. Alors là, je triche un peu, en espérant ne pas me faire découvrir.

Le diner terminé, je sers et ressers les digestifs, curieux de la façon dont la soirée va tourner. Je sais Madame pouvoir être très créative dans son animation. Mais là c’est Charlotte, la femme du notaire, manifestement déjà guillerette, qui lance les hostilités.

- Et si nous jouions au strip monopoly ?

Je ne sais pas ce qu’est cette version du monopoly mais la proposition enthousiasme l’assemblée.

- Nous mettons quoi comme enjeu ce soir ?

- Oh pas besoin de réfléchir. Séver nous montre la voie avec le magnifique équipement de sa maison et Johanna m’a bien excité avec ses récits, disons, ethniques. Je propose donc que les perdants deviennent les soumis plus ou moins soft des gagnants jusqu’à l’aube de demain.

- Tu veux dire avec chaines, martinet et sexualité à sens unique ? 

- Oui, et pour ma part, les zizis des Messieurs en boîte !

- Tu ne me ferais pas ça ?

- Pourquoi tu as peur de perdre ?

- Non, je vais gagner ! Mais je veux être sûre que tu ne te défileras pas une fois que tu auras perdu… Car là tu vas déguster ma belle !

- Si je perds ! De toute façon, à voir la bosse dans ton pantalon, l’idée t’excite déjà ! L’enjeu va à tout le monde ?

Chacun acquiesce. Ils ne devraient peut être pas car personne a convenu ou s’est mis d’accord jusqu’où le jeu D/S prévu pourrait aller. Et si les hommes perdent, avec 2 Maîtresses Chasseresses de mâles que sont Madame et ma Johanna, cela pourrait aller très loin, plus loin qu’ils s’imaginent… Tant pis pour eux !

L’excitation monte d’un cran dans le salon, quand Madame revient avec la boite du Monopoly.

- Bon qui joue ? Côté fille, il y a moi, Rose, Séver et Laurence. Donc 4. Vous les gars vous êtes 5 si on compte Gaspette version mâle. Mince un nombre impair, qu’est-ce qu’on fait ?

Je crois que l’on va empêcher André dans sa cage de jouer, mais Laurence qui avait été jusqu’à présent assez réservée fait une contre-proposition étonnante : laisser sa chance à André et m’inclure moi dans les femmes, puisque je suis habillée en Gaspette ! L’idée plait beaucoup et emporte finalement l’adhésion de toutes et de tous. Madame s’éloigne pour ramener un complet à André, pris dans le dressing blindé.

Johanna en profite pour m’expliquer les règles de cet étrange détournement de jeu. « C’est comme le monopoly classique, sauf que là tu ne touches pas d’argent en passant par la case départ. Si tu le décides, la banque peut cependant t’en donner à ce moment-là suivant le barème, en échange d’un de tes vêtements, pas plus d’un à la fois et dans l’ordre où tu les portes. Si à un moment tu ne peux payer avec tes billets, tu dois payer avec tes vêtements, jusqu’à que ta dette soit intégralement remboursée ou que tu sois dans l’impossibilité de payer… »

- Bon c’est clair, c’est le dernier ou la dernière survivante qui décide du sort de tous.

Il est 21h : la partie commence. Cela fait des années que je n’ai pas joué au Monopoly. Là il faut commencer à donner un de ses vêtements dès le départ pour obtenir ses premiers billets, et j’en obtiens même un avantage conséquent : ma robe de servante vaut beaucoup même si je dois me montrer en corset devant tout le monde…

Je m’aperçois vite que par rapport à un Monopoly classique, l’argent liquide manque cruellement  et qu’en conséquence on perd vite ses vêtements pour rembourser sa malchance. Je suis déjà au bout de 1/2  heure en bas et culotte de dentelle, mais une femme et un homme sont déjà à poil, ruinés,  et exclus donc de la partie. Au passage de l’heure, nous ne sommes plus que 5 : le notaire Alain, Johanna, Charlotte et Madame. Johanna vient de perdre ses derniers sous et sa dignité en tombant sur la gare de Saint Lazare, ruinée par Charlotte ! Mais pour longtemps, je suis déplumé de mes bas et culotte par le notaire au tour suivant et je dois sortir de la partie moi aussi ! 

Enfin, il n’en reste plus que deux : Madame contre Alain, avec un léger avantage pour Madame qui a gardé soutien-gorge et culotte contre un caleçon pour Alain. Il se passe encore 3 tours de survie étonnante, avant qu’Alain tombe sur la rue de la Paix et perde tout. Madame a gagné et jubile ! Les hommes se soumettront à ces Dames…

- Gaspette, va nous chercher du champagne pour fêter notre belle victoire féminine.

Je file en cuisine préparer les flutes et sortir un magnum de Don Pérignon. A mon retour, les femmes sont en plein conciliabule et m’invite à les rejoindre. La décision est prise : les zizis des Messieurs seront enfermés pour la nuit. C’est une vraie joie pour moi, et peut-être aussi, pour Monsieur et André, de découvrir les moues de ces grands baiseurs que sont Alain et Patrick, quand ils comprennent qu’ils auront les zizis enfermés pour le reste de la nuite. Il parait qu’ils sont vierges de toute cage… J’en rigole tant !

La pose de leurs premières CB6000 (neuves sorties de la boîte) est un moment mythique avec la tête de ces 2 mâles incrédules de devoir se laisser enfermer et un peu apeurés, à ce qu’il me semble. Ah les hommes et leurs zizis ! Des photos immortalisent ce moment…

Johanna en profite pour annoncer, qui puisque j’ai gagné en femme, et que les femmes n’ont pas de zizi, il n’est donc pas question que je sorte de ma propre cage… « Débrouille-toi à prendre ton plaisir autrement, mon amour… »

Madame et Johanna en Maîtresses de jeu SM décident de faire efficace : les 4 culs de mâles déchus sont alignés côte à côté, le torse courbé au-dessus de la table centrale de la pièce de jeu, les mains solidement attachées aux anneaux opposés. Mais leurs positions restent très confortables.

Nous nous réunissons entre « femmes » et décidons que « nos» hommes seront de plus bâillonnés, comme cela « nous serons sûres d’avoir le dernier mot ! ». Le problème cependant est que nous sommes 5 pour 4 soumis et je dois docilement laisser passer mon tour, même si Madame me promet que j’aurai la possibilité de m’amuser moi aussi…

Cela commence par un teasing en règle désespéré des pauvres queues encagées dans les douces mains féminines, qui asticotent, tentent, et laissent les mâles désespérément frustrés, le tout dans des gémissements étouffés de pucelles déjà bafouées.

Une fois ces Messieurs bien échaudés, les femmes me laissent agir. Martinet pour les novices Alain et Patrick, et tout ce que je veux pour Monsieur et André, pour qui je retiens une cravache. J’en appelle à mes fantasmes sombres, et flagellent un cul après l’autre, laissant le cul suivant anticiper la crainte de la douleur. C’est finalement une première fois pour moi et j’adore voir leur cul se crisper et rebondir sous mes actions. Je dois cependant faire gaffe à ne pas m’exciter trop dans ma cage, où les pointes me rappellent à l’ordre…

L’ambiance est électrique. Les Dames se sont équipées de gode ceinture et je leur laisse la place après avoir pris soin de bien lubrifier les culs. Elles sont toutes déchaînées ! C’est vraiment très agréable de contempler une brochette de culs se faire mettre sous mes yeux. Les femmes changent de place régulièrement et attaquent un nouveau cul. Je surprends Patrick les larmes aux yeux et je crois qu’Alain n’en est pas loin… C’est le genre de petite récompense que finalement j’adore constater, comme si je n’étais pas le seul à devoir endurer… Et pour une fois que j’y échappe… Quoique il y a gode ceinture et gode ceinture. Celui de Johanna est un bonheur. Je prends cela comme l’expression de l’amour conjugal, même si elle m’emmène parfois au-delà de ce que je crois être mes limites. Les autres godes sont l’expression que je suis soumis. Quand Madame me le sert, c’est surtout l’humiliation qui l’emporte…

Une fois les femmes fatiguées, les culs sont libérés à regret. Les femmes décident de faire une pause cigare entre « filles ». Je ne savais pas que Johanna fumait le cigare, ni Madame. Mais je me doute que c’est surtout les Messieurs qui le font habituellement et que c’est une douce vengeance de la gente féminine.

Johanna en profite pour me prendre à part. 

- Je crois que la soirée « hommes soumis » va vite prendre fin. Ces Dames sont sur les charbons ardents, la chatte inondée et elles auront folle envie de queues une fois leurs cigares terminés. Cela va tourner à la partouze…

- Tu y participeras ?

- Tu le mériterais 100 fois dans ta soumission, mais tu sais que ce n’est pas trop mon truc. J’ai toujours préféré les rencontres à 2, même si j’y ai participé quand j’étais un an en France, pour voir. Ce que j’ai surtout envie à l’instant, c’est de ta langue sur ma chatte. Mais en privé, dans notre chambre… Je ne suis définitivement pas exhibitionniste. Pour l’instant, tu as encore 1/4 d’heure pour prendre ton pied d’encagé.  Faut pas oublier que tu es aussi vainqueur ce soir…

Et là je la vois retirer son gode ceinture et me le fixer au-dessus de ma propre cage. Elle m’entraîne alors vers les étagères et me choisit un gode maousse-costaud qu’elle me met en place. Elle prend même le temps de l’huiler abondamment. Je me laisse faire d’abord interdit… puis je comprends…

- Allez prends ton pied ! Et bien sûr tu le paieras un autre jour, mais tu l’auras osé, et cela il ne pourra pas te l’enlever…

Magnifique Johanna. Elle me laisse pour rejoindre les filles, mais sans fumer de cigare. Je regarde les 4 culs à disposition. Je repère ma cible : le petit trou de Monsieur ! Il est surpris quand je pose mes mains sur ses hanches comme il adore me faire. Et encore plus quand il sent la taille de l’assaillant que je lui destine. Le pénétrer en force est un tel bonheur intellectuel. Je l’entends couiner, s’offusquer de l’assaut. Mais rien ne peut m’arrêter : je lui défonce le cul de grands coups de rein, heureux de le violer le fondement. Je ne lui épargne rien. Et il subit longtemps ! C’est une telle jubilation… Je ne m’arrête qu’à regret que quand les femmes, lassées du cigare, reviennent. Madame commente.

- Et bien dis-donc notre Gaspou était en forme ce soir !

Eclats de rire assurés. Mais la soirée bascule déjà. Les femmes ont envie de coups de bites maintenant, qu’elles espèrent puissants et vengeurs après avoir nié la virilité de leurs amants. Madame évacue André dans son cachot. Johanna est requise mais se refuse. Elle préfère de loin fixer une laisse à mon collier et m’emmener. La dernière image que j’ai, est que les boites aux oiseaux ont été ouvertes. Les zébulons ont jailli et déjà les membres libérés ont été engloutis dans des bouches avides. Nous sortons par le couloir dans le rocher, non sans que la présence de ma Johanna ait été regretté, surtout « son petit cul »…

Une fois à la maison, nous montons directement dans notre chambre pour une urgence d’un incendie à éteindre que j’éteins longuement de ma langue et de mes doigts. Et plusieurs fois !

Je dors cette nuit-là dans les bras de ma magnifique Johanna, comme le plus heureux et attentionné, au cœur de la nuit, des maris…

- à suivre -

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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