Samedi après-midi après le repas, Maîtresse m'appelle dans la chambre. Je sait que nous partons en week-end touristico - D/S et qu'elle m'a ordonné de ne pas remettre la cage le matin et de préparer une liste d'instruments de notre boite à malice, dont la nouvelle canne et le fouet en cuir.

Dans la chambre, elle m'ordonne de me mettre tout nu pendant qu'elle prépare sa valise (la mienne étant prête du matin). La soumission en extérieur vanille n'est pas une chose facile mais je pense que Maîtresse ressoud à chaque fois plus l'équation pour m'emmener dans un espace où je me sens bien SON soumis. Sa valise terminée, elle m'appelle à son pied et rapidement me fixe le collier de toutou et les bracelets aux poignets et aux chevilles. Chacun est verrouillé par un petit cadenas comme en aout dernier, ce qui m'indique sa détermination. 

Puis elle prend une cordelette rose avec laquelle elle vient ficeler la base des couilles pour faire saillir le paquet bien en avant. Cel me fait de l'effet immédiatement et mon zizi commence à suinter le pré-serme qu'elle aime tant voir couler. Elle me laisse un moment pour fouiller dans sa commode avant de ressortir une culotte mauve et fendue sur toute l'entrejambe.

- tu la reconnais ? c'est toi qui me l'a offert, il y a quelques années. Je l'ai retrouvé il y a quelques semaines. Moi je ne l'ai jamais vraiment mise, mais elle sera parfaite pour toi MON soumis !

Je la reconnais. C'est effectivement un reste archéologique d'une autre vie à jamais révolue. Elle me passe avec autorité la culotte qui laisse dépasser le sexe tout en ouvrant un large accès au derrière. Je crains à un moment qu'elle investisse mon trou avec le rosebud, mais si elle semble y avoir pensé, elle y a renoncé sans doute en passant que cela serait dangereux pour la conduite en voiture. J'y échappe donc... Elle m'ordonne de me rhabiller.

Nous voilà partis.

Arrivés à destination, alors que nous sortons du parking, je peux avoir un premier aperçu de ma situation. Je ressens bien la présence du collier et des bracelets que je ne peux ignorés et surtout à qui je dois de les porter. C'est un jeu qui plait beaucoup à N. car même si les protubérances peut attirer l'oeil d'un passant curieux, il y a un grand pas avant qu'il imagine ce que c'est réellement. Moi ce qui me préoccupe et me trouble, est qu'avec mon sexe mis ainsi en avant, et bien qu'il soit dans le pantalon, j'ai l'impression de le montrer ainsi à tout le monde autour de nous. Comme si elle m'avait ouvert la braguette, pour l'exposer en dehors. Et en bon soumis, cette situation m'excite et mon ridicule zizi ne cesse de couler. Il continuera ainsi de la faire pendant les heures suivantes, agréable au début mais agaçant à la fin à force de le sentir toujours humide. Un sensation nouvelle mais aussi une subtile humiliation.

Nous avons toujours aimé visiter de nouvelles choses ensemble, mais là elle a choisit son terrain de chasse : un centre de ville où il y a des dizaines de magasins ! Et comme elle sait que je n'aime pas cela... Des fois elle m'invite fermement à la suivre dedans, d'autres fois elle me fait attendre dehors en bon toutou. Elle commence aussi à voir aux jambes, alors les rues deviennent très longues avec de nombreuses pauses magasins.

A un moment, elle décide aussi que nous allons visiter un musée. Là d'habitude j'aime bien.C'est une exposition essentiellement de peintures modernes, fort réussies je trouve, mais qui se ressemblent toutes correspondant à une période unique d'inspiration de l'artiste. Je me retrouve vite à avancer beaucoupl plus vite qu'elle et nous sommes séparés. Au bout d'un de 3/4 heures environ (je n'ai pas ma montre donc aucune possibilité d'avoir l'heure et là aussi c'est très perturbant), je la rencontre à nouveau au détour d'une salle et lui demande si elle a fini. Elle me répond que non et m'envoie l'attendre à l'extérieur du musée.

Les sujets d'intérêt à l'extérieur sont vites épuisés, et la contemplation de vie autour n'offre pas vraiment de sujets passionnants, jsute des gens qui passent dans un sens ou dans l'autre.  Parfois 2 mecs sortant bourrés d'un bar, qui m'offre 2 minutes d'amusement. Et là un chien attaché à un poteau qui lui aussi attend le bon vouloir de son Maître. Elle finit par sortir pour s'engouffrer immédiatement dans un nouveau magasin, puis un autre., et encore un autre. Nous faisons carrément du surplace et le port du collier commence à me peser sur le bas du dos.

A un moment, nous avons la même idée devant la vitrine d'un magasin de déco : des lampes en forme de gouttes de sperme qui tombent du plafond. J'aime bien ces moments de complicité, purement SM eux.

Mon épreuve continue par la visite des ramparts, d'autant que ma Maîtresse est fatiguée maintenant et avance encore moins vite. Mais tout finit pas s'arrêter et nous retrouvons la voiture : direction l'hôtel...

dyonisos