Jeudi 14 avril 4 14 /04 /Avr 07:42

25 février

Le retour des enfants avec mes beaux-parents qui sont restés jusqu’à mercredi a sonné la fin de ma période de petit mari soumis en permanence. Finalement j’ai bien aimé globalement cette semaine, mais je suis resté perturbé par cette mauvaise note finale, qui me laisse un goût amer et ce n’est pas que le sperme…

Avec le retour des enfants et ‘arrivée des grands parents, il n’y a pas de place pour un débriefing avec Claire. J’ai bien essayé de provoquer la discussion mais en vain. Je suis réduit à me laver tôt le sexe en cage, seule reste de mon état de la semaine dernière, avant de devenir le parfait père, gendre et mari. C’est bien la famille mais des fois c’est un peu trop envahissant et  j’en veux à Claire de ne faire aucun effort pour discuter avec moi de que j’ai ressenti. « La patience est le premier de devoir d’un mari soumis » est la seule réponse que je réussis à obtenir. C’est toujours comme cela quand Claire est avec ses parents, je n’existe plus !

Pourtant j’aurais bien besoin de son réconfort. La cage qui me foutait une paix royale, certes de temps en temps troublée par Claire, est redevenue difficile à porter, avec le retour des nuits hachées et l’inconfort des couilles rétractées qui me fait serrer les dents le matin, en attendant leur détente. La zenitude de sexe que j’avais atteint, disparait et est remplacée par une tension à jouir qui monte dans mon bas ventre. Presque 8 semaines ! Je ne suis jamais allé aussi loin… Et en plus je n’ai aucune perspective de quand je pourrais en sortir. Je me suis définitivement convaincu que Claire n’a pas la clé et qu’Emilie ne cédera pas, pour une raison que j’ignore. 

Perturbé et un peu bougon, je me refugie à bricoler dans le garage (je suis en vacances) et oublie toutes les autres corvées qu’inévitablement, belle-maman effectue aussi vite que son ombre.  Elle n’a jamais su de rien faire…

Finalement les parents s’en vont mercredi en début d’après-midi et nous partons jeudi voir mes propres parents. Les enfants seront dans notre chambre alors aucune chance qu’il ne se passe quoi que ce soit.

Au dîner qui suit, je reviens de mon garage et m’installe à table sans me préoccuper s‘ il reste des choses à amener depuis la cuisine. De toute manière, cela ne sert à rien : ils sont déjà en train de manger. Et donc tout doit être là… Mais à ma surprise, je me vois reprendre à la volée au moment où je m’assois.

- Attends mon chéri… Je suis passée à la buanderie et j’ai vu qu’il y a du linge en retard… je n’ai pas eu le temps…. Tu peux aller en lancer une, s’il te plait ?... la bannette rose… programme 7… cela m’aiderait… surtout que Maman est partie…

Du linge en retard, j’en doute. Belle-maman ne l’aurait pas laissé passer. Mais les enfants lèvent les yeux et ma fille trop bavarde en rajoute une couche…

- S’il te plaît Papa, Maman a besoin que tu l’aides…

Charmante fille, mais le regard sévère de Claire me dit autre chose. Tu as intérêt de dépêcher d’aller lancer cette lessive ou je te fous la honte de ta vie devant tes enfants !

Je préfère prudemment céder… et me dirige vers la buanderie au sous-sol… 

- Et n’oublie pas de mettre de l’assouplissant cette fois…

Au sous-sol, je trouve la bannette rose. Elle est pleine de serviettes qui me paraissent propres. Pourquoi veut-elle que je les lave ?  Il ne me faut que 5 petites minutes pour fourrer le tout dans le tambour avant de rajouter lessive et assouplissant et d’enfin arriver à lancer cette machine de m***** sur le programme 7 ! 

Quand je reviens, Claire et les enfants en sont déjà au dessert et je me retrouve rapidement seul à manger ma part de gratin de chou-fleur pendant que Claire désert la table. Plus tard, les têtes blondes sont couchées et Claire regarde son feuilleton de Tv+ pendant qu’en pyjama,  je surfe sur internet… Nous n’échangeons aucun commentaire…

Au générique de fin, Claire se lève du canapé et éteint la télévision. Il est 22h30 et elle baille… Je crois qu’elle va aller se coucher, mais non : elle se plante devant moi et m’invite fermement à la suivre pour aller s’occuper du linge de la famille.

Je la suis à contrecœur au sous-sol jusqu’à la buanderie. Pas envie d’aller étendre le linge… J’ai surtout envie d’expédier au plus vite la corvée pour aller retrouver mon ordinateur. J’arrive à la machine et j’ouvre le hublot. Le programme a dû foirer : les serviettes sont complétement mouillées. Je me retourne pour le dire à Claire… Mais je découvre qu’elle m’observe et qu’elle a son drôle de petit sourire aux lèvres…

- Non c’est normal : le programme 7 arrête la machine avant l’essorage…

Je l’interroge des yeux sans comprendre…

- Tu vas voir…, me dit-elle en lançant l’essorage. 

Le tambour commence à balancer de gauche à droite pendant que Claire sort des cordes et des sangles d’un sac du placard… 

- Je suis passée cet après-midi à Monsieur Brico. S’il te plait, passe la corde dans le trou de la poutre…

Elle parle de la poutre de béton qui soutient le RDC et qui a effectivement un conduit de coulage dans sa largeur. Je ne vois pas où elle veut en venir. Je prends néanmoins l’escabeau pour faire glisser la corde dans le tube.  Quand je redescends, Claire me prend d’autorité les mains pour les réunir ensemble. Je sursaute devant le geste ferme d’autorité qui m’intimide un instant … Claire utilise mon absence momentanée de réaction pour me ficeler étroitement les mains ensemble, avant de tirer sur la corde qui m’envoie les mains haut en l’air. Là je comprends… Et je râle mon refus ! Mais elle s’en fout car le bruit de l’essorage qui se lance couvre toute plainte. Un vrai traquenard… Je crie encore mon désaccord avant qu’un bâillon boule apparu de je ne sais d’où et extrêmement serré, me surprenne et me réduit en un instant aux grognements étouffés.

Je prends peur quand elle me sangle ensemble mes chevilles. J’ai la vision d’une bête que l’on entrave pour, forcément, quelques mauvais traitements. D’ailleurs Claire me prive de la vue  d’un bandeau sur mes yeux. J’en tremble… 

Tout le reste est vécu dans le noir qui amplifie les ressentis. Le bas de pyjama que l’on baisse lentement à mes pieds est un petit choc. Ce n’est pas qu’il fasse froid dans la buanderie mais je frisonne de me retrouver découvert et vulnérable. Mes genoux sont sanglés ensemble, ainsi que mes cuisses. Je ne sais pas ce que Claire veut m’imposer… Je grimace de douleur imaginée quand elle enfile quelque chose dans la sangle entre mes cuisses, quelque chose de long qui repousse mes couilles vers le haut. Ne pas savoir est si effrayant ! Et je n’aime pas du tout sentir mes testicules pressurisées comme cela. Mon sexe se réfugie prudemment au fond de sa coquille de métal… 

La préparation semble se finir quand Claire me découvre le dos en remontant mon haut de pyjama contre les épaules. Il y reste : elle a dû le fixer d’une manière ou d’une autre…

Je me sens vulnérable. Je frissonne de toute part. Un agneau promis au couteau du boucher. 

Et là Claire colle son corps contre le mien. Son souffle chaud dans ma nuque est troublant mais un peu rassurant… Ses mains descendent érotiquement le long de ma poitrine, s’attardent un moment sur mes tétons qu’elles font dresser, puis glissent sur ma taille avant de finir le long des mes cuisses, à quelques centimètres de mon sexe encagé, qui réagit en se réveillant et grossissant. La chaleur de ses doigts vient se glisser entre les barreaux, flatter la hampe et encourager la renaissance de mon sexe. Forcément, je réagis… Et encore plus quand je découvre que le « machin » sous mes couilles vibre délicieusement. J’anticipais le pire et voilà le meilleur ! Et je soupire d’aise dans mon bâillon à la douceur de la caresse…

- Bon à nous, Monsieur Pierre Berthiault.

Claire me parle suffisamment fort dans l’oreille pour couvrir le bruit de l’essorage.

- Tu crois que je ne vois pas que tu boudes en ce moment ? J’en suis désolé. Je sais aussi que la cage te pèse. Je sens tes réveils la nuit et je vois tes grimaces le matin. Mais je ne peux rien y faire : je n’ai pas ta clé qu’Emilie garde. C’était convenu ainsi entre nous, pour que je ne craque pas… Je sais que les lignes bougent pas mal pour nous en ce moment, et c’est moi qui ai décidé de t’enfermer sur la longue durée cette fois comme c’était toi qui as décidé d’introduire la cage dans notre couple il y a 5 ans…

Drôle de propos…

- Tu te souviens comme j’étais sceptique quand tu m’as montré ton achat en cachette ? Que l’idée d’enfermer le sexe de mon mari ne m’était pas vraiment attrayante… Moi qu’est-ce que je devenais dans tout cela ? En te privant de ton sexe,  tu me privais aussi de lui. Oui je sais que c’était au lit plus aussi bien qu’au début mais moi cela me suffisait. Mais comme je t’aime, je me suis donnée des coups de pieds au derrière pour rentrer dans ton fantasme… Tu te souviens la première fois que je t’ai enfermé ?

Oui je m’en souviens très bien. J’étais si excité que nous avions eu du mal à fermer la cage… Claire toujours collé contre mon dos, flatte mon sexe dressé et mes couilles. C’est bon avec les douces vibrations du machin du bas.

- Toi, tu vivais enfin le fantasme qui te faisait te branler tous les soirs face à ton écran d’ordinateur. Car finalement tu avais finis pas passer plus de temps devant ton écran que de t’occuper de ta femme et même après. Ah les hommes !

Sa main quitte mon paquet et son doigt vient me titiller l’anus. L’autre main reste à jouer de mes sorties de chair à travers le petit trou de la cage.

- Oui j’étais sceptique mais j’ai tout de suite aimé t’enfermer le zizi et le voir baver entre ses barreaux. Appelle ça une petite vengeance de fille sur le zizi des garçons. J’en avais la culotte inondée. Et tu t’es immédiatement révélé si gentil quand tu es en cage. Un vrai petit agneau… J’avais envie de te faire plaisir et puis j’en récupérais aussi pas mal, alors après la cage, je me suis laissé aller. J’ai cédé à tes autres envies, du moins celles qui me paraissaient raisonnables et faisables. Oui c’est amusant de jouer avec le zizi des garçons, de lui donner des fessées sur le popotin et de se faire servir par son homme nu en soubrette. Ou encore de lui prendre d’assaut son petit trou…

Son doigt me force un peu pour me pénétrer.  J’adore quand elle fait cela  et mon zizi devient  plus à l’étroit entre les barreaux à se rappeler ces moments mythiques du début.

- Tu aurais pu te lasser, mais non il t’en fallait toujours plus. Ta liste d’envies ne cessaient d’augmenter jusqu’à inclure tout ce que le BDSM peut comporter. Parfois j’en ai eu le ras le bol de ces jeux toujours plus poussés et épicés. Tu me l’as suffisamment verbalement reproché. Mais pas envie d’avoir à mépriser l’homme que j’aime, de le voir se transformer en larve pour le plaisir de sa queue ! C’est devenu une sorte de drogue pour toi. C’est pour cela que nos jeux se sont espacés…  J’ai accepté d’y revenir de temps en temps, surtout pour te faire plaisir… même si je reconnais que certains m’excitent pas mal… tout comme toi à t’en rappeler petit coquin. Tu bandes mon chéri !

Claire vient me donner un baiser amoureux dans ma nuque. Je fonds un peu… Son doigt en profite pour me fouiller le rectum en profondeur. Je m’ouvre à ses bienfaits… Pendant que les autres doigts me branlent la hampe entre les barreaux.

- J’ai cru que tu finirais par te lasser mais non tu y reviens sans cesse ! Pourquoi ? Pourtant je t’ai offert plein de réalisations de fantasmes au fil de ces années. Tous les hommes n’ont pas cette chance… Mais non cela ne te suffit pas ! Je t’aime. Tu comprends ? Je t’aime ! Mais je me suis sentie à la longue perdue et délaissée dans ton labyrinthe de désirs noirs… 

Je reconnais l’émotion dans la voix de Claire et instinctivement cela me fait débander un peu. Je n’aime pas quand elle est comme cela. Je m’en sens responsable. Mais elle travaille à contrer ma mollesse et y arrive d’un doigt vicieux qui rentre et sort en cadence de mon cul, maintenant totalement avide.

- J’ai voulu comprendre, faire le point. Eviter de te perdre, de nous perdre. Je l’ai fait cet été, pendant que tu étais à la plage avec les merveilleux enfants que tu nous as donnés, avec leurs cousins et cousines. Je suis restée, non pour faire la sieste, mais pour avoir le temps de réfléchir sans ta présence qui me l’empêche. Je me suis documentée sur internet pour m’informer, pour essayer de te comprendre. Et j’ai fini par intégrer que tu n’abandonneras jamais, parce que cela fait partie de ta matrice interne et de la façon dont tu es au fond de toi-même. Toutes ces demandes sont une façon maladroite de dire que tes besoins sont autres, et que tu ne t’y retrouves pas dans le couple. Je sais que tu m’aimes et je sais aussi quels efforts, il t’a fallu pour te restreindre et vivre cet amour « vanille » avec moi. Mais je crois que tu ne t’aies jamais interrogé jusqu’au bout…

Ces propos me troublent…

- J’ai lu beaucoup d’histoires de vie. Des femmes qui parlaient de leur situation de couple. Des hommes aussi. Et maintenant c’est une évidence pour moi et je crois que tu devrais l’accepter toi aussi. Tous ces jeux, ces pratiques, que tu désires tant, cela se résume au fond à une seule chose : tu as besoin vivre sous le joug de la femme que tu aimes !

Non, ce n’est pas moi cela, est ma première pensée. Je me tortille en tous sens pour montrer mon désaccord, mais Claire me contient jusqu’à je cède et me relâche. Après tout, elle a peut-être raison… au fond. Elle vient de m’ensemencer le doute. Suis-je comme cela depuis le début sans avoir eu le courage de le reconnaitre ?

- Calme, calme…

Ses mains viennent me rassurer en me caressant. Et elle m’enveloppe de son corps protecteur.

- Je ne croyais pas un jour voir les choses aussi nettement. Mais réfléchis-y.  Tu es comme cela. Et je crains que si je ne comble pas ton besoin fondamental, tu finisses par me délaisser un jour. Et ça il n’en est pas question : je t’aime trop. 

Je ne me suis jamais senti aussi nu et vulnérable. Cela tourne à 100 à l’heure dans mon cerveau, dans l’espoir de contrer cette définition, cette évolution que je pressens. En vain !

- Alors j’ai étudié pour savoir ce que je devais faire pour te rendre heureux. Et manifestement, il n’y pas 36 chemins possibles : je dois devenir ta Maîtresse pas pour un jeu mais dans la vie réelle.  C’est-à-dire créer volontairement de l’inégalité dans notre couple, alors que mes parents m’ont toujours enseigné que tous les hommes et femmes étaient égaux. C’est contre ma nature pour moi, mais je suis prêt à me forcer pour toi : contrôler strictement tous les aspects de ta vie, décider seule pour deux. Je suis prêt à m’y investir, mais pas avant que tu me dises que c’est cela que tu veux approfondir ? Dans mon idée, nous serions partis en week-end, nous aurions longuement discutés et tu m’aurais dit oui ou merde. Mais tu ne marches pas comme cela toi, mon amour. Tu as eu toujours du mal à appeler un chat, un chat. C’est pour cela que, cela ne me plait pas mais je t’ai supprimé la parole, pour que tu ne me sortes pas des dénis automatiques et que tu réfléchisses face à toi-même.

Grave question en effet qui tourne en rond dans une tempête en tête.

- Je te demande pas une réponse immédiate : le choix est trop grave, car il t’impacte, il m’impacte et pourrait impacter la famille. Vois ton enfermement actuel et tout ce qui va avec comme un ballon d’essai. Un test pour nous deux avec la complicité active d’Emilie. Oui je me suis ouverte à elle…  Il y a des choses qu’il ne faut pas garder enfermées pour soi. Mais je n’imagine pas tout définitivement changer notre équilibre  de couple sans porte de secours. Pour l’instant tu es dans une séquence inédite pour nous, et pour encore un peu de temps, désolé pour ton petit zizi. Toute complice qu’elle soit, Emilie, a aussi ses désirs où tu interviens… Tu le sauras le moment venu. Après je te demanderai si tu veux devenir mon petit mari soumis pour 6 mois. 6 mois irrévocables pour toi et moi, pour nous laisser une chance que cela prenne, quoi que chacun en pense. Et au bout de ces 6 mois, si c’est ok, que chacun est confortable avec cette version 2.0 du couple,  nous continuerons pour une durée 6 mois supplémentaires…

Claire a toujours été la plus raisonnable de nous deux, et elle le prouve encore. Je viens enfin de comprendre pourquoi j’ai été mis en cage ! Et j’ai honte de ne pas l’avoir compris avant, plus intéressé à le vivre que de comprendre le pourquoi…

- Il faudra évidemment avoir beaucoup de temps disponible. Heureusement les enfants deviennent de plus en plus autonomes et nous le laisserons de plus en plus. Je mets ce point en premier, car souvent je m’aperçois que les couples qui pratiquent cela, ont soit pas d’enfants, soit des enfants grands qui ont déserté la maison. Ce n’est pas notre cas, et cela sera un vrai challenge.  Tu comprends que si l’on se lance dans cela on ne suivra plus tes fantasmes, mais mes règles et sans doute envies, même si cela te fait chier.  Seras-tu prêt à ça ? Sans devenir une larve ? Je ne me suis pas marié avec toi pour cela. Je veux garder un mari que j’aime et dont je suis fière, et un merveilleux père pour nos enfants. La période délicate est semble-t-il le début : certaines appellent cela le dressage ou apprivoisement. Moi je n’aime pas ces termes trop bestiaux. Je préfère parler d’éducation partagée. En auras-tu la patience ou la volonté ?

Je ne sais pas ou plus ou pas encore.

- Si tu te décides de te, nous laisser une chance de réussite dans cette voie, il ne pourra pas y avoir de demi-mesure. Cela devra être nécessairement total dès le début et dans tous les domaines. Je n’aime pas l’idée de devenir une salope exigeante  mais je vais devoir apprendre rapidement à en devenir une pour toi. Pendant que toi, tu devras apprendre à m’obéir sans coup férir. Un gros travail en perspective pour toi et moi !

Je ne doute pas une seconde des efforts qu’il faudra faire. Cela veut-il dire que je l’ai déjà accepté au fond de mes méandres du subconscient ?

- Tu penses évidemment à ton cher pénis, à ta sexualité. Et bien elle devra être mise entièrement sous mon contrôle. Quand tu peux bander ou pas, éjaculer aussi et de quelle manière. Il semble qu’il n’y ait pour cela pas d’autre choix que l’imposition permanente de la cage sur ton sexe. J’aimerais faire autrement mais je pense que tu n’y arriverais pas. Es-tu prêt à cela ? Je porterais le phallus et ton cul l’accueillera suffisamment pour te garder en droite ligne. Mais pour l’instant, je n’imagine pas de me priver définitivement de ta queue ou de prendre un amant sans t’impliquer.

Tout cela me fait bander !  Je dois être dingo…

- Mais tu devras aussi t’attendre que j’intervienne dans tous les autres domaines, ces domaines d’indépendance dont je dois te priver avec détermination. Je trouve que c’est pour certains un peu une vacherie. Mais le but est là : tu devras passer sous ma tutelle, perdre ton autonomie de décision et d’action au profit de seule femme. Plus de loisir qui ne serait pas autorisé par ta femme. Es-tu prêt à cela ? 

Je n’ai jamais pensé à la domination en couple sous ces aspects.

- C’est un grand acte d’amour que je suis prête à t’offrir, pour notre durée. Et bien sûr, il y aura des punitions quand tu n’impliqueras pas assez. C’est un vrai challenge pour moi que de devenir sévère et de ne rien te laisser passer. Mais tu m’aideras en dénonçant tes petits et grands crimes en permanence. Les punitions pourront ne pas être toutes physiques, mais de mes discussions il semble que rien ne soit plus efficace sur le cerveau des mâles. Je n’aime pas l’idée de fustiger aux larmes mon mari, au-delà de son enclin à s’exciter de cela. Mais je le ferai avant d’autant plus d’énergie, que je détesterai le faire, pour ne pas avoir à le refaire trop souvent. Es-tu prêt à aller jusque-là ?

Je ne suis pas sûr…

- C’est un choix difficile à faire pour nous deux. Moi Je suis prête à essayer véritablement : c’est le sens de ce que je te dis. Toi il te faut réfléchir dans les prochaines semaines à ce que tu veux vraiment… J’ai eu Emilie au téléphone. Elle n’a plus le temps avec son Hervé en cage, de lire tes comptes rendus. Alors nous allons changer le mode de fonctionnement. Je te propose de m’écrire tous les jours, sur tes pensées et désirs, que je te réponde. C’est après tout une phase d’expérimentation que nous menons depuis le dernier jour de l’année. 

Effectivement me confier totalement à Claire pourrait m’aider.

- Allez trêve de bavardages. Nous devons nous lever tôt pour partir demain. Heureusement que j’ai fait les valises cette après-midi… Mais avant nous allons essayer de détendre la pression sexuelle dans ta petite cage. Après tout, tu en es à combien ? Presque 8 semaines, alors que nous n’avons jamais fait plus de 5 semaines ? Il est grand temps de te faire couler de plaisir… 

Et ce qui est dit, est fait ! Mais quel plaisir peut-on prendre de se voir couler enfermé entre des barreaux ? Cela ne m’est jamais arrivé en cage et je suis plus que sceptique que cela soit possible. 

Mais Claire ne s’arrête pas à mes considérations. Elle s’attelle avec détermination à la tâche, une fois la machine à laver qui venait finir son essorage relancée en rinçage.  Pourquoi faire cela ? Je me suis trompé dans le dosage de la lessive ?

Je n’ai pas le temps de trop réfléchir à cela car Claire s’attaque à me faire « couler » par les grands moyens. Le truc qui vibre sous mes couilles passe à la vitesse supérieure d’abord surprenante et peu agréable. Tout comme ne l’est pas le doigt qui me reprend d’assaut mon petit trou. Je m’étais un peu refermé et je le sens forcer pour rentrer et progresser dans les profondeurs à la recherche de ? La main libre de Claire s’occupe à m’émoustiller dans ma cage...

J’ai rapidement – comment décrire ? – la cage difficile. Et c’est encore pire quand Claire s’encastre contre moi. Un doigt traîne délicieusement sur mes couilles pendant qu’un autre presse longuement l’intérieur de mon rectum… La vibration s’accentue, caressante…

L’image qui me vient est celle d’un veau que l’on trait. Claire me susurre à l’oreille…

- Et bien, le petit garçon va offrir à maman Claire tout le bon petit jus qu’il garde dans ses coucougnettes depuis si longtemps… allez laisse-toi aller à offrir à maman un bon petit jus en fût de couilles !

L’humiliation résonne en moi et me rend encore plus dur. Et Claire n’arrête pas, ni me toucher de toute part, ni de m’encourager vicieusement…

- Allez, vas-y mon petit. Montre que tu es un grand qui jute. Donne-moi ton jus. Nous allons bien arriver à faire couler ce zizi rikiki… 

Les vibrations déferlent et le doigt presse le fond de mon cul. Et cette voix de Claire qui m’envoie loin.

- Encore, encore. Tu vas y arriver mon petit… comme un grand. Sens comme ton zizi veut être soulagé, qu’il en tremble d’émotion. Allez donne  à Maman, donne à Maman… ouais c’est bien tu commences à couler… tu coules pour Maman Claire… encore, encore… je suis sûr qu’il en reste plein dans ses petites couilles… que je presse… que tu as gardé pour ta maman… oui ! cela sort de nouveau… super… c’est bien mon loulou… allez continues… je veux tout le vieux jus… jusqu’au bout… tout ! oui c’est bien mon loulou… Tu en as encore pour maman… oui, allez encore… ah c’est fini, vides les petites coucougnettes… c’est bien : tu as bien coulé pour maman...

Je me suis surtout senti le zizi humide, et avec un vague plaisir. Mais aucune des fulgurances habituelles de l’éjaculation. Ma bite n’en peut plus dans sa cage, cherchant en vain à obtenir le plaisir qu’elle n’a pas eu. Bref je reste à demi sur ma frustration… pendant que Claire me caresse les cheveux comme on flatte un animal qui a bien obéi à sa dresseuse.

Je reviens peu à peu à mes esprits et à l’état flaccide, lors que le rinçage de la machine se termine. Claire semble attendre le clic de démarrage de l’essorage pour la suite.

- J’espère que cela va mieux… car la suite est moins agréable… je me dois de te punir de ta bouderie de ces derniers jours… à la tapette de bois conjugale… voyons si je suis capable de m’améliorer…

Elle commence à me frapper dès que l’essorage est lancé en vitesse, une main me retenant au paquet pendant que l’autre abat la dure tapette sur mes fesses, en douleur mais sans se presser. Je crie immédiatement dans mon bâillon. Et Claire recommence, recommence encore, maîtrisant mes mouvements de sa main plus ferme sur mes couilles. C’est une Claire que je découvre déterminée à me faire mal qui me fait peur. La « punition » dure toute la durée de l’essorage, malgré mes cris étouffés, malgré mes mouvements, jusqu’à je n’en puisse plus… Les coups s’arrêtent en même temps que la machine. J’ai le cul en chou-fleur de douleur !

- Expérience intéressante. Je suis fière d’avoir dépassé mes appréhensions. Mais c’est confirmé que je n’aime pas cela, même si je dois le faire. Te voilà prévenu quand tu prendras ta décision !

Sa voix est un plus froide que d’habitude, mais elle vient me consoler juste après alors cela efface tout.

Finalement, Claire m’enlève bâillon et bandeau avant de me détacher. Je vois sur le sol de béton le résultat de ma traite en tâches gluantes éparses pendant que je me frotte le cul… Claire m’observe et rigole maintenant

- Oui, tu as compris… à toi de nettoyer le sol de tes cochonneries… avec ta langue !

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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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