Noël approche à grand pas et il est temps d'acheter le sapin pour le décorer et faire le bonheur des petits et de grands. Alors comme chaque année la question se pose : artificiel ou naturel, le sapin, avec toutes ces foutues aiguilles qui tombent par terre ?
Réfléchissez bien car si vous optez pour un sapin naturel, voilà ce qui risque de vous arriver une fois les fêtes passées !
J'ai trouvé cette histoire l'été dernier sur un blog américain. Je ne sais malheureusement plus lequel, mais c'était le type de blog à articles très irréguliers, que l'on pense plus inventés que réels. Qu'importe l'histoire ou plutôt le conte est éloquent et je l'aime beaucoup. C'est pour cela que j'avais mis de côté ce texte pour plus tard.
Je l'ai traduit avec l'aide du web, avant de reprendre le tout, de fluidiser au mieux et d'adapter à un environnement européen.
Bonne lecture. Que ce conte de Noël vous plaise autant qu'il m'a plu.
dyonisos
De temps en temps, j’ai une idée lumineuse qui transforme une corvée domestique en quelque chose de très excitant - du moins pour moi. Cela a été le cas pour le dernier du Nouvel An, où une idée a germé dans mon esprit et a été rapidement mise en pratique. Bien sûr, mon mari Pierre en serait la victime dans une nouvelle situation perdant/perdant pour lui, et gagnante à tous les coups pour moi.
Le jour dit, je transforme Pierre en esclave nu à mes pieds, et je lui rappelle qu’il a l’interdiction de parler sauf pour répondre aux questions de sa Maîtresse.
Traditionnellement, nous enlevons notre arbre de Noël juste après le Nouvel An. Il s’agit toujours d’un vrai sapin qu’il faut évacuer à travers la maison jusqu’au garage, avant de l’emmener à la déchetterie. Le problème est qu'il y a toujours abandonnement d'aiguilles qui tombent sur le sol tout le long du chemin jusqu’à notre garage, ce que je déteste. Peu importe combien de fois j’ordonne à Pierre de passer l’aspirateur, je retrouve partout de ces foutues aiguilles pendant des semaines.
Eh bien, j’ai décidé de m’attaquer à ce problème. Après avoir eu le plaisir de mater mon esclave nu démonter les décorations et les ranger, je m'allonge sur le canapé pendant qu’il emmène les boîtes au garage. En fait, Pierre n'est pas un esclave complètement nu : je lui ai entravé les mains et enchaîné les chevilles par une chaînette de 20cm, le condamnant à faire des petits pas, ce qui m’amuse beaucoup et lui complique la tâche. Et bien sûr il porte sa cage comme tous les jours. Pierre revient chercher le sapin pour l’évacuer au garage, laissant derrière lui un traîne d'aiguilles desséchées depuis le salon jusqu’à la porte du garage au sous-sol, en passant par l’escalier.
Le décor est en place : il est temps de s'amuser !
Pierre s'attend à ce que je lui demande de passer l’aspirateur partout, comme d'habitude, sauf que j'ai une petite surprise pour lui.
- Esclave, cette année, tu n’as pas le droit ni de passer l'aspirateur, ni même de balayer. Je veux que tu ramasses une à une toutes les aiguilles tombées à la main que tu trouveras. Dès que tu en as aura ramassé 20, tu viendras les déposer dans un saladier sur la table basse du salon. Tu m’annonceras à chaque fois le total des aiguilles ramassées. Lorsque tu auras tout terminé, nous aurons le compte exact du nombre d’aiguilles qui peuvent tomber d'un sapin. Je me suis toujours demandée combien d’aiguilles cela pouvait faire. Et nous pourrons comparer cela avec le sapin de l’an prochain. Ce sera très instructif !
Pierre est trop bien dressé pour protester. Il obéit immédiatement. Je le regarde se mettre à genoux et commencer à ramasser avec enthousiasme les premières aiguilles sur le tapis, de la main droite avant de les stocker dans le paume de sa main gauche en faisant attention à ce qu’elles ne s’échappent pas. C’est agréable de regarder un esclave s’échiner à accomplir une tâche difficile. Tous les vingt, il revient déposer les aiguilles dans le saladier et annonce le total. Parfois, il les ramasse couché par terre et parfois il est debout et il se penche, probablement pour dégourdir ses bras et ses jambes. Je calcule qu’il lui faut environ une minute pour ramasser une série de 20 aiguilles, la mettre dans le saladier et retourner à sa cueillette. Je remarque aussi que certaines aiguilles restent attachées à des bouts de branches cassés et tombés. Pour ne pas fausser le résultat, je lui ordonne de les arracher une à une et de compter ces aiguilles aussi.
Après une heure, je lui accorde une pause en l’envoyant me préparer un thé. Pendant ce temps j’en profite pour jeter un coup d’œil à l’avancement du nettoyage au sous-sol. Finalement Pierre me sert mon thé et je lui annonce que je me retire à l’étage pour un moment, pendant qu’il continue sa corvée en lui indiquant bien d’annoncer chaque nouveau total suffisamment fort pour que je l’entende depuis là-haut et sache qu’il continue à bien travailler pour sa Maîtresse. Je me détends à l'étage en savourant mon thé et en appelant longuement mon amie Vanessa pour lui expliquer le gage que j’ai donné à Pierre. Elle est pliée en deux au téléphone, surtout quand je lui dis ce qu’il va lui arriver ensuite. J’ai du restée une heure et demie à me reposer et à discuter. Il est temps de redescendre avec le grand paddle de cuir et quelques pinces à seins. Je fais le tour du champ de bataille. Le saladier que j’ai mis sur la table du salon, est presque plein. Le compte en est à 2020. Le rythme de Pierre a ralenti, sans doute parce que les aiguilles sont plus rares à dénicher maintenant. Il lui faut descendre aussi à chaque série au bout du sous-sol.
Je place le paddle et les pinces sur le canapé, bien en évidence, et je regarde faire mon esclave. Il a l'air éreinté et ne se déplace plus assez vite à mon goût alors je le réprimande :
- Tu ne vas pas y passer la journée ! Il y en a encore plein près de la porte du garage où tu as manifestement passé le sapin en force sans discernement ! Je veux que tout soit terminé dans la demi-heure ou j’utiliserai le paddle sur tes fesses pour te motiver à travailler plus vite !
Il augmente sa vitesse autant que ses chevilles et les poignets entravés lui permettent, et il est complètement en sueur après 20 minutes, après avoir récolté 360 nouvelles aiguilles, en grande partie celles concentrées près de la porte du garage, y compris un tas de branches qui ont cassé net et qu’il doit épiler une à une. Encore cinq minutes de recherche des aiguilles esseulées et il revient jeter dans le saladier les 12 dernières aiguilles.
Allez il est temps de jouer maintenant ! Je lui dis:
- As-tu fini maintenant, esclave ?
- Oui, Maîtresse.
- Tu en as ramassé combien au total ?
- 2392, Maîtresse.
- Total impressionnant, esclave. Nous inscrirons ce total sur ton cahier de discipline et nous le comparerons l’année prochaine avec le prochain sapin. Maintenant, je vais te poser une question très importante. Je veux que tu y réfléchisses soigneusement avant de me répondre. As-tu compris, esclave ?
- Oui, Maîtresse.
- Donc voici ma question : Es-tu absolument sûr que tu as ramassé toutes les aiguilles du sapin ?
Il réfléchit un peu, regarde autour de lui et répond...
- Oui, je le crois, Maîtresse.
- Tu le crois ou tu en es sûr ? Ce n’est pas la même chose…
Nouveau coup d’œil autour de lui sur le sol.
- J’en suis sûr, Maîtresse.
- Eh bien, esclave, laisse-moi t’expliquer le petit jeu que nous allons maintenant faire, intitulé «Veux-tu reconsidérer ta réponse ? ». Je vais te permettre de reconsidérer la réponse que tu viens de me faire. Si tu maintiens cette réponse, je vais contrôler attentivement depuis le salon jusqu’à la porte du garage, sous les tapis, sous les meubles, le long des plinthes,…. Si je retrouve ne serait-ce qu’une seule aiguille que tu aurais oublié, je te punirai immédiatement de 75 coups de paddle sur ton cul et ensuite je renverserai le saladier sur le sol que tu viens de nettoyer. Et tu recommenceras tout ton ramassage par série de 20. Je te laisse donc une chance de reconsidérer ta réponse. Est-ce clair pour toi, esclave ?
Pierre blêmit, il n'y a pas d'autre mot. Je continue.
- Pour avoir le droit de reconsidérer ta réponse, il y a un prix à payer. Tu m’as répondu que tu es sûr d’avoir ramassé toutes les aiguilles. Donc, si tu souhaites revenir maintenant sur ta réponse, tu dois être puni. Tu recevras immédiatement 15 coups de paddle et tu travailleras avec des pinces sur tes tétons, mais tu auras 15 minutes de plus pour rechercher les aiguilles que tu aurais pu oublier. Je te laisse réfléchir une minute au choix que tu vas faire.
Vous me trouvez vicieuse ? Oui, je le suis, mais j'adore faire faire à mon esclave un choix qui implique sa propre punition. Surtout quand c'est une situation qui est perdante à coup sûr pour lui quelle que soit son choix.
Je regarde Pierre examiner gravement sa situation pendant une minute. Je suis sûre de ce qu’il va décider et je n'ai pas tort.
- Quel est ton choix, esclave ?
Il soupire et dit:
- Je... je voudrais reconsidérer ma réponse, Maîtresse.
Je souris malicieusement.
- Je crois que c'est un choix très sage, esclave. Maintenant penche-toi sur la chaise, le cul en l'air.
Je lui administre 15 coups de paddle bien sentis avant de lui poser les pinces.
- Tu as donc, esclave, 15 minutes supplémentaires, pas plus. C’est parti !
Je le regarde attentivement scruter le sol. Pierre déplace les chaises, le canapé, se couche pour contrôler le dessous des tables d'extrémité et il examine les zones où le tapis rencontre le mur. J'ai le sentiment qu'il n'a pas eu le temps de vérifier ces endroits avant et il sait aussi bien que moi que les aiguilles s’immiscent partout. Je suis ravie quand il découvre plusieurs aiguilles oubliées ! Cela fonctionne si bien dans mon plan. Après 15 minutes, il revient finalement honteux et me présente la paume de sa main gauche avec 15 aiguilles.
- Bien, bien esclave, il semble donc que tu avais tort quand tu m’as dit que tu avais ramassé toutes les aiguilles la première fois. C'est une bonne chose pour toi que tu es reconsidéré ta réponse.
- Oui, Maîtresse.
- Très bien. Tu as trouvé 15 aiguilles oubliées, ce qui signifie que tu m’as menti la première fois. Cela te coûtera 15 coups de paddle supplémentaires, une par aiguille oubliée. Je vais maintenant te demander encore une fois si tu penses que tu as, cette fois, enfin ramassé toutes les aiguilles. Si tu réponds oui, tu sais ce qui se passera si tu as tort. Sauf que j’ajoute maintenant 25 coups ce qui te fera un total de 100 coups de paddle, si je trouve ne serait-ce qu’une seule aiguille oubliée, et bien sûr, tu recommenceras tout depuis le début. Et imagine dans quelle mauvaise passe tu seras, si après toutes ces nouvelles heures de ramassage, tu ne trouves pas le même nombre d’aiguille ! Une vraie tragédie pour ton cul !
Pierre grimace.
- Cependant, je vais, une fois de plus, te permettre de reconsidérer la réponse que tu viens de me donner. Si tu n’es pas totalement certain de toi, je suis prête à t’accorder de nouveau 15 minutes supplémentaires. Bien sûr, tu gardes tes pinces là où elles sont et cela coûtera 20 coups de paddle supplémentaires, ajoutés aux 15 pour m’avoir menti, cela fera un total de 35 coups pour pouvoir disposer de 15 minutes supplémentaires. Je peux ajouter quelque chose qui peut aider ta décision : si tu choisis d’en rester à ton affirmation initiale, je vais aller voir d’abord la porte du garage pour vérifier si des aiguilles n'auraient pas glissées sous la porte, avant de vérifier ailleurs. J’ai tout à l’heure vu que tu n’as pas pris la peine de vérifier sous la porte… Allez, tu as une minute pour me donner ton choix.
Pauvre Pierre pris dans ses tourments. Il sait qu'il n’a pas vérifié la porte et qu’il y a un risque important d’y trouver des aiguilles oubliées. Pas beaucoup de doute sur ce choix qu'il fera cette fois. Lorsque la minute est écoulée, je le laisse parler.
- Je voudrais reconsidérer ma réponse, Maîtresse.
- Très bien. Penche-toi sur la chaise, cul en l'air. Tu connais la chanson.
Je lui donne 35 forts coups de paddle sur son cul maintenant rouge cerise. A ce traitement, aucune trace d’érection de la bête dans sa cage. Il s'en va de nouveau dans sa quête. Quand il ouvre la porte du garage (elle s'ouvre vers l'intérieur), il trouve un tas d'aiguilles sur le seuil. J’éclate de rire. Quelle grimace sur son visage! Il laisse passer un juron « Et merde ! », avant de se ressaisir. Puis il ramasse les aiguilles à la main et regarde frénétiquement autour de lui pour voir s’il ne peut pas y avoir d'autres endroits qu’il n’a pas contrôlés. Il utilise la totalité de ses 15 minutes à tout vérifier avant de revenir déposer les dernières aiguilles ramassées. Puis il se couche à ras de terre à mes pieds et pose humblement son front sur mes bottes en déroute totale. Je le trouve très touchant.
- Penses-tu que tu les as toutes ramassées cette fois, esclave ?
- Oui, Maîtresse.
Sa voix est complètement troublée et je sais qu'il a atteint son seuil de résistance psychologique. Je viens de passer un moment très agréable, et je n'ai vraiment pas besoin de plus, donc je lui demande de nouveau s'il est prêt pour mon inspection.
- Oui, Maîtresse.
- Veux-tu encore reconsidérer ta réponse ? Il t’en coûtera d’avantage de coups de paddle. Tu connais maintenant la règle.
- Non, Maîtresse.
- Très bien. Tu vas avoir droit maintenant à 15 coups de paddle supplémentaires pour avoir dit un gros mot - tu sais que je n'accepte pas ça - et je vais commencer mon inspection. Après ta punition, tu iras au coin en gardant les pinces à seins et en tenant le cordon du paddle entre tes dents. Ne le fais pas tomber comme la dernière fois. Ou sinon…
Pendant que Pierre est au coin, face au mur, il serait très facile de reprendre quelques aiguilles dans le saladier et faire semblant de les trouver sur le sol, mais je reste juste (bien peut-être pas tout le temps, quand même, lol). Je ne le fais donc pas. En fait, je recherche assez superficiellement pendant quelques minutes, puis je fais traîner les choses pendant 45 minutes pour laisser Pierre mariner encore et toujours. Dans ma recherche rapide, je ne trouve aucune aiguille manquée, et je ne suis pas sûre de ce que je ferais si j'en trouvais une… Pierre a fait un excellent travail, après tout, et il mérite d'être maintenant récompensé.
Je ne dis pas ce que la récompense est, mais après je suis une Maîtresse très satisfaite et la langue de Pierre est très fatiguée, avec une belle érection libre à la clé que je ne lui autorise quand même pas à concrétiser…
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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