Vendredi 27 août
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22:25
Cet après-midi, nous avons trouvé ce meuble dans un magasin spécialisé.
Nous avons pensé avec N. au même moment à la même chose. Quelle merveilleuse caisse à malice cela ferait. Mais avec les loulous, autant mettre directement un gyrophare dessus... Nous avons donc
passé notre chemin. Dommage.
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Air du temps SM
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Vendredi 27 août
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13:30
Je suis dans la box et j'attends. Je sais bien que j'ai été pris en faute ce matin. J'avais oublié de remettre mon bracelet symbole de mon appartenance à Maîtresse. J'ai été surpris qu'elle y
accorde autant d'importance, naïf que je suis. Je ne sais même plus pourquoi je l'ai enlevé, peut être pour la douche ? Je ne sais plus. Ou plutot je sais que Maîtresse m'en veut.
Cela fait 20 minutes que j'attends la tête coincée entre 6 planches. Mon horizon se limite au couvercle de la lunette, 10 cm au dessus de mon nez. La lumière filtre entre les anneaux. Une
lumière atténué, presque étouffante. Pourquoi diable ai-je oublié de remettre le bracelet ? Je m'en veux ! J'entends des bruits en bas : c'est Elle ! Mais aucun bruit qui se rapproche, que des
bruits lointains. Elle me manque.
Je m'aperçois bientôt que je suis libre en bas. Pas de cage. Je résiste un moment, mais l'irrésistible envie de me toucher me prend. Je saisis mon sexe et me caresse doucement. Cela me rassure.
Mais j'ai l'oreille attentive, elle pourrait monter à tout moment. Pourtant je n'arrive pas à être sage, j'ose l'interdit. Je me caresse sans m'autoriser à jouir, elle le verrait et cela serait
terrible.
Je pense à ma situation. La boîte est ma création mais c'est son usage. Pourquoi ai-je eu cette idée si extrême ? Je ne sais et j'ai pas envie de fouiller dans les tréfonds de mon âme. Je m'avoue
adorer cette sensation d'extrême précarité. Grosse humiliation aussi. Comment notre couple peut résister à un tel traitement ? Pourtant je sais qu'Elle va s'installler au dessus dans un instant
ou dans une heure. Je sais que chez beaucoup, c'est tabou. Pourtant c'est la relation la plus intime que je n'ai jamais eu avec N. C'est un mystère ce qu'Elle peut penser dans ces moments,
pourtant elle y participe de son plein grè. Il y a son amour, mais pas que ça, quelque chose de non-dit que je comprendrais jamais sans doute.
J'attends toujours en guettant les bruits lointain. Je n'ose plus me caresser. La boîte a quelque chose de menaçant maintenant. Je suis de plus en plus conscient de ma situation et commence à
appréhender le moment. C'est si dur pour moi de définir le plaisir que j'y prends.
Des pas dans l'escalier, Elle arrive ! Elle me parle. Toujours la complicité, mais il me semble si incongru de parler à un esclave dans cette situation. Pourtant je dois discuter...
Le couvercle s'ouvre et elle s'installe...
La messe est dite. Je suis ravagé. Aujourd'hui cela a été très fort. Je suis toujours étonné avec quelle décontraction, elle fait des choses si infâmantes. Pourtant ces choses là, je les aime.
J'adore ce sentiment de précarité. Jamais Elle n'est autant Maîtresse qu'à ce moment là. Je suis en état nerveux énorme. J'ai envie de soulagement, je me branle ostensiblement. Elle s'en
aperçoit, vuet m'en empêcher puis au final me laisse faire, tout en me regardant. Je jouis.
Je Vous aime.
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Nous
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Vendredi 27 août
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09:27
Je suis allongé sur le lit, sur le dos. Je sens nettement l'odeur d'excitation de ma Maîtresse. Elle fait le tour du matelas et là d'un coup elle fond sur moi, enjambe ma tête et vient sceller
son entrejambe sur ma bouche. Je suis stupéfait de sa détermination. Sa chatte largement ouverte agit comme une ventouse qui se scelle sur mon visage.
Allez suce petit soumis !
Je n 'ai plus qu'à m'exécuter mais honnêtement dans cette position je n'ai réellement par le choix que d'accéder à la demande de ma Reine. Si je refuse, elle
me baisera elle même et je sais combien cela peut-être une leçon quand ma respiration dépend de son bon plaisir. Mais là aujourd'hui j'ai de la chance, elle reste courbée sur mon ventre et ne se
relève pas pour se baiser su ma bouche. Un peu d'air continue à rentrer par le nez.
Je m'applique à lui donner le maximum de plaisir usant de la langue mais aussi des poils de la barbe. Elle apprécie, se détend et focalise sur mon pauvre zizi en cage, juste devant ses yeux. Je
sens sa main qui prend
possession des couilles en les enserrant au creux de la paume. Le message est clair, elle a trouvé de quoi me diriger si je ne
suis pas assez performant. Pendant ce temps, elle a trouvé un nouveau jeu sadique et joue avec sa langue à exciter la pauvre bête à travers les trous de la cage. Cela crée de l'espoir pour
l'oiseau derrière ses barreaux. La bête se raidit dans son espace, malheureusement trop limité. Elle en voudrait absolument plus, sentir cetta langue si accueillante descendre la long de la
colonne. Mais que nenni, une titillation mais aucun espoir d'en avoir plus.
Pendant ce temps je gratte avec ma barbe sur les grandes lèvres tout en massant l'entrée de son trou avec ma langue. Elle apprécie et se laisse aller à son plaisir. Je ne veux qu'une chose,
enivré par son odeur, lui donner le maximum de plaisir. Elle râle maintenant comme elle adore le faire quand la maison est vide. Cela monte jusqu'à un climax qui l'a tend au dessus de mon
visage...
Elle se retire et le sentence tombe : c'est pas mal mais cela fut déjà mieux. Depuis que nous jouons avec Maîtresse, elle a pris l'habitude d'être très exigeante quant à la qualité de
jouissance. Cela déteint même maintenant sur le vanille. Il n'y a rien de plus mortifère que de subir cette sentence féminine. Je me demande qu'est-ce que j'ai raté et comment j'aurais pu être
meilleur toutou lécheur. Cela inverse la rapport de force, je suis à son service et je me dois d'être l'amant parfait... une vraie oeuvre de soumis et un vrai dressage dans le temps.
Bon je vais me reposer maintenant. Dans la niche le toutou !
Je me faufile dans l'étroite cage pour garder les toutous bien sages. Elle ferme la porte avec le cadenas et me laisse là à mes pensées pendant qu'elle jouit, allongée sur le lit à côté, de la
vision. Elle finit pas s'endormir, repue par les émotions.
J'ai du mal à trouver ma place dans la cage. Je tourne en rond et essaye de m'installer plus confortablement. En vain. c'est vraiment très petit. J'attend donc impatiemment la suite. Puis je me
calme peu à peu en admirant ma Maîtresse en train de dormir. Qu'Elle est belle !
Une petit heure plus tard, elle se réveille et me libère pour me soulager. Elle est trop fatiguée pour m'emmener dans le jardin. Je reviens, retourne dans ma cage, craignant une des nuits les
plus longues de ma vie.
Qu'est-ce que tu fait pauvre idiot ? Non viens te coucher dans le lit.
Sauvé !
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Nous
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Jeudi 26 août
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18:50
Je me
tenais devant ma Maîtresse, lui tendant la boite à plugs, un peu comme on présente la boîte à thé à la fin du repas. Que prendrez-vous Madame ? Oh j'hésite cascades du ceylan ou fleur intense
de chine ? Je ne sais, tout me fait envie. Vous avez compris le principe. Mais là c'était de mon cul que l'on parlait. Maîtresse a fini par choisir le plus gros modèle, le dur tout noir. Oh
mince ! j'allais souffrir indéniablement ! Je soupçonne ma Maîtresse de s'être souvenue du comparatif que
j'avais fait en son absence. Mais j'avais bien écris qu'elle me préparait avant avec un autre gode. Du moins ça c'était avant. Chez une Maîtresse tout finit par se payer...
Autre chose étonnante, alors qu'elle préfère d'habitude me prendreen jouant du plug de sa main, elle m'a demandé le porte-gode qui j'ai du resserrer tant elle a maigri ces derniers temps. Elle a
écarté le plug pour insérer l'oeuf de son anniversaire. Elle était prête et semblait très satisfaite d'elle-même.
Elle reposait lascivement sur le lit, m'intimant par son regard de prendre le plug en bouche. J'ouvris la bouche et je descendais autant que je pouvais sur la tige. C'était écoeurant, cela avait
le gout du préservatif qu'elle avait mis 'pour ne pas salir le gode' (tu comprends ton cul, il n'est jamais très propre). Mortifié je suçais sa bite et elle riait de bon coeur en me
voyant m'échiner sur le gode. Pendant ce temps, elle prenait son temps à mater son soumis en train de sucer. J'entendais maintenant le bruit discret de l'oeuf qui vibrait tout près mais à un
endroit inatteignable pour moi.
Retour courbé sur la cage, cul offert. Le problème de la Maîtresse et du soumis est qu'ils n'ont pas de loin la même taille de jambe. Vu d'une troisième personne, cela doit faire un peu Laurel er
Hardy, Maîtresse s'étant juchée sur un petit tabouret pour être à hauteur. Mais l'angle n'est pas bon, le plug tape sur l'os au dessus de la rosette. Puis à un moment il rentre un moment d'un
coup sous la pression, m'arrachant un râle de douleur. Enculé je suis, mais après quelques mouvements, le plug s'échappe. Ma Maîtresse est impatiente et fâchée.
Reprise
au bord du lit, cul tendu dehors. Elle me frappe les fesses, jusqu'à je sois à la bonne hauteur. Je n'ai pas intérêt à bouger. Elle pousse et m'enfile cette fois ce qui me semble être bien à
fond. Puis commence les va et vients, en donnant des grands coups puissants. Je morfle et j'essaye bientôt de m'échapper en avançant mon cul. Bien sûr, elle n'accepte pas que je me dérobe, me
fait reprendre la position et m'encule de plus belle. J'entends de nouveau le petit bruit de l'oeuf. A un moment, elle pousse encore plus fort, encore plus profond, j'ai l'impression d'être
déchiré et je hurle comme un cochon que l'on égorge, pour finir par m'effronder complétement sur lit, échappant au pilon.
Donne moi un préservatif. Je lui donne, entends un moment la pochette s'ouvrir. Je ne comprend pas pourquoi elle veut un nouveau préservatif, et même si l'ancien est déchiré, je ne vois pas
l'utilité. Je suis enculé de nouveau, mais cette fois c'est différent. Le plug fouille l'intégralité de mon cul puis cherche à presser la prostate pour me traire. C'est intolérable et je pousse
des cris à chaque attaque. Il me semble fou, que Maîtresse puisse faire autant de mouvement avec le gode. Je ne comprend rien mais j'en prend plein le cul. Au bout d'un temps qui m'a semblé
intermidable, je suis libéré.
J'ai le droit d'essuyer mes fesses de l'excès de gel. Et un nouveau verdict tombe : queening !
dyonisos
PS : en fait en regardant les photos ce matin, je me suis aperçu que ce n'était pas le plug qui cherchait à atteindre la prostate mais les doigts de ma Maîtresse. J'aurais du m'en
aperçevoir. Comme quoi, la soumission amoindrit le discernement.
Par dyonisos
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Publié dans : Nous
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