Dimanche 5 septembre
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18:10
Publié en fin de semaine sur le site du fabriquant du DL2000. (pour bien comprendre il faut monter le son pour entendre les bips).
Voici le texte traduit
DL2000 mode canin
Le DL2000 utilise un accéléromètre 3 axes et 1.5G
Le mode canin renforce la locomotion à 4 pattes
En envoyant des impulsions de courant en guise d'avertissement tant que le ventre du porteur n'est pas horizontal et dirigé vers le bas.
Je pense que c'est une fonction qui va beaucoup plaire à Maîtresse N.
Autre précision apportée cette semaine les valeurs des modes Timer (3 boutons sur la télécommande prêts à lancer une séquence de chocs électriques preprogrammés).
Niveau 1 : 10 chocs de basse intensité toutes les minutes
Niveau 2 : 20 chocs d'intensité moyenne toutes les 20 secondes
Niveau 3 : 60 chocs d'intensité forte espacés toutes les minutes (soit 1 heure de dressage !)
Bien sûr tout est paramétrable.
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Les Objets
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Dimanche 5 septembre
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17:30
Ce week-end très ensoleillé se passait la fête annuelle de notre hameau. J'y suis allé bien sûr en bon toutou encagé à ma Maîtresse. Pour ceux qui nous suivent depuis le début, c'était déjà le cas l'année dernière.
Cela est maintenant une habitude de porter la cage. J'étais en short et T-shirt et sans doute la cage devait se voir un peu pour une observatrice attentive, mais cela fait depuis bien longtemps
que je ne m'en préoccupe plus. Bien sûr en arrivant, j'y pensais car cela me fait toujours une impression troublante de me retrouver au milieu de nos amis et voisins en cage. Je ressens
physiquement mon appartenance à ma Maîtresse. Mais après le rosé aidant, je l'ai complètement oublié.
Reste comme chaque année la gestion des toilettes mais au final ce n'est pas plus compliqué que pour les femmes, et les enfants m'ont offert suffisamment d'occasion de retourner à la maison pour
que cela ne soit vraiment pas compliqué. En tout cas, je suis toujours aussi fier de porter la cage pour ma Maîtresse, notre jeu ne cesse de nous amuser.
Par contre ce qui était atypique cette année est qu'un couple d'amis était venu nous voir justement ce week-end. Vous les connaissez c'est ceux qui étaient venus entre Noël et le premier de
l'an et dont au moins lui connait mon statut et le fait que je sois soumis et
encagé par ma femme. Le seul homme à qui j'ai montré mon zizi dans sa cage. Il est
clair que je prenais un risque en l'invitant car je pouvais être trahi devant tous nos voisins.
En fait il ne sait rien passé de SM à la fête du village, heureusement. Oh juste un point. Il faisait très chaud et Maîtresse et notre amie ont commencé à regretter de ne pas pouvoir faire
trempette dans le spa. Moi je n'avais nulle envie de revenir à la maison pour le remplir, mais les filles m'ont tellement taquiné, et m'a semblé que Maîtresse commençait à s'impatienter, que j'ai
du finalement obéir et m'éclipser de la fête dans le champ pour faire mon devoir de soumis. 3/4 heures à attendre que la vasque se remplisse et les femmes sont arrivées. J'ai été immédiatement
renvoyé à la Fête par ma Maîtresse alors que j'y aurais bien aussi piqué une tête aussi.
1 heure et demi plus tard, elles nous ont rejoint manifestement très détendues. Plus tard, mon ami m'a pris à tard car il venait d'apprendre qu'elles avaient été dans le spa. Et il m'a
appris qu'elles y étaient toutes nues ! J'avoue que sur le moment j'ai été sur le cul. Mais Maîtresse me l'a confirmé de vives voix.
Qu'ont-elles faites ? Qu'est-ce qu'elles se sont racontées ?
Je ne sais pas.
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Nous
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Mardi 31 août
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23:20
Ce soir j'ai repris les essais de la trayeuse et je tombe sur un os : l'établissement du vide. Le nouvel aspirateur de chantier que j'ai acheté pour le garage est phénoménal, mais comme tous les
aspirateurs, il marche mal s'il n'a rien à aspirer. J'ai donc créé une deuxième aspiration en parallèle de la trayeuse pour avoir toujours du débit. Mais quand je branche le tout sur la trayeuse,
je n'ai plus rien du côté de la trayeuse. C'est comme si l'air avait le choix entre une autoroute et une petite route sinueuse de montagne. Il se précipite sur l'autoroute et rien ne passe sur la
route de montagne. C'est decevant et il va falloir que j'y réfléchisse au calme.
dyonisos
Par dyonisos
-
Publié dans : Trayeuse de soumis
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Mardi 31 août
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19:43
Les instructions de Maîtresse avaient été très claires :
Quand je reviendrai ce soir après ma réunion, je désire te trouver dans ta cage !
J'avais rendez-vous pour mon contrôle technique à 17h, et elle serait déjà partie quand je reviendrais. Et je pense qu'elle regrettait de ne pas pouvoir m'y enfermer d'office avant de
partir. J'avais déjà gagné cela. Nous sommes partis de fait en même temps de la maison, et elle m'avait de nouveau rappellé ce qu'elle attendait de moi par une de ces phrases à double sens
qu'elle aime de plus en plus énoncer : j'espère que tu n'as pas prévu de sortir ce soir...
A mon retour, j'ai longtemps hésité. Je savais que l'attente me paraitrait infiniment longue. Je n'arrivais pas à me décider de m'enfermer moi même. Il est une chose de subir et une
autre de le faire volontairement. Mais je ne voulais pas la décevoir en ne lui obéissant pas. Alors vers 19h30, je me suis déshabillé, j'ai fixé mon collier de gentil toutou à sa Maîtresse et je
me suis glissé dans la cage dans la chambre.
J'avoue que j'étais tout bouleversé dans mes émotions quanf j'ai fermé le cadenas de la porte. Je n'avais pas la clé bien évidemment et d'une manière ou d'une autre je me remettais entre ses
mains (avec néanmoins un téléphone qu'elle m'avait demandé de prendre "en cas de problème", ma Maîtresse . Le fait qu'elle ne soit pas là ajoutait à mon trouble. Fébrilement je lui envoyait le
SMS convenu "Toutou en cage, bien sage" tout en m'imaginant comment elle devait être excitée à sa lecture. Nous en avons discuté après, ces mots étaient "je l'ai lu immédiatement et cela m'a
fait sourire intérieurement et il n'y pas que là où je souriais".
Bref une fois que j'avais envoyé le message, je me suis brutalement retrouvé sans avoir rien à faire. Que pouvait-on faire dans une cage ? J'ai testé les positions possibles pour être le plus
confortable. 2 minutes me renvoyait l'horloge du réveil. J'ai pris quelques photos à l'aide du téléphone du toutou en cage. 5 minutes. Mon dieu que le temps allait être long. Je n'attendais pas
son retour avant 22h.
La première heure fut terrible. Je comprend maintenant l'expression tourner en rond dans sa cage. Le temps semblait s'être considérablement ralenti. Souvent entre 2 coups d'oeil les chiffres sur
le réveil restaient désespérement identiques. Je n'arrivais pas à me laisser porter par une douce rêverie de soumis. Je restais bien trop clairvoyant à mon goût. Et j'avais un peu froid surtout
aux couilles qui dépassaient de la CB. Je mettais ma main pour leur redonner un peu de chaleur et soulager ainsi leur tension.
Puis cela a changé, la fatigue des derniers jours m'est tombée dessus. J'avais réussi à me caler en diagonale le dos appuyé contre les barreaux. La chambre était redevenue bienveillante,
familière et je reconnaissais le confort d'être chez soi. Dans cette position, je m'endormais quelques minutes puis me réveillais, avec à chaque fois un rêve très érotique, très SM qui surnageait
dans les limbes du réveil. Je n'avais plus du tout froid et mon zizi ridicule battait la mesure des rêves dans son espace clos. J'étais rassuré et maintenant les chiffres défilaient sur le
réveil. Le temps était redevenu normal.
A un moment j'étais complétement réveillé. Je me mettais à épier les bruits extérieurs, les rares voitures qui passaient. Allaient-elles s'arrêter ? Non elles continuaient. Je restais dans ma
cage, l'oreille à l'aguet, attendant, espérant le retour de ma Maîtresse. Impatient. J'étais devenu un vrai toutou soumis. Le jour s'éteignait dehors. Je commençais même à me demander si ma
Maîtresse n'était pas aller prendre un pot dans un café à l'issue de la réunion pour jouir de son sentiment de m'avoir enfermé.
Et puis finalement une énième voiture avec le bruit caractéristique du gravier. C'était Elle ! J'aurais eu ma queue bien plantée dans mon cul, j'aurais frétiller en tout sens. Elle était là, et
j'étais si heureux de la revoir. Des pas en bas, encore de l'attente. J'étais devenu si impatient. Des pas dans l'escalier : ma Maîtresse arrive !
Maîtresse N. a fait tout en délicatesse quand elle a ouvert la porte de la chambre. Elle a laissé la lumière du couloir éclairer l'obscurité. Elle me regardait dans ma cage. J'étais heureux :
Elle était là. Elle a ouvert la porte et je suis sorti...
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Nous
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