Dimanche 19 décembre
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18:47
Samedi, j'avais un déménagement chez des copains. Où plutôt ma très Vénérée Maîtresse avait décidé il y a quelque temps que j'irais déménager toute le journée et m'a inscrit dans me consulter.
J'y serai allé mais c'est à des détails comme cela que l'on voit ce que l'on est devenu.
Le matin en me levant la chose qui me préoccupait c'est le port de la cage lors d'une journée comme cela. Je craignais de finir les couilles en bouillies tellement rouges que N. les dégusterait
le soir en salade. J'avais élaboré le projet de négocier de la retirer dès le réveil de ma Maîtresse.
Mais on ne le fait pas à une authentique dominante domestique. J'ai ouvert la cage du 18 sur mon calendrier de l'avent :
Et merde !!!
Donc à l'heure du départ, je me suis présenté devant ma Maîtresse qui pour plus de discrétion m'a emmené dans l'arrière cuisine. Elle a un court moment eu un doute à être aussi dure, mais
l'amusement a repris le dessus. Elle a vérifié la présence de la cage, du rosebud au centre de l'oeillet, puis m'a fait courbé en 2 pour présenter mes fesses pour les dédicacer au marqueur. Elle
rigolait doucement derrière, et ai dit à un moment : oh que c'est con ! Une photo et hop je suis reculotté sans avoir pu lire son paraphe, ce qui m'a mis dans un drole d'état.
Déjà s'asseoir dans une voiture avec un rosebud dans le cul est une épreuve, idem pour en sortir. Je suis arrivé sur la maison à déménager et la première tâche que j'ai récupéré est de démonter à
deux les meubles. A bin y réfléchir, je ne sais si avec un rosebud le pire est de marcher ou de se baisser. Mais j'avais bien lu la tournure sémantique : arrivée rosebud dans les fesses ne
voulait pas dire devoir le garder toute la journée. Mais quel était le délai convenable pour ma Maîtresse ? Je suis parti sur un délai d'une demi-heure, mais de toute façon, je n'ai pas plus
m'éclipsé avant 3/4h.
Le port de la cage s'est plutot mieux passé, certe cela a chauffé un peu surtout avant la pause de midi, mais rien d'intolérable. Tant mieux car si je l'avais enlevé (N. m'avait prêté la clé en
sécurité), je me serais fait chopper en début d'après-midi lorsqu'elle est venue en famille voir comment cela avançait. Elle a profité d'un moment d'isolement pour discrètement vérifier que
j'étais bien avec et dans ma cage.
dyonisos
Par dyonisos
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11:25
Hier soir dès les enfants couchés, ma très Vénérée Maîtresse m'a baissé pantalon et culotte et m'a mis au coin pendant qu'elle
regardait la télévision. La pénitence a commencé a genoux les mains derrière le dos. Mais je tiens pas plus de 10 à 15 minutes dans cette position, avant que cela tire trop dans le dos.
Après j'ai demandé et obtenu le droit de me mettre à 4 pattes en position de bon toutou à sa Maîtresse, toujours au coin. Mes couilles dépassaient de l'anneau de la cage et cela l'a
manifestement excitée. Alors elle s'est levée pour étrener les fines baguettes de hêtre que j'ai du acheter vendredi à sa demande, pour trouver un remplaçant au bambou tenant mieux le choc (sic). Elle a surtout frappé mes
fesses. L'effet est disons cinglant mais heureusement sans trop laisser de marques. Les couilles avaient elles droits à un pressage consciencieux du bout de la baguette, ce que je crains tout
particulièrement.
Au bout d'une demi-heure, je n'étais pas bien du tout et ma très Vénérée Maîtresse m'a autorisé une pause avant de m'envoyer dans notre chambre pour la suite. Elle m'avait demandé de sortir les
pinces à linges et de les attacher en grappe de 3 ou 4 reliées par une cordelette.
Arrivée dans la chambre, elle m'a attaché les
mains à la poutre. Et a baillonné ma bouche pour ne pas réveiller les enfants. J'étais à sa merci !
Elle a conscienseusement posé les pinces de chaque côté du ventre en pinçant avec la première le téton, sans se gêner pour me faire remarquer que vu ma graisse elle avait du mal à pincer la
peau. Quelques minutes d'attentes, avant qu'elle ne tire d'un coup sec sur la première ficelle. J'ai été étonné de ne pas avoir plus mal, soit que je me sois endurci, soit qu'au final cela soit
moins douloureux que je pouvais imaginer. Le temps d'attente réduit rentre peut être aussi en compte.
La dernière pince est restée accrochée sur le téton et bien sûr Maîtresse s'est fait un plaisir de l'enlever sans douceur. La deuxième série a été plus dure et je suis heureux qu'elle ait
pour cette soirée renoncé à le faire avec mes couilles (qui est pour moi l'endroit qui fait le plus mal avec les pinces) mais je sais qu'un jour ou l'autre elle fera.
J'ai aussi eu délai de grâce pour le travail de mon cul au gode.
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Par dyonisos
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07:30
Mon statut de mâle subissant la loi du calendrier s'est dégradé depuis que ma très Vénérée Maîtresse a introduit ce que j'ai appelé les combinés nordiques, à savoir l'association arbitraire de 2
épreuves SM. 2 exemples cette fin de semaine :
JEUDI
Encore une fois je vois l'influence des lectures sur les décisions de ma Très Vénérée Maîtresse, et je remercie Maîtresse Satine et son soumis bert.
L'association des 2 punitions m'a surpris : mes soirées se densifient. Et j'avoue que j'ai pâli quand j'ai la longueur de la phrase que je devais recopier : Moi, dyonisos soumis, je suis une très très petite bite, et je ne satisfais pas ma très Vénérée Maîtresse N sans utiliser ma
langue et mes doigts . Et encore plus quand elle me dit que bien sûr c'était des lignes manuelles à écrire sur le cahier à lignes.
Jeudi soir après avoir craint l'attaque des pinces à linge toute la journée, je m'attaque à mon écriture avec ma Maîtresse qui vient me surveiller de temps en temps au dessus de l'épaule,
ce qu'elle sait que je déteste en temps normal. Elle se plaint à chaque de la qualité de mon écriture et je dois redoubler d'attention pour continuer à écrirer lisiblement.
2h plus tard, j'ai rempli 14 pages qui ne font qu'un peu moins de 100 phrases. Cela va être long terriblement long mais ma très Vénérée Maîtresse a décidé qu'il était temps que j'aille me coucher
et a don réduit ma peine à cette centaine de lignes copiées. Et vu que j'avais été "trop lent à écrire mes lignes", elle reportait à un autre soir la mitraillette. Néanmoins hommage obligatoire à
sa féminité dans le lit.
VENDREDI
Nouveau combiné de figures imposées, mais ma Maîtresse s'est endormie à 9h, le soumis à 10h après avoir réussi à coucher
les enfants. La fatigue de ces derniers jours amplifiée par les jeux, venait de nous terrasser !
bonne nuit,
dyonisos
Par dyonisos
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