- Tu es quand même assez vache de me refuser ta queue...

- Tu l'as mérité par ton refus. Donc pas de queue pour encore 3 semaines. En plus je te rappelle que tu es débitrice en sucettes... Je t'ai laissé dormir ce matin...

- Merci pour ce matin. Oui je sais je t'en dois deux...

- Tiens regarde j'ai tout mis sur le blog...

- Non ?

- Si !

Et N. regarde l'article toujours intéressée de ce que que l'on pense d'elle. Je passe un doigt dans sa culotte. C'est mouillé, très mouillé même. Une vraie fontaine de Trevi. Elle me chuchotte "oh comme je t'aime !".

- Mais cela ne te fera pas avoir ma queue...

Plus tard il était question de spa familial au palais. Mais les pages y ont renoncé préférant continuer à regarder le DVD du moment. Nous voilà donc qu'à deux et nus.N. a la chatte tentante et je me laisse tenter de mes doigts, un oeil sur la porte en prévision d'une arrivée inopinée de pages. Deux doigts à jouer dans les tréfonds jusqu'à détailler le monticule du col et un à astiquer le bouton. Elle s'empare de ma queue qu'elle branle, trop peut être à mon goût si je ne veux pas salir l'eau pour les pages. Plusieurs fois alors qu'elle ne cesse de gémir couverte par les bruits des bulles, je me dois lui enlever la main pour éviter l'irrémédiable. Mais à chaque fois, elle revient à la charge et en prise. 

Première petite apogée pour ma belle, nous nous libérons mutuellement pour profiter un temps des bulles. Puis je reviens toujours sans queue à m'enfoncer d'un doigt dans sa rondelle que ça et uniquement cela, malgré ses protestations pour que je m'occupe aussi du clito. Le petit trou est une de ses zones érogènes majeures et j'obtiens rapidement chouinements et palpitations de la rondelle, seconde petite apogée.

Ma belle ne désespère pas et continue à m'astiquer la hampe qui brille et apparait au sortir de l'eau. Elle me dit qu'elle se prendrait bien ma queue là maintenant. Je lui réponds :

- Nada ! Interdit ! Mais peut être que je prendrais ce soir ton petit trou, sans préliminaire, ou que je te baiserais la bouche. J'étais hier sur un blog de sissy, et il y a plein de positions de suçage que nous n'avons pas essayé.

N. tire la grimace et plaide sa cause immédiate... Je lui réponds que neni ! Et ajoute..

- T'as pas chance, nos amis ne viennent pas finalement, Lui aurait peut être ramoné une amie en manque. Dommage...

J'ai droit à un grrrr de réponse. N. se fait plus chatte et vient me coller.

- Tu veux avoir une queue maintenant ? Et bien en voilà une !

J'attrape le thermomètre flottant à la tête de requin et je le présente entre ses cuisses...

- Tu n'es pas sérieux là ?

- Si, tu veux une queue...

- Ne me fait pas mal...

Le thermomètre s'enfonce dans ses profondeurs et commence un mouvement de va et vient. N. réagit au quart de tour et de sa main vient titiller son bouton. Et là j'observe amusé le premier orgasme de Madame sous l'action d'un thermomètre de 1.5cm de diamètre. Quand on dit que la taille n'a aucune importance !

A la fin, ma belle enfin satisfaite s'est occupée de me masser les couilles ballotantes dans l'eau chaude. A la limite de la douleur, mais c'était vraiment un délice... J'apprécie de plus en plus.

- Et dire que l'ami n'aime pas qu'on lui touche les couilles.

Comme quoi, on a toujours mieux à la maison ! Mais pour ma queue c'est toujours nada !

dyonisos