Bon on ce moment côté SM ou non, c'est plutôt calme... Les journées libres sont occupées entre le ponçage du plâtre, la lecture de la saga de Flotte Perdue et le plaisir de rejouer à un vieux jeu d'aventure (Chevalier de Basphomet). Ah j'oubliais avec les pluies de ce week-end, la pompe d'assainissement a lâché et j'ai eu le plaisir de passer ma journée de samedi sous la pluie pour monter un système de secours. Un vrai toutou tout mouillé à la fin, qui n'avait que la possibilité de se déshabiller dehors pour éviter d'inonder la maison.

 

Cela aurait pu être la nouvelle de la semaine, mais en ça, comme en beaucoup d'autres choses maintenant, je n'ai pas le dernier mot. Non la nouvelle de la semaine c'est évidemment ma Maîtresse qui l'a décidé et la nouvelle de la semaine c'était donc : Les Anglais sont repartis ! Et Maîtresse avait une grande envie de jouir. Et quand femme décide.... J'ai donc du prendre mon vendredi à sa demande insistante et repétée sans savoir comme j'allais être mangé, pendant que les enfants seraient à l'école.

J'ai d'abord eu un moment de franche rigolade quand je lui est fait remarqué que le vendredi matin, la femme de ménage est là. J'ai eu droit à une drôle de moue en réponse. Mais cela n'a pas arrêté ses envies. J'ai eu rapidement confirmation qu'elle voulait de la queue, plus précisement ma queue.

Cela devenait chaud car parallèlement ma petite flamme de soumis a commencé à vibrer de nouveau en imaginant toutes sortes de situations humiliantes ou pénibles, auxquelles elle pourrait me livrer. C'est l'espoir du petit soumis même si je sais avec l'expérience qu'il ne faut jamais trop espérer. A un moment, je lui ai glissé un mot à ce sujet : Oh non, je te mettrais peut être en cage après si tu insistes, mais là j'avais envie de queue !

Vendredi matin je commençais à être tendu dans l'attente. Je me souvenais de l'année de récolte dans le congélateur et me demandait comment elle allait l'utiliser. J'avais aussi une irrésistible envie de manger dans ma gamelle en bon toutou soumis à ses pieds. Mais là cela supposait que je fasse au préalable descendre la pression chez ma Maîtresse.

Une fois la femme de ménage partie, j'ai essayé de jouer mon va tout en proposant un apéritif accouplé.
- oh non, j'ai faim. On mange d'abord ! 
Patatra ! Tout s'effrondrait ! 

Après le café, son heure était venue... J'ai cependant réussi in-extremis à sauver un peu de soumission avant d'être submergé par les exigeances de Maîtresse. Collier autour du cou et en laisse, elle m'emmène au salon pour s'exciter sur un reportage sur l'échangisme qu'elle avait enregistré. Me voilà à ses pieds. En un tour de main, elle fait tomber pantalon et slip sur les genoux et me plante immédiatement la queue de toutou durement dans le cul. Je l'ai senti passer !



Je me trouvais complétement ridicule en chemise, collier autour du cou, ma queue de toutou et entravé par le pantalon. J'ai voulu dégager mes jambes, ce qui m'a valu d'être tiré par la laisse au plus près de ma Maîtresse. J'ai compris le rappel à l'ordre et je me suis tenu calme en attendant qu'Elle décide de bouger.

Plus tard je fus tiré par la laisse jusqu'au lit. D'abord léchage obligatoire entre ses jambes. Puis je reçus l'ordre de grimper sur ma Maîtresse pour lui donner le plaisir attendu. Ce fût une drôle de sensation de m'activer sur ma Maîtresse alors que je sentais la queue battre la cadence derrière. Trop excitant sans doute car pour la première fois depuis longtemps je partis au bout de quelques instants...

J'avais manifestement tout repeint en blanc dans son antre et j'ai craint un instant de devoir tout nettoyer. Mais Maîtresse avait manifestement envie de garder mon offrande en elle.

Après un sieste réparatrice, l'après-midi continua de façon intense toujours avec ma queue de cul, le collier et la laisse. Mais pour le reste très vanille...

dyonisos